LES DIFFERNTES CARACTERISTIQUES DU CONTEXTE ECONOMIQUE

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Milieu physique

Dans l’ensemble, la Région Alaotra Mangoro se trouve entre « la falaise de l’Angavo » à l’Ouest et « l a falaise Betsimisaraka » à l’Est. Elle se présente ainsi comme une cuvette surmontée par des escarpements de montagnes. Dans la zone la plus basse se sont formées par les marais ou « zetra » et les eaux libres comme le lac Alaotra et le lac Antsomangana. Les bassins versants sont formés par des massifs latéritiques très délicats, là où le phénomène de « lavakisation » est important.4
1. Relief et altitude du district d’Amparafaravola:
Le relief du district est formé :
à l’Est : par une partie basse qui forme la cuvette de l’Alaotra,
à l’Ouest : par des reliefs montagneux caractérisépar des lavaka,
4 Secteurs Porteurs de la region Alaotra Mangoro
au Nord : par une chaîne de montagne ouverte par une forêt dense, Domination des plaines immenses et très fertiles dans la zone des hautes terres,
Le lac Alaotra se situe entre les communes rurales de Tanambe, d’Ambohitrarivo et de Vohimena L’altitude est définie par :
-le point haut d’Antakaina (Ankokaina) de 1 317m de hauteur.
-le point le plus bas de lac Alaotra de 750m
Le type de sol et végétation sont caractérisé pardes :
-sols hydro morphes réservés à la riziculture danssa quasi-totalité. Le Sols hydro morphes des bas fonds, dénommés localement « hôraka », sont en permanence saturés d’eau et dégagent une odeur de soufre. Ce type de sol ne convient à la riziculture que s’ils sont bien drainés, c’est-à-dire avec une bonne maîtrise de l’eau. Par ailleurs, ils ne perme ttent pas les cultures pérennes.
-sols des moyennes terrasses légèrement argileux urtouts dans le vallée et convenables aux cultures sèches et vivrières. Ses sols se trouvent surtout en bordure des cours d’eau.

Hydrographie

Le débit des eaux est fortement lié à la pluviométrie et les rivières réagissent vite à celle-ci.
Les crues sont soudaines et violentes pendant la saison de pluies.
Les rivières dans le district sont les suivantes : Anony, Sahamaloto, Imamba Ivakaka, Besomangana, Ranofotsy et Sahabe qui déversent tousdans le grand Lac Alaotra.
Il faut signaler la présence du Lac Alaotra, un endroit privilégié pour la filière pêche. Malgré cela, les menaces d’ensablement se généralisent dans la égionr Alaotra Mangoro, suite à la forte dégradation des bassins versants.

Climat et température

Il y a deux types de saisons bien distinctes :
-saison humide : du novembre à avril caractérisé par une chaleur accablante ;
-saison sèche : avec une basse température de mai àoctobre ;
-d’habitude, la pluie déluvienne provoque la crue des rivières et la montée des eaux. La situation pluviométrie est plus arrosée le mois de févriert eplus sec le mois d’octobre.
L’irrégularité des pluies, avec 20 à 30 jours secs après les premières pluies d’octobre, y est préjudiciable aux cultures. La maîtrise de l’eau ainsi que les moyens de production constituent pour les agriculteurs un enjeu majeur. Cette sécheresse en début de saison peut être fatale pour l’agriculture et entraîner une forte pression de pêche effrénée sur le lac. La température varie de 13°
-latitude nord : 17° 25 et sud 17°45
-longitude nord : 48°45 et sud 48°18

Contexte environnemental

La Région Alaotra Mangoro recèle d’importantes richesses en forêt et environnement. En effet, elles possèdent des aires protégées, qui présentent des potentialités énormes pour le développement du tourisme. La pratique traditionnele des cultures sur brûlis hors des aires protégées est l’un de facteurs qui favorise le phénomène d’érosion.
Pour Madagascar, la gestion durable des ressources naturelles et l’intégration de l’environnement dans les stratégies de réduction de la pauvreté figurent parmi les grands objectifs du programme national sur l’environnement (PEIII), qui entame actuellement sa troisième phase quinquennale, quatre communes d’Amparafaravola appartiennent aux zones prioritaires d’intervention du PEIII. 6

Production forestière du district d’Amparafaravola:

