Les contraintes actuelles du pétrole et les préoccupations environnementales

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L’évolution de la production mondiale du pétrol

Pour répondre à la demmande mondiale croissante, les industries péétrolières ne cessent de trouver et de développer d e nouvelles technologies permettant d’explorer et d’exploiter les hydrocarbures dans des condittions (géologiques ou géographiques) plus coomplexe.
Les principales entreprrises internationales privées, les majors, consaacrent des montants élevés aux investissements en exploration et en production du pétroole. Ces majors en exploitation et production du pétrole sont historiquement composés par le Total, l’Exxon, le Chevron, le BP, le BP sans TNNK-BP et le Shell.
D’un autre côté, seloon l’AIE (Agence International de l’Energie) en 2008, la production pétrolière s’est éllevée à 86,5 millionsde barils par jour (Mb/j).

La répartition de la productiondu pétrole

La répartitionn géographique

De ce graphique, on coonstate que le Moyen-Orient est le premier prroducteur de pétrole dans le monde avec une part de 29.6%. La deuxième place est occupée paar l’Europe avec une part de 22.1 %. Et, l’Afrique ne représente que 10.8% de la production monndiale.
Toutefois, On prévoit que d »ici aux alentours de année 2020, les États ‐Unis deviendront le plus gros producteur de pétrole mondial (WEO 2012

La répartitionn par organisation

En général, l’organisaation la plus courante en matière du pétrole esst l’OPEP. Plusieurs pays se sont regroupés dans cette organisaion. Il existe quand même des pays producteurs se trouvant en dehors de cette orgganisation.

Situation mondiale de consommation du pétrole

D’abord, la consommation du pétrole au niveau mondial ne cesse de s’évoluer. Cet accroissement de la demande repose sur plusieurs raisons et la consommation se répartisse dans différents secteurs.

Raisons de la croissance de la consommation mondiale de pétrole

· La forte croissance démographique: La population mondiale actuelle est d’environ 6 milliards d’êtres humains. On estime qu’elle passerà 9 milliards entre 2020 et 2050. Et cette augmentation de la population va avoir des impacts sur la consommation mondiale de pétrole.
· La croissance économique des pays émergents (Brésil, Chine, …) : ces pays représentent environ un quart de la population mondiale, ils sont en plein développement économique. Leur expansion engendre une forte consommation de pétrole. D’ici 2030, on estime que la consommation de pétrole de ces pays émergents représentera 50 % de la consommation mondiale.
· Le progrès du secteur du transport : 97 % des transports dépendent des produits pétroliers. On estime que les transports représente actuellement 50 % de la consommation de pétrole

Évolution de la consommation mondiale de pétrole (en Mb/j)

Pour commencer, entre 1859 et 1968, l’Humanité a consommé 200 milliards de barils de pétrole. Aujourd’hui, elle consomme plus de 30 milliards de barils par an. Malgré l’augmentation sans cesse du prix du baril de pétrole, sa consommation mondiale suit toujours une pente ascendante.

La préoccupation environnementale

L’utilisation des carburants fossiles comme source d’énergie ont des impacts défavorables pour l’environnement car ils sont considérés parmi les plus polluants de la planète. L’augmentation de la teneur en CO2 constatée dans l’atmosphère est liée à l’activité humaine et en premier lieu à la production d’énergie, elle a augmenté de façon nettement perceptible au cours du 20ème siècle. Et cette augmentation a plusieurs effets comme le réchauffement climatique, la fonte des glaces polaires, la modification des courants marins, l’augmentation des précipitations, des tornades, etc. D’ailleurs, l’augmentation des consommations présentées précédemment impliquera eunaugmentation annuelle de 2,1 % des émissions de CO2 au niveau mondial entre 1997 et 2020.
Bref, sous ces effets, il est nécessaire trouver des autres sources alternatives au carburant fossile car ce dernier se trouve actuellement aux risques de pénurie et il se trouve que ces sources d’énergie sont parmi les plus polluants de la planète. Tout ça rend l’importance des biocarburants dans l’assurance de l’approvisionnement en énergie dans les années à venir.

Généralité sur les biocarburants

Dans la recherche des sources d’énergie alternative, les biocarburants tiennent une place importante face aux divers problèmes actuels comme l’épuisement des stocks des carburants fossiles et la flambée de ses prix, les besoins croissants en énergie, le réchauffement climatique, etc. Ce chapitre nous aidera à mieux savoir ce qu’on entend par biocarburant, son contexte, ses différents secteurset sa production au niveau mondial.

Qu’entend-on par biocarburant ?

