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Tissu agricole
Depuis l’antiquité, la région était d’une grande importance pour les populations autochtones et un point d’attrait pour celles allochtones voire même conquérantes.
En effet, les vestiges archéologiques qui y ont été rencontrées sont le meilleur témoin des diverses conditions biogéographiques du milieu.
Ainsi, les sites néolithiques qui portaient le nom d’escargotières, et ce puisque, des tests d’escargots d’eau douce des lacs de l’époque capsienne, qui témoignent une prétention à paraître plus qu’il n’est, incitaient au développement de ces sites aux bordures de ces derniers.
Des sites romains d’envergure plus importante et plus récentes d’ailleurs, sont aussi à signalées, entre autres les vestiges d’anciennes huileries, notamment celle sise à BERZGUENE, qui laissent deviner la floraison de l’olivaie.
Ce ne sont pas les seuls indices révélateurs de la richesse de la région, puisqu’ à un moment donné les romains, eux même, l’appelaient la région du blé.
Une politique planifiée, intuitive et objective pourra remettre en valeur ces sites, et dans une vision touristique, elles constitueront par conséquent, et sans contestation, avec un aménagement et une exploitation sensés de la foret de TAGGA, une source qui contribuera d’avantage au développement économique et social, longuement souhaités et attendus par les citoyens.
Á l’époque contemporaine, la région était victime d’une négligence, quoi que non voulue, et de ce fait, l’activité des citoyens se limitait aux seuls disciplines d’agriculture traditionnelle (grandes cultures), et de pastoralisme. Elle a alors constitué jusqu’à ces dernières années, et continue à l’être, une zone de parcours et de transhumance des troupeaux de bétail.
L’adoption du programme du fond national du développement agricole (FNDRA) a, quand même était une bouffée d’oxygène, et a ravivé le secteur et permis de réintroduire d’autres pratiques culturales, ce qui a permis la multiplication de la surface agricole, tels que l’arboriculture (surtout fruitière), la culture maraîchère, et d’élevage (aviculture, l’apiculture, la cuniculture…etc.).
Contexte industriel
Le réveil, quant à l’activité industrielle, ne s’est fait sentir que très récemment, et ce n’est qu’au début des années 90, du siècle écoulé, que la région voit s’édifier sa première usine ; filiale société de ciment et dérivés de Tébessa (ciment PORTLAND), suivie de la fabrique du verre (ENAVA) et ensuite l’entreprise nationale des tubes roulés et transformation des produits métalliques (ANABIB), qui sont un acquis et un moyen de développement.
Habitat et urbanisme
Les contrastes physiques, les stratégies socio-économiques héritées ont concouru et influencé le mode d’occupation actuel du territoire ainsi que son aménagement. En effet, zone frontalière et de transit entre le Nord et le Sud, elle présente une différence dans son tissu. Peu peuplée, et économiquement moins développée, conséquence de nombreux facteurs ; la concentration des activités au chef lieu de la wilaya, ainsi que des atouts et potentialités dont elle réjouit.
Comme déjà signalé plus haut, seules les chefs lieu de communes à savoir, Houidjbet et El Malabiod, sont les points d’attrait des populations. Pour ce qui est de la répartition, le moindre qu’on puisse dire c’est qu’elle est anarchique et est surtout fonction des activités et occupations des citoyens.
Le système urbain de la région se distingue par la double spécificité du territoire qu’il domine. La première, liée au caractère steppique (plus de 75% de son extension), la seconde, quant à elle, aux attributs frontaliers. Le phénomène d’urbanisation dans les couloires de la wilaya, principalement le long de l’axe Ouenza- El Aouinet- Tébessa- Bir El Ater n’est pas nouveau. Il a commencé avec l’implantation des premiers centres de colonisation : ancien centre colonial, carrefour de control frontalier.
