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LโINNERVATION DE LA VESSIE
Lโinnervation vรฉsicale est assurรฉe par le plexus vรฉsical provenant du plexus hypogastrique infรฉrieur et des nerfs splanchniques pelviens prenant leur origine respectivement au niveau de L1, L2 et de S2, S3, S4.
PHYSIOLOGIE DE LA VESSIE
Les principales fonctions de la vessie sont de recevoir lโurine terminale produite par les reins et de la conserver avant la miction (4).
CHRONOLOGIE DE LA MICTION
1. Atteinte de la capacitรฉ physiologique qui estde 300 ml chez lโadulte.
2. Les rรฉcepteurs ร lโรฉtirement de la paroi vรฉsicale transmettent des influx nerveux aux centres cรฉrรฉbraux supรฉrieurs qui nous informent sur lโenvie dโuriner.
3. Le dรฉtrusor se contracte et le sphincter lissese relรขche.
4. Le relรขchement volontaire du sphincter externe , sous le contrรดle de la volontรฉ et par lโintermรฉdiaire des nerfs moteurs somatiques aboutit ร la miction (4).
CONTROLE DE LA MICTION
Des fibres nerveuses parasympathiques et sympathiques issues des racines nerveuses sacrรฉes S2 ร S4 contrรดlent la miction. Ce contrรดle est un apprentissage dans lโespรจce humaine, il se manifeste par la propretรฉ et la continence. La miction est sous contrรดle central, au niveau des centres nerveux du pont cรฉrรฉbelleux (dans le tronc cรฉrรฉbral) (4).
EMBRYOLOGIE DE LA VESSIE
La formation de la vessie se fait ร partir de la rรฉgion vรฉsicale du sinus uro-gรฉnital entre la quatriรจme et la septiรจme semaine ed vie intra utรฉrine. La vessie dรฉrive de la rรฉgion proximale de lโallantoรฏde et du canal de Wolff. Les canaux de Wolff sโabouchent ร plein canal au niveau de la paroi dor sale du sinus uro-gรฉnital. Les bourgeons urรฉtรฉraux dโorigine wolffienne partent lรฉgรจrement plus haut et poussent en direction des blastรจmes mรฉtanรฉphrogรจnes (6).
La partie postรฉrieure et supรฉrieure de la vessie sedรฉveloppent vers le haut et forment les cornes du sinus uro-gรฉnital. Elles englobent peu ร peu lโorigine des bourgeons urรฉtรฉraux de telle sorte que la partie laplus proximale du canal de Wolff sera incluse dans la paroi de la vessie et que les uretรจres arrivent directement au niveau vรฉsical (6).
Le processus continue et ร la fin de lโรฉvolution, lโabouchement des uretรจres se fait dans la partie haute et latรฉro-dorsale de la vessie tandis que celui des canaux de Wolff descend peu ร peu et se fait au niveau de la rรฉgion uro-gรฉnitale (6).
La rรฉgion vรฉsicale qui provient de lโinclusion dansla paroi vรฉsicale des canaux de Wolff constitue le trigone vรฉsical. Rapidement, la partie de lโรฉpithรฉlium vรฉsical dโorigine wolffienne est recouverte par lโรฉpithรฉlium dโorigine entoblastique. Malgrรฉ la diffรฉrence dโorigine, lโรฉpithรฉlium vรฉsical est constant dans toute sa structure(6).
LA BILHARZIOSE URINAIRE
DEFINITION
Cโest une helminthiase due ร un trรฉmatode appelรฉ Schistosoma haematobium (7).
EPIDEMIOLOGIE
– La bilharziose est la deuxiรจme endรฉmie mondialeaprรจs le paludisme (7).
– La bilharziose urinaire est rรฉpandue dans toute lโAfrique intertropicale, ร Madagascar et au Proche-Orient, en particulier en Egypte dans toute la vallรฉe du Nil (8)
– A Madagascar, la bilharziose urinaire atteint environ 500 000 personnes (7).
PARASITOLOGIE
AGENT PATHOGENE
Schistosoma haematobium (8).
LE VER
Le mรขle
Il mesure 10 ร 15 mm de long, blanchรขtre, cylindriq ue au niveau de son 1/3 antรฉrieur muni de 02 ventouses. Le reste de son corps est aplati. Ses bords latรฉraux se replient ventralement pour dรฉlimiter le canal gynรฉcophore oรน loge la femelle. Ses tรฉguments sont couverts dโรฉpines et de tubercules Figure( Nยฐ03) (9).