Définitions

Etymologie

Le mot « biocarburant » vient du grec « bios » qui veut dire « vie », « vivant » et de « carburant ». Cette expression indique que ce carburant est obtenu à partir des matières organiques (biomasse) par opposition aux carburants issus des ressources fossiles. L’appellation « biocarburant » a été promue par lesindustriels de la filière et certains scientifiques.
Le mot « agrocarburant » vient du latin « ager » qui veut dire « champ » et de « carburant ». Cette expression est la plus récente (2004) et elleindique que le carburant est obtenu à partir de produits issus de l’agriculture.

Définition

Quelque soit sa dénomination, « biocarburant » ou « agrocarburant », leur signification est la même. Aussi, qu’ils appartiennent à la première ou à la seconde génération, ils sont tous considérés comme des alternatifs au carburant fossile. Ainsi, les biocarburants ou agrocarburants sont des carburants dérivés directement de matières biologiques. Ils ont l’avantage de réduire la pollution et les émissionsde gaz à effet de serre tout en étant une solution de rechange aux autres sources d’énergie. L’éthanol et le biodiesel sont les deux types de biocarburants, ou biocombustibles, les plus courants. Ils appartiennent à la première génération des biocombustibles

Première et deuxième génération

On distingue aussi les biocarburants de première et de seconde génération. Et plusieurs définitions complémentaires coexistent. Mais, la distinction se confirme avec le temps.
Parmi ces définitions, on retient que les biocarburants de première génération sont généralement issus de produits alimentaires comme el maïs, la canne à sucre, etc. tandis que ceux de la seconde génération sont issus de sourceligno-cellulosique comme le bois, feuilles, paille, etc.
D’ailleurs, il y a aussi une autre définition qui les distingue. Cette définition est basée sur les moyens utilisés pour produire le carburant .Les biocarburants de première génération sont considérés comme issus des techniques simplesalors que ceux de la seconde génération sont obtenus à partir de techniques plus avancées.
D’autre part, on tient à remarquer que les biocarbu rants ne sont pas seulement des carburants issus des produits agricoles, mais, il y a aussi ceux qui sont issus des autres produits comme les graisses animales, les huiles usagées,…

Approche historique

A la naissance des industries automobiles, le pétrole et ses dérivés n’étaient pas encore très utilisés. D’ailleurs, les moteurs conçus ne sont pas encore destiné pour le pétrole. Par exemple : en 1898, Rudolf Diesel utilisait de l’huile d’arachide pour faire fonctionner son premier moteur à allumage par compression ; en 1908 , Henry Ford concevait son modèle T de sorte qu’il puisse fonctionner à l’éthanol. A cette époque, beaucoup de gens ont donc pensé que les biocarburants vont faire un bon marché, mais ce n’était pas le cas. En outre, le 28 février 1923, Edouard Barthe a fait des efforts pour la promotion d’un carburant national à base d’alcool de grains, et ces efforts sont confirmés par la loi.
Mais, au milieu du XX è siècle, le pétrole s’est rouvét abondant et de bon marché.
Cette situation explique le désintérêt des industriels pour les biocarburants.
Pourtant, les premiers et seconds chocs pétroliers (1973 et 1979) les rendirent à nouveau attractifs, pour des questions stratégiques (sécurité d’un approvisionnement en énergie) et économiques (réduction de la facture pétrolière, développement d’une industrie nationale dans un contexte de chômage croissant). P ar conséquent, de nombreuses études furent ainsi menées à la fin des années 1970 et au début des années 1980. Par exemple, le Brésil engagea un vaste programme de production d’éthanol à partir de canne à sucre, et de conversion de son parc automobile à cette énergie (programme Proalcool, décret-loi du 14 novembre 1975, renforcé en 1979). Aux États-Unis, les travaux du NREL (National RenewableEnergyLaboratory, US Department of Energy, DOE) sur les énergies renouvelables ont commencé dans les années 1970 dans le contexte du pic pétrolier américain. Il est alors apparu indispensable au gouvernement américain de se tourner vers des sources pétrolières étrangères ou de développer d’autres carburants. Toutefois, la baisse des prix du pétrole en 1986 et le lobbying des multinationales pétrolières ont diminué l’enthousiasme pour les biocarburants. Mais, la recherche sur les biocarburants a toujours continué, tel est le cas de la France (au sein de l’IFP ou Institut Français du Pétrole) qui se penche sur la transformation des huiles végétales ne esters méthylique d’huiles végétale (EMHV) ou biodiesel. Les recherches visent, par exemple, la possibilité d’utiliser du biodiesel en mélange avec le gazole.
En 2000, le pétrole constatait une nouvelle hausse du prix. Il y a aussi la nécessité de lutter contre les effets de serre, les menaces sur la sécurité d’approvisionnement et la surproduction des produits agricoles. Ces diverses situations ont conduits les gouvernements à renforcer les discours et les promesses d’aides pour le secteur des biocarburants. Par exemple, les USA lancent un grand programme de production d’éthanol de maïs ; la commission européenne souhaite que les pays membres incluent au moins 5,75 % de biocarburants dans l’essence, c’est ce qu’on appelle le taux d’incorpo ration, il y avait aussi diverses directives pour promouvoir le développement des biocarburants .
De son coté, l’ONU encourage la production de ces bioénergies tout en cherchant à maximiser les bénéfices pour les pauvres et pour l’environnement. Il vise que le développement de ces types d’énergie assurera durablement l’intérêt public.
C’est ainsi que les biocarburants ont trouvé leur place en tant que source alternative aux carburants fossiles.

