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le chômage conjoncturel :
Le chômage conjoncturel est appelé par certain auteurs « chômage cyclique ». Il résulte d’un ralentissement temporaire de la croissance économique provoquant ainsi une réduction temporaire des besoins de main d’œuvre dans l’économie.
Le chômage frictionnel :
Ce chômage correspond à la période nécessaire à un chômeur pour trouver un emploi qui lui convient. Selon Paul SAMUELSON, ce chômage est celui qui résulte des mouvements incessants des personnes entre les régions et les emplois passant souvent d’un emploi à un autre, soit pour trouver mieux, soit après avoir obtenu un obtenu un diplôme, soit encore pour avoir changer de ville 8 . Ce type de chômage est considéré comme le chômage involontaire, a dit monsieur DITEND YAV9.
Le chômage structurale :
Cela résulte d’un changement à long terme dans les structures économiques . C’est le chômage qui est lié aux déséquilibres deschangements de structures économiques dans un pays, provoquant une inadéquation qualitative entre l’offre et la demande de travail. L’évolution des ualificationsq dues aux évolutions techniques conduit à rendre inemployable une partie de la population active qui ne trouve plus d’emplois correspondant à ses qualifications.
Le chômage saisonnier :
Ce chômage concerne certain branches professio nnelles dont l’activité varie sensiblement selon les période de l’année.
Le chômage techniqu e :
Le chômage technique ou le chômage partiel corresp ond à une suspension ou à une réduction temporaire d’activité, et permet à l’employeur de réduire son horaire de travail ou de cesser son activité sur une période donnée dans des conditions strictes. Ce chômage résulte de l’interruption du processus de production.
Lorsque l’on évoque le chômage, il est toujours accompagné du terme « marché du travail », d’où l’importance de parler de celui-ci.
Le marché de travail
Selon les courants de pensée, le marché du ravailt peut avoir différents définitions .Selon l’analyse néoclassiques, le marché de travail fait l’objet d’une offre émanant de la population active et d’une demande qui émane des entreprises. C’est la confrontations de ces deux entités qui va établir le prix. Si un déséquilibre(exemple :chômage,…) persiste sur le marché cela peut être expliqué par l’existence de rigidité(exemple : l’existence de salaire minimum,…) qui empêche le retour à l’équilibre de l’offre et de la demande.
Sur le marché du travail, en particulier dans le continent Africain, c’est la question du sous-emploi qui pose problème aux actifs occupés. Ce sous-emploi peut être lié à la durée du travail ou à l’inadéquation de l’emploi.
A propos, du sous-emploi lié à la durée de travail, il touche les personnes qui travaillent moins de 35 heures par semaine et cela de manière involontaire. A Madagascar, ce phénomène touche plus de 10% de la population active et se sont les femmes qui sont les plus touchées avec 11,3% contre 9,9% chez les hommes.
Concernant, la situation d’emploi inadéquat, elle fait référence aux travailleurs dont la rémunération est inférieure au minimum garantie par la loi .A Madagascar, le SMIG, en 2012 est de 100 000 Ar par mois.
Après avoir pu parler du marché du travail, nous allons savoir maintenant, qu’est- ce que l’économie informelle ?
L’économie informelle
Dans les pays en voie de développement, l’économie informelle fait vivre une grande partie de la population. Elle est définie comme l’ensemble d’unité de production qui produise pour le marché et qui ne sont pas enregistré. Elle est donc définie comme l’ensemble des activités informels exercé dans le secteur informel. Mais pour J.P. PEEMANS, l’économie nformellei en Afrique, « c’est l’économie populaire séculaire qui appartient à un tissu de production existant avant la colonisation, mais qui a été à la oisf marginalisée et diversifiée par cette dernière et pendant une bonne partie de la post colonie »10
De nos jours, on peut différencier trois différentes économies informelles à savoir :
l’économie familiale et domestique:
Les principaux travaux de cette économie sont al transformation des achats alimentaire en bien de consommation, les activités de service (jardinage, le ménage, les petites réparations, …),et les activités de service à la personne. Dans les PED, toutes activités sont presque familiales à cause de l’aide des conjointes dans le travail de son mari et la rentrée tôt des enfants sur le marché du travail.
