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Ses environnements :
Les rélations avec les clients et les fournisseurs :
L’entreprise est en relation avec des fournisseurs et des clients, elle effectue des achats auprès des premièrs et des ventes auprès des seconds.
Généralité sur la facture :
La facture est un document établi en deux exemplaires par le fournisseur au moment de la vente ; l’un est remis à l’acheteur , l’autre est g ardé par le vendeur.
Elle mentionne :
l’identité du vendeur et de l’acheteur ;
le détail des marchandises ou services ;
le montant
La facture établie par le vendeur qui indique le détail des marchandises vendues et le décompte du montant net à payer par l’acheteur est le document de base de l’enrégistrement comptable, tant pour l’acheteur que pour le vendeur .
Pour la fabrication de ses produit, la société SOMALAVAL utilise des matières premières dont la majoritée est importée.Puisqu’il y a importation, des relations avec ses fournisseurs étrangèrs sont évidentes,comme :
La Somalaval, c’est aussi un représentant exclusif de la peinture PPG à Madagascar. Notons bien que PPGest une peinture haut de gamme destinéeaux voitures de luxe comme les ferrari, les 4×4…PPGest une société Américaine, mais c’est sa filiale en France qui est le fournisseur de la
PROCHIMAD pour le talc, la calcite …
HOECHST pour le siccatif et les colorants
GALANA pour le white spirit et le petrole
CARTON ELGE pour les cartons
GROUPE CARNAUD pour les fût et bidons
MSM pour les étiquettes
Les réductions de caractère commercial :
Rabais : réduction pratiquée exceptionnellement sur le prix de vente préalablement convenu, pour tenir compte, par exemple, d’un défaut de qualité ou de conformité des objets vendus.
Remises : réductions pratiquées habituellement sur le prixcourant de vente en considération par exemple, de l’importance de la vente ou de la proffession du client et généralement calculées par application d’un pourcentage au prix courant de vente.
Ristournes : réduction de prix calculées sur l’ensemble des pérations faites avec un même tiers , clients ou fournisseurs, pendant une periode détérminée.
Le réduction à caractaire financier :
Escompte de règlement : réduction accordée aux clients qui paient leurs achats avant le terme d’exigibilité.
En cas d’incendie ou d’accident de travail pouvant se produire au sein de la société SOMALAVAL , elle est couverte par l’assurance ARO.
Les rélations de l’entreprise avec l’Etat :
L’Etat est surtout pour toute entreprise un « partenaire »incontournable en tant que puissance puplique, exigeant le versement d’un ceraitn nombre d’impôts.La TVA (Taxe sur la Valeur Ajoutée) frappe la quasi –totalité des opérations effectuées par les entreprises et les autres impôts relevant du compte 63 IMPOTS, TAXES ET VERSEMENT ASSIMILES.
Certain impôts frappent les revenus des individus o u des entreprises : tel est le cas de l’impôt sur les bénéfices des sociétés, de l’impôtsur le revenu des personnes physiques ; impôts directs assis sur des données constantes , revenu ou capital.
D’autres impôts sont « assis » non sur le revenu de s contibuables, mais sur leur dépenses.
On verse, dans le prix du bien ou du service, un impôt ;il s’agit d’un impôt indirect qui passe souvent inaperçu du consommateur qui, cependant, en subit le poids ; la TVA en est la plus importante.
La TVA est supportée par le consommateur final ; l’entreprise est un simple collecteur de la taxe , elle reverse à l’Etat la taxe collectée sous déduction de la taxe récupérable qu’elle a elle-même payée sur ses achats de matière premières, parexemple, et d’une manière générale, sur ses achats de biens et services, et sur ses acquisitions d’immobilisation. La neutralité de cet impôt est assurée, puisque cette dernière reverse la taxe encaissée, et récupère la taxe qui a frappé ses dépenses.
Elle est en contact direct avec le service des contributions indirectes.Un emploiyé de ce service est détaché de façon permanente au sein de la SOMALAVAL pour contrôler son chiffre d’affaires et la TVA correspondante qu’elle doit pa yer à l’Etat. La TVA versée par la société est superieure à celle sur les factures d’achats.
TVA collectée
-TVA déductible
-TVA déductible sur transite
=TVA à payer
Dans le cas contraire, aucun versement ne sera effectué. Mais la SOMALAVAL dispose d’un crédit de TVA dont on tiendra compte dans le calcul de la TVA à payer ulterieurement ans le cas contraire, aucun versement ne sera effectué. Mais, la SOMALAVAL dispose d’un cédit de TVA qui sera tenu compte dans le calcul de la TVA à pay er ultérieurement.
