LES CONCEPTS DE CROISSANCE INCLUSIVE ET LES EXIGENCES EN MATIÈRE DE POLITIQUES MACROÉCONOMIQUES

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Méthode de recherche du double processus de la croissance inclusive

La croissance économique est connue comme étant une condition essentielle – mais non suffisante – au développement. Elle est censée être la source principale de l‘amélioration du bien-être de la population. Si ses retombées existent effectivement, de plus si toutes les catégories sociales, notamment celles vulnérables économiquement et/ou socialement, peuvent en bénéficier de façon équitable, sans aucune exclusion de n‘importe quel type, alors la croissance économique est inclusive. La présente élaboration de méthodes de recherche du double processus de la croissance inclusive se base sur les quatre indicateurs proposés par Mc Kinley (2010), qui selon lui mesurent la croissance inclusive :
 La croissance du PIB, l‘emploi productif, l‘infrastructure économique ;
 La pauvreté et l‘égalité des revenus, avec l‘égalité de genre ;
 Les capabilités humaines ;
 La protection sociale.

Premier processus : création des opportunités

Ali a déjà évoqué les opportunités d‘ordre sociales pouvant être créées par une croissance inclusive. Il s‘agit en effet des possibilités pour la population d‘améliorer ses conditions de vie grâce à une meilleure éducation, une meilleure santé, un accès au bien-être et confort, et tant d‘autres bienfaits qui se résument en un mot, celui de développement social. Puis, selon Mc Kinley (2010), la croissance inclusive est aussi mesurée par l‘emploi productif. Comment alors retrouver la création de l‘emploi productif et la création des opportunités sociales ?

Recherche de la création d‘emploi productif

Comme il a été démontré ci-dessus, la croissance inclusive devrait fournir des opportunités d‘emploi productif. En effet, « l‘emploi représente une condition nécessaire – quoique pas suffisante – de la stabilité sociale » (Patrick Mignard, 2012)2, parce que le salaire qu‘il procure est le seul moyen de subsistance. Comment savoir si la croissance a effectivement créé des emplois pour toutes les couches sociales? L‘emploi éventuellement créé est-il productif ? L‘élasticité croissance de l‘emploi, la reconnue loi d‘Okun et la courbe de Phillips sont des outils pouvant être utilisés pour résoudre ces questions.

L’élasticité croissance de l’emploi

L‘élasticité de l‘emploi est le rapport entre la variation de l‘emploi et celle du Produit Intérieur Brut (PIB). Elle est donnée par la formule suivante : = ∆ ∆ ∗
Où est l‘élasticité emploi,e la variation de l‘emploi etPIB la variation de la croissance. L‘élasticité de l‘emploi permet de connaître la variation de l‘emploi suite à une variation de 1% de la croissance.
Comme toute élasticité, si est 1% alors l‘élasticité est forte, c‘est-à-dire qu‘une variation de 1 point de la croissance induit une variation de l‘emploi supérieure à 1% ; si est < 1% alors l‘élasticité est faible, c‘est-à-dire que suite à une variation de 1 point de la croissance, la variation de l‘emploi est inférieure à 1 point ; si =1 alors l‘élasticité est parfaitement élastique, c‘est-à-dire que la croissance et l‘emploi varient dans une même proportion ; enfin, si < 0 alors l‘emploi est inélastique à la croissance, c‘est-à-dire que la croissance tue l‘emploi.