Selon une étude de l’INSEE (organisme français), « s’il fallait valoriser au prix du marché cette économie familiale, elle représenterait au moins une somme égale aux 2/3 du PIB ».11 De plus, favorisée par le haut niveau de chômage et le temps libre, cette économie semble en pleine expansion.
L’économie conviviale:
Ce phénomène est plus récent et elle est constitué par les activités d’entraide, d’animation sociale et de loisirs h ors de la famille, ne donnant pas lieu à une quelconque rémunération au sens de l’économieformelle. Les principaux travaux réalisés dans le cadre de l’économie conviviale sont : les services rendus à des voisins ou à des personnes âgées ou handicapées ; la production de petits objets et d’aliments vendus lors de fêtes et coup de main à eurl organisation ; la participation gratuite à l’organisation et au déroulement d’activités culturelles, syndicales ou politiques.
L’économie souterraine ou clandestine:
C’est l’ensemble des activités économiques qui échappent plus ou moins totalement au contrôle légal, fiscal et statistique de l’Etat. L’existence d’une importante économie souterraine est avant tout le signe d’un dysfonctionnement grave de l’économie formelle ou des services publics de l’État. Le dysfonctionnement peut être caractérisé par : la lourdeur de la pression fiscale qui pousse les entreprises à fuir l’impôt en créant des activités informelles ; la lenteur des règles administratives qui décourage toute initiative d’investissement; la réglementation sociale sur le salaire minimum, les allocations familiales, ou les charges parafiscales; et l’ouverture des frontières à la concurrence du marché mondial.
Cette économie regroupe trois formes d’activités èstr différentes :
l’économie souterraine générée par le travail aunoir ; l’économie générée par les délits économiques ; l’économie générée par les activités criminelles
Mais, ces différentes économies ont des points communs à savoir :
· elle échappe aux règles économiques et sociales, età l’intervention de l’Etat ;
· elle ne donne lieu à aucun prélèvement obligatoire que ce soit fiscal ou social ;
· et elle fausse le jeu de la libre concurrence par rapport aux activités légales, soit du fait de leur propre activité (travail au noir), soit du fait de l’intégration des sommes provenant d’activités délictuelles ou criminelles, cherchant à réinvestir comme le blanchiment d’argent.
Il est impossible de parler de secteur non structuré sans évoquer la notion de développement d’où le rubrique suivant.
Le développement
François PERROUX (1961) a défini le développement comme « la combinaison des changement mentaux et sociaux d’une population qui la rende apte à faire croitre cumulativement et durablement so n produits réels et globales ». Cette définition implique deux faits importants à savoir qu’une croissance peut se réaliser sans forcément avoir de développement et que ec phénomène est un processus de long terme ayant des effets durables.
Mais d’une manière simple, on peut définir el développement comme l’ensemble des changements qui entraine des effets positive sur l’économie et la population (amélioration du niveau de vie, enrichissement de la population, … ).C’ est donc un processus de satisfaction des besoins. Le terme « développement » est toujours associé à celui de progrès.
Pour mieux cerner, le phénomène de secteur nformel,i nous nous sommes pencher sur des termes important à sa voir : le secteur informel, le chômage, le marché du travail, l’économie informel et le développement mais maintenant nous allons parler des caractéristiques de ce secteur.
Les causes de la prolifération du secteur informel
D’après l’Organisation International du Travail (OIT), le nombre de chômeurs a presque atteint 202 millions dans l e monde en 2013 et le chômage des jeunes est particulièrement préoccupant. Dans esl pays en voie de développement, le secteur informel devient de plus en plus prospère et il est considéré comme un nouveau forme d’appauvrissement de la population . Les 2/3 des habitants de l’Amérique Latine vivent et travaillent dansle secteur informel.16 Se basant sur la définition eme de la 15 conférence des statisticiens du travail et dans une étude concernant une quinzaine de pays africains toutes régions confondues(Afrique du Nord, Afrique Sahélienne , Afrique Côtière, Afrique
Centrale,…)J. CHARMES donne les estimations sui vantes : le secteur informel représentait selon les pays 29% à 75% de la population active non agricole dans les années 1980. Dans les années 1990, ces taux sont passés à 25 voire 90%17 .
