Les différentes méthodes d’étude de l’activite antioxydante

Répartition géographique

Cet arbre est présent sur toute la façade atlantique, de Saint-Louis à Ziguinchor. Il est très commun dans le Cayor, plus disséminé dans le Sine, les îles du Saloum et la Casamance maritime. Il se retrouve fréquemment dans les Niayes et affectionne les terrains humides, les bords des rivières et les galeries forestières de la Casamance. On le rencontre aussi mais plus rarement, dans les galeries soudaniennes, les ravins et éboulis du Sénégal Oriental, les rebords de carapaces ferrugineuses.

Etudes réalisées sur la chimie

Pouvier (1964) avait isolé de Aphania senegalensis le québrachitol ou méthyle-2,4-inositol avec un rendement de 1,5% pour les feuilles et de 0,7% pour les rameaux.
Comme en atteste le tableau I, la pulpe du fruit renferme des constituants tels que les protéines, les glucides, les lipides (Haddad, 2000). Il contient également des minéraux (Fe, Ca, P) et des vitamines (vitamine C, B6, riboflavine, niacine).

Propriétés pharmacologiques

Fall (2007) a recherché l’activité antiparasitaire de Aphania senegalensis sur des poulets, après infestation expérimentale par un inoculumd’oocystes de coccidies sporulés. D’après ses résultats, la meilleure activité anticoccidienne a été obtenue avec la dose maximale de l’extrait aqueux de Aphania senegalensis à 50 mg/kg.
Mbengue (2008) dans ses travaux a étudié l’activité antalgique d’extraits de feuilles de Aphania senegalensissur des souris. Il a utilisé des extraits aqueux de diverses fractions (hexanique, methanolique, et d’acétate d’éthyle) à des doses variant entre 10 mg/kg et 300 mg/kg per os. Il a conclu que l’extrait hexanique de feuilles de Aphania senegalensisprésente une action analgésique aux faibles doses (10 mg/kg et 30 mg/kg) comparable à celle de l’acide acétyle salicylique (aspirine).
En revanche aux doses élevées (100 mg/kg et 300 mg/kg) on observe une inversion d’effets.
Les fractions d’acétate d’éthyle et methanolique présentent aussi un effet analgésique dépendant de la dose, avec une efficacité comparable à celle de l’aspirine.
Mbengue (2008) a aussi étudié l’activité anti-inflammatoire des feuilles de Aphania senegalensissur un modèle d’œdème aigu de la patte de rat induit par la carraghénine. D’après ses résultats les extraits aqueux des fractions d’acétate d’éthyle et méthanolique présentent un effet anti-inflammatoire à la dose de 300mg /kg per osmais moins important que celui de l’aspirine.

Propriétés toxicologiques

La grande toxicité des graines de Aphania senegalensis est unanimement signalée. On déplore les morts d’enfants et d’animaux après leur consommation et on les juge d’autant plus dangereuses que le fruit qui les contient (la cerise du
Cayor) est comestible et a même une saveur très agréable, malgré une légère astringence. Les feuilles sont aussi quelques fois signalées comme dangereuses.
D’après Kerharo (1974), le principe toxique n’est pas l’acide cyanhydrique comme l’ont soupçonné les botanistes. Ce serait très probablement un alcaloïde qui se combine à chaud seulement avec l’acide sulfurique pour former un sel soluble dans l’eau. Cet alcaloïde existe en quantité relativement considérable puisqu’il suffit de 100 g d’amande pour tuer un animal par la voie digestive et de l’extrait 50 à 60 g par la voie sous-cutanée ou intra-péritonéale.
D’après Haddad (2000) la partie toxique du fruit est l’amande.

Etudes pharmacologiques et toxicologiques

Les feuilles

Les feuilles pilées sont utilisées en application sur les brûlures comme cicatrisant kératoplastique et sur les blessures comme hémostatique [4].
On reconnait en outre des vertus à la vapeur émise lors de l’ébullition prolongée de l’eau de trempage des feuilles à laquelle on soumet les yeux des individus à la vue déclinante. Des inhalations de cette même vapeur calmeraient les céphalées et les toux rebelles [22].
Chez les Peuls, il y’a aussi un usage populaire des feuilles en condiment dans les sauces pour exciter l’appétit. Les fruits sont comestibles.
En Cote d’Ivoire, les guérisseurs utilisent souvent la décoction de feuilles ou d’écorces dans le traitement des diarrhées dysentériformes et des intoxications alimentaires.
Les feuilles en décoction bouillante et inhalation seraient antimigraineuses.

