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Le diaphragme et cape cervicale :
Le diaphragme est une barrière flexible en caoutchouc ou en matière plastique conçue pour s’adapter parfaitement au col de l’utérus.
Le diaphragme est une membrane en silicone ronde et concave tendue sur un ressort circulaire. Il est placé dans le vagin avant les rapports sexuels pour recouvrir le col de l’utérus.
C’est une cupule en silicone. Elle est placée au fond du vagin avant les rapports sexuels pour couvrir le col de l’utérus comme un dé à coudre.
Ils sont à utiliser avec des spermicides.
Ils empêchent le sperme de pénétrer dans le col de l’utérus.
Les différents types :
Les capes et les diaphragmes peuvent être en silicone ou en caoutchouc.
Il ya différente taille de diaphragme :
Des diaphragmes de 60 à 90 mn de diamètre.
Les plus courants sont entre 65 et 80 mn.
Il ya deux tailles de cape :
Une petite pour les nullipares (les femmes n’ayant jamais eu d’enfants) Et une grande taille pour les primipares (premier enfant) et les multipares (plusieurs enfants)
Mode d’emploi des capes et des diaphragmes :
L’utilisation des capes cervicales est à rapprocher de celle du diaphragme.
1. Le choix de la taille est évalué par le médecin ou la sage-femme.
2. C’est le médecin ou la sage-femme qui aide la femme à savoir placer le diaphragme ou la cape cervicale.
3. Ils s’introduisent pliées au fond du vagin afin de recouvrir le col, juste avant le rapport sexuel ou au maximum 4 heures avant.
4. Mettre une crème spermicide à l’intérieur du diaphragme ou de la cape avant de l’introduire.
Ils se retirent :
En tirant doucement avec l’index en crochet, légèrement sur le côté 4 à 8 heures (selon le spermicide utilisé) après le dernier rapport sexuel.
La cape cervicale :
Elle se retire très simplement en tirant avec un doigt sur l’anse de la cape, au minimum 6 heures après le dernier rapport sexuel et jusqu’à 3 jours consécutifs sans rajouter de spermicide quel que soit le nombre de rapports sexuels.
Efficacité :
S’ils sont correctement utilisés et à tous les rapports sexuels, leur efficacité est supérieure à celle des spermicides seuls. Cette efficacité est équivalente à celle des préservatifs masculins.
Obtention du diaphragme et de la cape cervicale :
L’obtention se fait sur prescription d’une sage-femme ou d’un médecin gynécologue.
Avantage :
C’est la méthode vaginale de contraception la plus fiable.
Peu onéreuse ;
Pas de contre-indication médicale ;
Pas de risque pour la santé ;
Peut être placé discrètement à l’avance ;
Diminue le risque du cancer du col de l’utérus ;
Immédiatement réversible.
Inconvénients :
Le taux d’échec est élevé le diaphragme ou la cape cervicale sont mal utilisés.
Leur mise en place nécessite un apprentissage avec un médecin ou une sage-femme.
Le spermicide peut couler de façon excessive.
Le diaphragme et la cape cervicale sont encombrants.
Le stérilet ou le Dispositif Intra-utérin(DIU) :
Le dispositif intra-utérin (DIU) est un dispositif en matière plastique en forme de T qui est inséré dans l’utérus. L’insertion d’un stérilet est une procédure simple qui s’effectue dans le cabinet du médecin. Le stérilet est muni d’un petit fil qui pend de l’utérus jusqu’au vagin, ce qui permet à la femme de s’assurer qu’il est bien en place après chaque période menstruelle Le DIU doit être prescrit par un médecin.
Mécanisme d’action :
Le lévonorgestrel qui est contenu dans le stérilet exerce un effet contraceptif à trois niveaux :
Il ralentit l’épaississement de l’endomètre
Il épaissit la glaire cervicale empêchant le passage des spermatozoïdes.
Il prévient l’ovulation (libération de l’ovule) chez certaines femmes.