Et selon le BIT, en Asie et dans les pays de l’ASEAN, on évalue à environ 60 – 70 % le volume d’emploi créer par ce secteur. Tout cela montre l’ampleur de ce phénomène d’où la nécessité de poser la question suivante : Quels sont alors les origines de cet augmentation du secteur informel dans les pays en voie de développement ?
Les crises économiques et politiques
Les pays qui ont un secteur informel important sont dans la majorité des cas, des pays qui connaissent des crises économiques et politiques les plus fréquents. En effet, dans les pays en voie de développement, la plupart des pays sont frappés par des crises qui entraine la fermeture des entreprises et donc une réduction des emplois dans le secteur formel .
Deux enquêtes, réalisées en 1993-1994 à Yaoundé etn 1995 à Antananarivo avec l’appui des services statistiques nationaux, révèlent que le marché du travail urbain est particulièrement affecté par la crise économique. Dans la capitale du Cameroun, le taux de chômage atteint ainsi près de 25% en 1993. A Antananarivo, si le chômage est relativement faible (6% des actifs), le taux de sous-emploi (60% de la population active) et la part des inactifs ayant renoncé à chercher une activité (30%) faute de perspectives témoignent des difficultés économiques de la Grande Ile. Ce sont les jeunes qui paient le plus lourd tribut de la crise. A Yaoundé, 40% d’entre eux sont sans emploi et 12% à Antananarivo.
Cette situation pousse alors une partie de la population à entrer dans le secteur informel pour subvenir à leurs besoin s et à celui de leur famille .Donc, la plupart des individus qui ont rejoint le secteur informel le font car ils ne peuvent pas trouver d’emploi ou lancer une entreprise dans le secteur formel. Les enquêtes de Yaoundé et d’Antananarivo confirment le rôle majeur du secteur informel dans l’économie urbaine : le secteur informel occupe près de 60% des actifs alors que les entreprises privées « enregistrées » emploient 28% ed la main d’œuvre dans la capitale malgache et 14% dans celle du Cameroun.
Le développement du secteur informel est aussi une conséquence directe de chocs économiques exogènes qu’ont subit les économies africaines : passage d’une économie planifiée à une économie de marché, dévalution du CFA18 en 1994,… Le développement du secteur informel est donc une conséquences majeure de ces crises économiques et sociaux qui laisse aucun autre choix aux chômeurs que d’exercer dans l’informel.
Explosion démographique
Depuis de nombreuses années, les PED connaissent une forte croissance démographique qui ne cesse de s’accroitre de jour en jour. Ainsi, nous illustrons cela par l’exemple de l’Afrique qui aura franchi le cap symbolique d’un milliard d’habitants durant l’année 2009.
Sa croissance démographique est d’ors et déjà impressionnante : de cent trente trois (133) millions d’habitants en 1900 (8% de la population mondiale), elle atteint deux cent vingt cinq (225) millions en 1950 (8,8% de la population mondiale), sept cent soixante sept (767) millions en 1999 (12,8% de la population mondiale) et enfin un milliard en 2009 (14% de la population mondiale). Cette expansion démographique est loin d’être finie car l’Afrique connait encor la plus forte fécondité au monde avec 4,6 enfants par femme contre 2,5 au niveau mondial.
Selon les projections à long terme des Nations U nies, le poids démographique de l’Afrique ne cessera de croître. Sa population devrait atteindre 2,3 milliards en 2050, soit 22,6 % des habitants de la planète. Cette croissance pour la seule région de l’Afrique sub-saharienne s’élevait à un taux annuel moyen de 2,5% sur la période de 1997 à 2006, ce qui la classe comme une des parties du monde les plus densément peuplée. Pourtant, le taux de croissance démographique relativement élevé et la jeunesse de la population constituent à la fois une poten tialité et un risque pour les pays. On est donc en présence d’ une offre de travail qui est caractérisée par un afflux important d’offre de travail, une mauvaise qualité de cette offre et une insertion précoce des enfants sur le marché du travail.
Ainsi, l’insertion précoce des enfants sur le marché du travail est non négligeable. C’est le cas par exemple, à Madagascar en 2 005, où plus de 10% de la population active ont entre 6 et 15 ans. En particulier, pour la région d’Androy, plus d’un quart de la main d’œuvre disponible sont des enfants qui va entrainer un déséquilibre entre demande et offre de travail puisque la demande n’arrive pas à suivre l’offre. Il a donc une augmenta tion de nombre de chômeurs qui vont conduire à l’expansion du secteur inform el.