Le contexte des biocarburants

L’énergie joue un rôle central dans l’économie mondiale et les fluctuations de ses coûts ont des conséquences significatives dans la croissance économique, surtout dans les pays en voie de développement importateurs de pétrole. A l’heure actuelle, l’offre et la consommation basées sur l’énergie fossile ne sont plus durables ni pour l’environnement, ni pour l’économie. Une transition importante concernant les sources d’énergie primaire semble être importante et les biocarburants figurent parmiles enjeux traités.
Parlant des biocarburants, son développement a commencé après le constat des problèmes sur les carburants fossiles et des changements climatiques 1 . Concernant ce changement climatique, il est marqué par un certain réchauffement climatique à cause des émissions des gaz à effet de serre due à l’utilisat ion des carburants fossiles (le pétrole, le charbon et le gaz). Ainsi, pour atténuer ces problèmes, les biocarburants constituent une solution envisageable même partielle.

Les biocarburants et l’environnement

Les effets de serre

D’abord, les biocarburants permettent de diminuer les effets de serre. Ce dernier est dû essentiellement au développement des industries, des transports, etc.
L’effet de serre est un phénomène physique et naturel dû à la concentration dans l’atmosphère de certains gaz qui réfléchissent lesrayons lumineux provenant de la terre, et qui provoquent alors le réchauffement de la basse atmosphère. Le mécanisme se passe comme suit : « la surface terrestre se réchauffe sous l’effet du rayonnement solaire, et émet en permanence un rayonnement infrarouge dont la plus grande traverse la couche atmosphérique sans être absorbée puis est diffusée dans l’espaceAinsi,. la plus grande partie du rayonnement solaire qui atteint la planète est ensuite réfléchie par le sol dans l’espace. Mais une faible part » du rayonnement infrarouge émis par la surface terrestre est piégée par les gaz dits à effet de serre » (GES). Ils sont appelés ainsi car ils se comporten comme une serre. Une augmentation de la température est engendrée et maintenue dans neu moyenne de 15 °C. Sans cette effet de serre, la température sur la terre serait de -18 °C »2. Ce mécanisme est important car il permet le développement de la vie sur la planète. L’atmosphère, c’est surtout de l’oxygène et de l’azote. Ce sont les gaz à effet de serre, responsa bles de l’effet de serre. Mais, s’ajoutant à cela, il existe d’autres éléments qui ont des effets dans l’atmosphère, certains d’entre eux sont naturellement présents dans l’air comme la vapeur d’eau, le gaz carbonique (CO 2), le méthane (CH4) et le protoxyde d’azote (N 2O). Mais les activités humaines produisent de plus en plus ces trois derniers gaz (CO2, CH4, N2O). Leur concentration dans l’atmosphère augmente. D’autres gaz sont uniquement issus de nos activités industrielles.