La loi d’Okun

À partir de la formule commune à toute élasticité et des données américaines récoltées pendant la période de 1947 à 1960, l‘économiste américain Arthur Okun établit une loi dite d‘Okun, en 1962, qui décrit pour la première fois une relation linéaire entre la variation du PIB et la variation du taux de chômage. Cette loi s‘exprime par la formule suivante : ∆ = ∗( − ∗)
Avec : ∆ la variation du taux de chômage au temps t, le taux de croissance au temps t, ∗ le taux de croissance potentiel et le coefficient d‘Okun qui est négatif et qui représente l‘élasticité du taux de chômage à la croissance.
Okun a trouvé une élasticité négative de -0,3% entre le taux de chômage et la croissance. Cela signifie qu‘une augmentation d‘1 point de la croissance fait diminuer le chômage de 0,3 point. Et inversement, une diminution d‘1 point de la croissance fait augmenter le chômage de 0,3%. Cette loi implique que le coefficient d‘Okun explique la baisse du taux de chômage qu‘entraîne la variation de la croissance économique.
Et pourtant, une hausse de taux de croissance n‘entraîne pas nécessairement une diminution du taux de chômage parce que la hausse du taux de croissance est conditionnée par la variation de la population active et celle de la productivité. En effet, si le nombre de la population active augmente, cela signifie que le nombre de demande d‘emploi a aussi augmenté et qu‘il faut créer ce même nombre d‘emploi pour ne pas accentuer le chômage. De plus, le progrès technique, la formation de personnel, un management de plus en plus efficace, et tant d‘autres facteurs encore, favorisent l‘amélioration de la productivité. Donc, si la productivité horaire des travailleurs s‘accroît alors il faut que la croissance croisse dans la même proportion pour éviter le chômage. Par conséquent, Okun conclue qu‘il existe un seuil de taux de croissance à partir duquel le taux de chômage peut diminuer. Mais le coefficient d‘Okun ne peut pas déterminer ce seuil. Pour le déterminer, Okun utilisa toujours les données des États-Unis en sommant la variation de la population active (1,7%) et celle de la productivité du travail (1,3%). Il trouve un seuil critique de 3% (1,7%+1,3%). Ainsi, à une élasticité constante du taux de chômage, si le taux de croissance augmente de 3% alors le taux de chômage est stable ; la croissance économique ne permet de créer le plein emploi, et donc de réduire le chômage que lorsqu‘elle atteint un taux supérieur à ce seuil. Par contre, si l‘augmentation du taux de croissance est inférieure à 3%, alors la croissance n‘a pas créer suffisamment d‘emploi mais accentue le chômage. Après ses estimations, Okun trouve la relation linéaire empirique suivante : ∆ = − , 5 ∗ (∆ − 3)
Avec ∆ la variation du taux de chômage, ∆ la variation du PIB, -0,5 le coefficient d‘Okun et 3 le seuil critique. Cette relation signifie que la croissance ne baisse le taux de chômage de 0,5% que si elle dépasse le seuil critique de 3%. Au-delà de ce seuil, la croissance de la production est supérieure à l‘augmentation de la production potentielle réduite de l‘agrégation de la population et celle des gains de productivité (Okun, 1970). Dans cette relation linéaire empirique, le coefficient d‘Okun détermine le nombre d‘emplois créés.
Si la loi d‘Okun a été vérifiée dans plusieurs pays, elle rencontre néanmoins les critiques suivantes :
• d‘abord, le coefficient d‘Okun est variable en fonction du temps et des pays. Par exemple, Olivier Blanchard et Daniel Cohen (2006) démontrent qu‘en France le coefficient d‘Okun passe de 0,17 au cours des années 1960 et 1970 à 0,4 de 1981 à 2000. Ce qui signifie que pour un même taux de croissance, il y a deux fois plus d‘emplois créés de 1981 à 2000 qu‘en 1960 et 1970 ;
La variation du coefficient d‘Okun dépend de l‘ajustement de la main d‘œuvre aux variations de la production, effectué par les entreprises ;
• de même, le seuil critique varie en fonction du temps et des pays. L‘exemple de la France montre qu‘il est de 4,94% de 1970 à 1989 puis diminue jusqu‘à 1,94% depuis 1990 (Olivier Blanchard et Daniel Cohen, 2006) ;
• ensuite, la relation entre taux de croissance et taux de chômage est différente selon les pays : par exemple les études empiriques de Martin Prachovny (1993) montrent la contradiction suivante : une diminution de 3% du PIB fait augmenter le taux de chômage de 1% ;
• enfin, elle est inexistante dans certains pays. Par exemple dans les pays Arabes 3: Algérie, Egypte, Maroc, Tunisie.
Pour conclure, la loi d‘Okun est l‘outil qui permet d‘évaluer l‘aptitude de la croissance à créer des emplois. Toutefois, elle n‘est pas de portée internationale, elle varie selon les pays, d‘autant plus que c‘est une relation fondée sur un raisonnement empirique plutôt que théorique.