L’exode rural
Il est primordial de savoir qu’il existe un lien important entre accroissement démographique et exode rurale. En effet, le poids démographique, pousse les jeunes à fuir leurs campagnes pour s’installer dans les villes et rechercher un emploi puisque dans le milieu rurale , la vie est dure et l’insécurité règne. Dans cet environnement, la population rurale vive dans le minimum nécessaire avec un revenu de subsistance qui ne leur permet que de survivre.
Pour la plupart, d’entre eux la ville constitue un moyen idéal pour fuir ce mode de vie et c’est surtout les jeune qui sont les plus attirer par la perspective de venir dans les villes. Dans ce sens, ils viennent dans les villes pour avoir un avenir meilleur mais la réalité est tout autre.
Selon les Nations Unies, en Afrique sub-saharienne, sur la période des années 1950 aux années 2000, la population urbaine été multipliée par 10. Ainsi, la proportion de personne habitant dans les villes atteignait 33% en 2000 contre 10% en 1950. A l’horizon 2025, le taux d’urbanisation en Afrique sub-saharienne devrait osciller entre 41,2 % et 66,6 %.
Ainsi, d’ici un peu moins de 30 ans, les urbains devraient être plus nombreux que les ruraux en Afrique, comme dans le reste du monde19. Face à l’augmentation de la population urbaine, les travails ne suffisent plus et les migrants trouveront dans le secteur informel un moyen de survivre. Les taux continuellement élevés d’urbanisation ont engendré une augmentation sans précédent du secteur informel.
Le manque de qualification, de formation et la pauvreté
Le niveau d’éducation atteint joue un rôle important dans la probabilité d’avoir un emploi plus productif et mieux rémunéré. En effet, plus le niveau d’éducation d’un individu est faible plus il lui est difficile de trouver un emploi.
De plus, le système de formation professionnelle qui doit assurer la formation initiale des jeunes est peu diversifié et répond de manière insatisfaisante aux besoins du marché et face à cela on assiste à une manque de qualification de la main d’œuvre .
Pourtant, le manque de qualification peut être à l’origine de la prolifération du secteur informel. A Madagascar par exemple, la situation en matière de qualité de l’offre de travail est similaire aux faiblesses observées au niveau de nombreux pays africains, avec plus de 83% de la population active qui n’ont pas dépassé le niveau d’éducation primaire, et à peine 3% qui ont accédé à l’enseignement supérieur. Dans certaines régions du pays, (Androy, Ihorombe, Atsimo, Atsinanana), plus de la moitié de la main d’œuvre disponi ble n’a pas été scolarisée.
De ce fait, il s’avère très difficile de trouver un emploi, dans le secteur formel en particulier pour les nouveaux diplô més et les migrants qui n’ont aucun expériences , aucun qualifications dans le monde du travail. Cela constitue un handicap dans la mesure où les entreprises n’embauchent que des personnes expérimentés. En plus de cela, une grande partie de la population des pays en voie de développement ne savent ni écrire in lire et cela peut constituer un véritable obstacle dans la recherche d’un emploi.
A Madagascar selon l’INSTAT, plus de 14% des jeunes sont sans instruction, près de 42% n’achèvent pas les classes de primaire et 6% seulement atteignent la fin des classes primaires. Ainsi, 34% des jeunes ne peuvent pas terminer les classes secondaires si 1,4% seulement arrivent à termine r ce cycle. Enfin, 2,3% des jeunes passent en classes supérieures.
Puis, en ce qui concerne la formation, il n’est pas à la portée de tout le monde puisque qu’une grande partie de la population des PED vivent dans la pauvreté. Selon l’édition 1997 du Rapport sur le développement humain du Programme des Nations Unies pour le Développement ( PNUD), près de 40% des 590 millions d’habitants de l’Afrique subsaharienne, soit 220 millions de personnes, sont en-dessous du seuil de pauvreté absolue. Selon les données fournies par « Abolissons la pauvreté» le portrait mondial de la pauvreté en 2007 est accablant. Non seulement la pauvreté décime-t-lle toujours des populations entières, mais les organismes internationaux notent une aggravation généralisée du phénomène.
