LES DIFFERENTS STYLE DE TAILLE DE L’OLIVIER
Etude du milieu Naturel
Situation géographique
En Algérie, la partie occidentale de l’Atlas Saharien correspond aux monts des Ksour. Situés à environ 400 Km au sud d’Oran, ils sont limités au Nord par les hautes Plaines oranaises, au sud par la plaine saharienne, à l’Ouest par le haut Atlas marocain et à l’Est par le Djebel Amour.Ces chaînons allongés en « chenilles processionnaires », sont orientés SW-NE et forment une barrière topographique et climatique entre l’Algérie septentrionale et le domaine saharien.Ces reliefs typiquement atlasiques passent progressivement à des reliefs moins développés aux Hautes Plaines oranaises, qui sont que de 1200m d’altitude. Tandis qu’au sud le passage vers la plate-forme saharienne est net et rapide et les reliefs n’atteignent que 1000m d’altitude. Cette transition se développe dans un espace qui pourrait avoir 20 à 40 Km de large.Morphologiquement, les monts des ksour correspondent à une région montagneuse assez élevée avec certains sommets qui culminent à plus de 2000m d’altitude. On peut citer le Djebel Aïssa (2236m), le Djebel M’zi (2145m), le Mir El Djebel (2109m), le djebel Mekther (2020m).
Cadre géologique et structural
Les Monts des Ksour, selon une zonation transversale Nord-Sud, se subdivisent en trois zones
I.3.1. Zone pre-Atlasique (Mecheria) a structure peu marquée et a faible relief topographique.
I.3.2 Zone Atlasique (Ain Sefra) fortement plissée. La limite entre les deux zones est soulignée par des rides anticlinales dominant le pré-Atlas correspondant a l’accident Nord Atlasique (Galmier, 1970).
I.3.3 Zone pre-Saharienne (Beni Ounif), constituant l’extrémité meridio-occidentale des monts des Ksour.
Les affleurements, essentiellement Jurassiques, forment des structures anticlinales longues et étroites, sépares par de larges synclinaux ou les affleurements gréseux du Crétacé inferieur constituent les grands systèmes hydrogéologiques.
Les alignements morpho-tectoniques sont l’expression en surface d’accidents profonds de la chaine et traduisent également des failles inverses et des chevauchements (Chaouche et Al. 2001).
L’érosion différentielle a façonné les reliefs de façon a donner des cuestas et des
Anticlinaux érodes. Les fonds des synclinaux dominent en donnant des types perches (Djebel Khoundjaia).
La variété du style tectonique qui diversifie la région plissée des monts des Ksour a créé un relief monoclinal en éventail ou en pli coffre. Parfois le pli est de type diapir. Souvent le Trias salifère crée une échancrure au sommet de l’anticlinal et se répand sur les roches plus récentes (Dj. Chemarikh et Dj. Melah) (Mansour, 2007 ).
Aspects hydrologiques
Notre région d’étude est caractérisée par un réseau hydrographique de faible importance et par le phénomène d’endoréisme.D’après la direction de l’environnement (2009) le bassin versant des monts des Ksour est d’une superficie de 8492km2. Il reçoit en moyenne 190 mm de précipitation par année engendrat, ainsi un apport au moyen ruisselé de 30à60 HM3/an.
Les nappes phréatiques sont soit situées à quelques dizaines de mètres de profondeur, soit situées sous les chotts ou sous les lits d’oueds (Dierry, 1998).
Pratiquement dans la région d’Ain Sefra la presque totalité du réseau hydrographiques est orienté vers le sud (Galmier, 1972).
On note la présence de deux types d’écoulement d’eau
De point de vue des eaux de surfaces
Un écoulement assez dense, hiérarchisé, prenant naissance sur les versants des massifs de l’atlas Saharien, est orienté entièrement en direction du sud vers le grand erg occidental, traversant ainsi l’ensemble de la barrière montagneuse.
C’est le cas de l’oued Breidj qui prend en charge les eaux de drainage des oueds Tirkounte et Sfissifa en traversant toute la dépression de la zone d’Ain Sefra .