La quasi-totalité des activitées économiques sontoumises à la TVA :
– ventes de biens meubles, prestations de services
– une majorité des activités libérales opérations bancaires et financières
Facturation de la TVA :
Les factures établies par les assujettis à la TVA doivent mentionner :
l e taux de la TVA appliqué,
le montant de laTVA
le prix net des biens ou des services
Le mecanisme assujetti :
Principe :
L’entreprise assujettie :
facture aux clients la TVA sur ventes
mais ne reverse à l’Etat( au service des Contibut ions Indirectes) que la différence entre cette TVA sur ses ventes et laTVA payée sur ses achats de biens et services.
Ce mécanismes justifie l’appellation »Taxe sur laValeur Ajoutée »
Modalités pratiques :
L’entreprise détermine la TVAsur ses ventes (TVA collectée)
Elle retranche la TVA payée par elle sur ses achats de biens et de services, y compris les achats d’immobilisations) (TVA déductible) ,
La différence répresente la « TVAà décaisser »
La somme due au titre d’un mois (par exemple mois de mai) est à payer, selon les entreprises, en moyenne, autour du 22 du mois suivant(juin).Si la différence est négative , l’entreprise qui n’a évidemment rien payé pour le mois considéré, peutreporter cette différence ( crédit d’impôt) sur la ou les déclarations suivantes.
Principe de comptabilisation :
La base de calcul de la TVA (Assiette) est le prix net facturé au client ; c’est donc la somme algébrique :
du prix principal
des compléments de prix et frais accessoires
des reductions de prix
A la différence de la TVA qui ne pèse pas sur les hargesc de l’entreprise , comme il vient d’être vu, les autres impôts sont des charges enregistrées :
-soit dans le niveau « courant » de son activité, au débit du compte 63 impôt, taxes et versements assimilés ;
-soit dans le niveau « exceptionnel », non courant : au débit du compte 67 charges exceptionnelles, et du compte 69 impôt sur les bénéfices.
Les rélations internes :
Ces relations sont nées à partir de l’établissement des factures qui sont elles mêmes déclenchées par l’examination des bon de commande eçus,r et par la création de bons de livraison qui se déroule ainsi :
Après avoir rçu le bon de commande des clients, le service vente établit un bon de livraison en six (6) exemplaires qui vont passer au magasin pour l’enlevement de la marchandise.
Lors de la livraison, ils seront signés par le magasinier, le contrôleur et le réceptionnaire destinataires d’un exemplaire chacun.Les trois exemplaires restants seront remis au service vente pour archive. Ensuite, le service vente établie la facture en sept exemplaires dont les trois exemplaires accompagnés d’un bon de livraison vont être transmis à la Direction pour signature.Le service comptabilité est destinataire d’un exemplaire de la facture qui tiendra lieu de support des écritures comptables dans le journal de vente. En plus, le chiffre d’affaires journalier réalisé par el service vente est transmis au service comptabilitépour la mise à jour de la situation de trésorerie. En cas de rupture de stock, c’est à dire que, la pe inture commandée par un tel client n’existe pas en stock, le service vente doit informer le service production en établissant un imprimé qui contient les « RESTES A LIVRER » pour qu’il y ait production. Du moment où la production est achevée, le produit fini( peinture) va être conditionné dans la section embidonnage.Le produit fini emballé accompagné d’un BON D’ENTREE va être stockéau magasin. Le bon d’entée prouve que la production a été faite et il passera au servicevente pour la mise à jour des stocks dans la machin e.
Organisation de la société :
La Diréction :
La Société Malgache des Laques Valentine est dirigée par un conseil d’ administration composé d’un Directeur général (DG), d’un Directeurd’Administration financier (DAF).Toute décision financière exige l’avis de ces personnes.
Le Directeur général :
Il a pour rôle d’assurer la pérennité et la survie de la société.
Le Dirécteur Administratif et Financier :
Il est chargé de coordonner, contrôler les processus de travail.Il est le centre de toute décision concernant les commandes des produits.
Les ressources humaines :
La gestion des ressources humaines est assurée par le chef personnel de l’entreprise. Son rôle est de superviser, contrôler la gestion admini strative du personnel (effectifs, les mouvements du personnel et leur emploi du temps, dossier individuel, rémunération et charges social).
