Collecter des sources
En fait, rapidement, le seul point de vue patrimonial s’avéra à la fois difficile à suivre,insatisfaisant et possiblement redondant : en effet, au cours de premières investigations, je découvris que le Service Régional de l’Inventaire de Poitou -Charentes avait déjà entrepris, sous la direction de Madame Moisdon-Pouvreau, des campagnes de collecte de mémoires ouvrières orales parmi lesquelles avait été réalisée en 2011 une série de sept entretiens, d’ une heure environ chacun, avec d’anciens salariés de Zodiac.
Les entretiens de « Mémoires ouvrières »
Madame Moisdon-Pouvreau, chargée de cet inventaire des « mémoires ouvrières », explique dans un article de 2012 l’origine du projet. Celle-ci, se situe dans le double moment :
– de la fin de l’inventaire du patrimoine industriel régional et de l’idée de le prolonger par une campagne de collecte de mémoires ouvrières afin d’ajouter à celui -là le vécu de l’homme au travail;
– de la décentralisation du Service de l’Inventaire qui conférait de nouvelles compétences dans ce domaine à la Région.
Suivons toujours les explications de Madame Moisdon-Pouvreau : Il s’agissait de récolter des témoignages oraux de 1950 à aujourd’hui, selon un échantillonnage de témoins à parcours assez long dans la même entreprise. Les débuts de la collecte se déroulèrent dans évolutions de carrière vers d’autres responsabilités, chef d’équipe ou d’atelier, mais aussi autres services.
Des avis, des récits, des remarques sur les relations entre collègues parcourent leurs discours. Particulièrement intéressants aussi, les divers regards sur la hiérarchie, les jugements sur sa compétence, sur la politique menée, jugements parfois à l’emporte -pièce, parfois plus nuancés. L’un d’entre eux fait part de son expérience d’élu au Comité d’entreprise. Le rôle des syndicats est brièvement évoqué.
La qualité des entretiens vient aussi de l’émotion qui transparaît chez certains à l’évocation de leur vie dans l’entreprise; les mots, les expressions, les rires, les gorges serrées aussi, l’accent local souvent font de ces témoignages des documents d’une grande richesse.
L’évocation des licenciements ou de la fermeture de l’usine se dit dans l’amertume et parfois encore le désarroi.
Il manque cependant à ces témoignages des repères chronologiques précis. Les souvenirs sont souvent difficiles à dater et les transformations de l’usine sont confusément évoquées. Les différents temps de l’entreprise se bousculent, on parle d’ « avant » et d’« après » sans plus de précision. Néanmoins ces entretiens sont d’une grande richesse sur le vécu des ouvriers mais surtout des ouvrières et méritent d’être exploités même si d’autres sources sont indispensables pour construire une approche historique des ouvrières de Zodiac.
Restait à rassembler d’autres matériaux qui mettent en perspective ces entretiens afin de construire une histoire de ces ouvrières, si nombreuses et au travail si particulier, de préciser une chronologie, de mieux cerner les évolutions et les transformations du travail, de pénétrer l’ordinaire de leur existence quotidienne . De comprendre aussi ce qui avait forgé l’identité de ces ouvrières qu’on appelait, et qui s’appellent elles -mêmes, « les filles de Zodiac »
Les archives de l’Inspection du travail
Existent aux Archives départementales de Charente-Maritime quatre boîtes cotées 1051 W 33, 1315 W 105, 1315 W 106 et 1315 W 107 versées par la Direction du travail et de l’emploi de La Rochelle consacrées tout entières à l’entreprise Zodiac de Rochefort. Ces archives provenant de l’Inspection du travail sont en consultation libre. Les deux premières sont assez volumineuses, comptant la première plus d’une centaine de dossiers, la seconde au moins quatre-vingt ; les deux autres sont plus légères. Donc au total de 250 à 300 dossiers de plusieurs pages chacun courant sur les années 1962-1986.