Fruits

Le fruit est employé parfois comme condiment pour relever le goût des mets et des sauces [4].
Chez les Senefous et les Gouins de Cote d’Ivoire, pour devenir fécondes, les femmes stériles consomment assez souvent une macération de fruits de Saba senegalensis qu’elles agrémentent de jus de feuilles de Vernonia guineensis, de Cissus corylifolia, de Vitex ceinkowshii ou de Ficus capensis. A qui connait le fruit de Saba senegalensis, énorme, ovoïde, bourré de graines, il est facile d’imaginer comment une telle médication a pu prendre naissance en application du vieux principe de la signature [23].
Dans le kartim kandioye, les peuls considèrent les fruits encore verts et cuits avec du sel comme une drogue diurétique efficace et d’action rapide [22].
Les graines fraîches sont utilisées contre les coliques [4].

Racines

Le macéré des racines en boisson est considéré comme anti-blennorragique seul ou avec d’autres plantes.

Le latex

Les Peuls firdous, après avoir saigné la liane, recueillent le latex dans une gourde en l’émulsionnant avec de l’eau et le donnent en boisson contre les toux et les affections pulmonaires; l’effet a forte dose serait émétique [4].
Au Burkina Faso le latex du fruit vert est appliqué sur la voute plantaire des sujets souffrant de sclérodermie à raison d’une application par jour. La guérison s’opère dans la semaine suivant le début du traitement [10].

le test DPPH (1, 1, Diphenyl-2-picryl- hydrazyl)

La méthode est basée sur la dégradation du radical DPPH. Le DPPH est un radical libre de coloration violette qui présente une bande d’absorption caractéristique à 517 nm liée à la résonnance des électrons non appariés. En présence d’une substance chimique anti-radicalaire (antioxydante), les électrons non appariés sont capturés de façon stoïchiométrique, ce qui provoque une baisse de l’absorption à 517 nm liée à la décoloration de la solution de DPPH en jaune vert. Un antioxydant aura la capacité de donner un électron singulet au radical synthétique DPPH de coloration violette pour le stabiliser en DPPH de coloration jaune-verte. La mesure de la décroissance de coloration violette au cours du temps permet de déterminer la concentration efficace à 50% notée EC50, temps au bout duquel 50% de coloration est perdue. Généralement interprétée sur la base de la quantité d’un antioxydant nécessaire pour faire diminuer de 50% la quantité initiale de DPPH (EC50), (des comparaisons d’EC50 sont réalisées), le résultat est dépendant de la concentration en DPPH initiale. On peut aussi exprimer la capacité antioxydante par le pourcentage d’inhibition.

Activité antioxydante

Protocole expérimental du DPPH

La méthode utilisée est celle de Molyneux (2003).
Une quantité de 4 mg de poudre de DPPH est dissoute dans 100 ml d’éthanol. La conservation de la solution se fait à l’abri de la lumière pendant 12 h.
Dans chaque tube à essai contenant 0,8 ml d’extrait à différentes concentrations initiales on ajoute 3,2 ml de la solution de DPPH. Les extraits sont testés aux concentrations suivantes : 5-10-25 et 150 µg/ml. L’acide ascorbique et la quercétine utilisés comme antioxydants de référence sont testésà ces mêmes concentrations.
La lecture de la densité optique se fait au bout de 30 minutes au spectrophotomètre à 517 nm en utilisant l’éthanol comme blanc.

