Les différents acteurs économiques et les facteurs clé de production du centre

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Réglementation et formalité administrative du projet

L’établissement étant une institution, une société,une entreprise. Sa survie dépend étroitement de son environnement interne et externe. Autrement dit, l’établissement est interdépendant avec son environnement.
En effet, L’institution scolaire et le personnel sont soumis à diverses conditions.
Le décret numéro 98.433 du 16 Juin 1998 indique les pièces nécessaires et la démarche à suivre pour créer un établissement scolaire.
L’Arrêté d’application n° 6743.98 porte sur la réorganisation de l’Enseignement général privé. Dans cette section, nous parlerons des points suivants : les autorisations d’ouverture, l’énumération des pièces nécessaires, la description des profils de directeur et des professeurs, tels que préconise le Ministère.

Les autorisations d’ouverture

Créer un lycée technique commercial privé : il fautune demande écrite pour présenter notre création du lycée. Nous exposerons notre motivation, le type, le niveau de l’institution, et ainsi que toute autre renseignement jugé utile.
Si on reçoit une réponse favorable, cela signifie qu’on à l’autorisation d’ouverture parallèlement à cette demande, une autre est à adre ssée à l’autorité administrative, en l’occurrence au District. Comme réponse, on reçoit un dossier appelé : le procès verbal de délibération.
Par conséquent, entrons dans la constitution des pièces à fournir.

Pièces nécessaires

Cette phase stipule à la fois l’établissement lui-même et les personnels administratifs puis pédagogiques.

Pour l’établissement

Il y a six pièces à fournis :
– Le procès verbal de délibération émanant de l’autorité administrative locale mentionnée plus haut.
– Une présentation du plan descriptif des locaux à l’aide d’un schéma.
– Un contrat de bail si le bâtiment est loué ; une délibération du propriétaire dans le cas contraire. Ce contrat doit être de cinq ansau minimum.
– Les frais de scolarité par mois et par classe, les frais de demi-pension ou l’internat s’il y en a.
– La description de l’état des locaux avec dimension des salles, et toutes autres indications nécessaires.

L’étude de lieu géographique et des données ocios- économiques de l’environnement de la région d’Itaosy

La région fait partie du district d’Antananarivo Atsimondrano, et de la région Analamanga elle dispose des potentialités abondantes et diversifiées mais au niveau intellectuel elle reste en bas si on parle de l’exploitation.
Auparavant, la majorité de la population sont des paysans, agriculteurs, éleveurs. Actuellement la nature de la population change de temps en temps.
On trouve aussi dans cette région, diverses activités telles que les ateliers en bois, les arts, l’épicerie, etc. Et depuis les cinq dernièresannées, cette région attire l’attention des investisseurs car on peut trouver actuellement la banque BFVSG, la banque BOA, des sociétés en plaine expansion.
D’après l’enquête que nous avons menée, le nombre edla population a augmenté de plus en plus d’après la destruction du quartier 67 ha Sud. Cette région prend le deuxième rang après Ambohimanarina en termes de région surpeuplée.
Vu que l’espace est large, il y a beaucoup de terrain à vendre, beaucoup des familles sont attirées et construisent leurs maisons, ainsile loyer de maison est moins cher. Donc, les caractéristiques de la population de la région sontmélangées.
Par conséquent bon nombre d’entre eux ne trouvent que des activités vulgaires, par exemple « l’épicerie ». Dans chaque couloir, chaque bord de route, on trouve des épiceries.
Le problème c’est que les infrastructures comme l’école ne sont pas satisfaisantes pour les habitants, mais l’effectif de la classe moyenne et riche domine la population. C’est la raison pour laquelle ils ont les moyens financiers pour payer des frais de scolarité élevés.
Par conséquent, le choix de ce projet répond à la solution des contraintes socio familiaux. D’après notre enquête, un chef d’établissement scolaire a affirmer que des nombreuses jeunes filles issues des familles modestes abandonnent leurs études en cour d’année scolaire ou en classe de 3ème, soit parce qu’elles deviennent mères de famille, soit qu’elles devienne des épiciers.
Donc l’ouverture de notre lycée technique commerciale pourra répondre à leur attente, orienté les jeunes vers une nouvelle motivation puis à se préparer au travail directement, soit de continuer leurs études à l’université, à s’orienter vers d’autres activités. Cette étude nous permet d’analyser l’offre du marché.