Les principaux oueds présentent un bon réservoir par ces tendances de puissance, s’est le cas l’oued Breidj qui contient une nappe exploitée par de nombreux puits réservé à l’irrigation agricole des parcelles limitrophes.
Ce réseau est influencé à la fois par les variations saisonnières et interannuelles de la pluviométrie et du relief. Les oueds sont irréguliers, secs en été avec toutefois des crues violentes le plus souvent en début de l’hiver. Les biefs forment un réseau hydrographique très ramifié de type dendritique. Tous interceptés par le grand et fameux oued En Namous
En dehors de notre zone d’étude vers l’ouest, oued Sfissifa reçoit à sa gauche oued Ben Ikroun. La rencontre entre ces deux oueds donnera un nouvel oued appelé El Breidj qui draine le versant nord de djebel Mekter .
A sa gauche et au centre de Ain Sefra, oued El Breidj se mélange avec oued Tirkount qui longe la dépression comprise entre djebel Aissa et Morghad. Vers le sud-ouest, oued El Breidj et en s’enchevêtrant à d’autre oueds donnera naissance à oued En Namous. Nom qu’il conservera jusqu’à sa disparition dans le sable du grand Erg occidental au sud.
De point de vue des eaux souterraines
On sait que la région recèle d’importantes potentialités hydriques souterraines telle que la vallée de Ain Sefra- Tiout au sud de la dépression de Tirkounte, une autre nappe de moindre importance est contenue dans les alluvions de l’oued Breidj qui est limité au Nord-est par la ville de Ain Sefra, cette nappe est développée dans une série d’alluvion sablo-argileux d’une dizaine de mètres d’épaisseur par des puits et dont l’écoulement général à une direction SSE/NNW.
Étude du milieu naturel
Sol et couvert végétal
Le sol est un milieu cohérent dont les propriétés s’expliquent par son histoire. Les conditions de son environnement et souvent aussi par l’action humaine. Les sols steppiques sont pauvres et fragiles à cause de la rareté de l’humus et de leur très faible profondeur.
« Adaptés au régime climatique aride, ils sont généralement peu évolués, moins profonds et parfois inexistant. Ils sont caractérisés par une évolution beaucoup plus régressive que l’inverse, c’est à dire la morphogenèse qui l’emporte sur la pédogénèse ». (Haddouche, 1998).
Les sols steppiques ont deux caractères principaux
– Pauvreté et fragilité des sols, prédominance des sols minces de couleur grise due à la raréfaction de l’humus. ce sont les sols les plus exposés à la dégradation
– Existence des sols cultivables dont la superficie est limitée et bien localisée.
Notre zone d’étude les sols minéraux bruts d’érosion, sont liés aux affleurements rocheux et sont situés sur des fortes pentes. En fonction du substrat rocheux, on distingue principalement les lithosols et les régosols en altitude. Les dépressions qu’elles sont soient linéaires (lits d’oueds) ou des dépressions fermés par des éléments fins déposés par les eaux de ruissellement, constituant un horizon pédologique très fertile, les sols des piémonts sont beaucoup moins homogènes et moins épais. Leurs constituants sont plus grossiers et moins stables que ceux des sols des dépressions. (Haddouche, 2009).
Dans les hautes pleines sud oranaises l’aridité du climat ne permet pas le développement d’un couvert végétal capable de protéger la surface du sol, la plus part des espèces, en ce milieu aride, ont acquis des caractéristiques biologiques et morphologiques particulière leurs permettant de surmonter toutes les conditions défavorables au milieu.
Malgré le taux de recouvrement la végétation steppique constitue une ressource naturelle de grande importance notamment dans la protection du sol contre le phénomène de l’érosion éolienne, hydrique et dans la structure des horizons superficiels du sol.
La végétation naturelle de la zone d’étude est caractérisée par une physionomie de steppe sauf dans les montagnes ou subsistent les restes de forets primitives abattues par l’homme à base de Pinus halepensis et Juniperus Phoenicea. En dehors de ces espèces forestières, l’aspect de la steppe change avec le gradient pluviométrique et la nature du sol. La steppe sud oranaise est dominée par les formations végétales suivantes
Steppe à alfa (Stipa tenacissima) ;
Steppe à armoise blanche (Artemisia herba alba) ; Steppe à sparte (Lygeum spartum) ;
Steppe à halophytes. Steppe à psamophytes.