Protocole expérimental du test à l’ABTS

La méthode utilisée est celle de Leong et shui (2002). A une solution d’ABTS dans 10 ml d’eau à 7 mMoles (38,40 mg), est ajoutée une solution de persulfate de potassium à 2,5 mMoles (6,75 mg).
Le mélange est gardé à l’obscurité et à la température ambiante pendant 12h avant usage. Ce mélange est dilué ensuite avec de l’éthanol pour donner une absorbance voisine de 0,7 à 734 nm.
L’activité antioxydante est mesurée en additionnant 2 ml d’extrait à tester à 2 ml de solution d’ABTS. Les extraits sont testés aux concentrations suivantes : 5-10-25 et 150 µg/ml. L’acide ascorbique et la quercétine sont utilisés comme références.
La lecture de la densité optique est réalisée 2 minutes après au spectrophotomètre à 734 nm.
La fraction d’acétate d’éthyle présente la meilleure activité antioxydante à toutes les concentrations, par rapport aux autres fractions, avec des pourcentages d’inhibition de (62,28±0,01)%; (98,15±0,11)% ; (99,13±0,01)% et (96,75±0,03)% respectivement à 5, 10, 25 et 150 µg/ml. Cette fraction d’acétate d’éthyle présente des pourcentages d’inhibition proches de ceux de la quercétine et de l’acide ascorbique utilisés comme références (98,15±0,11)% vs (98,02±0,05)% ; (94,94±3,69)% et (99,13±0,01)% vs (97,95±0,01)% ; (98,88±0,82)% aux concentrations respectives de 10 µg/ml et 25 µg/ml.
L’extrait éthanolique présente la plus faible activité à la plus faible concentration avec un pourcentage d’inhibition de (54,44±0,05)% à 5 µg/ml contre (62,07±0,02)% ; (58,70±0,03)% ; (61,36±0,06)% et (62,28±0,01)% respectivement pour les fractions aqueuse, hexanique, dichlorométhanique et d’acétate d’éthyle à la même concentration. Cet extrait éthanolique présente également la plus forte activité à la concentration maximale de 150 µg/ml avec un pourcentage d’inhibition de (96,99±0,03)% contre (95,06±0,63)% ; (92,33±0,78)% ; (95,21±0,02)% ; (96,75±0,03)% respectivement pour les fractions aqueuse, hexanique, dichlorométhanique et d’acétate d’éthyle à la même concentration.
La quercétine et l’acide ascorbique, utilisés comme référence, n’ont pas connu de variations significatives de leur pourcentage d’inhibition tout au long du travail. En effet ces deux produits ont des pourcentages d’inhibition de plus de 90% à toutes les concentrations. Cependant, leur meilleure activité antioxydante n’est pas obtenue avec la concentration maximale de 150 µg/ml.
En effet, pour la quercétine, la meilleure activité est obtenue à 10 µg/ml avec un pourcentage d’inhibition de (98,02±0,05)% tandis que l’acide ascorbique a un pourcentage d’inhibition de (98,88±0,82)% à 25 µg/ml.

DISCUSSION

Extraction et fractionnement

Aphania senegalensis

La fraction aqueuse a présenté un rendement plus important par rapport à l’extrait sec éthanolique avec 4,36%. Elle est suivie par la fraction d’acétate d’éthyle avec un rendement deux fois moins important (2,22%). La fraction dichlorométhanique a un rendement de 1,3% qui est légèrement plus important que celui de la fraction hexanique qui est de 0,84%. Cette fraction hexanique est quantitativement la moins importante.
Les fractions aqueuses et d’acétate d’éthyle qui par ailleurs constituent les fractions polaires, représentent au total (6,58%) de l’extrait éthanolique. Par contre, les fractions apolaires (hexanique et dichlorométhanique) constituent (2,14%).
Donc les solvants de fractionnement utilisés semblent extraire plus les principes actifs polaires présents dans l’extrait éthanolique que les principes apolaires.

Saba senegalensis

Concernant les feuilles de Saba senegalensis, le rendement de l’extraction (17,56%) est beaucoup plus important que celui de Aphania senegalensis.
Pour le fractionnement, la phase hexanique présente le meilleur rendement avec (8,9%) par rapport à l’extrait sec éthanolique. Ensuite nous avons les fractions aqueuses et d’acétate d’éthyle qui constituent respectivement 7,2% et 3% de l’extrait sec éthanolique. La fraction dichlorométhanique possède la plus faible proportion avec moins de 1% de l’extrait éthanolique (0,88%).
Nous constatons, comme pour Aphania senegalensis, que la répartition des principes actifs se fait en faveur des solvants polaires (eau et acétate d’éthyle) avec 10,29% des constituants contre 9,78% constitués par les solvants apolaires à savoir hexane et dichlorométhane.