La courbe de Phillips

Supposons qu‘une croissance dans une économie donnée a accentué le taux de chômage. Quelles seront les conséquences de cette accentuation ? La courbe de Phillips est le moyen pour le savoir.
En 1958, Phillips décrit l‘impact du taux de chômage sur le salaire. Selon ses études empiriques effectuées sur des données du Royaume Uni, sur une période d‘un siècle entre 1861 et 1957, il existe une relation négative entre les deux variables : lorsque le taux de chômage augmente alors le salaire diminue, et inversement si le taux de chômage est faible alors le salaire s‘élève. En suivant la logique, cette relation négative est vraie car rappelons-nous, « le système marchand, ne peut concevoir l‘individu comme simplement un être humain, mais comme un facteur de production. Ce statut a l‘avantage de procurer à chacune et à chacun les moyens de subsistance : le salaire » (Patrick Mignard, 2012). La relation entre le taux de chômage et l‘inflation4 est traduite par l‘équation suivante : = −1−∝ −
Où est l‘inflation à la période t, le taux de chômage courant et le taux de chômage naturel. Cette relation entraîne donc que le taux de chômage courant est supérieur au taux de chômage naturel si et seulement si le taux d‘inflation à la période t est plus élevé que celui à la période t-1. A partir de cette équation, l‘impact de la variation du taux de chômage sur le salaire est obtenu par le rapport entre la dérivée de l‘inflation et la dérivée de la différence entre les taux de chômage courant et naturel. La formulation mathématique de cet impact est la suivante : ( ) =−∝
Elle est de signe négatif, d‘où la relation négative entre taux de chômage et taux d‘inflation.
Par synthèse, l‘élasticité de l‘emploi par rapport à la croissance permet de connaître de quelle proportion l‘emploi varie-t-elle suite à une augmentation de 1 point du taux de croissance. La loi d‘Okun est l‘outil nécessaire pour évaluer l‘aptitude de la croissance à absorber la demande supplémentaire d‘emploi, pour savoir si elle crée des opportunités d‘emploi ou au contraire accentue le chômage. Enfin, la courbe de Phillips montre l‘impact de la variation du taux de chômage sur l‘inflation.
Ces instruments sont tous utiles afin d‘évaluer l‘inclusion de la croissance économique du côté des opportunités économiques. Si telles sont les méthodes utilisées pour vérifier les opportunités économiques, qu‘en est-il des opportunités sociales ?

Recherche de la création d‘opportunités sociales

On entend par opportunités sociales, la réduction de la pauvreté et l‘apparition des éléments du développement humain et social tels que l‘éducation, la santé, la protection sociale, l‘assurance, les équipements urbains, amélioration de l‘hygiène, etc.
De ce fait, les indicateurs de pauvreté sont nécessaires car ils montrent si la pauvreté a été réduite et à quel point elle frappe la population. Ces indicateurs sont le ratio de pauvreté et l‘intensité de la pauvreté :
 le ratio de pauvreté : indique la proportion de la population vivant en dessous du seuil de pauvreté ;
 l‘intensité de la pauvreté : indique la proportion des pauvres dans le quintile le plus pauvre.
En plus, pour détecter si la croissance a effectivement aboutit au développement humain, il faut se référer à l‘Indice de Développement Humain (IDH) accessible dans les statistiques du Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD) depuis 1990.
Les travaux de l‘économiste Indien Amartya Sen en 1932 sur la théorie du développement, notamment le concept de « capabilités » (capabilities), constituent les fondements de l‘élaboration de l‘IDH. En effet, le concept de « capabilités » d‘Amartya Sen représente « l’ensemble des conditions d’existence ou d’action accessibles à l’individu et que ce dernier peut choisir de réaliser »5.
L‘IDH permet donc de mesurer le bien-être des populations. Il est fondé sur trois éléments, à savoir :
 le niveau de revenu mesuré par le PIB par tête ;
 l‘espérance de vie qui mesure la longévité ;
 l‘éducation.
Ainsi, l‘inclusion de la croissance en termes de développement humain et social est mesurée par l‘IDH dont la valeur est comprise entre 0 et 1.
La croissance inclusive consiste en premier lieu à offrir à l‘économie et aux agents économiques des opportunités tant économiques que sociales. La mesure de cette inclusion fait intervenir plusieurs concepts renommés. Mais il faut également mesurer l‘égalité dans l‘accès à ces opportunités, car la croissance est inclusive seulement si elle garantie l‘équité. Tel sera l‘objet de la section suivante.