D’une manière général, la plupart de la population ont déjà beaucoup de mal à faire vivre leurs famille ,alors ils n e seront pas prêt à payer pour une formation même si cela peuvent les aider dans un avenir proche. Alors même, si il y a des postes disponibles le manque de qualification et de formation seront toujours un frein, d’où la seule possibilité est d’entrée dans le secteur informel pour avoir une chance de survivre.
L’existence d’un système administratif et légal contraignant et dissuasif
Dans les pays où le secteur informel est constamment en accroissement, l’environnement juridico- administratif incite les entrepreneurs à contourner les procédures légales et à fuir l’ impôt, c’est à dire à développer leur activité en dehors du cadre légal. La complexité et la lenteur de la procédure administrative, le délais d’enregistrement sont parmi les raisons qui poussent les individus à entrer dans le secteur informel au détriment de secteur formel.
Pour obtenir, un statut légal les unités de productions doivent suivre certain démarche officiel .L’ encadré 1(Annexe 1) suivant montre le parcours du combattant des PME Malagasy menant à l’enreg istrement pour le cas de Madagascar depuis 1998 jusqu’aujourd’hui.
Le parcours se résume, donc, ainsi : tout d’abord, l’entrepreneur doit se déclarer auprès du Fokontany dans lequel son établissement est circonscrit. Puis, il est censé remplir une déclaration d’existence aux ontributionsc et payer la patente, puis demander une carte statistique à l’INSTAT. Ensuite, il retourne aux contributions afin d’obtenir sa carte professionnelle (plus connus sous le nom de « carte rouge »), qui devrait être renouvelée chaque année et lui donnera la possibilité de se fournir chez les grossistes.
Enfin, il peut s’inscrire au registre du commerce, ce qui lui permettra de recourir au système judiciaire en cas de litige, et de se faire connaître en apparaissant au journal officiel. Toutes ces différentes démarches montrent à quel point la procédure est complexe, ce qui décourage les ntrepreneurs et les incite à poursuivre leur activité dans l’informel.
Pour résumer cette première partie, on peut dire que le secteur informel est devenu indispensable dans les PED depuis de nombreuses années puisque qu’il joue un rôle important dans l’économie de ces pays même s’il ralentie leur économie et les empêche d’avoir une croissance durable. Dans cette deuxième partie, notre étude se basera urs Antananarivo la capitale de Madagascar et plus particulièrement le cas des petits commerces dans cette ville.
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Table des matières
PARTIE1: CONSIDERATION GENERALE DU SECTEUR INFORMEL
Chapitre 1 : LES CONCEPTS CLEFS
Section 1 : Le secteur informel
Section 2 : le chômage
Section 3 : Le marché de travail
Section 4 :L’économie informelle
Section 5 : Le développement
Chapitre 2 : Les caractéristiques du secteur informel
Chapitre 3 : Les causes de la prolifération du secteur informel
Section 1 : les crises économiques et politiques
Section 2 : Explosion démographique
Section 3 : L’exode rural
Section-4 : Le manque de qualification, de formation et la pauvreté
Section 5 :L’existence d’un système administratif et légal contraignant et dissuasif
PARTIE 2 : LE SECTEUR INFORMEL A MADAGASCAR : Le cas du petit commerce dans l’agglomération d’Antananarivo Erreur ! Signet non défini.
Chapitre1 : la place du petit commerce à Antananarivo
Chapitre 2 : les catégories du petit commerce et ses caractéristiques
Section 1 : Le commerce de « fruits » et de « légume »
Section 2 : Les gargotes
Section 3 : Les boucheries
Section 4 : Les combustibles
Section 5 : Le commerce des appareils électroniques et informatiques
Chapitre 3 : les causes de l’augmentation du petit commerce dans la capitale malgache
Section 1 : Les crises économiques
Section 2 : Le chômage
Section 3 : La pauvreté et l’exode rurale
Section 4 : Les faiblesses de la formation professionnelle à Madagascar
Chapitre 4 : Conséquences de ce petit commerce dans la capitale
Section 1 : Au niveau de l’emploi
Section 2 : An niveau de la fiscalité
Section 3 : Sur le plan social
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE
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