Le chef personnel est chargé :
– de la gestion de carrière du personnel ( promotion, formation, ancienneté,…)
-de conseiller et d’assister les responsables hiérarchiques des services dans l’application de la gestion du personnel et dans leur rèlation avec les différentes instances représentatives du personnel.
-de veilller aux conditions générales des travaux tede l’application de la legislation sociale.
-d’assurer les rélations avec les organismes sociaux administratifs ( contribution : taxe professionnnelle, carte professionnelle, patente ; D.F.G.E. :Diréction Fiscale de Grandes Entreprises, pour le paiement d’Impôt, reglément de l’état 211 bis ,…).
Le personnel
Le personnel est lié à l’entreprise par un contrat de travail. Du point de vue juridique, ce contrat se caractérise par l’existence d’un lien de subordination entre le salarié et l’employeur, la prestation d’un travail effectif et par une rémunération qui constitue la contrepartie du travail effectif.
Qualité du personnel :
Il faut définir les procédures d’embauche :
définition du besoin du service en personnel,
définition du poste et profil de la personne souhaitée,
méthode de séléction
méthode de recher che de candidature (sur curriculum vitae ou par voie d’appel d’offres)
Suivi du dossier personnel :
Le système de contrôle interne doit permettre de s’ assurer que :
les employés sont regulièrement embauchés et font oujourst partie du personnel.
Le personnel est payé conformement aux décisions dela direction
Le paiements rélatifs aux personnles sont corrèctement comptabil ( primes, heures supplémentaires, charges sociales et revenus, …)
Les dispositions légales en matières de personnel onts respectées( forme, délais des déclarations : CNAPS, OSTIE, IGR)
La création d’un dossier induviduel à chacun comprennant :date d’engagement, montant du salaire, contrat d’engagement, durée d’engagement.
Séparation des tâches :
Opération confiée à des personnes différentes :
relevé des temps et du liste du personnel,
préparation de la paie
remise des paies aux employés
Saisie et distribution de la paie :
La société SOMALAVAL effectue le traitement infomatique de la paie (salaire et appointement, heures supplémentaires,…) en même temps que le calcul des charges sociales et divers retenus sur salaires ( CNAPS, OSTIE, …).Une vérification systématique sera réalisée par le chef comptable ( journal de paie,etats des impôts, états de retenues,…)
Quand le contrat de travail est à durée indéterminée, il prend fin soit sur l’initiative du salarié qui manifeste la volonté de mettre fi au ontratc , soit par l’initiative de l’emploiyeur qui met en évidence une faute grave dans l’accomplissement du travail, ou qui se prévaut d’un licenciement économique.
Quand le contrat est à durée détérminée, il prendormalement fin à l’expiration du délai prévu.
Le compte 64 CHARGES DE PERSONNEL regroupe les rémunérations des dirigeants des sociétés à responsabilité limitée, des sociétés nymesano et des gérants non associés des sociétés en nom collectif. La société SOMALAVAL est parmi ces ociétés anonymes.
Les charges de personnel :
L’entrprise verse au salarié, en contrepatie du travail effectué, une rémunération brute qui comprend :
un salaire de base,
Indemnités
certaines primes
éventuellement des avantages en nature
des heures supplémentaires.
Cet ensemble constitue la base de calcul des cotisations sociales salariales.
Celles-ci sont versées à l’OSIE ou à la CNaPS direc tement par l’employeur. Le salarié perçoit une rémunération nette.
Les salaires :
Le salaire est le nom par lequel le droit désigne la rémunération versée au personnel.Dans le vocabulaire courant, on désigne toutefois :
Par salaires : les rémunérations des ouvriers, payées parfois chaque quinzaine, et exceptionnellement, chaque semaine ou chaque journée, mais de plus en plus « mensualisées » ;
Par appointements : les rémunérations des employéset des cadres, payés mensuellement.
Eléments au paie :
Salaire de base
Primes ( d’ ancienneté, interessement, assuidité, de productivité)
Heures supplémentaires
Indemnité de congée
Retenues sur les salaires (avance quinzaine, CNAPS, I.R.S.A., ACOMPTE , OPPOSITION )
* La prime d’ancienneté se calcule en fonction de de la date d’entrée et de la durée de travail.
La prime d’interessement dépent du chiffre d’affaires du mois passé .
Exemple : la prime du mois de mai se calcul en fonction du chiffre d’affaires du mois d’avril.
Elle est à 3°/.. du chiffres d’affaires. La repartition dépend de chaque catégorie professionnelle, de l’ancienneté.