Activité antioxydante

L’activité antioxydante a été étudiée sur des plantes dont on ne dispose pas d’études chimiques approfondies à savoir Aphania senegalensis (feuilles) et Saba senegalensis (feuilles). Néanmoins des groupes phytochimiques présents dans ces parties de plantes ont pu être mis en évidence dans les travaux de Mbengue (2008) et ceux de Barro (2011).
Concernant Aphania senegalensis, ces groupes phytochimiques sont constitués pour l’essentiel par les polyphénols tels que flavonoïdes et tanins.
D’après Remesy et al. (1996), les composés polyphénoliques sont réputés être de bons antioxydants. Ces polyphénols pourraient alors être, en partie responsables de l’activité antioxydante observée sur cette partie de plantes. Des études ont montré que les thés vert et noir ont diverses activités biologiques y compris une activité antioxydante, qui serait due à leur haute teneur en polyphénols (Rechner et al, 2002 ; Campanella et al, 2003).
Ainsi, avec l’ABTS, les PI des deux plantes associées varient de (54,37±0,02)% (fraction aqueuse de Aphania senegalensis à 5 µg/ml) à (99,13±0,01)% (fraction d’acétate d’éthyle de Saba senegalensis à 25 µg/ml). Alors que pour le DPPH, ces mêmes PI varient de (22,20±0,03)% (fraction hexanique de Saba senegalensisà 5 µg/ml) à (91,30±0,08)% (fraction aqueuse de Saba senegalensisà 150 µg/ml). Ces résultats plus importants obtenus avec Saba senegalensispourraient s’expliquer par sa teneur en composants polaires plus élevé. Cela lui confère plus de constituants actifs capables de piégerd’avantage de radicaux libres.
L’oxygène « source de vie », est à l’origine de la production physiologique de radicaux libres (RLO) utiles dans certains métabolismes mais aussi dans la lutte contre certains xénobiotiques (bactéries). En cas de surproduction dépassant les capacités d’élimination de l’organisme, ces RLO s’attaquent aux composantes normales cellulaires telles que les lipides, les protéines et les acides nucléiques entre autres, entrainant le stress oxydatif. Ce stress oxydatif, conséquence d’un déséquilibre entre pro-oxydants et antioxydants dans l’organisme, est maintenant reconnu comme un phénomène clé dans la survenue des maladies chroniques.
Il a été établi que les antioxydants peuvent prévenir le stress oxydatif retrouvé dans la genèse de plusieurs maladies cardiovasculaires (Hertog et al., 1993). Ainsi, l’apport en antioxydants est devenu une nécessité, dés le plus jeune âge, nous préservant ainsi d’un vieillissement prématuré et, surtout nous prévenant de l’apparition de nombreuses maladies (athérosclérose, cancer, etc.).
De nombreux progrès thérapeutiques ont été accomplis ces dernières années notamment avec l’utilisation des spécialités pharmaceutiques.
Malheureusement, ces médicaments sont trop chers, d’où la nécessité de recourir à l’utilisation des plantes médicinales plus accessibles aux populations en Afrique subsaharienne. En effet, d’après l’Organisation Mondiale de la Santé, 80% de la population mondiale a recours à la phytothérapie comme traitement de première intention. Dans les pays industrialisés, l’utilisation des plantes médicinales a connu un essor considérable ces vingt dernières années, conséquence du prix élevé des médicaments de prescription, et d’un regain d’intérêt pour les remèdes naturels.
C’est dans ce contexte que nous nous sommes fixés comme objectif de rechercher la propriété antioxydante des feuilles de deux plantes de la flore Sénégalaise : Aphania senegalensis etSaba senegalensis.
Ainsi, après extraction avec de l’éthanol, le fractionnement est effectué en utilisant des solvants de polarité croissante (hexane, dichlorométhane, acétate d’éthyle, eau).
Les fractions polaires (fraction aqueuse, fraction d’acétate d’éthyle) présentent des rendements totaux de 6,58% pour Aphania senegalensis et 10,29% pour Saba senegalensis. Par contre les fractions apolaires (fraction hexanique, fraction dichlorométhanique) sont de l’ordre de 2,14% pour Aphania senegalensiset 9,78% pour Saba senegalensis.
L’activité antioxydante de l’extrait éthanolique de chaque plante ainsi que ses différentes fractions aqueuse, hexanique, dichlorométhanique, d’acétate d’éthyle est évaluée par la méthode du DPPH et la méthode de l’ABTS. L’acide ascorbique et la quercétine connus pour leur propriété antioxydante sont utilisés comme témoins positifs.
L’addition d’un antioxydant à une solution du radical cation de l’ABTS ou du DPPH entraine une réduction de ce radical et une diminution de l’absorbance qui est mesurée au spectrophotomètre.
Ainsi, à toutes les concentrations testées, les extraits éthanoliques des deux plantes ainsi que leurs différentes fractions présentent une activité antioxydante significative (p<0,05) par les deux méthodes d’études de l’activité antioxydante utilisées.
Comparée aux autres fractions de l’extrait de Saba senegalensis, la fraction d’acétate d’éthyle possède la meilleure activité antioxydante à toutes les concentrations avec l’ABTS. De même, avec le DPPH, cette fraction d’acétate d’éthyle présente la meilleure activité antioxydante aux concentrations de 10 et 25 µg/ml.
Concernant Aphania senegalensis, la fraction dichlorométhanique possède la meilleure activité antioxydante aux concentrations de 10 et 25 µg/ml avec le test ABTS. Par contre avec le DPPH, c’est la fraction d’acétate d’éthyle q ui présente la meilleure activité aux concentrations de 25 et 150 µg/ml.
L’activité antioxydante pourrait être due à la présence de flavonoïdes, de tanins, de saponosides, ou d’alcaloïdes qui sont représentés dans les plantes.
Il demeure alors nécessaire de mener des études ultérieures qui seront orientées vers l’isolement et l’identification des principales molécules impliquées dans cette activité antioxydante surtout au niveau de la fraction d’acétate d’éthyle.
Ainsi, des phytomédicaments standardisés pourraient alors être fabriqués àpartir de ces plantes pour le grand bien des populations démunies.