Les forêts dans le district d’Amparafaravola sont diversifiées. Le tableau suivant indique la couverture forestière du district avec leur type, leur localisation et leur superficie :
Tableau II : Couvertures forestières
Le périmètre de reboisement et de restauration de Sahamaloto s’étend la plus grande superficie de 38700ha, le foret classé d’Andrebabe la seconde avec une superficie de 20000 ha et le foret naturel de zetra la troisième avec 15667ha de superficie.
Concernant la production forestière, on y trouve des traverses, Bedara, Plateau, Rakopaka planche ainsi que d’autres produits comme le charbon de bois (2950 tonnes) ; les bois de chauffage (3763 tonnes) ; les bois d’œuvre (293 715 m3) ; les bois rond (2656 unités) et d’autres (34916 tonnes).La production forestière est très variée etla production de bois d’œuvre produit beaucoup.
Malheureusement, les problèmes environnementaux prévalent encore dans la région Alaotra Mangoro toute entière. Citons l’érosion des bassins versants et le phénomène de « lavaka » entraînant l’ensablement des zones de culture et de s réseaux hydro agricoles, l’envasement du Lac Alaotra et des bassins de retenue.
Les délits forestiers et le permis d’exploiter sont distingués par des :
– superficie brûlée avec 50 ha de foret ;50 ha de reboisement;2131 ha de tanety et 250 ha de zetra;
– 35 ha de superficie déchiffrée
– 800 ha de permis d’exploiter qui est en cours.
De plus, dans les zones forestières, le relief est accidenté et les vallées sont étroites, ce qui incite la population à pratiquer des « tavy » pour dispose r de terrains de cultures. Enfin, les feux de brousse, l’exploitation forestière et minière galopante et hors norme ainsi que les problèmes fonciers subsistent encore.7

Analyse SWOT du contexte physique et environnemental

Le SWOT est la récapitulation entre les forces ; les opportunités ; les faiblesses et les menaces dansle district d’Amparafaravola.
Les forces et les opportunités sont réparties commesuit :
– Existence des moyens hydro agricoles
– Pluviométrie abondante
– Diversification des productions forestières
– Vaste plaine cultivable
– Plan d’eau exploitable pour la filière pêche
– Couverture forestière
– Abondance des rivières
– Zone favorable à l’agriculture
– Présence d’un grand lac : LAC ALAOTRA
– Température favorable à divers types de culture Les faiblesses et les menaces sont :
– Dégradation des bassins versants
– Problèmes fonciers
– Relief accidenté
– Pratique de feux de brousse et des « tavy »
– Vallées étroites
– Envasement du lac Alaotra
– Phénomène de « lavaka »
– Ensablement des zones de cultures et des réseaux hydro agricoles
– Exploitation forestière galopante et hors norme

CONTEXTE SOCIAL ET INFRASTRUCTUREL

Le contexte social comprend essentiellement la démographie, les infrastructures physiques et les services sociaux.

Démographie

Par définition, la démographie est l’étude des populations humaines du point de vue quantitatif. La population évolue d’une année à l’autre et progresse plus vite que le niveau de subsistance. La théorie de l’économiste démographeRobert MALTHUS affirme cela.8
Etymologie du mot SIHANAKA :
-SIA racine de maniasia (aller ça et là =errer)
-ANAKA (progéniture)
D’où SIA (KA) ANAKA ou (MA) SIAKA (A) ANAKA devient SIHANAKA
Une immigration saisonnière venant des hauts plateaux (faritany d’Antananarivo et de Fianaratsoa) est constatée dans le district d’Amparafaravola durant la période de récolte du riz (mai-aout) de chaque année. Une partie de ces gens s’installent attirés par l’agriculture et les activités de la population. Tandis qu’une partie minoritaire est tentée à immigrer pour la recherche d’autre activité en dehors de district. C’est la raison pour laquelle le taux de croissance démographie varie entre 2,8 pour cent à 5 pour cent. 9