Ces liasses sont d’un maniement peu aisé: les unes, par leur volume « explosent » véritablement, les dossiers y sont dans un certain désordre. Leur contenu n’a, semble -t-il, jamais fait l’objet d’un véri table travail de classement : même si, dans la plupart, existent des chemises en papier affichant des contenus correspondant plus ou moins à ce que l’on y trouve, d’autres, aux intitulés aussi vagues que «dossier A », « Correspondance », « Documentation générale » , ou « ZODIAC 4 », « ZODIAC 5 » , offrent une grande variété de documents sans suite. Seule la liasse 1315 W 105 présente un classement thématique à peu près respecté.
La chronologie est aussi à reconstituer : si les années 1962-1976 n’apparaissent que dans les documents de la liasse 1051 W 33, en revanche les 10 ans suivants sont éclatés entre les quatre liasses. Ainsi, certains dossiers ne sont compréhensibles qu’au hasard de trouvailles dans d’autres boîtes qui les complètent et les rendent intelligibles.
Il a donc fallu lister les documents, repérer par une lecture rapide les dossiers les plus intéressants. La possibilité de photographier a été fort appréciable. J’ai ainsi sous la main les documents sélectionnés ce qui permet une exploitation plus approfondie grâce à des relectures aussi souvent que souhaité.
La richesse des archives de l’Inspection du travail
L’hygiène et la Sécurité à l’usine Zodiac : préoccupation majeure de l’Inspection du travail
Le gros des documents concerne les conditions de travail et de sécurité dans l’établissement de Rochefort.
C’est un sujet permanent de préoccupation de toutes les parties concernées: salariés, syndicats, médecin du travail, Direction, caisse d’assurance maladie et b ien sûr, inspecteur du travail. Que ce soit des notes (manuscrites) ou des comptes-rendus de visites de l’entreprise par l’Inspecteur du travail, des échanges de courriers entre celui -ci et la direction de Zodiac, des lettres de délégués syndicaux, des comptes-rendus de réunions de CHS-CHSCT, des rapports ou des interventions du Médecin du travail, d’enquêtes de relevés d’atmosphère, tous ces documents montrent les déficiences de l’entreprise en cette matière, le sous -équipement, mais aussi les progrès qui sont réalisés, parfois sous la pression des autorités de surveillance qui prélèvent, enquêtent, demandent avec insistance, menacent, sanctionnent même, mais aussi grâce à d’évidentes prises de conscience et à une volonté de transformer les méthodes de travail. La suite de ces documents, leur chronologie et, par moment, leur répétition, en dit long sur la lenteur des améliorations (et singulièrement dans les ateliers de femmes), et la réactivité plus ou moins grande de la Direction à ces situations. Les comp tes-rendus de réunions ne sont pas toujours laconiques et certains laissent entrevoir les demandes dessalariés et l’attitude des instances dirigeantes. Les rapports médicaux sont aussi précieux pour comprendre la situation et connaître l’état de santé des salariés, particulièrement des ouvrières. Un gros dossier « FACT » (demande de subventions au Fonds d’Amélioration des Conditions de Travail), est riche d’indications sur la réorganisation des espaces et des méthodes detravail des ateliers de montage où travaille l’essentiel des ouvrières et contient des appréciations documentées sur ce qu’en pensent ces dernières.
A cela, s’ajoute un nombre conséquent de documents (rapports, comptes-rendus de visite, divers courriers) qui renseignent sur l’évolution des horaires.
L’intérêt des «dossiers personnels » et de la correspondance
« Personnels», ces dossiers le sont de plusieurs façons
Il peut s’agir de lettres individuelles (souvent manuscrites) exposant un disfonctionnement et demandant l’intervention de l’Inspecteur.
On trouve aussi de nombreuses lettres évoquant des problèmes personnels: lettres de salarié(e) s’adressant directement à l’Inspecteur perçu comme un recours face à la Direction de Zodiac, lettres accompagnées de copie de « pièces à conviction », parfois doublées de lettre de délégué syndical; s’ensuit tout un échange de courriers entre l’inspection, la direction et le (ou la) plaignant(e) riche d’indications sur des cas sociaux ou médicaux, et sur la politique de l’entreprise vis-à-vis de ces cas. Certains (ou certaines) salarié(e)s savent plaider leur cause avec énergie et ne s’en laissent pas conter, d’autres sont plus timides ou plus désemparé(e)s.