Efficacité :
Son efficacité contraceptive est comparable à celle des pilules oestroprogestatives. Elle se manifeste dès l’insertion et pendant 5 ans. Cet effet est rapidement dès le retrait.
Avantage :
Les règles ou menstruations : la plupart des femmes ont de petits saignements en dehors de la période des règles, les 3 à 6 premiers mois.
En général le volume et la durée des règles diminuent au fil du temps et un an après l’insertion, une femme sur 5 n’a plus de règles. Ceci est un phénomène normal lié à l’action locale du lévonorgestrel sur l’endomètre et sans danger pour la santé.
C’est une méthode réversible dès l’arrêt.
Inconvénients :
Des effets indésirables peuvent subvenir dans les premiers mois et disparaissent dans la majorité des cas. Ces effets indésirables sont :
Problèmes menstruels
Douleurs abdominales
Acné ou autres problèmes cutanés
Douleurs dorsales
Mastodynies
Céphalées
Dépression
Nausées
Œdème.
Contre-indications :
C’est une méthode contre-indiquée en cas de :
D’infection génitale
D’affection hépatique aigue
De thrombophlébite évolutive ou thrombo-embolie
L’implant contraceptif :
L’implant contraceptif est un système contraceptif délivré sous ordonnance qui consiste en six petits bâtonnets flexibles (2 bâtonnets au Sénégal) contenant une hormone synthétique. L’insertion des bâtonnets sous la peau se fait au moyen d’une intervention chirurgicale sous anesthésie locale dans le cabinet d’un médecin. Ces bâtonnets restent en place pendant longtemps (5 ans au maximum) et peuvent être retirés à tout moment au moyen d’une intervention chirurgicale.
Composition :
Les implants contraceptifs ou norplants actuellement disponibles se présentent sous la forme de bâtonnets de Silastic implantées dans le tissu sous-cutané du bras. Il s’agit d’un système non biodégradable comprenant deux six bâtonnets de 3cm de long contenant des cristaux de L-norgestrel. Il délivre une très faible dose de progestatif et reste efficace pendant 5 ans.
Mode d’action :
Le L-norgestrel est libéré par diffusion à travers les bâtonnets à un taux de 50µg/jour durant les douze premiers mois d’utilisation. Pendant les années qui suivent, le taux va baisser à 30µg/jour et se maintenir jusqu’à la fin de vie de l’implant. Son action s’exerce à trois niveaux.
Sur la fonction ovarienne, par suppression du pic de LH,
Sur la glaire cervicale,
Sur l’endomètre qui devient impropre à la nidation.
Effets secondaires :
Des troubles du cycle et des règles constituent les principaux inconvénients de la méthode. D’autres effets secondaires peuvent être observés :
Infection locale à la pause et au retrait de l’implant,
Prurit au niveau du site de l’implant,
Céphalées,
Nervosité,
Nausées,
Vertiges,
Prise de poids,
Douleurs mammaires.
Certains médicaments peuvent affecter le métabolisme du Norplant et donc diminuer son efficacité (la rifampicine, les barbituriques, la phénytoïne, la phénylbutazone, les anti-inflammatoires non stéroïdiens).
L’anneau contraceptif :
C’est un anneau de 54 mm de diamètre et 4 mm de section. Il délivre une association oestroprogestative de troisième génération comme une pilule à microgrammes. Par jour l’anneau délivre :
Ethinylestradiol : 15 microgrammes
Etonogestrel : 120 microgrammes
Mécanisme d’action de l’anneau
Il agit comme la pilule en bloquant l’ovulation et en modifiant la glaire cervicale.
Avantage :
Mise en place et retrait facile
Meilleure observance qu’avec la pilule
Moins de risques d’oubli
LES METHODES CHIMIQUES :
Les progestatifs injectables :
Composition :
Il s’agit en général de progestatifs à effets retard, utilisés en injection intramusculaire. Les plus connus sont :
L’acétate de médroxy-progestérone (DEPO-PROVERA*)
L’énanthate de noréthistérone (NORISTERAT*) administré à raison de 200mg tous les 2 mois pendant les 6 premiers mois, puis tous les 3 mois.