Répartition de la population et croissance démographique

L’étude de l’évolution de la population semble difficile car d’une année à l’autre, il y a une forte variation du nombre de la population globale. Il est important de voir l’effectif de la population résident de chaque commune. On indique dans la carte suivante le nombre de la population dans la région Alaotra Mangoro :
Source : Plan Régional de Développement 2005
D’après le recensement de l’année 2005 ; le district d’Amparafaravola comptait 293 282 habitants avec une superficie de 6.966,5 km2. Le Tableau suivant montre l’effectif de la population et le pourcentage dans chaque commune :
Tableau III : Effectif de la population dans le district d’Amparafaravola
Source : Monographie du District d’Amparafaravola, 2005
Soit une densité de 35 habitants par km2, c’est une zone relativement peuplée si on la compare avec la moyenne de la région Alaotra Mangoro qui est de 27,5 hab/km2. Cette densité un peu élevée peut s’expliquer par la nature du sol favorable à des cultures de rentes à haute valeurs marchandes.
L’immigration est constatée dans le district, surtout pendant la période de récolte de riz c’est-à-ired de mois de mai jusqu’au mois d’août.

Santé :

Par définition, le service santé regroupe tous les dispositifs sanitaires y compris les infrastructures et les personnels de soins. Ils sont nécessaires à l’amélioration de l’état de santé esd individus. On distingue les médecins (19 publics et 2 privés) ; les infirmés d’états (17 publics et 2 privés) ; les sages femmes (16 publics seulement) ;les assistantes de santé (2 publics et 1 privé) ;les aides sanitaires (12 publics).
Le nombre de personnel de service de santé est largement insuffisant par rapport au nombre de la population locale. Le problème de concentration des personnels dans le milieu urbain n’a pas été resolu depuis des années, il en est de meme duproblème de l’insufisance du personnel dans les cntre ruraux (communes) face à l’état sanitaire de la population. En effet, une augmentation et une répartition adéquate du personnel de soins s’avèrent nécessaire.
Le district d’Amparafaravola dispose d’un CHD et d es CSB. On note que les CSB II sont plus nombreux que les CSB I. Les localisations des centres sanitaires avec le nombre des personnels pour la santé public sont :
– le CHD d’Amparafaravola qui contient 13 personnels ;
– le CSB 2 d’Amparafaravola, de Sahamamy, d’Amboavory , de Vohitsara, deVohimena, d’Andrebakely nord, de Tanambe, deBeanana, d’Ambohi janahary, d’Ambohitrarivo, de Morarano chrome, d’Ambatomainty, de Ranomainty, de Bedidy qui ont 48 personnels
– le CHB 1 d’Andilana sud (Amparafaravola), de Mahatsinjo (Vohimena), d’Ambodihasina (Andrebakely), d’Amborompotsy ( Tanambe), de Marofody(Bedidy) qui contient 6 personnels.
Et pour la santé privée, on distingue :
– le CSB 2 d’AMSMI d’Amparafaravola (8 personnels) e t d’Antanambao Ambohimandroso (11 personnels) qui sont des dispensaires et luthérien ;
– les CSB 1 d’Amparafaravola (4 personnels) et d’Anos iborobory (2 personnels) qui sont des catholiques et privé.
Outre ces infrastructures pour la santé, le distric possède aussi d’un (1) pharmacie et de 48 dépôts de médicaments.
Les pathologies dominantes dans le district sont représentées dans le tableau suivant.
Tableau IV : Les pathologies dominantes
Source : PRD Alaotra Mangoro 2005, Monographies par Districts 2004, Zone de planification 2004 (SSD Ambatondrazaka et Moramanga)
Le type de climat chaud et humide favorise la propagation de moustiques et fait de la région une zone paludéenne. Par ailleurs, la fièvre (34056) est plus dominante par rapport aux infections respiratoires aigue (19229), la diarrhée (4670) ainsi que les infections cutanées (3562) et les affections bucco-dentaires (2749)