Deuxième processus : Garantir l‘égalité d‘accès à ces opportunités

Garantir l‘égalité d‘accès aux opportunités fournies par la croissance sous entend lutter contre toute forme d‘inégalité dans l‘accès à ces opportunités. En outre, il ne s‘agit pas seulement de qui profite de la croissance, mais aussi selon quelle répartition.

Pourquoi lutter contre les inégalités ?

Effectivement, actuellement, « on produit pour produire et pour vendre avec des gaspillages colossaux et des inégalités flagrantes dans un système qui ne respecte pas l‘être humain en tant que tel » (Patrick Mignard, 2012)6. Ainsi, d‘une part, les inégalités défavorisent l‘équité. Et pourtant, la croissance inclusive est importante dans la mesure où elle se base sur l‘équité. Par conséquent, la croissance inclusive se propose de les réduire inévitablement. D‘autre part, les inégalités ont des effets de ralentissement sur la croissance économique. Il y a longtemps déjà, cette relation négative entre inégalité et croissance a été élaborée théoriquement. L‘encadré suivant vise à nous rappeler brièvement les revues de la littérature ayant traité les relations inégalité-croissance.

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Table des matières

Introduction
Partie 1 LES CONCEPTS DE CROISSANCE INCLUSIVE ET LES EXIGENCES EN MATIÈRE DE POLITIQUES MACROÉCONOMIQUES
CHAPITRE 1 : LES CONCEPTS DE CROISSANCE INCLUSIVE
A. APPROCHE AXÉE SUR LES RETOMBÉES DE LA CROISSANCE ÉCONOMIQUE
I. La croissance inclusive : un double processus
II. Méthode de recherche du double processus de la croissance inclusive
II.1. Premier processus : création des opportunités
II.1.1. Recherche de la création d‘emploi productif
1) L’élasticité croissance de l’emploi
2) La loi d’Okun
3) La courbe de Phillips
II.1.2. Recherche de la création d‘opportunités sociales
II.2. Deuxième processus : Garantir l‘égalité d‘accès à ces opportunités
II.2.1. Pourquoi lutter contre les inégalités ?
II.2.2. Comment mesurer l‘inégalité ?
1) L’indice de GINI
2) L’indice sexospécifique de développement humain: ISDH
B. APPROCHE AXÉE SUR L‘ESSENCE DE LA CROISSANCE ÉCONOMIQUE
CHAPITRE 2 : LA FINANCE INCLUSIVE : UNE STRATEGIE POUR UNE CROISSANCE INCLUSIVE
A. NOTION DE FINANCEMENT DES ACTIVITES ÉCONOMIQUES
I. Définition et importance du financement des activités économiques
II. Théorie sur les fonctions économiques du système financier
III. Les rôles des composantes du système bancaire
B. CONCEPT DE FINANCE INCLUSIVE
I. Définition du concept
II. Les liens entre la finance inclusive et la croissance inclusive
III. Les acteurs de la finance inclusive
III.1. Théorie sur les IMF
III.2. Élargissement du rôle de la banque centrale
III.2.1. La nécessité de la politique macroéconomique de l‘emploi productif
III.2.2. Les interventions envisageables
III.2.3. Cadres macroéconomiques sur l‘emploi productif : appel au rôle de la banque centrale
Partie 2 ANALYSE DE L’INCLUSION DE LA CROISSANCE ÉCONOMIQUE ET DE LA FINANCE À MADAGASCAR
CHAPITRE 1 : ANALYSE DE L’INCLUSION DE LA CROISSANCE ÉCONOMIQUE
A. ANALYSE DES RETOMBÉES DE LA CROISSANCE