La prime de productivité est obténue du nombre de jour de travail effectuépar un travailleur sur 5 jours ouvrables ( nombre de jour travailé – nombre d’absence).
Simple agent : 700 Ar agent de maîtrise : 1000 Ar x nbre de jour travaillé
La demande de permission , absence pour sortie en cas de maladie, etc… sont pris en compte pour le calcul de cette prime.
Définition de l’offre :
c’est l’ensemble des entreprises qui proposent aux consommateurs des produits identiques, substituables et même complémentaires dans le cadredu marché d’un produit détérminé.Chaque entreprise sur un marché donné va donc pouvoir êtrecomparée aux autres entreprises du marché de deux façons :La société face à ses concurrents : quantitativement(structure du marché, évolution dela part du marché, évolution des ventes). qualitativement( image, positionnement).
La position concurrentielle de l’entreprise expliquée de façon quantitative :
Connaître la structure du marché :
La structure du marché se détermine selon le nombred’entreprise en concurrence sur le marché.La société SOMALAVAL a beaucoup d’entreprise concurrentes si l’on parle.
Calculer la part du marché d’une entreprise :
La part du marché, ce sont les ventes réalisées parune entreprise sur un marché donné par rapport au total des ventes de ce marché. La plupart est exprimée en pourcentage.
Elle peut se calculer en volume( poids, articles…) ou en valeur ( unité monétaire).
Elle se calcule de la façon suivante :
Part de marché en volume = vente en volume de l’entreprise / vente en volume de l’ensemble du marché
Part de marché en valeur = chiffre d’affaires de l’entreprise/ chiffre d’affaires de l’ensemble du marché
Le calcul de la part du marché permettra de déterminer la position concurrentielle de l’entreprise sur un marché.
L’entreprise sera :
Chef de file (leader) si elle detient la part de marché la plus importante.
Prétendant (challenger)si elle detient une part de marché suffisament importante pour envisager de prendre la place du chef de file à court ou moyen terme.
Suiveur si elle détient une faible part de marché et ne peut que s’adapter aux évolutions du marché ou aux décisions prises par s econcurrents.
Pour les peintures de toutes series la société SOMALAVAL détient encore la part de marché la plus importante vu la qualité de ses produits.
Mesurer l’évolution des ventes d’une entreprise :3
Il s’agit de mesurer sur une periode donnée l’évolution positive ou négative des ventes ( en volume ou en valeur de l’entreprise.
Le taux d’évolution ou d’accroissement se calcul de la façon suivante : Taux d’évolution =(ventes Année 2 – Ventes Année 1)/ Ventes Année 1×001
Ce taux permettra de situer l’évolution des ventes de l’entreprise par rapport à ses concurrents et par rapport au marché.
Déterminer la notoriété de l’entreprise :
Il s’agit de mesurer le degré de reconnaissance de l’entreprise par le public, c’est à dire de déterminer le nombre de personnes connaissant l’entreprise.
On obtient le taux de notoriété de la façon suivante : Taux de notoriété =Nombre de personnes connaissant l’entreprise / Nombre de personnes interrogées.
On peut distinguer :
la notoriété spontanée:elle est obtenue à la suite d’un sondage. La per sonne interrogée cite l’entreprise après un temps de réflexion.
la notoriété assiette: elle est obtenue à la suite d’un sondage. La per sonne interrogée choisit les entreprises qu’elle connaît dans une liste.
La position concurrentielle de l’entreprise expliquée de façon qualitative :
Les entreprises en concurrence peuvent être caractérisées par des informations qualitatives telles que l’image de marque ou le positionnement de l’entreprise.Il s’agira de déterminer la percEption du consommateur par rapport à l’entrepri se.
Définition de l’image:
C’est l’ensemble des traits de personnalité d’une entreprise. Elle se compose de caractères objectifs ( performances techniques, robustesse…) o u de caractères subjectifs( luxe, beauté…) attribués par les consommateurs.
L’image de marque sera alors perçue comme positive, négative ou neutre dans l’esprit du consommateur.
Définition du positionnement :
C’est l’actions visant à personnaliser dans l’éspri t du consommateur un produit ou une marque par rapport aux cocurrents.
L’action des distributeurs :
Définition de la distribution: c’est l’ensemble des activitées réalisées pour menera le produit du fabricant au consommateur final.
Alors , pourquoi parler d’influence des distributeurs ?
Tout simplement parce que leur position est centrale, ces distributeurs sont le point de jonction entre les producteurs et les consommateurs. En effet, les distributeurs peuvent choisir leurs fabricants pour diminuer le coût d’achat des marchandises.