Remarque : Les contraceptifs injectables ont un taux d’échec très faible (1% années/femmes) si les injections sont faites à temps.
Mode d’action :
Le mode d’action des progestatifs injectables est pratiquement identique à celui des contraceptifs oraux :
L’ovulation est supprimée par inhibition de la sécrétion de gonadotrophines au niveau hypophysaire et par le blocage de l’axe hypothalamo-hypophyso-gonadique ;
L’endomètre est rendu impropre à la nidation
La glaire cervicale devient imperméable aux spermatozoïdes.
Effets secondaires :
Les troubles du cycle constituent le principal inconvénient de cette méthode. L’aménorrhée est fréquente (80% des femmes au bout d’un an). Des saignements (spotting ou hémorragie) s’observent toujours en début du traitement. Après arrêt de la méthode, le retour à la fécondité se fait plus tardivement qu’avec les autres méthodes.
La prise de poids, les maux de tête, la nervosité et les changements d’humeur peuvent également être observés.
Les spermicides :
Ils sont introduits au fond du vagin avant le rapport sexuel. Le spermicide se dissout et se disperse dans le vagin et immobilise les spermatozoïdes.
Ces spermicides sont plus souvent des ammoniums quaternaires tels que le Benzalkonium et le Benzéthonium. Ils se présentent sous la forme de :
Le gel
La mousse
La crème
L’ovule
Leurs utilisations nécessitent quelques précautions :
Eviter une toilette intime à l’eau savonneuse entre deux rapports sexuels car le savon inactive les spermatozoïdes.
Appliquer ces spermicides avant chaque rapport sexuel.
Les éponges contraceptives :
Ces produits se présentent sous forme de petites éponges de polyuréthane en forme de coussinet qui contient un gramme de spermicide.
L’éponge est disponible en une seule taille et sans ordonnance. Avant son utilisation, l’éponge est humidifiée avec de l’eau ordinaire, et introduite profondément au fond du vagin. Elle exerce son effet contraceptif en fournissant une barrière entre le sperme et le col de l’utérus, et en libérant le spermicide. L’éponge assure une protection de 24 heures et elle est jetée après usage.
Les pilules ou les contraceptifs oraux :
Ces pilules sont de trois types :
Les préparations associées : elles renferment un œstrogène et un progestatif administré en proportion et en quantité constante pendant 20, 21, ou 22 jours suivis d’un intervalle sans médication pendant lequel se produit l’hémorragie utérine.
Les préparations séquentielles : elles comportent un œstrogène seul, administré au cours de la première moitié du cycle, et une association d’oestroprogestative, administré du septième ou du quinzième jour jusqu’au vingt et deuxième jour.
Les préparations continues : Il s’agit de prendre quotidiennement, sans interruption, et à faible dose, un progestatif seul. L’effet contraceptif est assuré par l’action du progestatif sur l’endomètre. (Atrophie, coagulation de la glaire).
Différentes formes de contraception orale
La contraception orale combinée :
Elle est de loin la plus utilisée. Elle associe un œstrogène l’Ethinylestradiol, et un progestatif le plus souvent dérivé de la Nor 19 Testostérone qui peut être le norgestrel ou le lévonorgestrel.
On distingue quatre groupes :
Les pilules combinées monophasiques classiques ou œstroprogestatifs normo dosés :
Tous les comprimés sont identiques, œstrogène et progestatif dosés dans les mêmes proportions, l’œstrogène est dosé à 50 µg, seul varie le dosage du progestatif utilisé [22].
Les œstroprogestatifs minidosés ou mini pilules :
Les pilules combinées monophasiques :
Elles contiennent entre 30 et 37.5 µg d’œstrogènes. Ceci est considéré actuellement comme la dose minimale pour bloquer l’ovulation. Le progestatif varie suivant la pilule.