Le couvert végétal
Introduction
Personne ne peut nier l’intérêt du tapis que constitue une quelconque végétation, quelqu’elle en soit la nature et surtout l’envergure. Sans aucun doute, ce dernier, outre le rôle protecteur qu’il assure, contre toute forme d’érosion qui guette le patrimoine, son impact est aussi irréfutable quant aux précipitations. En effet, la vitesse, le temps ainsi que les conséquences d’une crue ou d’un ruissellement sont inversement proportionnels à son degré de développement, son abondance et son taux d’occupation du sol.
Á ne pas omettre bien sûr son influence sur la reprise des quantités d’eau ruisselées ou partiellement infiltrées ; par une action naturelle communément connue sous l’appellation (Transpiration) qui, conjuguée à celle physique (Évaporation), constituent un continuel souci (Évapotranspiration), même pour les spécialistes, vue les pertes en matière hydrique dont elles en sont responsables.
Dans la région d’El Malabiod, il est question bien sûr de terres agricoles (Domaniales, Ârch et privées), de terrains improductifs (surfaces en friches) et de foret…etc.
Le domaine forestier
Les forets
Les forets dans la région sont marquées par des conditions naturelles difficiles et subissent un surpâturage lié au surnombre du troupeau de cheptel ovin et caprin. Elles présentent une proportion élevée de peuplements dégradés et ouverts dont le volume sur pied est généralement faible.
Elles constituent néanmoins un capital qu’il convient de protéger en le préservant des dégradations naturelles, humaine et animales. Ces dernières représentent l’un des grands pourcentages du patrimoine, respectivement 20,30% et 27,10% pour El Malabiod et Houidjbet.
Aperçu géomorphologique
L’apport des résultats de recherches géologiques ainsi que les études géomorphologiques est incontestable ; quant à son exploitation en hydrologie et surtout dans l’investigation des eaux souterraines, la connaissance des différentes formations qui peuvent se comporter comme aquifères, leur modes d’alimentation, et par conséquent la détermination de leur intérêt en la matière.
L’évolution morphologique se rapportant au dit secteur a conduit à un façonnement du relief, d’où diverses formes morphologiques typiques d’un terrain sédimentaire sont décelables dans le bassin d’El Malabiod, on cite entre autres :
Les plaines
Ce sont de vastes étendues planes intermontagneuses, leur envergure est d’une dizaine de kilomètres, alors que leur allongement prend une orientation Nord-est – Sud-Ouest ou encore, Nord-Sud. La dénivellation y est faible relativement, par rapport à l’ensemble du territoire, traduisant une topographie, localement, régulière, si ce n’est l’apparition de quelques roches résiduelles dispersées (d’environ 10M de dénivellation).
Les collines
Ces formes se présentent, entre les formations du miocène, comme des îles, puisqu’il s’agissait initialement de horsts ou de restes de bassin versant ; ayant subi une activité tectonique très dense. Leur importance se fait beaucoup plus sentir dans l’éventuelle alimentation de l’aquifère du miocène.
Ainsi, et de par leur répartition et leurs caractéristiques hydrogéologiques, elles peuvent avoir une double fin ; indépendamment l’une de l’autre, dans notre terrain :
Elle peuvent jouer le rôle de pièges d’eau souterrains ; une fois qu’elles sont constituées de formations imperméables (argiles, marnes, calcaires compacts …etc.).
Comme elles peuvent aussi se comporter comme une source d’alimentation secondaire de la nappe principale, dans le cas contraire, caractère qui peut leur être conféré par leurs aptitudes perméables, s’il pourrait s’agir de calcaires fissurés-karstifiés.
Le bassin versant
Les formations constituantes du bassin versant, entre autres les marnes, les marno-calcaire…, remontent à l’age Crétacé ; elles sont très marquées par les divers mouvements tectoniques (failles, plissements…) dont la région était sujette. Elles représentent la base ancienne, sur laquelle viennent se déposer les matériaux du Miocène. L’intérêt hydrogéologique dont il pourrait être question, réside dans l’expansion du phénomène de karstification des calcaires d’entre ces derniers.
La dépression du Miocène
Ce sont surtout des grés, des sables et des argiles rouges, recouverts de colluvions et d’alluvions bordant les rivières, qui forment les matériaux du remplissage miocène. Connus par leur bonne perméabilité, ils forment ainsi une nappe dont l’intérêt ne cesse de se révéler.