Education

L’éducation constitue un facteur de la croissance économique et la base du développement de tous les districts et les communes.
Ainsi selon l’approche de l’économiste américain «Garry BECKER » en 1976, l’investissement en capital humain est nécessaire. Le terme capital humain désigne les capacités humaines économiquement productives. Autrement dit le niveaud’éducation, le niveau de santé, le niveau de capacité physique, l’expérience professionnelle etpersonnelle, l’intelligence ont une influence sur le niveau de la production.
Amparafaravola ; on trouve 251 établissements de niveau I ou EPP dans le district dont 194 publics et 57 privés. Pour le niveau II, le nombre de CEG est de 31 (15 publics et 16privés). Enfin, pour le niveau III, on compte 3 établissements (1 lycée public et 02 lycées privés). On note l’absence de l’enseignement technique dans le district. Le tableau suivant montre le nombre d’établissements, nombre de maître, effectifs des élèves et nombre desection dans le district d’Amparafaravola : Tableau V : Nombre d’établissements, nombre de maîtres, effectif des élèves et nombre de sections dans le district d’Amparafaravola :
En général ; l’effectif des élèves garçons (25802)est peu élevé par rapport à l’effectif des filles (25031).Au niveau 1 (publics et privée), leseffectifs des élèves (41669) sont très élevés alors qu’aux niveaux 2 (8339) et 3 (824) diminuent.
Les élèves qui entrent aux établissements publicsonts nombreux par rapport aux nombres des élèves aux établissements privées. Cette diminution et cepetit nombre peuvent être causés par des différents problèmes par exemple :
– les parents n’ont pas d’argent pour payer les écolages de ses enfants
– les élèves sont renvoyés à causes de leurs bêtisest leurs redoublements
– ils aident leurs parents de s’occuper des domestiques.
Le tableau ci-dessous donne les résultats des examens officiels dans le district.
Pour les résultats aux examens, en générale, ilsonts bons surtouts le CEPE (69,08 pour cent) et le bac enseignement General A1 (70 pour cent), mais les autres aussi ne sont pas mal.
Par ailleurs, l’acquisition de connaissance à trave rs l’éducation dépende en grande parie des infrastructures d’accueils et des personnels enseignants.
L’éducation et la santé étant des services publics,chaque individu a le droit d’y accéder. L’état doit prendre sa responsabilité en matière d’améliorationet de mise en place des infrastructures et de répartition du personnel.

Infrastructures physiques

La route constitue la première potentialité économique d’une région. Elle résout le problème et facilite le flux des produits agricoles alors il ne faut pas le négliger mais les reconstruire encas de besoin

Infrastructure de transport :

Le transport dans le District d’Amparafaravola est de trois ordres : le transport routier, le transport ferroviaire et le transport fluvial.
Il est à remarqué que malgré la présence de la piste d’atterrissage dans le district (d’Ambongalava dans CR Ambatomainty), il n’y pas de transport aérien.