Exemple : MINIDRIL* qui est composé de 0.15mg de lévonorgestrel et 0.03mg d’ethinylestradiol
STEDIRIL* qui est composé de 0.15mg de norgestrel et 0.15mg d’ethinylestradiol.
Les pilules combinées biphasiques :
Elles ont été conçues pour supprimer les petits saignements apparaissant avant la fin de la plaquette. Au cours du palier on augmente le dosage, soit du progestatif et de l’œstrogène.
Exemple : ADEPAL* qui est constitué de 0.15mg lévonorgestrel et 0.03mg de d’ethinylestradiol pour les 7 premiers comprimés. Et de 0.20mg de lévonorgestrel contre 0..4mg d’ethinylestradiol pour les 14 comprimés restants.
Les pilules combinées trphasiques :
Appelées pilules de troisième génération, elles améliorent la tolérance en essayant de rappeler les modifications du cycle physiologique. La dose totale d’œstrogène par cycle est inférieure à celle des pilules monophasiques classiques. La dose de progestatif est augmentée lors des paliers. Exemple : TRINORDIOL*qui est composé de 0.05mg de lévonorgestrel et de 0.03mg d’ethinylestradiol. Pour les 5 premiers comprimés, ensuite 0.075mg de lévonorgestrel et de 0.04mg d’ethinylestradiol, et enfin 0.15mg de lévonorgestrel et 0.03mg d’ethinylestradiol.
La contraception orale séquentielle :
Elle est peu utilisée ou de manière ponctuelle. Les premiers comprimés contiennent uniquement l’œstrogène, les derniers une association oestroprogestative.
La contraception orale progestative :
Les micropilules :
Il s’agit de progestatifs à très faible dose administrés de façon continue, sans interruption. Les troubles du cycle sont fréquents ; pour pallier ces inconvénients, il a été proposé [16] d’ajouter un progestatif plus dosé pendant les dix derniers jours du cycle.
Les progestatifs à forte dose en discontinu :
Administrés à dose thérapeutique pendant 20 jours (à partir du cinquième jour du cycle) ou 15 jours (à partir du dixième jour du cycle si les cycles sont longs), ils sont contraceptifs, ils ne doivent être utilisés ainsi que lors du traitement d’un état pathologique.
Remarque : A côté des contraceptifs oraux, on peut signaler l’emploi des formes injectables.
Il s’agit de progestatifs retards, injectables à dose élevée. L’utilisation du système de libération du stéroïde à des taux bas et constants voit le jour et permet d’obtenir ainsi une contraception de longue durée jusqu’à 5 ans.
Il peut s’agir d’injections de stéroïdes encapsulés dans des micropilules biodégradables assurant une durée d’action de 1 à 2 ans grâce à une diffusion stable et prolongée du stéroïde.
Ainsi on est amené à parler de climat hormonal d’une pilule suivant la prédominance d’un composant (œstrogène ou progestatif) [16]. L’évolution actuelle est en faveur d’un climat mixte comme l’Adépal.
Avantages et inconvénients des contraceptifs oraux :
Les avantages :
En plus de l’action contraceptive qui intervient sur la diminution du risque de mortalité lié à la grossesse qui est particulièrement nette dans les pays non industrialisés, des effets bénéfiques sont observés :
La régularisation du cycle menstruel ; La réduction de l’abondance des règles ;
L’atténuation de la dysménorrhée et du syndrome prémenstruel représente un plus appréciable.
Il s’agit d’un traitement efficace de la dystrophie ovarienne qui met les ovaires au repos.
Les différentes études épidémiologiques démontrent un certain rôle protecteur vis-à-vis des infections génitales hautes, parce que les modifications de la glaire cervicale gênent la propagation des germes vers les voies génitales hautes.
Le rôle protecteur contre les grossesses ectopiques.