Les nombreux puits et forages qui y sont implantés le témoignent, notamment par leurs débits.
Le confinement : bassin versant- cuvette du Miocène
Le contact entre les formations du Crétacé et celles qui lui sont confins ; du Miocène, est surtout matérialisé par des éboulis, qu’on trouve bien représentés au Nord.
Ils constituent des points d’intérêt, et ce, grâce à leurs propriétés hydrodynamiques appréciables, et se comportent de ce fait comme opportunités d’infiltration, d’emmagasinement et d’alimentation.
Les lits des oueds
Les écoulements torrentiels et les crues sont à l’origine d’une érosion inquiétante, d’où résultent les formes des lits d’oueds. Ces derniers sont tributaires des précipitations irrégulières, et sont par conséquent asséchés. On y distingue les terrasses et les formations du Miocène supérieur.
Les alluvions du Quaternaires
Les formations alluvionnaires sont de faible puissance, donc aucune importance hydrogéologique ne leur est accordée, et il n’est pas aussi évident d’ailleurs, de différencier basse, moyenne et haute terrasse, l’une de l’autre.
Les sources
Le contact formations crétacé- remplissage miocène favorise l’apparition de sources dans le secteur, elles y sont pratiquement toutes localisées, quoi qu’actuellement, elles sont, malheureusement toutes taries, exceptées celles localisées dans la commune de Houidjbet (Ain Taga et Ain Mansoura). Auparavant, elles contribuaient à la satisfaction des divers besoins des citoyens qui lui sont proches (abreuvement de cheptel, AEP…).
Les barrières rocheuses
Barrière du Nord ; constituée par des séries de massifs montagneuses imposantes, dans une direction Nord-Est – Sud-Ouest, sur presque 60KM sans discontinuités, dont les djebels Arrour, Doukkane (culminant à 1 712M), Tella, Anoual et Bouroumane. Elle forme, comme signalée plus haut, une ligne de partage des eaux entre les deux grands bassins versants ; Mellègue et Melhrir. Barrière du Sud ; en similitude avec la précédente ; sur le plan orientation et comportement hydrologique (ligne de partage des eaux), elle se voit jouer le rôle d’un cordon, du côté sud, par la série de monts de Fouwa, Botna et Saf Saf.
Les massifs montagneux de Boudjellal, El Outed et Ed’Dalaâ font partager le secteur en épousant l’allure d’une troisième cordelière, au milieu, culminant à 1 496M. D’où la plaine de Boudjellal, au Sud et celle d’El Malabiod, au Nord.
Étude physique du bassin versant
Caractéristiques de forme
La surface
Dans une fin de déterminer ses caractéristiques, il a été d’abord question de délimiter le bassin versant et de lui choisir un exutoire (Oued El Malabiod).
Sur une carte topographique, 1/ 200 000, il a été procédé à la détermination de la surface ; qui peut être mesurée, soit par superposition d’une grille dessinée sur papier transparent, soit par l’utilisation d’un planimètre ou, mieux, par des techniques de digitalisation. Le périmètre, quant à lui, est déterminé à l’aide d’un curvimètre.
Alors, sur un périmètre de l’ordre de 111,8KM, ce bassin couvre une superficie de 648 KM2.
Le Crétacé
Le Crétacé inférieur
L’Aptien
Rencontré à la partie nord de la région d’étude où il a été noté l’affleurement, au flanc Est de Djebel Bouroumane, d’un ensemble de calcaires dolomitiques durs et massifs, avec la présence locale d’Oolites ferrugineuses, d’Ammonites et de Foraminifères.
Au Nord et au Sud du dit anticlinal, la série s’étend de 7 à 175M, sur une épaisseur de 400M en moyenne. La partie inférieure est presque entièrement dolomitique. Il a été aussi signalé une abondance d’Orbitolines ainsi que la présence de quelques Rudistes dans les intercalations des calcaires rogneux. Des Echinides et quelques Lamellibranches se trouvent au sommet, dans des calcaires en petits bancs massifs.