La femelle
Elle mesure 13 ร 22 mm de long. Elle est grisรขtre, cylindrique, filiforme et de surface lisse. La femelle est toujours plus longue que le mรขle pour la mรชme espรจce (Figure Nยฐ03) (9).
Dans les deux sexes
– La ventouse orale au niveau de lโextrรฉmitรฉ antรฉrieure se prolonge avec lโลsophage. La ventouse ventrale correspond ร lโorg ane de fixation.
– La copulation est quasi-permanente et leur dรฉplacement se fait ร contre courant sanguin.
– Ils ont une durรฉe de vie de 5 ร 10 ans (8).
LES ลUFS
Ce sont des ลufs ovalaires ร รฉperon terminal qui me surent 115 ร 170 ยตm de long sur 40 ร 70 ยตm de large. Leur coque est lisse, รฉpai sse, transparente avec de nombreux pores ultramicroscopiques. Ils contiennent le miracidium qui est un embryon ciliรฉ mobile pourvu de nombreuses cellules germinales dans sa rรฉgion postรฉrieure (Figure Nยฐ04).
La ponte journaliรจre est de 300 ลufs. Les ลufs son t pondus par paquet dans la sous muqueuse vรฉsicale et sont รฉliminรฉs par les urines. Cependant, de nombreux ลufs restent prisonniers de la sous muqueuse vรฉsicale et provoquent un granulome. Lโรฉclosion des ลufs se fait dans les eaux douces si toutes les conditions sont rรฉunies : tempรฉrature de lโeau entre 25 et 30ยฐ C, un bon ensoleillement, un pH neutre (11).
LE RESERVOIR
Essentiellement humain mais le parasite peut รชtre etrouvรฉ chez les rongeurs sauvages et les babouins (9).
Lโ HOTE INTERMEDIAIRE
Cโest un mollusque gastรฉropode aquatique. A Madagascar, cโest le Bulinus obstusispira pour le Schistosoma haematobium.
Gรฎtes des mollusques :
ยท Eaux ombragรฉes, peu profondes, stagnantes, faiblement courantes, riches en matiรจres organiques et en vรฉgรฉtation aquatique.
ยท A 20 ou 30 cm de profondeur au niveau des tiges des plantes ou au niveau des feuilles mortes (11).
LA TRANSMISSION
La transmission est favorisรฉe par le pรฉril urinaire. La contamination aquatique se fait par pรฉnรฉtrationย transcutanรฉe des cercaires.
CYCLE DU PARASITE
DIAGNOSTIC
DIAGNOSTIC CLINIQUE
Le diagnostic est cliniquement orientรฉpar une notion de bain infectant en eau douce dans une rรฉgion dโendรฉmie bilharzienne.
PERIODE DโINCUBATION : ยซLA DERMITE CERCARIENNE ยป
Elle dure 2 ร 10 semaines. Elle est marquรฉe par une rรฉaction cutanรฉe inflammatoire au niveau des points de pรฉnรฉtration esd furcocercaires. Cโest une dermite papuleuse prurigineuse. Elle est plus discrรจte, voire inapparente pour la bilharziose urinaire (7).
PERIODE DโINVASION : ยซLA DISSEMINATION LARVAIRE ยป
Elle dure 5 ร 6 semaines. Elle est mar quรฉe par la migration des parasites vers les diffรฉrents organes en passant par les poumons ร lโorigine des troubles respiratoires de type allergique et de dyspnรฉe asthmatiforme. Ce sont des manifestations immuno-allergiques :
– Fiรจvre : Tยฐ > 38 ยฐC
– Signes cutanรฉs : prurit, urticaire, ลdรจme.
– Douleurs : myalgies, arthralgies.
– Toux allant jusquโร une dyspnรฉe asthmatiforme.
– Douleurs abdominales, en particulier dans la rรฉgion hypogastrique (9).
PERIODE DโETAT ยซLA FOCALISATION VISCERALE ยป
Elle se manifeste 2 mois aprรจs la contamination par :
– une hรฉmaturie terminale, macroscopique, capricieuse, spontanรฉe, rรฉpรฉtรฉe et indolore. Cette hรฉmaturie peut รชtre totale quand elle estbondante.