Le rôle protecteur sur les mastopathies bénignes et surtout sur le cancer de l’endomètre et de l’ovaire.
Les inconvénients :
La prise de poids : elle est limitée à 1 ou 2 kg avec les dosages actuels. Les œstrogènes ont une action stimulante sur l’appétit, les progestatifs une action anabolisante.
Les Mastodynies s’observent avec les pilules à climat ostrogéniques et les micropilules qui créent un état d’insuffisance lutéale.
Les candidoses vaginales sont plus fréquentes sous contraception orale.
Les œstroprogestatifs passent dans le lait, mais les doses ingérées par le nouveau-né sont très faibles : 1/1000 et 1/5000 des doses de progestatifs et d’œstrogènes ingérées par la mère.
Utilisation des contraceptifs oraux dans certains cas particuliers :
Dans le cas de l’adolescente :
Les contraceptifs oraux sont prescrits dans les cas suivants :
Dans le traitement de certaines acnés
Pour la régularisation du cycle menstruel
Pour la contraception
Cependant, les œstrogènes contenus dans les pilules, accélèrent le processus d’ossification et le blocage du cartilage de conjugaison en cas de croissance non achevée.
Il parait alors normal d’éviter les œstroprogestatifs chez la très jeune fille, afin d’éviter un arrêt prématuré et irréversible de la croissance.
Les œstroprogestatifs mini-dosés et les progestatifs purs, empêchent l’évolution de l’utérus mais leur indication reste exceptionnelle.
Les œstroprogestatifs normo dosés provoquent un état de carence ostrogénique. La taille de l’utérus diminue de façon variable, mais généralement réversible à l’arrêt de la prise.
La contraception après 40 ans :
C’est un âge où l’on constate facilement une diminution de la fertilité, un processus de vieillissement de l’organisme enclenché, et d’éventuels troubles hormonaux surtout l’insuffisance lutéale.
Les œstroprogestatifs combinés, grâce à leur composition équilibrée, préviennent l’hyperoestrogénie, relative qui a tendance à s’installer.
Le post abortum :
Elle commence le lendemain de l’IVG car dans 80 à 90 % des cas, le cycle post abortum est ovulatoire
Lors du premier cycle, on utilise volontiers une pilule séquentielle pour rétablir l’équilibre hormonal. Le relais est pris par un œstroprogestatif combiné.
Le post partum :
Elle est efficace dans ce cas. Il n’a pas été observé de thromboembolie malgré la stase veineuse, et l’hyper coagulabilité sanguine.
Le retentissement sur la lactation a été particulièrement étudié. Il résulte que les œstroprogestatifs n’entrainent aucun effet sur la lactation.
Par contre une réduction de la production lactée est survenue avec les œstroprogestatifs. Elle est moins sensible, si la pilule est commencée aux 15 jours du post partum.
Contre- indications :
Il est nécessaire et indispensable de procéder à un interrogatoire et à un examen gynécologique complet afin de rechercher les contre-indications à la prise d’œstroprogestatifs.
Contre-indications absolues :
Dans les cas suivants la contre-indication est absolue :
Les carences génitales évolutives (sein, endomètre)
Les affections cardiovasculaires : coronaropathies, valvulopathies, troubles du rythme, trombogénies.
Les antécédents de phlébites, de thrombophlébites.
Les embolies pulmonaires.
Les insuffisances hépatiques.
Les hyperlipidémies ou hypercholestérolémies sévères.
Les psychoses ou névroses graves.
La grossesse.
Les pathologies oculaires d’origine vasculaire.
Le diabète compliqué de micro ou de macro angiopathie.
Les affections hépatiques sévères ou récentes.
Les tumeurs hypophysaires.
Les hémorragies génitales non diagnostiquées.
Les connectivités.
En association avec le ritonavir.