(Bensaid, 2006).
Relief
La plus part des facteurs météorologiques (précipitations, températures) et hydrologiques sont en fonctions de l’altitude d’où l’importance de connaitre la répartition des surfaces en fonction de l’altitude.Les monts de la zone d’étude se présentent sous forme d’ensemble massif à structures complexes et plus ou moins allongées et étirées suivant l’axe général du plissement sud-ouest nord-est. Ces structures sont généralement liées à la tectonique, à la lithologie et à l’érosion.
Elles sont constituées de roches dures (calcaire, calcaire dolomitique et grès) d’âge jurassique dont la pente des versants est généralement forte. Parmi ces structures plissées il importe de citer l’anticlinal d’âge jurassique culminant à 2136 m de djebel Morghad, d’orientation Sud-ouest Nord-est.Il a été affecté par un accident technique ayant provoqué un décalage de continuité dans sa partie Sud-ouest (cuvette de Mekhiezène). Un autre anticlinal plus septentrional correspond au djebel Antar, petit chaine avancé de l’atlas saharien à tracé en forme d’arc de cercle ouverte vers le Nord –Ouest et dont l’altitude n’atteint pas les 2000 mètres. (Remauoun K, 1998) in (Bensaid, 2006).
Pédologie
Les sols steppiques adaptés au régime climatique aride sont généralement peu évalués, moins profond et parfois inexistants. Certains travaux menés par Duran & al. (1958) ; Sogreh (1961) ; Bellouam & al. (1974) ; Berau & al. (1975) ; Pouget (1971, 1980) et Boyardgiev (1975), cités par Halitim (1988) ont permis de déterminer les différents types de sols, leurs caractéristiques essentielles et de situer leur importance dans les zones arides Algériennes.Seules quelques études ponctuelles à titre d’exemple ont été réalisées par Pougat (1980), Boula houât (1993) ; Boula houât & Neart (1996) sur la steppe sud algéroise.Les sols de la steppe sud Oranaise demeurent de ce fait mal connus par les pédologues si ce n’est que les cartes établies par Berau & al. (1975) in Djadi (1993).Une étude menée par Haddouche (1998) sur la steppe sud Oranaise a permit de déterminer les grandes unités pédopaysagique de la région de Ghassoul (wilaya d’El Bayadh). Dans la steppe la quasi-totalité des sols est calcaire dès la surface (Pouget. 1980). Ces derniers sont squelettiques et sont sujet à une dégradation intense. Dans ces zones, l’érosion mord à pleines dentes et à la désertification est bien installée.
Il faut noter que les facteurs intervenant dans l’évolution des sols sont le climat, la végétation, la géomorphologie et la topographie. Cette dernière conditionne le transport de l’eau, la matière organique, la pédogenèse et par conséquent la répartition des sols dans le paysage (Baise & Jabiol, 1995).
Dans notre zone d’étude on distingue des types de sols suivant leur nature lithologique grès, calcaire, marne et argiles
Les glacis sont représentés par des sols reposant sur une carapace calcaire du quaternaire.
Les alluvions sont des sols d’accumulation (lits d’oueds, nappes d’épandages ) ou croit le plus souvent une végétation plus ou moins abondante en fonction des disponibilités en eau (Maire,1940et Dubost, 1992 in Traore,2002).
Les colluvions sont des sols d’accumulation localisés aux piémonts des djebels.
Les sols sableux (sols d’accumulation éolienne) ces sols peuvent être végétalisés par groupements psammophytes, exemple Aristida penguns.
Les lentilles salifères représentées par les diapirs.
Avant de déterminer les grands unités du sol (unités pédopaysagiques ) qui se trouvent dans notre zone d’étude nous nous contenterons pour le moment d’énumérer seulement les grandes classes de sols qui existent dans la steppe. D‘après DJEBAILI (1978) on distingue des
Sols minéraux bruts
Sols peu évalués
Sols calcimagnésiques
Sols iso humiques
Sols halomorphes.