– des anomalies de la miction ร type de dysurie, de pollakiurie, de polyurie et de brรปlure mictionnelle.
– une notion dโinfection urinaire et des crises de colique nรฉphrรฉtique (9).
DIAGNOSTIC PARACLINIQUE
EXAMENS BIOLOGIQUES
– Bilans sanguins :
– Hรฉmogramme : pour rechercher une hyperรฉosinophilie.
– Sรฉrologie bilharzienne : pour rechercherune infestation bilharzienne.
– Azotรฉmie, crรฉatininรฉmie, clearance de larรฉatininec : pour explorer les retentissements sur la fonction rรฉnale.
– Bilans urinaires pour rechercher des ลufs de Schistosoma haematobium dans les urines :
– Bandelette urinaire.
– Culot HLM (Hรฉmaties Leucocytes Minute).
– ECBU (Examen Cytobactรฉriologique des urines).
– Filtrage des urines et comptage des ลufs de Schistosoma haematobium.
– Examen anatomo-pathologique : peut montrer
– un granulome centrรฉ par un ลuf de Schistosoma haematobium (Figure Nยฐ06).
– un bilharziome calcifiรฉ (Figure Nยฐ07).
EXAMENS ICONOGRAPHIQUES
– Radiographie du bassin de face : peut montrer une opacitรฉ de tonalitรฉ calcique en projection de lโaire vรฉsicale, aspect en ยซ coquille dโลuf ou vessie en porcelaine ยป (Figure Nยฐ08) (12).
– Echographie rรฉnale et des voies urinaires : pourvisualiser les retentissements.
– Urographie intraveineuse (UIV) : pour voir lโurรฉtรฉro-hydronรฉphrose (Figure Nยฐ09).
– Cystoscopie : permettant une visualisation directe des lรฉsions.
– Lรฉsions primaires : granulations, grains de semoule, bilharziome.
– Lรฉsions secondaires : ร type dโacnรฉ.
– Lรฉsions tertiaires : tapis sableux.
FORMES CLINIQUES
FORMES COMPLIQUEES
– Chez lโhomme : urรฉtrite, prostatite, orchiรฉpididymite, spermatocystite.
– Chez la femme : lรฉsions vulvaires, lรฉsions cervico-vaginales, endomรฉtrites, annexites, obstruction tubaire dโorigine bilharzienne cause de grossesse extra-utรฉrine et dโinfertilitรฉ, grossesse ectopique, stรฉrilitรฉ secondaire, avortements.
– Dans les deux sexes : grosse rate bilharzienne, cancer de la vessie (รฉpithรฉlioma รฉpidermoรฏde spinocellulaire), retentissements sur la fonction rรฉnale.
FORMES ERRATIQUES
Localisations : intestinale, hรฉpatique, pulmonaire,cutanรฉe, neurologique.
FORMES ASSOCIEES
– Bilharziose et cancer de la vessie.
– Interaction du Schistosome avec les salmonelles ou les klebsielles.
– Interaction Schistosome et VIH : la contamination par le VIH est favorisรฉe par les lรฉsions gรฉnitales dues ร Schistosoma Haematobium (9).
TRAITEMENTS
TRAITEMENT PREVENTIF
Dans les zones dโendรฉmie, les voyageurs sont invitรฉs ร ne pas sโimmerger dans les eaux douces. Les grandes lignes de la prรฉvention dela bilharziose sont :
ยท Lโรฉducation et le contrรดle sanitaire.
ยท Lโรฉlimination des matiรจres fรฉcales (construction des latrines).
ยท Lโรฉviction des contacts avec les eaux de surface infestรฉe (instillation des puits).
ยท La destruction des mollusques par des moyens chimiques.
ยท Le contrรดle des zones dโirrigation.
ยท Le filtrage et la dรฉsinfection des eaux.
ยท La vaccination nโest envisageable quโร petite รฉchelle (7).
TRAITEMENTS CURATIFS
TRAITEMENT MEDICAL
– Selon lโOMS :
– PRAZIQUANTEL : BILTRICIDEยฎ cp 600 mg : 40 mg/kg e n une seule prise.
TRAITEMENT CHIRURGICAL
Le traitement chirurgical est rรฉservรฉ aux complications. On peut rรฉaliser soit :
– une nรฉphrectomie de sauvetage.