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Table des matières
INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE: GENERALITES
1. DEFINITION
2. HISTORIQUE
3. DESCRIPTION DE l’APPAREIL GENITAL DE LA FEMME
3. 1. Les ovaires
3.2. Les trompes utérines ou trompes de Fallope
3.3. L’utérus
3.4. Le vagin
3.5. La vulve
3.6. Les glandes mammaires (seins)
4. VARIATIONS HORMONALES CHEZ LA FEMME
4.1. Contrôle du fonctionnement ovarien
4.2. Rôle des hormones ovariennes
5. PHYSIOLOGIE DE LA FECONDATION
6. LES DIFFERENTES METHODES CONTRACEPTIVES
6.1. LES CRITERES DE QUALITES D’UNE METHODE CONTRACEPTIVE
6.1.1. L’efficacité
6.1.2. La réversibilité
6.1.3. L’innocuité
6.1.4. L’acceptabilité
6.2. LES METHODES MECANIQUES
6.2.1. Les préservatifs
6.2.1.1. Le préservatif féminin
6.2.1.2. Le préservatif masculin
6.2.2. Le diaphragme et cape cervicale
6.2.3. Le stérilet ou le Dispositif Intra-utérin(DIU)
6.2.4. L’implant contraceptif
6.2.5. L’anneau contraceptif
6.3. LES METHODES CHIMIQUES
6.3.1. Les progestatifs injectables
6.3.1.1. Composition
6.3.1.2. Mode d’action
6.3.1.3. Effets secondaires
6.3.2. Les spermicides
6.3.3. Les éponges contraceptives
6.3.4. Les pilules ou les contraceptifs oraux
6.3.4.1. Etude chimique des pilules
6.3.4.1.1. Composition
6.3.4.1.2. Structure des hormones sexuelles
6.3.4.2. Différentes formes de contraception orale
6.3.4.2.1. La contraception orale combinée
6.3.4.2.2. La contraception orale séquentielle
6.3.4.3. Avantages et inconvénients des contraceptifs oraux
6.3.4.3.1. Les avantages
6.3.4.3.2. Les inconvénients
6.3.4.4. Utilisation des contraceptifs oraux dans certains cas particuliers
6.3.4.4.1. Dans le cas de l’adolescente
6.3.4.4.2. La contraception après 40 ans
6.3.4.4.3. Le post abortum
6.3.4.4.4. Le post partum
6.3.4.5. Contre- indications
6.3.4.6. Pilule du lendemain et du surlendemain : la contraception d’urgence
6.3.4.6.1. Composition
6.3.4.6.2. Dosage
6.3.4.6.3. Formule chimique du lévonorgestrel
6.3.4.6.4. Définition de la contraception d’urgence
6.4. LES METHODES NATURELLES
6.4.1. La méthode du calendrier (Ogino-knauss)
6.4.2. La méthode des températures
6.4.3. La méthode de la glaire cervicale (Billings)
6.4.4. La méthode symptothermique
7. MEDICAMENTS DE LA CONTRACEPTION
8. MECANISME D’ACTION DES CONTRACEPTIFS ORAUX
9. RECOMMANDATIONS DE L’OMS
DEUXIEME PARTIE : TRAVAIL PERSONNEL
1. CADRE D’ETUDE
2. TYPE D’ETUDE
3. POPULATION D’ETUDE
4. METHODOLOGIE
4.1. Données du questionnaire
4.2. Exploitation des résultats
4.3. Lieux d’enquête
4.4. Caractéristiques sociodémographiques
4.4.1. Age
4.4.2. Profession
4.4.3. Niveau d’étude
4.4.4. Situation matrimoniale
4.5. Antécédents obstétricaux
4.5.1. Le nombre d’enfants
4.6. Contraception
4.6.1. Durée
4.6.2. Type de contraception
5. DISCUSSION
5.1. Caractéristiques sociodémographiques
5.1.1. Profession
5.1.2. Niveaux d’études
5.1.3. Situation matrimoniale
5.2. Contraception proprement dite
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE ET WEBOGRAPHIE
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