Tableau n°8 pédopaysages Relation sol – morphologie
Climatologie
Le climat est l’ensemble des phénomènes (vents, précipitations, température, évaporation…) qui varient d’un lieu à un autre de la surface terrestre. Il peut agir directement sur l’approvisionnement en eau potable puisqu’il modifie le régime des cours d’eau et le volume des nappes.
La climatologie étudie la combinaison de phénomènes météorologiques à la surface du globe ; elle a pour objet de déterminer le type de climat d’une région. Le climat est un facteur très important en raison de son influence prépondérante sur les zones steppiques et les précipitations exercent une action supérieure pour la définition de la sécheresse globale du climat. Il est contrasté avec une saison estivale sèche et chaude alternant avec une saison hivernale pluvieuse fraiche sinon froide.
Ce climat est caractérisé par
Des manifestations météorologiques très contrastées
Concentration de précipitations sur quelques jours, le plus souvent en périodes fraiches d’Octobre à Avril, pluviosité ne dépassant que rarement 400 mm.
De faibles précipitations et un régime thermique relativement homogène.
Dans cette étude, il s’agit de caractérisé la variation des températures et des précipitations sur une période de 21 ans, allant de 1989 à 2010. Les séries d’observations sont fournies par les services de l’O.N.M.
Nous nous sommes basé uniquement sur les données disponible au niveau de station de Ain Sefra et qui demeure la station la plus représentative de la région parce qu’elle est situé presque au centre de la région étudie. Notre étude climatique est effectuée à partir des données météorologiques température et précipitations moyennes mensuelles de la station météorologique d’Ain Sefra (tableau n°9).
Tableau n° 9 caractéristique de la station d’Ain Sefra
Le choix de cette station et de cette période se justifie par les raisons suivantes
La station est située au centre de la région d’étude.
Station opérationnelle (disponibilité des données).
Différence de distribution des pluies durant les années 1990 et les années 2000.
Période de 21 années nous semble suffisante pour expliquer l’impact climatique sur le couvert végétal.
La démarche proposée est axée sur la recherche de la variation de la saison sèche durant la période considérée et l’étude de l’irrégularité inter et intra annuelles pour établir leur impact sur les changements des paysages. L’une des méthodes la plus caractéristique de ce type d’étude est la méthode de Bagnouls et Gaussen (1957) basée sur la réalisation des courbes des valeurs moyennes mensuelles des températures et des précipitations surtout journalières.
Etude des précipitations
La pluviométrie est parmi les principales composantes de climat qui contribue à la désertification et à la dégradation des sols des zones arides. En effet, l’aridité est une conséquence d’un déficit de précipitation par rapport à l’évaporation durant une période plus au moins longue de l’année (Arrignion, 1987)
Précipitations moyennes annuelles à la station d’Ain Sefra
Les précipitations moyennes annuelles enregistrées à la station d’Ain sfera pour la période allant de 1989 – 2010, soit une observation de 21 années, sont mentionnées à la figure n°8, on remarque que
-La plus faible valeur (39.9 mm) enregistrée en année 2000
-La plus grande valeur (417.37 mm) enregistrée en année 2008
-La valeur moyenne est de 199.93 mm. Si on compare cette moyenne par rapport à celle de la période 1989-2010, on remarque que la moyenne de la période 1989-2010 est relativement un peu élevée.
Coefficient d’irrégularité du régime des précipitations
C’est le rapport de l’année la plus humide PM à celui de l’année la plus sèche Pm PM/Pm = 417.37/39.9 =10.46 (valeur caractéristique du climat aride).
Irrégularité des pluies
Il est de noter que globalement la pluviosité dans notre zone d’étude reste la même par rapport à la période [1913-1938] (Seltzer, 1946). La moyenne des précipitations est passée de 192mm [1913-1938] à 155,5mm [1978-2001] (Bensaid, 2006) pour arriver à199.93 mm [1989-2010].
Mais ces calculées ne présentent pas réellement la réalité du terrain, elles sont utilisées uniquement pour dégager les différences périodiques (Haddouche, 2009).
L’irrégularité des pluies dans la station d’Ain Sefra est grande. Pour la période [1989-2010] la moyenne annuelle fluctue entre un minimum de 39.9 mm (année 2000) et un maximum de 417.37 mm (année 2008).