Les distributeurs peuvent également attirer le consommateur pour accroître le chiffre d’affaires.
L’influence des distributeurs sur les producteurs :
Les distributeurs vont chercher à influencer les pr oducteurs à l’aide des variables d’influence suivantes :
le prix ( en cherchant à obtenir les prix les plus intéressants et à obténir des budgets de référencement).
les délais de paiement ( en cherchant à obtenir les delais les plus longs qui est de 90 jours ).
les délais de livraison ( en limitant les stocks eten évitant les ruptures ).
Pendant longtemps, il a été difficile de parler derelations, voire même d’influence. Les rapports entre les producteurs et les distributeurs ont été fondés sur des rapports de force.
Ajourd’hui, la tendance se traduit par des actions conjointes de collaboration ou bien encore par des échanges d’informations.
L’influence des distributeurs sur les clients :
Les distributeurs influencent leurs clients par le marchandisage en point de vente et également par l’image qu’ils véhiculent.
Le marchandisage :
Définition :Le marchandisage est un ensemble d’études et de techniques d’application mise en œuvre, séparément ou conjointement par les distributeurs et les producteurs, en vue d’accroître la rentabilité du point de vente et l’écoulement des produits par une adaptation permanente de l’assortiment aux besoins du marché, et par la présentation apropriée des marchandises.
Quelle est alors l’utilité du marchandisage pour les producteurs, les distributeurs et les consommateurs ?
Producteurs : obtenir le référencement le plus large, l’emplacement le plus visible permettant de dégager un chiffre d’affaires et pérenniser le produit en fidélisant les distributeurs.
Distributeurs : fidéliser les consommateurs, obtenir le plus largeassortiment, le taux de rotation des stocks le plus rapide permettant de dégager un chiffre d’affaires.
Consommateurs : obtenir des gains de temps et des articles toujours disponibles.
L’image :
Le distributeur inflience le consommateur par son image de prix bas ou de qualité, ou encore par son action en matière de services.
Sa place au niveau de la thechnologie moederne :
Le développement rapide de l’informatique entraîne une transformation importante des tâches comptables. L’analyse des documents, l’imput ation demeure la seule tâche comptable du processus. Elle se fait de plus en plus sous forme de bordereau d’imputation. Le système comptable utilisé par les logiciels CIELCOMPTA, ORDICOMPTA est le système centralisateur. Le travail de saisie des bordereaux d’imputation dans les journaux divisionnaires est le plus souvent confié à un opérateur de saisie n’ayant pas nécessairement de onnaissances en comptabilité.
Les reports dans les comptes sont automatiques. Les document périodiques : balance, compte de résultat ou bilan sont aussi obtenus automatiquement.
Les progiciels comportent également :
Une partie paie qui automatise les opérations de calcul des salaires ; l’édition des documents relatifs à la paie et les enregistrements comptables correspondants ;
Une partie gestion qui automatise la production des factures de ventes et les enregistrements comptables correspondants ;
Le rapport de stage ou le pfe est un document d’analyse, de synthèse et d’évaluation de votre apprentissage, c’est pour cela chatpfe.com propose le téléchargement des modèles complet de projet de fin d’étude, rapport de stage, mémoire, pfe, thèse, pour connaître la méthodologie à avoir et savoir comment construire les parties d’un projet de fin d’étude.