– une plastie dโagrandissement vรฉsical (Entรฉrocystoplastie, Clamcystoplastie).
– une nรฉphrostomie.
LA TUMEUR VESICALE
DEFINITION
Elle se dรฉfinit comme รฉtant la prolifรฉration anarchique de cellules anormales dรฉveloppรฉes aux dรฉpens de la muqueuse vรฉsicale (5).
EPIDEMIOLOGIE
La tumeur vรฉsicale occupe le deuxiรจme rang des tumeurs urologiques aprรจs le cancer de la prostate (13).
FACTEURS FAVORISANTS
ยท Tabagisme supรฉrieur ร 20 Paquets Annรฉes.
ยท Carcinogรจnes chimiques : amines aromatiques, dรฉrivรฉs de lโaniline, hydrocarbures polycycliques du tabac, phรฉnacรฉtine,dรฉrivรฉs industriels du tryptophane.
ยท Temps de contact urines/muqueuse prolongรฉ (effet rรฉservoir).
ยท Inflammations locales chroniques comme lors de la bilharziose urinaire oรน la tumeur est volontiers de type รฉpidermoรฏde spinocellulaire.
ยท Infections urinaires chroniques.
ยท Traitement prolongรฉ par la cyclophosphamide (5).
HISTOIRE NATURELLE
ยท Naissance : ร partir de lโurothรฉlium.
ยท Siรจges habituels : trigones, faces latรฉrales vรฉsicales, rarement au niveau du dรดme.
ยท Drainage lymphatique : assurรฉ par les ganglions : liaques externes, hypogastriques, iliaques primitifs et lombo-aortiques.
ยท Extension ganglionnaire corrรฉlรฉe ร lโimportance de lโinfiltration du muscle vรฉsical.
ยท Dissรฉmination mรฉtastatique : foie, poumons, os, cerveau.
ยท Evolution : rรฉcidive, infiltration en profondeur (5).
ASPECTS HISTOLOGIQUES
TUMEURS UROTHELIALES
4 types selon lโOMS :
ยท Carcinomes ร cellules transitionnelles (90%).
ยท Carcinomes ร cellules squameuses รฉpidermoรฏdes (6 ร 7 %)
ยท Adรฉnocarcinomes (1 ร 2 %)
ยท Carcinomes indiffรฉrenciรฉs (13).
TUMEURS NON UROTHELIALES
Elles sont liรฉes ร une irritation de la paroi vรฉsicale par un calcul, une sonde ou par les ลufs de bilharzies (5).
AUTRES TYPES HISTOLOGIQUES
ยท Tumeurs conjonctives : sarcomes, lรฉiomyosarcomes.
ยท Phรฉochromocytomes.
ยท Carcinomes ร petites cellules (13).
GRADES HISTOPATHOLOGIQUES
Le systรจme le plus employรฉ est celui de Mostofi :
– Cis : carcinome in situ.
– Grade I : tumeurs bien diffรฉrenciรฉes.
– Grade II : tumeurs moyennement diffรฉrenciรฉes.
– Grade III : tumeurs peu diffรฉrenciรฉes.
Lโaspect macroscopique de la tumeur est bien corrรฉlรฉ avec le grade et le stade :
– Une lรฉsion muqueuse en plage รฉrythรฉmateuse ou veloutรฉe correspond au carcinome in situ.
– Une tumeur papillaire exophytique est en rรจgle superficielle et peut รชtre pรฉdiculรฉe ou diffuse.
– Une tumeur non papillaire est en rรจgle infiltrante et ร large base dโimplantation. Elle peut avoir un aspect bourgeonnant ou ulcรฉrรฉ (13).
CLASSIFICATION DE LA TUMEUR DE LA VESSIE
T : Tumeur vรฉsicale
– Tx : tumeur non รฉvaluable.
– T0 : pas de tumeur vรฉsicale.
– Ta : carcinome papillaire non invasif.
– Tis : carcinome in situ
– T1 : tumeur envahissant le chorion de la muqueuse urothรฉliale (franchissement de la membrane basale).
– T2 : tumeur envahissant le muscle vรฉsical (dรฉtrusor).
– T2a : muscle superficiel.
– T2b : muscle profond.
– T3 : tumeur envahissant le tissu pรฉrivรฉsical.
– T3a : envahissement microscopique.