Le protocole de Kyoto

Les changements climatiques sont à l’origine de ce protocole parce que ces changements ne seront réellement limités que si lesémissions des gaz à effet de serre (GES) sont réduites de 75% d’ici 2050. Ainsi, plusieurs pays se sont engagés pour réduire leurs émissions de gaz à effet de serre. C’est le protocole international de Kyoto sur les émissions des GES, signé en 1997. Dans ce protocole, les pays signataires doivent réduire leurs émissions de GES par rapport à leurs émissions précédentes. De plus, les cinquante-cinq pays qui ont ratifié ce protocole doivent l’appliquer même si l’enjeu est de taille. Le protocole de Kyoto est mis en vigueur depuis le 16 février 2005 et il implique en outre le développement des sources d’énergie renouvelables, moins polluantes.
Selon l’OCDE (Organisation de Coopération et de Développement Economiques), plus de 96% du trafic mondial de véhicule fonctionnent grâce aux hydrocarbures. Et, selon l’agence international de l’énergie (AIE), le secteur des transports dépend presque en totalité du pétrole. Ce secteur consomme 20% de l’énergie mondiale et émet un quart du gaz carbonique produit par l’humanité. D’ailleurs, c’est dans ce même secteur que la consommation d’énergie devrait encore augmenter d’environ 60% d’ici 2030 et c’est la demande des pays émergents et en développement quien sont les principales origines. En plus, 85% de surplus d’énergie consommée dans le monde devrait encore provenir des énergies fossiles qui sont le pétrole, le gaz et lecharbon. Un tel scénario n’est pas durable et ne conduit pas à la réduction des émissions des gazà effet de serre.
Les transports et les habitats sont les deux plus gros consommateurs de pétrole. Ces deux secteurs devraient sans doute se recycler vers d’autres sources d’énergie moins polluantes comme l’hydrogène pour le transport et le solaire pour l’habitat. Il ne s’agit pas de diminuer la consommation du pétrole mais d’atténuerles émissions des gaz à effet de serre.
D’autres secteurs sont aussi responsables des émissions tel est le cas de l’élevage émettant des oxydes nitreux dû à des engrais azotés. Mais l’agriculture contribue aussi à l’effet de serre car les terres agricoles sont sources et puis d’oxyde de carbone.
Tout cela explique l’ambition de promouvoir les agrocarburants dans le protocole de Kyoto car le secteur agricole peut contribuer à la lutte contre le changement climatique en diminuant ses émissions, en participant à la substitution des énergies fossiles et en tenant arbitrairement du CO2 dans la biomasse et le sol.

Les bilans énergétiques

Cependant, il existe un manque d’harmonie au niveau des bilans énergétiques. Les propriétés de carburation des alcools et des étherssont identiques et reposent sur leur nature chimique. Mais, ce qui les différencie, c’est la voie par laquelle ils ont été obtenus, pétrochimie ou biotechnologie, permettant d’apprécier leur bilan énergétique ou leur bilan CO2. C’est dans le bilan énergétique que se trouve lapolémique.
La production de biocarburants requiert une consommation d’énergie fossile tout au long de la chaîne de production. Il est donc indispensable de vérifier si les biocarburants vont entraîner une économie d’énergie fossile lorsqu’ilsvont remplacer les carburants fossiles. Ce sont les bilans énergétiques qui permettent de faire cette vérification.
Il existe des ratios pour évaluer ces bilans énergétiques. Et ces ratios sont obtenus par le rapport entre les énergies dépensées pour produiredes biocarburants et des énergies obtenues des ces derniers. Il est nécessaire d’améliorer ces ratios qui déterminent le rendement énergétique parce que si non le processus mènera sans doute à l’aggravation des effets de serre et au gaspillage des ressources disponibles. En tout cas, quelque soit la situation, il faut retenir que les filières biocarburants émettent moins de gaz à effet de serre que la filière des carburants fossiles. La valorisation de ces filières agrocarburants est favorable pour l’environnement.

Les biocarburants et le pétrole

A part les impacts environnementaux, le secteur biocarburant demande de bien savoir le marché du pétrole et sa situation actuelle. Ainsi, face aux risques d’épuisement des stocks, les pays ne peuvent plus s’assurer de leur approvisionnement en pétrole. D’ailleurs, la consommation mondiale de ce derniers ne cesse de s’accroitre à cause des plusieurs raisons comme la croissance démographique, la croissance économique des pays émergents, les industries des pays développés, etc. De ce fait, onpeut dire que le carburant le plus important de l’économie mondiale se raréfie, et son prix tend à s’accroître. Par conséquent, le développement des biocarburants permet non seulement d’économiser les ressources qui tendent à s’épuiser, mais aussi d’atténuer la hausse des prix des carburants. Depuis, les biocarburants ont acquis un réel statut de complément aux carburants pétroliers. En effet, les politiques énergétiques du début des années 80 ontété marquées par la volonté de trouver des substituts au pétrole et les biocarburants ont fait l’objet, à cet égard, des plus grands espoirs. Le programme de développement de l’éthanolau Brésil a été le plus démonstratif de cette vision. Aujourd’hui, les développements des filières biocarburants ont montré qu’elles ne pourront certainement jamais se substituer entièrement au pétrole. Les biocarburants sont une solution d’appoint à l’essence ou au gazole. Le ur mode d’utilisation en mélange est d’ailleurs leur point fort puisqu’ils peuvent bénéficier des réseaux actuels de distribution de carburants et être utilisés sans adaptation particulière des véhicules (notamment pour des taux d’incorporation inférieurs à 5% comme c’est le cas en Europe).