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Table des matières
INTRODUCTION
PARTIE I CADRE D’ETUDE ET METHODOLOGIE
Chapitre 1 PRESENTATION ET ORGANISATION DE L’ENTREPRISE
SECTION 1 – HISTORIQUE,PRESENTATION GENERALE DE LA SOCIETE MALGACHE DES LAQUES VALENTINE, LES ACTIVITES ET ENVITRONNEMENT
§1-Historique:
1.1-Présentation générale de la société malgache des laques valentine
1.2- Ses activités
§2- Ses environnements
2.1-Les rélations avec les clients et les fournisseurs
2.1.1- Généralité sur la facture
2.1.2- Les réductions de caractère commercial
2.2-Les rélations de l’entreprise avec l’Etat
2.2.1- Facturation de la TVA
2.2.2- Le mecanisme assujettie
2.3-Les rélations internes
§3-Organisation de la société
3.1- La Diréction
3.2- Le Dirécteur général
3.3- Le Drécteur Administratif et Financier
3.4- Les ressources humaines
3.4.1- Le chef personnel est chargé
3.4.2- Le personnel
3.4.2.1- Qualité du personnel
3.4.2.2- Suivi du dossier personnel
3.4.3- Séparation des tâches
3.4.3.1.- Saisie et distribution de la paie
3.4.3.2- Les charges de personnel
3.4.3.3- les salaires:
3.4.3.4- Eléments au paie:
3.4.3.5- Le paiement du salaire:
3.5- Organigramme de la société
SECTION 2 LES OBJECTIFS DE L’ENTREPRISE
§1- Faits, situation, analyse interne
1.1- Les objectifs
1.2-Les motivations:
§2-Définition de l’OFFRE:
2.1- La position concurrentielle de l’entreprise expliquée de façon quantitative
2.1.1-Connaître la structure du marché
2.1.2- Calculer la part du marché d’une entreprise
2.1.3- Mesurer l’évolution des vents d’une entreprise
2.1.4- Déterminer la notoriété de l’entreprise
§3- La position concurrentielle de l’entreprise expliquée de la façon qualitative
3.1- Définition de l’image:
3.2- Définition du positionnement
3.3- L’action des distributeurs
3.4- L’influence des distributeurs sur les producteurs
3.5- L’influence des distributeur ssur les clients
3.5.1- Le marchandisage
3.5.2-L’image
3.6- SA PLACE AU NIVEAU DE LA TECHNOLOGIE MODERNE
Chapitre 2 TECHNOLOGIE DE PRODUCTION
SECTION 1- LE PROCESSUS DE FABRICATION; LES MATERIEL UTILISES EN USINE ET
SA GESTION DE STOCK
§1- Le processus gestionnaire ;
1.1- Les fiches d’inventaire ;
1.1.1- La feuille de fabrication
1.1.2- Nécessité de la feuillle de fabrication
1.2- La fiche de stock
1.3- Les commandes
1.4- Les achats
1.4.1- Achat local
1.4.2- Les achats à l’exterieur
1.4.3- La tenue du stock
§2- Les produits existants
2.1- L’adéquation du produit au besoin
2.2- Distinction entre produits tangibles et services
2.3- Cassification usielle des produits
2.3.1-Les composantes de la qualité
2.3.1.1- Définition
2.3.1.2- Les moyens de reconnaissance des composantes subjectif de la qualite
2.3.2- L’importance de la qualité
SECTION 2- IDENTIFICATION DE LEUR PRODUITS
§1- La gamme:
1.1- Notion de la gamme
1.2- Le rôle des produits au sein d’une gamme
SECTION 2- FIXATION DU PRIX D’UN PRODUIT EN TENANT COMPTE DU COUT DE REVIENT
§1- La rentabilité d’un produit à un prix donné en tenant compte des charges fixes et des charges variables
1.1- Le compte de résulat différentiel
§2- Le service vente
2.1- Procédure de traitement de la commande client
2.1.1- La collecte ou réception des commandes
2.1.2- Examen critique de la commande
2.1.3- Exécution de la commande
2.1.4- Passation de commande interne
2.1.5- Suivie des commandes
2.1.6- La preparation des commandes à livrer
2.1.7- La livraison et l’expédition
2.1.8- La facturation
2.1.9- Le contrôle
2.1.10- Le travail mensuel
§3- La distribution
3.1- La distribution contrôlée
3.1.1-La distribution sélective
3.1.2- Le franchisage
3.1.3- La distribution agrée
3.2- Les composantes d’un réseau de distribution
Chapitre 3: LES SERVICES COMPTABLE ET FINANCIER INDISPENSABLE POUR LE BON FONCTIONNEMENT D’UNE ENTREPRISE PRODUCTRICE
SECTION 1- LA COMPTABILITE PROPREMENT DITE
§1- Introduction
§2- Définition de la comptabilité
§3- Les différents types de comptabilité
§4- Rôle et necéssité de la comptabilité