– T3b : envahissement macroscopique (masse extravรฉsicale).
– T4 : tumeur envahissant la prostate, lโutรฉrus, le vagin, lโaponรฉvrose pelvienne ou la paroi abdominale.
– T4a : atteinte de la prostate, de lโutรฉrus ou du vagin.
– T4b : atteinte de lโaponรฉvrose pelvienne ou de la paroi abdominale.
– pTis, pTa, pT1 : Tumeurs superficielles.
– pT2, pT3, pT4 : Tumeurs invasives, qui infiltrent l’รฉpaisseur dela vessie.
– Le ยซย pย ยป signifie la profondeur de l’infiltration lors de l’intervention.
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Table des matiรจres
NTRODUCTION
PARTIE I : RAPPELS THEORIQUES LA VESSIE
I- ANATOMIE DESCRIPTIVE
I.1- LES DIFFERENTES PARTIES DE LA VESSIE
I.2- LES RAPPORTS DE LA VESSIE
I.3- LA VASCULARISATION DE LA VESSIE
I.4- LโINNERVATION DE LA VESSIE
II- PHYSIOLOGIE DE LA VESSIE
II.1- CHRONOLOGIE DE LA MICTION
II.2- CONTROLE DE LA MICTION
III- EMBRYOLOGIE
LA BILHARZIOSE URINAIRE
I- DEFINITION
II- EPIDEMIOLOGIE
III- PARASITOLOGIE
III.1-Lโ AGENT PATHOGENE
III.1.1-LE VER
III.1.1.1-Le mรขle
III.1.1.2- La femelle
III.1.1.3- Dans les deux sexes
III.1.2- LES ลUFS
III.2- LE RESERVOIR
III.3- Lโ HOTE INTERMEDIAIRE
III.4- LA TRANSMISSION
III.5- LE CYCLE DU PARASITE
IV- DIAGNOSTIC..
IV.1-DIAGNOSTIC CLINIQUE
IV.1.1-PERIODE DโINCUBATION
IV.1.2-PERIODE DโINVASION
IV.1.3-PERIODE DโETAT
IV.2- DIAGNOSTIC PARACLINIQUE
IV.2.1- EXAMENS BIOLOGIQUES
IV.2.2- EXAMENS ICONOGRAPHIQUES
IV.3- FORMES CLINIQUES
IV.3.1- FORMES COMPLIQUEES
IV.3.2- FORMES ERRATIQUES
IV.3.3- FORMES ASSOCIEES
V- TRAITEMENTS
V.1-TRAITEMENT PREVENTIF
V.2-TRAITEMENTS CURATIFS
V.2.1- TRAITEMENT MEDICAL
V.2.2- TRAITEMENT CHIRURGICAL
LA TUMEUR VESICALE
I- DEFINITION
II- EPIDEMIOLOGIE
III- FACTEURS FAVORISANTS.
IV- HISTOIRE NATURELLE
V- ASPECTS HISTOLOGIQUES
V.1- TUMEURS UROTHELIALES
V.2- TUMEURS NON UROTHELIALES
V.3-AUTRES TYPES HISTOLOGIQUES
VI-GRADES HISTOPATHOLOGIQUES
VII- CLASSIFICATION
VIII- DIAGNOSTIC.
VIII.1-DIAGNOSTIC CLINIQUE
VIII.2-DIAGNOSTIC PARACLINIQUE
VIII.3- AUTRES INVESTIGATIONS
IX- TRAITEMENTS
IX.1-TRAITEMENTS MEDICAUX
IX.2-TRAITEMENTS CHIRURGICAUX
X- EVOLUTION
XI-PRONOSTIC
PARTIE II : OBSERVATIONS ET COMMENTAIRES
OBSERVATION Nยฐ01
OBSERVATION Nยฐ02
OBSERVATION Nยฐ03
COMMENTAIRES-DISCUSSION
I-EPIDEMIOLOGIE..
I.1- INCIDENCE
I.2- AGE
I.3- SEXE
II- DIAGNOSTIC
II.1- ANAMNESE
II.2- DIAGNOSTIC CLINIQUE..
II.3- DIAGNOSTIC PARACLINIQUE
II.4- DIAGNOSTIC DIFFERENTIEL
III-TRAITEMENT..
IV-EVOLUTION
SUGGESTIONS
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE
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