La demande potentielle sur le marché

La demande peut se mesurer par l’ensemble de nombre de clients actuels et le nombre de clients potentiels de l’établissement .Ainsi elle peut se subdiviser :
La demande actuelle sur le marché : se définie parles clients actuels.
La demande potentielle : se définie par les clients sur le marché et les non consommateurs relatifs. Les non consommateurs relatifs : ce sont les personnes qui ne font pas encore parties parmi ces clients actuels mais qui peuvent devenir futurs clients. Dans notre cas ce sont les élèves en classe secondaire ou sixième-quatrième.
Le but de notre centre est de persuader les non consommateurs relatifs et de fidéliser ses propres clients.
D’où nous raflons la majorité de part de marché enanalysant les forces et faiblesses des concurrents.

Lycée Technique Commerciale MITSINJO à Ambohidahy Itaosy

C’est un lycée technique commercial privé en gestion, et de formation professionnelle. Il est situé dans le quartier d’Ambohidahy Itaosy commune de Bemasoandro. Ce centre a été créé en 2007. L’effectif des élèves est moyen, et il n’y à pas une forte augmentation. Donc, l’évolution de l’effectif reste constante. Cette évolution provient de diverses causes telles que les problèmes de communication, ancien pédagogique,manque de capacité des étudiants sortant.
Malgré ces problèmes, il est facile d’attirer les clients de cet établissement.

Lycée Technique Privée Commerciales Professionnelles (LTPCP) à Tamboholava Itaosy

C’est un Lycée technique privé situé dans le quartier Andranonahoatra Itaosy. La formation dans ces établissements tels que classesen 1ère Année, 2e Année, 3e Année ou préparation BAE et en Bac professionnelle, Bac Technologique .L’effectif des élèves ne cesse pas d’augmenter chaque année, mais les résultats sont insuffisants d’une année à l’autre. Cette insuffisance en parlant de résultat provient des diverses causes tels que l’incapacité de formateur, sa motivation, l’incapacité de dirigeant. Et surtout depuis son existence il change trois fois des places (à Talata Itaosy-Avarabohitra Itaosy-Tamboholava).Ce changement de positionnement entraine que ce centre étant actuellement en phase de saturation ou en déclin d’une a l’autre. Vu aussi que depuis son naissance le propriétaire ne réalise même pas à l’infrastructure ou n’ayant pas encore le moyen de construire un bâtiment, il loue encore de maison jusqu’à maintenant.
D’où ce lycée a une très faible image, alors, c’esttrès facile d’attirer leurs clients.
De se faite, l’étude de ces deux établissements :les formateurs, même ses dirigeants ne sont pas un professionnel du métier auxquels ils préparent, mais un professionnel de la formation. L’insuffisance des résultats est causée par le manque de motivation des enseignants, la vulgarisation de méthode pédagogique, l’insuffisance de l’infrastructure et manque de matériels, l’incompétence d’étude de marché que d’action commerciale :
– Le manque de motivation des enseignants et ses effets : d’après l’enquête au près des quelques enseignants, ils sont mal payés ou leurs salaires ne sont pas suffisants. Donc, plusieurs d’entre eux passent leur temps à vaquer en d’autres activités. En d’autre terme, ce maigre salaire entraîne des désarticulations tant au niveau pédagogique, qu’au niveau social.
– La vulgarisation de méthode pédagogique des ces établissements : le tactique pédagogique reste méthode ancienne, c’est-à-dire pas d’amélioration suivie dans l’évolution de temps, ou bien la vulgarisation des méthodes. En effet, tout ça se répercute dans le résultat et compétence desélèves sortants. Soit les élèves abandon leurs études, soit ils changent desétablissements ou ils cherchent un nouveau centre.
– L’insuffisance de l’infrastructure et manque de mat ériels : faute de moyen matériel, il faut avoir des matériels ou le cours ratiquep à besoin de matériel, un établissement scolaire devra prévoir a une grande infrastructure comme la construction de son propre bâtiment. Mais ces établissements loue toujours une maison depuis sa naissance et se déplace plusieurs fois. Ce facteur a de conséquence négative et directe sur l’image d’un établissement vis-à-vis à leurs clients.
– L’incompétence d’étude de marché que d’action commerciale : comme toute activité traditionnelle malagasy, les propriétairesde ces établissements n’ont pas la compétence en la matière. Ils considèrent que créer un centre d’éducation scolaire étant comme une activité banale, le gérant de ces établissements ne sacrifie jamais pour le budget deson activité commercial ; mais il faut souligner que gérer un centre d’éducation c’est l’art d’entreprendre très complexe, l’art de vendre un bon métier. Alors l’ignorance de ces institutions nous facilite de réaliser le rêve de otren bonne imagination que d’avoir élargir notre part de marché Donc, ces quatre facteurs tels que la manque de motivation des formateurs ou enseignants, la vulgarisation de méthode pédagogique, l’insuffisance de l’infrastructure et manque de matériels, l’incompétence d’étude de marché que d’action commerciale résultent le mauvais résultat .Par conséquence, entraîne la aturations de la vie ou sur la survie des ces deux établissements. D’ou, il est facile d’attirer leurs clients et que de rafler la majorité de part marché.
Ces deux établissement scolaire constituent nos principales concurrentes, et de persuader leurs clients d’aller chez notre centre. Et il nous faut tenir compte le plan et stratégies marketing  envisagé.