La maladie, les accidents du travail, sont l’occasion d’une assez abondante correspondance évoquant des cas personnels. On y saisit bien les aléas de santé et la fatigue au travail de certaines personnes en même temps que leur difficulté à se faire entendre.
Il n’est pas facile de faire une typologie de ces «dossiers personnels » tant sont divers leurs objets, les modes d’intervention, les résultats. Mais tous apportent un éclairage sur la vie des salariés et, singulièrement dans cette usine, des femmes au travail.
Cette riche correspondance plonge dans le vécu quotidien, initie aux rapports de force, désarrois ou victoires au fil des ans. Le style, les mots ou expressions employés, le ton en disent long sur la nature des relations. Et la correspondance patronale n’est pas exempte de surprise. Y transparaît la rigueur de la discipline et l’obsession de la hiérarchie pour faire filer doux, mais aussi la volonté réelle de régler au mieux le cas de certaines personnes, le rôle modérateur de l’Inspecteur du travail prenant tout son sens.
Au-delà de cette masse de documents utiles pour aborder la santé au travail, les archives recèlent aussi de nombreux dossiers concernant les vagues de licenciements ou les divers plans sociaux, autre grand sujet massivement évoqué. Ces documents, beaucoup mieux classés, se répartissent essentiellement entre les liasses 1051 W 33 en ce qui concerne les licenciements de 1974 et 1315 W 105 pour ceux de 1985 et 1986. Pratiquement la moitié de cette dernière liasse est constituée d’un très gros dossier intitulé «ZODIAC emploi, licenciements économiques ». Elle contient entre autre des listes de salariés riches de renseignements, en particulier sur certaines situations sociales.
Les relations entre les syndicats (et principalement la CGT) et la Direction génèrent une correspondance intéressante pour saisir l’ambiance dans l’entreprise et l’état d’esprit de chacun. Quelques affaires semblent avoir pris de l’importance certaines années: les temps après 1968 sont contestataires, chacun marque son territoire; 1977 voit se crisper les relations entre les délégués CGT et la Direction. Les transformations du travail au début des années 80 ont aussi été l’objet d’importants différends.
Ces premières sources, lues et relues, écoutées et réécoutées, meconvainquaient qu’il y avait là matière à construire une histoire de cette communauté de travail qu’était l’usine Zodiac, elles permettaient de croiser des points de vue, ceux des ouvrières (ou ouvriers), de la Direction, de l’inspection du travail, du médecin; Matière à étudier des situations quotidiennes, banales, mais révélatrices de conditions de travail, d’attitudes et de pratiques,;
Matière à saisir l’écheveau des relations personnelles ou hiérarchiques, à tenter une « authentique histoire sociale de l’entreprise envisagée comme matrice de coopérations, de tensions et d’antagonismes reconnus» . Histoire des relations sociales dans l’entreprise, mais aussi histoire des pouvoirs et des rapports de pouvoir sur ce quart de siècle (1962-1986) à cheval sur les Trente Glorieuses et la période de plus faible croissance et de transformations économiques qui la suivit.
LES « CRISES DE NERFS » DE NOVEMBRE 1970
Sources et méthode
Pour évoquer une série de crises de nerfs qui affectèrent en 1970 l’usine Zodiac, plus précisément les ateliers de montage des bateaux où travaillait une main d’œuvre essentiellement féminine, nous adosserons notre étude à deux documents contenus dans la boîte 1051 W 33 des archives départementales de Charente –Maritime :
– le compte-rendu de la Réunion du Comité d’Hygiène et de Sécurité (CHS) du 17 Décembre 1970: la fin de la réunion a été consacrée à une discussion à propos de « désordres » et « crises nerveuses » ayant affecté certaines ouvrières en novembre 1970.