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Table des matières

SOMMAIRE
INTRODUCTION
Partie I Approche globale sur l’énergie et les biocarburants
Chapitre I Etat des lieux des carburants fossiles, notamment le pétrole dans le monde
Section 1. Approche théorique sur l’énergie
1.1 Définition de l’énergie
1.2 Autres définitions
1.3 Mesure de l’énergie
1.4 Les différentes formes d’énergie
Section 2. Etats des lieux de production du pétrole dans le monde
2.1 L’évolution de la production mondiale du pétrole
2.2 La répartition de la production du pétrole
2.2.1 La répartition géographique
2.2.2 La répartition par organisation
Section 3. Situation mondiale de consommation du pétrole
3.1 Raisons de la croissance de la consommation mondiale de pétrole
3.2 Évolution de la consommation mondiale de pétrole (en Mb/j)
3.3 La répartition sectorielle de la consommation mondiale du pétrole
Section 4. Les contraintes actuelles du pétrole et les préoccupations environnementales
4.1 Augmentation sans cesse du cours de pétrole
4.2 Etat des réserves mondiales du pétrole
4.3 La préoccupation environnementale
Chapitre II. Généralité sur les biocarburants
Section 1. Qu’entend-on par biocarburant ?
1.1 Définitions
1.2 Approche historique
Section 2. Le contexte des biocarburants
2.1 Les biocarburants et l’environnement
2.2 Les biocarburants et le pétrole
2.3 Les ambitions de développer le secteur biocarburant
2.4 Les différents acteurs concernés par les biocarburants
2.5 Situation actuelle du marché des biocarburants
Section 3. Les différents secteurs des biocarburants
3.1 Le bioéthanol
3.2 Le biodiesel
Section 4. La production des biocarburants dans le monde
4.1 La production des biocarburants dans les pays développés
4.2 La production des biocarburants dans les pays émergents
4.3 La production des biocarburants en Afrique biocarburants
Chapitre I : Etat des lieux du secteur pétrolier à Madagascar
Section 1. Information générale sur Madagascar
1.1 Madagascar
1.2 Les principales sources d’énergie à Madagascar
Section 2. Etat des lieux de l’offre des produits pétroliers à Madagascar
2.1 L’organisme de régulation : OMH
2.2 Les compagnies responsables de l’approvisionnement des produits pétroliers à Madagascar :
2.3 Les importations en hydrocarbure à Madagascar
2.4 La qualité des produits pétrolier à Madagascar
2.5 Les infrastructures et la capacité de stockage à Madagascar
2.6 Le transport et la distribution des Produits Pétroliers
Section 3. Situation général de la consommation des produits pétroliers à Madagascar
3.1 Répartition de consommation par type d’hydrocarbure
3.2 La répartition de la consommation selon les catégories d’utilisateurs
3.3 L’évolution du prix des hydrocarbures à Madagascar
Section 4. Les contraintes du secteur pétrolier et les nécessités de trouver des alternatifs au pétrole à Madagascar
4.1 Les contraintes de dépendance vis-à-vis de l’extérieur
4.2 Les contraintes sur le plan économique et social
4.3 Les contraintes environnementales
4.4 Les autres contraintes
Chapitre II : Les perspectives sur le développement des biocarburants à Madagascar
Section 1. L’état des lieux des investissements dans le secteur agrocarburants à Madagascar
1.1 L’état d’avancement des investissements dans le secteur
1.2 Etat des lieux sur les objectifs et réalisations en termes de superficie
Section 2. Les intérêts du développement du secteur biocarburant à Madagascar
2.1 L’intérêt des biocarburants au niveau économique
2.2 L’intérêt social du développement du biocarburant à Madagascar
2.3 L’intérêt du développement des biocarburants sur l’environnement à Madagascar
Section 3. Les facteurs et conditions du succès des biocarburants à Madagascar
3.1 Avantages liés à la situation géographique de Madagascar
3.2 Les avantages liés à la démographie de Madagascar
3.3 Les interventions des différentes institutions
Section 4. Les contraintes et les risques au développement du secteur agrocarburant à Madagascar
4.1 Les risques au développement des biocarburants
4.2 Les Contraintes
Section 5. Recommandations pour assurer le développement durable des biocarburants à Madagascar
CONCLUSION
ANNEXES
BIBLIOGRAPHIE

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