Les nouveaux entrants ou nouveaux concurrents

Étant donné que ce métier ou crée un établissementscolaire est un art d’entreprendre pas comme d’habitude : exemple pas comme un établissement de marchandise générale. C’est un projet complexe car il nous faut des études avant, en cours, après la réalisation. Exemple sur la barrière à l’entrer d’un nouveau con current : un fondateur d’un lycée exige d’une qualité, de profil exigeant ou des critères compliqués. Ainsi on exige d’avoir un diplôme académique, un caractère charismatique, avoir de comportement managériale, avoir de style leadership. Autre barrière, d’après la tendance d’un investisseur malgache ils n’ont pas des endurances mais ce métier exige de ténacité.
Donc c’est très difficile d’entrer pour ce métier pour ce qui ont avoir des moyen d’investir et de capacité intellectuel ou pour l’entrer de nouveau concurrent, dans le sans contraire c’est compliqué.

Table des matières

PREMIERE PARTIE :
Chapitre I : PRESENTATION DU PROJET
Section 1 : Historique du projet
Section 2 : Caractéristique du projet
Section 3 : Localisation du projet
Section 4 : Réglementation et formalité administrative du projet
Chapitre II : ETUDES DE MARCHE OU CIBLE VISE DU PROJET
Section 1 : Description du marché
Section 2 : Analyse de l’offre
Section 3 : Analyse de la demande
Section 4 : Les cinq forces de PORTER
Section 5 : Analyse SWOT
Section 6 : Le plan et stratégie marketing envisagé
Chapitre III : THEORIE GENERALE SUR LES OUTILS ET CRITERES D’EVALUATION
Section 1 : Les outils d’évaluation
Section 2 : Les critères d’évaluation
DEUXIEME PARTIE
Chapitre I : LES PROCESSUS ET LES TECHNIQUES DE REALISATION
Section 1 : Identification des matériels
Section 2 : La technique de réalisation
Chapitre II : CAPACITE D’ACCUEIL DES SERVICES ENVISAGES
Section 1 : Effectif des apprenants envisagés
Section 2 : Système de prix
Section 3 : Aspect quantitatif et qualitatif du projet
Section 4 : Les différents acteurs économiques et les facteurs clé de production du centre
Section 5 : Les facteurs clés de sucées du centre
Chapitre III : ETUDE ORGANISATIONNELLE DU PROJET
Section 1 : Organigramme à adopter
Section 2 : Organisation du travail
Section 3 : Chronogramme
TROISIEME PARTIE
CHAPITRE I : LES INVESTISSEMENTS NECESSAIRES ET LES COMPTES DE GESTION
Section 1 : Coût des investissements nécessaires
Section 2 : Financements des investissements
Section 3 : Compte de gestion
Section 4 : Plan de financement de l’unité
Chapitre II : ETUDE DE FAISABILITE ET ANALYSE DE RENTABILITE
Section 1 : Compte de résultat prévisionnel du centre
Section 2 : Bilan prévisionnel du projet
Section 3 : Plan de trésorerie
Chapitre III : EVALUATION ET IMPACT DU PROJET
Section 1 : Evaluation économique
Section 2 : Evaluation financière
Section 3 : Evaluation sociale
Section 4 : Impact
CONCLUSION GENERALE
BIBLIOGRAPHIE 

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