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Table des matières
INTRODUCTION 
PREMIERE PARTIE : ETUDES BIBLIOGRAPHIQUES
CHAPITRE I : PRESENTATION DES PLANTES ETUDIEES
I-1-Aphania senegalensis
I-1-1-Etude botanique
I-1-1-1-Description botanique
I-1-1-2-Répartition géographique
I-1-2-Etudes réalisées sur la chimie
I-1-3-Etudes pharmacologiques et toxicologiques
I-1-3-1-Propriétés empiriques
I-1-3-2-Propriétés pharmacologiques
I-1-3-3-Propriétés toxicologiques
I-2-Saba senegalensis
I-2-1-Etudes botaniques
I-2-1-1-Description botanique
I-2-1-2-Répartition géographique
I-2-2-Etudes menées sur la chimie
I-2-3-Etudes pharmacologiques et toxicologiques
I-2-3-1-Les feuilles
I-2-3-2-Fruits
I-2-3-3-Racines
I-2-3-4-Le latex
CHAPITRE II : LES DIFFERENTES METHODES D’ETUDE DE L’ACTIVITE ANTIOXYDANTE
II-1-le test ABTS
II-2-le test DPPH
II-3-le test ORAC (Oxygen Radical Absorbance Capacity)
DEUXIEME PARTIE : ETUDE EXPERIMENTALE
CHAPITRE I : MATERIELS ET METHODES
I- MATERIELS ET REACTIF
I-1-Matériel végétal
I-2-Matériels et réactifs utilisés pour l’étude chimique
II-METHODES D’ETUDES
II-1-Extraction et fractionnement
II-1-1-Obtention des extraits éthanoliques
II-1-2-Fractionnement des extraits éthanoliques
II-2-Activité antioxydante
II-2-1-Protocole expérimental du DPPH
II-2-2-Protocole expérimental du test à l’ABTS
II-2-3-Expression des résultats et analyse statistique
CHAPITRE II : RESULTATS ET DISCUSSION
I-RESULTATS
I-1-Extractions et fractionnements
I-1-1- Aphania senegalensis
I-1-2-Saba senegalensis
I-2-Activité antioxydante
I-2-1-Test de l’ABTS
I-2-2-Test du DPPH
II. DISCUSSION
II-1 Extraction et fractionnement
II -1-1 Aphania senegalensis
II -1-2 Saba senegalensis
II -2- Activité antioxydante
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE

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