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Table des matières

INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : PRESENTATION GENERALE DU DISTRICT D’AMPARAFARAVOLA ET IDENTIFICATION DES FILIERES POTENTIELLEMENT PORTEUSES
Chapitre I: Présentation socio-économique générale dudistrict d’Amparafaravola
SECTION I. CONTEXTE PHYSIQUE ET ENVIRONEMENTAL
A. Historique
1. Localisation du district
2. Délimitation
B. Milieu physique
1. Relief et altitude du district d’Amparafaravola
2. Hydrographie
3. Climat et température
C. Contexte environnemental
1. Production forestière du district d’Amparafaravola
2. Analyse SWOT du contexte physique et environnemental
SECTION II : CONTEXTE SOCIAL ET INFRASTRUCTUREL
A. Démographie
1. Répartition de la population et croissance démographique
2. Santé
3. Education
B. Infrastructures physiques
1. Infrastructure de transport
1.1. Le transport routier
1.2. Le transport ferroviaire
1.3. Le transport fluvial
2.1 Télécommunication
2.2. Les matériels existant dans le district
C. Services sociaux
1. Sécurité
1.1. Dina existent avec les informations y afférent
1.2. Plans locaux de sécurité
1.3. Comités de vigilances et quartiers mobiles
1.4. Présentation générale des problèmes de la sécurité dans la circonscription administrative
2. Energies électriques
2.1. Electricité
2.2. Eau
3. Analyse SWOT du contexte social et infrastructurel
Chapitre II : Etude du contexte économique et organisationnel
SECTION I : LES DIFFERNTES CARACTERISTIQUES DU CONTEXTE ECONOMIQUE
A. Contexte économique national
B. Contexte économique régional
1. Activités de la population
2. Niveau de revenu:
3. Financement
4. Structures d’emplois
4.1. Durée de travail
C. Contexte économique du district
1. Les activités économiques du secteur primaire
1.1. L’agriculture
1.2. Elevage
2. Les activités économiques du secteur secondaire:
2.1. L’industrie
2.2. L’artisanat
3. les activités du secteur tertiaire
3.1. Les activités du commerce et de service
3.2. Le transport
3.3. Tourisme
3.4. sports- cultures loisirs
SECTION II : LES ORGANISMES ET PROGRAMMES D’APPUIS AU DEVELOPPEMENT RURAL ; IDENTIFICATION DES FILIERES POTETIELLEMENT PORTEUSES
A . Les stratégies de développement
1. La vision « Madagascar Naturellement »
1.1. La vision pour 2020
1.2. Objectifs économiques généraux
1.3. Objectifs économiques spécifiques
2. Le MAP (Madagascar Action plan)
3. Le PADR (Plan d’Actions pour le Développement Rural)
3.1. Les objectifs en matière de développement rural
3.2. Les grandes orientations en matière de développement rural
B. Organismes et programmes d’appuies au développement rural du district
1. Présentation générale du PSDR
2. Objectifs du projet
3. ONG et Association dans le district d’Amparafaravola
4. SWOT du contexte économique et organisationnel
C. SWOT général du contexte socio-économique et environnemental
D. Identification des filières potentiellement porteuses
1. Branche agriculture
1.1. Filière riz
1.2. Filière maïs
1.3. Filière manioc
2. Branche Elevage
2.1. Filière aviculture
2.2. Filière porcine
2.3. Filière bovine
3. Filière Pêche continentale
DEUXIEME PARTIE : ETUDE DE MARCHE ET DE COMPETITIVITE DES FILIERES
Chapitre I: Analyse et swot de la branche élevage
SECTION I : L’AVICULTURE
1. Analyse des intrants
2. Analyse de l’offre
3. Analyse de la demande
4. Analyse des prix
5. Analyse SWOT de la filière aviculture
SECTION II : PORCIN ET BOVIN
A. Porcin
1. Analyse des intrants
2. Analyse de l’offre
3. Analyse de la demande
4. Analyse des prix
5. Analyse SWOT de la filière porcine
B. Bovin
1. Analyse des intrants
2. Analyse de l’offre
3. Analyse de la demande
4. Analyse des prix
5. Analyse SWOT de la filière bovine
SECTION III: FILIERE PECHE
1. Analyse des intrants
2. Analyse de l’offre
3. Analyse de la demande
4. Analyse des prix
5. Analyse SWOT de la filière pêche
Chapitre II : Analyse et swot branche agro-industrie
SECTION I : RIZ
1. Analyse des intrants
2. Analyse de l’offre
3. Analyse de la demande
4. Analyse des prix
5. Analyse SWOT de la filière riz : tableau
SECTION II. MAÏS ET MANIOC
1. Analyse des intrants
2. Analyse de l’offre
3. Analyse de la demande
4. Analyse des prix
5. Analyse SWOT de la filière maïs
1. Analyse des intrants
2. Analyse de l’offre
3. Analyse de la demande
4. Analyse des prix
5. Analyse SWOT de la filière manioc
Chapitre III: Recommandation
SECTION I: QUELQUES MESURES
1. Mesure d’ordre technique
1.1. La stratégie globale
1.1.1. Les actions techniques
1.1.2. Mesures organisationnel et logistiques
2. Mesure d’ordre social
2.1. Renforcement de l’éducation
2.2. Amélioration de la santé publique
SECTION II. COMPETENCES ET FORMATIONS NECESSAIRES
1. Introduction
1.1. Système de formation dans le district d’Amparafaravola
1.2. Présentation des activités par filière et par phase
1.2.1. Pour la Branche agriculture
1.2.2. Pour la Branche élevage
1.2.3. Pour la Branche pêche
1.2.4. Les activités et compétences nécessaires pour la filière riz, manioc et mais
a. Sur la production
a.1. Les activités nécessaires
a.2. Les compétences nécessaires
b. Sur la transformation
b.1. Les activités nécessaires
b.2. Les compétences
c. Sur la vente
c.1. Les activités nécessaires pour la vente sont
c.2. Les compétences nécessaires sur la vente sont
1.2.5. Les activités et compétences nécessaires pour la filière aviculture, porcine et bovine
1.2.6. Les activités et compétences nécessaires pour la filière pêche continentale
2. Effets d’entraînement du développement des filières
2.1. Effet d’entraînements pour la branche agriculture
2.2. Effets d’entraînement pour le développement de la branche élevage
2.3. Effets d’entraînement pour le développement de la filière pêche :
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE
LISTE DES TABLEAUX
LISTE DE CARTES
LISTE DES FIGURES

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