– Le Rapport Annuel du Médecin du Travail de l’année 1971 qui, en page X et XI sous la rubrique « Considérations sur la morbidité générale» , consacre un long paragraphe aux « manifestations neurologiques » qui ont secoué certains ateliers.
A ces deux documents on peut rattacher un courrier de l’Inspecteur du travail G. Battu, à Monsieur le DIRECTEUR des Ets Zodiac ROCHEFORT, en date du 27 Novembre 1970, lettre brève , évoquant des « malaises » survenus à des ouvrières et invitantla Direction à en débattre lors de la prochaine réunion du CHS, donc celle de décembre 1970 et de préciser « l’étude du cas pourrait s’appuyer sur des analyses d’atmosphère auxquelles le Dr Liauzun pourrait procéder ce jour-là. ». L’Inspecteur du travail n’en dit pas plus. Donc, les sources sont maigres, mais suffisamment explicites pour souligner à quel point ces « crises de nerfs » ont inquiété les responsables de Zodiac. Par ailleurs, un article de Fanny Gallot montre tout l’intérêt qu’il y a à prendre en considération ces réactions de la main d’œuvre féminine et à analyser ce qu’el les révèlent du vécu des ouvrières, mais aussi des comportements de leur entourage, spécifiquement dans l’entreprise ; d’où l’intérêt, a-t-il semblé, de suivre le fil de ces événements pour s’introduire dans la réalité des ateliers. Revenons aux deux sources principales : l’une comme l’autre sont les premières du genre dans les archives conservées par l’Inspection du travail. C’est la première fois qu’on trouve trace de réunion de CHS et qu’on en ait le compte-rendu , c’est le premier rapport annuel du médecin du travail que l’inspection ait conservé, ce qui tendrait à prouver l’importance des informations qui y sont contenues.
Cependant, ces deux documents méritent quelques remarques préliminaires sur leur rédaction déterminant les précautions à prendre dans leur lecture et délimitant le champ de leur utilisation.
Un risque : le toluène
Le toluène , tout le monde y pense. Absolument toutes les ouvrières enquêtées l’évoquent longuement dans les entretiens; on le sent, on le respire largement dans les ateliers.
L’hypothèse de sa responsabilité dans les «crises de nerfs » est même envisagée en Comité d’hygiène et de sécurité. Pour être abandonnée par la direction.
Et pourtant, il agresse, entête, « saoule ». L’odeur est pénétrante, imbibe les cheveux, altère l’haleine. « On sentait la colle, même l’haleine, mon mari le disait ». « Le toluène, ça saoule à force de nettoyer, quand on montait dans les grands bateaux, les bateaux de 7 mètres, on montait dedans, on zigzaguait !». Certaines font des allergies : « J’avais des boutons partout sur le visage quand j’ai commencé le travail ; les copines m’ont dit que ça passera, mais ça a duré huit semaines. Je suis allé chez le médecin, mais ça a passé ».
Les concentrations dans l’atmosphère sont régulièrement surveillées et tout aussi régulièrement déclarées « élevées, mais à des taux inférieurs aux taux de concentration maxima tolérables » . Cependant, on est bien conscient que certains postes sont plus exposés, en particuliers ceux de la « finition » où les femmes nettoient l’ensemble du bateau, la tête plongée dans des vapeurs de toluène qui s’y concentrent. Il n’est pas rare que des ouvrières soient victimes de « petits malaises passagers » , d’évanouissements et qu’elles soient transportées à l’infirmerie pour se reposer 10 à 15 minutes. Preuve de la faible gravité de ces «malaises » ?
Preuve surtout des pratiques salariales que dénonce la CGT : au delà d’un quart d’heure d’absence au poste de travail, les salariées sont pénalisées sur leur salaire ; elles reprennent place rapidement. L’été, quand la forte chaleur accélère l’évaporation du toluène, c’est insupportable, les malaises se multiplient.