SECTION 2- LA PROCEDURE COMPTABLE D’UNE ENTREPRISE PRODUCTRICE
§1- Le travail d’un comptable
§2- Les systemes d’organisation comptale
2.1- Le système classique
2.2- Le système centralisateur
§3- Les différentes pièces réçues aux services comptabilités
PARTIE II ANALYSE DU SYSTEME COMPTABLE ET FINANCIER DE LA SOCIETE SOMALAVAL
CHAPITRE 1- LE MODE DE TRAITEMENT DES PIECES REÇUES AU SERVICE COMPTABILITE
SECTION1-TRAITEMENT DES FACTURES:
§1- Traitement des factures De Vente
§2- Traitement des factures d’achat
2.1- Le circuit des pièces
2.2- Type des achats et son comptabilisation
§3- Les pièces de caisse ( pour Tamatave et Tananarive)
§4- Les pièces de banque
4.1- Principes comptables operations bancaires
4.1.1- Encaissement de chèques
4.1.2- Emission de chèques
4.1.3- Les virements reçus
4.1.4- Les virements émis
4.1.5- Les traites divers:
4.1.6- Les effets à recevoir
4.1.7- Les effet à payer
4.1.8- Les effets remise à l’escompte
4.1.9- Effet remise à l’encaissement
4.1.10- Les crédits et remises documentaires- comission et frais correspondant
4.1.11- Les amortissements et interêt de rétard
4.1.12- Les immobilisations
SECTION 2 – LES TACHES JOURNALIERES ET PERIODIQUES DU SERVICE FINANCIER
§1- Journalièrement
1.1- La création des effets commerciaux
1.1.1- Utilisation des effets de commerce
1.2- La gestion des effets en portefeuille
1.3- La gestion des chèques
1.3.1- Le versement de chèques
1.3.2- L’émission de chèques
1.3.3 – La gestion des effets à payer
§2- Periodiquement
2.1- L’établissement des relevés des distributeurs
2.2- La tenue d’un échéancier des fournisseurs divers
2.3- Le règlement des fournisseurs de l’état ou autres créditeurs
2.4- L’établissement de notes de débit
2.5- La souscription d’assurances maritimes
2.6- Le prix de revient des matières premières importées
2.7- La declaration d’existance des marchandises en stock
2.8- La rélance des « clients directs »
2.9- L’interêt de rétard
Chapitre2 LE SYSTEME D’ELABORATION DE LA COMPTABILITE ANALYTIQUE D’EXPLOITATON
SECTION 1 – LES DIFFERENCE ENTRE LA COMPTABILITE FINANCIERE ET LA COMPTABILITE ANALYTIQUE
SECTION 2- DEFINITION , ORGANISATION, BUTS ET OBJECTIFS PRINCIPALES DE LA COMPTABILITE ANALYTIQUE D’EXPLOITATION:
§1- Définition
§2- Moyen et objet de la comptabilité analytique
2.1- S’appuie sur des supports d’ordre technique qu’ignore la comptabité générale
2.2- Collecte la plupart des informations
2.3- Apour but premir la détermination juridique
2.4 Constitue donc un outil permettant
2.4.1- Les flux d’exploitation
2.4.2 – Première approche entreprise sans stocks
2.4.3- Cas des entreprises commerciales
2.4.4- Cas des entreprises industrielles
2.4.5- Les éléments stockables
§3- Adaptation aux multiples activités de l’entreprise
3.1- L’oraganisation de la comptabilité analytique d’exploitation
3.2- Classification fonctionnelle des sous- système
SECTION 3- LE ROLE DE CALCUL DES DIFFERENTS COUTS
§1- Définition
§2- Rôle de calcul d’un coût
§3- Différents types de coûts
3.1- Les coûts directs
3.1.1- Définition
3.1.2- La détermination des coûts
SECTION 4- LES CHARGES , ELEMENTS CONSTITUTIFS DES COUTS
§1- Etude des charges de comptabilité générale incorporables
SECTION 5 – ETUDE DES CHARGES DE COMPTA GENERALE, DES ELEMENTS SUPPLETIFS, CHARGES INCORPORABLES, CHARGES INDIRECTES
§1- Les charges de la comptabilité générale:
1.1- Certaines charges entrent dans le calcul des coûts
1.2- Charges de la comptabilité générale exclues en totalité du calcul des coûts
1.3 – Charges inclueses dans le calcul des coûts pour un montant autre que celui qui figure dans la comptabilité générale
1.4 – La différence d’incorporation sur amortissements
1.5 – La différences d’incorporation sur provision
1.6- La différences d’incorporation sur autres charges
§2- Les charges supplétives en comptabilité analytique
2.1- La différence d’incorporation sur rémunération de l’exploitant
2.2- La différence de rémunération des capitaux propres
2.3- Conséquences résultant de cette possibilité de traitement des données