Plus au Sud, à une profondeur de 2 040M, la série suscitée a une puissance de 850M (BDJ-2), tandis qu’au Sud-Est, elle est relativement faible ; 116M.
L’Aptien inférieur
Son apparition était confirmée lors de l’exécution du forage pétrolier (BDJ-2), à Koudiet Adeïla, à la cote de 2 786M. Il se caractérise par des alternances de calcaires gris foncés, compacts, cryptocristallins, parfois argileux et des marnes gris foncées, compactes silteuses, finement pyriteuses, argiles grises à gris foncées, feuilletées, carbonatées.
L’Aptien moyen
Le rapport du même forage (BDJ-2) confirme sa présence, à 2 531M, sous forme de calcaires gris clairs à brunâtres, durs, compacts, bioclastiques, pseudo Oolitiques légèrement dolomitiques avec fines passes d’argiles vertes et grises légèrement carbonatées, souvent feuilletées.
L’Aptien supérieur
Il a été décrit comme des calcaires massifs gris ou roux, bien au Nord (à Djebel Bouroumane), avec quelques mètres, d’intercalations de marnes et de marno-calcaires. Il est marqué par une présence très fréquente d’Orbitolines. Il est signalé à 2 316M, au cours de la réalisation du forage (BDJ-2), au Sud. Il s’agit de calcaires gris clairs, gris foncés, Oolitiques, bioclastiques parfois cryptocristallins, rarement argileux avec intercalations d’argiles grises, noirâtres, indurées, feuilletées, rarement silteuses et pyriteuses.
Le Clansaysien C1
Une série de bancs de calcaires massifs, gris à débris d’Huîtres ou d’Oolites avec des zones tendres, renfermant une faune du groupe Parahoplites sp, avec des cardiums inditerminés. Celle-ci prend place au versant Ouest de Djebel Bouroumane.
Les assises calcaires contiennent des Rudistes mais au sommet, les bancs deviennent Lumachelliques avec des intercalations gréseuses.
L’Albien inférieur C2
Au Nord de la région d’étude, à Djebel Doukkane et Bouroumane, il est plutôt question d’une alternance de bancs calcaires bruns, épais à Ostréa Latissima, avec un banc de calcaires à Rudistes. Au sommet, c’est surtout des marnes jaunes à Ammonites pyriteuses.
Tandis qu’au Sud, conformément aux données du forage pétrolier (BDJ-2), cette série est rencontrée à un enfoncement de 1 750M, il a été relevé la succession, qui décrite de bas en haut, fait révéler :
Des calcaires Oolitiques gris clairs, blanchâtres, compacts, souvent crayeux bioclastiques ou graveleux, avec traces de Foraminifères et intercalation d’argiles grises.
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Table des matières
Préambule
1. CHAPITRE I CADRE GÉNÉRAL ET MILIEU PHYSIQUE
I – Introduction
II – Situation géographique
III – Aperçu soci-économique de la région
III – 1- Population et démographie
III – 2- Tissu agricole
III – 3- Contexte industriel
III – 4- Habitat et urbanisme
III – 5- Organisation administrative
IV – Le couvert végétal
IV – 1 – Introduction
IV – 2 – Le domaine forestier
IV – 2 – a- Les forets
IV – 2 – b- Les parcours
IV – 2 – c- Les terres incultes et improductives
IV – 3- Le domaine agricole
V – La topographie
VI – Aperçu géomorphologique
VI – 1- Les plaines