L’intensité du travail
Le travail est dur, physique, épuisant : Les femmes sont debout la journée durant dans la poussière ou les vapeurs malodorantes, amenées à soulever de lourdes charges quand il faut retourner les bateaux ou les transporter d’un endroit à l’autre de l’atelier (« on était les uns sur les autres, on passait les bateaux au dessus des tables » ) ou les « gerber », c’est-à-dire les stocker en pile. Pas étonnant que le Médecin du travail compte une vingtaine « d’accidents du travail, généralement par faute de manutention,… et des accidents de déchirure musculaire ».
Travail douloureux aussi. Encoller au pistolet fatigue les bras et les mains, coller plus encore puisqu’il faut faire adhérer les pièces l’une à l’autre à l’aide d’une «lissette » petit morceau de bois d’une vingtaine de centimètres arrondi en son milieu et aplati aux extrémités avec lequel on écrase le cordon de colle entre les tissus jusqu’à ce qu’il ne reste plus de fuites.
Les mains et les poignets endurent. « Quand je me suis arrêtée (changement de poste), je pouvais plus, j’avais très mal dans la main, je pouvais plus relever mes doigts la nuit, j’avais trente ans quoi …; j’avais mal partout.»
Douleurs d’hier, troubles musculo-squelettiques d’aujourd’hui.
Dans ces ateliers, les journées sont longues : huit heures-midi, deux heures-six heures ; sur cinq jours. Quarante heures par semaine. Mais les rythmes de production sont saisonniers et en cas de presse, les heures supplémentaires s’additionnent, particulièrement de février à mai et secondairement en octobre-novembre qui sont des mois de coup de feu. En font foi de récurrentes demandes d’autorisation d’accroître les horaires pour tous, y compris les ouvrières de moins de 18 ans . Ces périodes d’intensification du travail se repèrent aussi dans les rapports annuels de CHS, à la recrudescence des accidents et novembre 1970 en compta deux, second pic de l’année.
|
Table des matières
LISTE DES SIGLES
Le cadre de l’étude : L’USINE ZODIAC DE ROCHEFORT
Zodiac à Rochefort
Zodiac, usine de femmes
Un travail dur
PREMIERE PARTIE
MISE EN FORME D’UN PROJET
Chapitre 1 UN OBJECTIF, DIRE LE TRAVAIL
Genèse d’un projet
Collecter des sources
Chapitre 2 ENVISAGER UNE DEMARCHE
Un premier mouvement, évoquer la santé au travail
La richesse des archives de l’Inspection du travail
Construire une problématique
Questions de méthode
SECONDE PARTIE
« CRISES DE NERFS » EN 1970. UN EXEMPLE D’UTILISATION DES SOURCES
Chapitre 3 LES « CRISES DE NERFS » DE NOVEMBRE 1970
Sources et méthode
Les crises de nerfs de novembre 1970 et les mots pour le dire
Chapitre 4 LES « CRISES DE NERFS » COMME SYPTÔME DE LA PENIBILITE DU TRAVAIL DES OUVRIERES
Une entreprise en plein essor
La chaîne
Un risque : le toluène
L’intensité du travail
Chapitre 5 LES « CRISES DE NERFS » COMME MIROIR DES RAPPORTS DE POUVOIR CHEZ ZODIAC DANS L’APRES 68
L’enjeu des ateliers de femmes
Les rapports de pouvoir au prisme de la réunion du Comité d’Hygiène et de Sécurité
Chapitre 6 LES « CRISES DE NERFS » ET LA MISE EN LUMIERE DE LA POLITIQUE DE SANTE DANS L’ENTREPRISE
Les acteurs de la santé
Le poids du genre dans l’approche de l’hygiène, la santé et la sécurité
Une meilleure prise en compte de la santé et de la prévention
CONCLUSION EN FORME D’EPILOGUE
CONCLUSION GENERALE
ANNEXES
SOURCES
BIBLOGRAPHIE
TABLE DES MATIERES
Télécharger le rapport complet