I. Analyse de la création des opportunités économiques et sociales
I.1. Évaluation de la création d‘emploi productif
I.1.1. Élasticité de l‘emploi
I.1.2. Estimation du coefficient d‘Okun
I.1.3. Le type d‘emploi à Madagascar
1) Caractéristiques du chômage à Madagascar
2) Les caractéristiques de l’emploi créé
a) Emploi informel
b) Emploi précaire à faible revenu
I.2. Évaluation de la création du développement humain et social
I.2.1. Comparaison entre croissance par tête et ratio de pauvreté
I.2.2. Étude de l‘impact de la croissance sur l‘IDH
1) Analyse de l’évolution des composantes de l’IDH
2) Modèle économétrique reliant l’IDH et la variation du PIB/tête
a) Modèle et méthode
b) Données et résultats
c) Interprétation
II. Analyse des disparités dans l‘accès aux retombées de la croissance
II.1. Les disparités dans la structure de l‘emploi
II.1.1. Selon le milieu et le secteur institutionnel
II.1.2. Selon le genre et le secteur institutionnel
II.1.3. Part des emplois dans les entreprises formelles selon les régions
II.1.4. Selon le milieu de résidence et la branche d‘activité
II.2. Les disparités spatiales dans le développement humain et social
II.2.1. Mesure des inégalités de revenu
1) Inégalités de la redistribution du revenu
2) Inégalités dans la pauvreté
II.2.2. Mesure des inégalités dans le développement humain
1) Niveau de l’IDH selon les régions
2) Comparaison de l’ISDH à l’IDH
B. ÉVALUATION DU CLIMAT D‘INVESTISSEMENT
I. Situation de l‘investissement privé et de l‘Investissement Direct Étranger (IDE)
I.1. L‘investissement privé
I.2. Les IDEs
II. Situation actuelle du climat d‘investissement
III. Contraintes et faiblesses du climat d‘investissement à Madagascar
IV. Coûts engendrés par ces contraintes et faiblesses
CHAPITRE 2 : ANALYSE DE L’INCLUSION DE LA FINANCE À MADAGASCAR
A. ÉVALUATION DE L‘INCLUSION FINANCÈRE À MADAGASCAR
I. Fonctions et objectifs du secteur financier à Madagascar
II. Existence d‘une exclusion du financement bancaire
III. Analyse de l‘inclusion de la micro finance
III.1. Analyse des trois dimensions de la finance inclusive
III.2. Analyse de performance de la création d‘emplois formels au moyen de la micro finance
III.2.1. Brève présentation de la méthode de DEA
III.2.2. Application de la méthode DEA : analyse de performance des établissements de crédit exerçant des activités de micro finance dans la création d‘emplois formels
1) Le modèle
2) Interprétations des résultats
a) Les « scores » d’efficacité obtenus
b) Interprétation des écarts
B. QUELQUES REFORMES NÉCESSAIRES À LA FINANCE INCLUSIVE À MADAGASCAR
I. Reforme sur le rôle de la BCM
II. Idée pour le développement des activités des établissements de crédit exerçant des activités de micro finance
Conclusion Générale
Annexes
Annexe 1 : Liste des interventions en matière d‘emploi productif
Annexe 2 : Liste des établissements de crédit exerçant des activités de micro finance à Madagascar (juillet 2012)
Annexe 3 : L‘Alliance pour la Finance Inclusive (AFI)
Annexe 4 : Liste des banques commerciales opérant à Madagascar
Bibliographies

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