2.3.1- Quant aux décisions à prendre
2.3.2- Quant aux montants des coûts et des résultats
§3- Les charges incorporables
§4- L’examen des charges
§5- Le cheminement des charges vers les coûts
5.1- Cas de charges directes
5.2- Cas des charges indirectes
§6- Des centres d’analyse aux coûts
6.1- Le traitement des charges indirectes
6.2- Le centre d’analyse
6.2.1- Définition de centre d’analyse
6.2.2- Classification des centres d’analyses
6.2.3- Les clés de répartion
6.2.3.1- Les unités de mesure du coût des centres d’analyse
6.2.3.2- Le choix des unités d’œuvre
6.2.3.3- Détermination du coût de l’unité d’œuvre
6.2.3.4- Evaluation des cessions aux centres d’analyse récepteurs ou aux coûts récepteurs
6.3- Le calcul du coût des centres d’analyse et fractionnement de ce coût
chapitre 3 LES DIFFERENTS COUTS, STOCKS ET LES RESULTATS
SECTION 1- LE COUT D’ACHAT, LES STOCKS DE MATIERES ET APPROVISIONNEMENTS1- Les articles approvisionnes
§2- Le coût d’achat
§3- Les sotcks des matières emières et approvisionnements:
3.1-Classification des éléments stockables
3.1.1- Les marchandisses
3.1.2- Les approvisionnements
3.1.3- Les matières première ( et fournitures )
3.1.4- Les matières consommables (et fournitures )
3.1.5- Les emballages commerciaux
3.1.6- Les matières et fournitures d’emballages
3.2- En aval du processus d’exploitation
3.3-Valeur relative de cette classification
3.4- L’inventaire permanent
3.4.1- L’inventaire permanent en quantités
3.4.1.1- Documents de base
3.4.1.2- Feuille de stock ( ou fiche de stock)
3.4.2- Inventaire permanent en valeurs
3.4.2.1- Valorisation du stock initial ( ou stock reporté)
3.4.2.2- Valorisation des entrées
3.4.2.3- Valorisation des sorties
SECTION 2- LE COUT DE PRODUCTION , LES STOCKS DE PRODUITS FINIS
§1- Cas général
§2- Les produits obtenus dans un processus industriel
2.1-Produits intermédiaires (produits semi-finis ou produits semi-ouvrés):
2.2- Produit intermédiaires
2.3- Les productions en cours
SECTION 3 – LE COUT DE REVIENT
§1- Définition
§2- Structure
2.1- Le coût des articles vendus
2.2- Le coût de distribution
2.2.1- Définition
2.2.2- La qoute-part des coûts de structure
SECTION 4- LES RESULTATS ANALYTIQUE ET LE RESULTAT GENERAL
§1- Le résultat analytique
§2- Le résultat général
2.1- Les causes de non concordance
2.2- Le regroupement des éléments de non concordance
2.3- La concordance entre le résultat analytique et le résultat général .
SECTION 5 – LES ANALYSES DIFFERENTIELLES DE L’EXPLOITATION
§1- L’analyse des charges par variabilité
1.1-Classification des charges
1.1.1- Charges opérationnelles ou variables
1.1.2- Charges de structure ou fixes
1.1.3- Charges mixtes ou semi-variables
1.2- L’analyse différentielle
1.2.1- Le coût variable
1.2.2- La marge sur coût variable
1.2.3- Tableau d’exploitation différentiel
§2- Le seuil de rentabilité
2.1- Définition
2.2- Détermination du seuil de rentabilité
2.1.2- Dexième approche
2.1.3- Troisième approche
§3- Le point mort
3.1- L’activité est régulière
3.2- L’activité est irrégulière
3.3- Amélioration du seuil de rentabilité
3.3.1- En cas de variation des charges de structure
3.3.2- En cas de variation du taux de MSCV
3.4- La marge et l’indice de sécurité
Chapitre4 EXEMPLE D’ANALYSE CRITIQUE DETAILLEE D’UN PRODUIT « VALENITE BLANC » DE LA SOCIETE SOMALAVAL
SECTION 1 – ETUDE SUR LA REALITE DE L’EXERCICE MOIS D’AVRIL 2007
1- Stock initiaux:
2- Achats du mois:
3- Consommation des matières:
4- Main d’œuvre directe:
5- Production du mois d’Avril:
6- Ventes du mois d’Avril:
SECTION 2 – CALCUL DU RESULTAT SELON LA PRINCIPE DE LA COMPTABILITE ANALYTIQUE D’EXPLOITATION
2- Inventaire permanant des matières premières:
3- Coût de production des produits finis:
4- Coût de production des produits finis conditionnés:
5- Inventaire permanant des produits finis:
6- Prix de revient:
7- Resultat analytique:
CONCLUSION
ANNEXES
LISTES DES TABLEAUX ,GRAPHIQUES
BIBLIOGRAPHIE
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