Souvent l’analyse de la variabilité mensuelle climatique dans la zone d’étude se base sur la pluviométrie du mois de Mars pour prononcer s’il s’agit d’une année sèche ou humide.
La pluie du mois de mars est considérée comme de l’Or pur chez les agropasteurs (Bensaid, 2006).
Toutefois, ce que nous avons constaté sur la période [1989-2010]. La pluviométrie de ce mois a reculé, cédant la première place au mois d’octobre pour presque la totalité des années de cette période.
Les valeurs de la pluviométrie de Mars fluctuent entre 1 et 164,4mm (année 1991). A partir de l’année 1997 et jusqu’à 2002 (soit 6 année), les pluies de mois de Mars étaient trop faibles.
Pour le mois d’Octobre, en enregistre des piques de 169,8mm, 229.3mm et 37mm pour les années 2007, 2008 et 2010 respectivement (taux de précipitation dépassant largement la moyenne périodique pour ce mois).
Distribution mensuelle des pluies
La saison pluvieuse est généralement active entre le moi de septembre et le moi de Mai, sauf pour le moi de décembre ou de janvier, période qui constitue pour cette région une saison de transition entre les deux régimes atlantique humide et continental saharien.
Les données pluviométriques montrent que les pluies sont relativement moins reparties au cours de l’année, à l’exception des mois de fin de saisons pluvieuses (décembre et juillet) où la précipitation sous forme d’averses peu durables, eut être moins significative. Les mois les plus pluvieux sont enregistrés aux mois d’Octobre et Mars, favorisés par les intensités de type orageux.
Répartition des précipitations moyennes mensuelles
D’après la figure N°9 on constate que
-Le mois le plus pluvieux est celui de octobre, avec une valeur de 36.80 mm.
-Le mois le plus sec est celui de Juillet avec une valeur extrême de 4.25 mm.
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Table des matières
Introduction
CHAPITRE I PRESENTATION DE L’OLIVIER
I.1 historique
I.3 origine botanique
I.4 aspects botaniques
II.5 .1 Nomenclature
II.5.2 Dénomination
II.1 systématique et classification botanique
II.1 L’olivier sauvage
II.2 L’olivier cultivé
II.3 caracteristiques biologiques et morphologiques
II.3.2 systeme radiculaire
II.3.3 systeme aerien
II.4 les caracteres botaniques de l’olivier
II.5 Caractéristiques de croissance de la plante
II.6 Le temps de la récolte
III.1 La culture de l’olivier
III exigence de l’olivier
III.2.1 exigences ecologiques
III.2.2 exigences en temperature
III.2.3 exigences en eau
III.2.4 exigences edaphiques
III.2.5 les exigences culturales
III.2.5.1 le travail du sol
III.2.5.2 les amendements
III.2.5.3 L’irrigation d’appoint
III.2.5.4 les traitements phytosanitaires
III.3 LA TAILLE DE L’OLIVIER
a) La taille de formation
b) La taille de fructification
c) La taille de régénération
III.3.1 LES DIFFERENTS STYLE DE TAILLE DE L’OLIVIER
III.3.1.1 Style Algérien en gobel
III.3.1.2 Style Espagnol à deux troncs
III.3.1.3 Style à la française bifurquée
III.3.1.4 Style Italien polyconique
III.4 Multiplication et plantation
III.4.1 Multiplication
III.4.1.1 Greffage
III.4.1.2 Bouturage
III.4.2 Plantation
III.5 Les ennemis de l’olivier
III.5.1 Les ravageurs
III.5.2 Les maladies
IV. Oléicole mondiale
IV.1 Aire de répartition de l’olivier dans le monde
IV.2 les Variétés d’olive dans le monde
IV.3 Importance économique de l’oléiculture
IV.4 Composition nutritive de l’olive
IV.5 L’olivier en Algérie
IV.5.2 Superficies en cultures et nombre d’arbres en Algérie
IV.5.3 Répartition des olivettes en Algérie
IV.5.4 Principales variétés algériennes