VI – 2- Les collines
VI – 3- Le bassin versant
VI – 4- La dépression du Miocène
VI – 5- Le confinement : bassin versant- cuvette du Miocène
VI – 6- Les lits des Oueds
VI – 7- Les alluvions du Quaternaires
VI – 8- Les sources
VI – 9- Les barrières rocheuses
VII – Étude physique du bassin versant
VII – 1- Caractéristiques de forme
VII – 1- a- La surface
VII – 1- b- La forme du bassin
VII – 1- c- Les dimensions du rectangle équivalent
VII – 2- Le relief
VII – 2- 1 – La courbe hypsométrique
VII – 2- 1- a- Répartition des tranches d’altitudes et élaboration de la courbe
VII – 2- 2- Les altitudes caractéristiques
VII – 2- 2- 1- Les altitudes maximale et minimale
VII – 2- 2- 2- L’altitude moyenne
VII – 2- 2- 3- L’altitude médiane
VII – 2- 3- Les pentes
VII – 2- 3- a- La pente moyenne
VII – 2- 3- b- Les indices de pente
VII – 2- 3- b1- L’indice global de pente (Ig)
VII – 2- 3- b2- La dénivelée spécifique (Ds)
VII – 2- 3- c- L’indice de pente de Roche (Ip)
VII – 3- Hydrographie
VII – 3- 1- Réseau hydrographique
VII – 3- 2- Le degré de développement du réseau
VII – 3- 2-a- La densité de drainage
VII – 3- 3- Le temps de concentration
Conclusion
LES CARACTÉRISTIQUES GÉOLOGIQUES
I – Introduction
II – Stratigraphie
II – 1- Le secondaire
II – 1- 1- Le Trias
II – 1- 2 – Le Crétacé
II – 1- 2- 1- Le Crétacé inférieur
II – 1– 2- 1- a- L’Aptien
II – 1– 2- 1- a1- L’Aptien inférieur
II – 1- 2 – 1 – a2- L’Aptien moyen
II – 1- 2 – 1 – a3- L’Aptien supérieur
II – 1- 2 – 1- b- Le Clansaysien (C1)
II – 1- 2 – 1- c- L’Albien inférieur (C2)
II – 1- 2 – 1- d- Le Vraconien – Albien supérieur (C3)
II – 1- 2- 2- Le Crétacé supérieur
II – 1- 2- 2– 1- Le Cénomanien
II –1 – 2- 2 – 1 – a- Le Cénomanien inférieur (C4a)
II –1- 2- 2 – 1 – b- Le Cénomanien moyen (C5a)
II –1- 2- 2 – 1 – c- Le Cénomanien supérieur (C5b)
II –1- 2 – 2- 2- Le Turonien (C6a, C6b, C6c)
II –1- 2 – 2- 2– a- Le Turonien inférieur (C6a)
II –1- 2 – 2 –2- b- Le Turonien moyen (C6b)
II –1- 2 – 2- 2– c- Le Turonien supérieur (C6c)
II –1- 2- 2 – 3- L’Emscherien (C7) (Coniacien et Santonien)
II –1- 2- 2 – 4- Le Campanien (C8)
II –1- 2- 2 – 5- Le Maestrichtien
II –1- 2- 2 – 5 – a- Le Maestrichtien inférieur (C9a)
II –1- 2- 2 – 5 – b- Le Maestrichtien moyen (C9b)
II –2- Le Tertiaire
II –2- 1- Le Paléocène
II – 2- 1- 1- L’Éocène inférieur et le Crétacé supérieur
II – 2- 1– 2- Le Paléocène supérieur
II – 2- 1– 3- L’Éocène inférieur et moyen
II –2- 2- Le Miocène
II –2- 2– 1- Le Miocène inférieur et moyen (Vindobonien et Burdigalien)
II –2- 2– 2- Le Miocène supérieur (Pontien)
II –2- 3– Le Pliocène
III – Le Quaternaire
III –1- Les Conglomérats
III –2- La croûte calcaire
III –3- Les dépôts de sources
III –4- La nappe des cailloux
III –5- Les dépôts actuels
IV – Tectonique de la région
IV –1– Style tectonique
IV – 2- Phases tectoniques
IV – 3- Les mouvements récents
V – La paléogéographie
Conclusion
CHAPITRE III LES CARACTÉRISTIQUES CLIMATIQUES ET HYDROLOGIQUES DU BASSIN D’EL MALABIOD
I – Introduction
II – Réseau d’observation
III – 1- Le régime des vents
III – 2- L’humidité relative de l’air