IV.5.5 Les rendements
IV.5.6 Situation économique de l’oléiculture algérienne
IV.5.7 L’avenir de la culture de l’olivier en Algérie
IV.6 L’olivier dans les monts des ksour
IV.6.1 Evolution de la superficie oléicole dans la région
V.1 Technique de récolte
V.2 Techniques traditionnelles
V.3 Des machines ont été créées pour faciliter la récolte des olives
V.4 Les produits de l’Olivier
La production des huiles
La production d’Olive de table
Les produits de la taille
-Les grignons d’Olives
-Le margine
V.5 Operations préliminaires à la fabrication de l’huile d’olive
V.5.1 Huile d’olive
V.5.2 L’huile d’olive extra vierge
V.5.3 L’huile vierge
V.5.4 L’huile d’olive pure
V.5.7 Divers faits concernant l’huile d’olive
CHAPITRE II ETUDE DU MILLIEU NATUREL
I. SITUATION GEOGRAPHIQUE
I.3 cadre géologique et structural
I.3.1. zone pre-atlasique
I.3.2 zone atlasique
I.3.3 zone pre-saharienne
II aspects hydrologiques
– De point de vue des eaux de surfaces
– De point de vue des eaux souterraines
III. ETUDE DU MILIEU NATUREL
III.1 sol et couvert végétal
III.2 relief
IV. PEDOLOGIE
v. climatologie
V.1 étude des précipitations
v.1.1 précipitations moyennes annuelles à la station d’Ain Sefra
v.1.2 coefficient d’irrégularité du régime des précipitations
v.1.3 irrégularité des pluies
v.1.4 distribution mensuelle des pluies
v.1.5 répartition des précipitations moyennes mensuelles
v.1.6 variation saisonnière du régime pluviométrique
V.2 etude des températures
v.2.1 les moyennes mensuelles
v.2.2 evolution précipitation-température
V.3 les vents
v.4 les gelées
v.5 grêles et neiges
v.6 caractéristiques synthétiques du climat
v.6.1 méthode de visualisation
v.6.2 la courbe ombrothermique (p=2t)
v.7 les indices climatiques
v.7.1 indice d’aridité de Martonne
v.7.2 les indices de Moral
v.7.3 indice climatique d’Emberger
v.7.4 indice de Stewart
v.7.5 indice de continentalité de Kerner
v.8 l’évapotranspiration potentielle ETP
VI. conclusion
CHAPITRE III METODOLOGIE
Méthodologie
1. choix des exploitations
2. élaboration d’un questionnaire d’enquête
3. collecte des informations et réalisation de l’enquête
4. cartographie des vergers étudiés
5. caractérisation des zones concernées
6. diagnostic et observations de la situation des vergers
7. analyse des données collectées
CHAPITRE IV RESULTATS ET DISCUSSION
I Résultats et discussion
I.1 Zones étudiées
I.1.1 Ain Sefra
I.1.2 Sfissifa
I.1.3. Moghrar
I.2 Activités économiques
I.3 Surface Agricole Utile (SAU)
II Les résultats du questionnaire
II.1 Superficie
II.2 La densité de plantation
II.3 Type d’exploitation
II.4 Origine des plants
II.5 Variétés oléicole
II.6 Mode de plantation
II.7 Sources de revenu du fellah
II.8 Origine de l’eau de l’irrigation
II.9 Mode d’irrigation
II.10 Techniques culturales
II.11 Erosion/ dégradation des terres
II.12 Contraintes édaphiques
II.13 Brise vents
II.14 Tuteurage des jeunes plants
II.15 La taille
II.16 Demande d’appui technique
II.17 Type de site où sont plantés les vergers
III Diagnostic et évaluation des vergers oléicole
III.1 Evaluation des cultures oléicoles
III.1 Caractéristiques d’oléiculture
III.2 Contraintes de développement de l’oléiculture
III.2.1 contraintes climatiques
III.2.2 statut foncier
IV Diagnostic sur la conduite et l’état des vergers
IV.1 conduite des vergers
IV.2 le travail du sol
IV.3 La taille des arbres fruitiers
III.4 la fertilisation
IV.5 l’irrigation
IV.6 Traitement phytosanitaire
Conclusion générale
Références bibliographiques
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