III – 3- La neige
III – 4- La pluviométrie
III – 4- 1- Les précipitations annuelles et leur variabilité
III – 4- 2- Estimation de la lame d’eau précipitée
III – 4- 2- a- Méthode de la moyenne arithmétique
III – 4- 2- b- Méthode de la moyenne de Thiessen
III – 4- 2- c- Méthode des isohyètes
III – 4- 2- d- Commentaire
III – 4- 3- Les précipitations mensuelles
III – 4- 4- Le régime mensuel
III – 5- Les températures
III – 5- 1- Modèle de Laplace
III – 5- 2- Modèle de BNEDER
III – 5- 3- Réciprocité des deux modèles et corrélations
III – 5- 4- Dépouillement statistique des données de température calculées
III – 5- 4- a- Examen de la normalité des températures
III – 5- 5- Variation des températures et régime thermique
III – 6- Détermination des indices climatiques
III – 6- 1- L’indice d’aridité de E. DE Martone
III – 6- 2- L’indice d’aridité mensuel
III – 3- Diagramme pluviothermique
IV – Le bilan hydrique
IV – 1- Étude de l’Évapotranspiration
IV – 1- 1- Estimation de l’évapotranspiration réelle (ETR)
IV – 1- 1- a- Formule de L. Turc
IV – 1- 1- b- Formule de Coutagne
IV – 1- 2- Estimation de l’évapotranspiration potentielle (ETP)
IV – 1- 2- 1- Formule de C.W. Thornthwaite
IV – 1- 2- 2- Formule de L. Turc
IV – 1- 2- 3- Discussion des résultats
IV – 2- Estimation de la réserve facilement utilisable
IV – 3- Indice thermique mensuel
IV – 4- Indice thermique annuel
IV– 5- Bilan d’eau par la méthode de C. W. Thornthwaite
IV – 6- Répartition des précipitations
IV – 6- 1- Le ruissellement
IV – 6- 2- L’infiltration
Conclusion
CHAPITRE IV LES CARACTÉRISTIQUES HYDROGÉOLOGIQUES DU SYSTÈME AQUIFÈRE DANS LE BASSIN D’EL MALABIOD
4. 1. CHAPITRE
IV- 1 COMPORTEMENT GÉOMETRIQUE DU SYSTEME AQUIFÈRE
I – Introduction
II – Établissement de quelques profils géoélectriques
II – 1- Profil transversal I (Nord-Sud)
II – 1- a – Horizon-1
II – 1- b – Horizon-2
II – 1- c – Horizon-3
II – 2- Profil transversal II (Nord-Sud)
II – 2- a – Horizon-1
II – 2- b – Horizon-2
II – 2- c – Horizon-3
II – 4- Profil longitudinal IV (Sud-Ouest–Nord-Est)
II – 4- a – Horizon-1
II – 4- b – Horizon-2
II – 4- c – Horizon-3
II – 5- Profil longitudinal V (Sud-Ouest Nord-Est)
II – 6- Conclusion
III – Les cartes isopaches
III – 1- Délimitation des zones favorables
III –1-a- Carte d’égale épaisseur des sables
III –1-b- Carte d’égale épaisseur des grès
III –1-c- Carte d’égale épaisseur des argiles sableuses
Conclusion
CHAPITRE IV- 2 LES DIFFÉRENTES NAPPES AQUIFÈRES
I – Introduction
II – Structure du système
II – 1- La nappe alluviale
II – 1- 1- Exploitation de la nappe
II – 2 – La nappe du Miocène
II – 2 –1- Extension et alimentation de la nappe
II – 2 –2- Structure et intérêt des formations calcaires et gréseuses
III – Inventaire des points d’eau
IV – Essai de suivi de la piézomètrie
V – Apports du système et conditions aux limites
VI – Estimation et répartition des paramètres hydrodynamiques
VI – 1- Carte de perméabilité
VI – 2- Carte de transmissivité
VI – 3- Synthèse des deux cartes (transmissivité / perméabilité)
Conclusion
CHAPITRE V QALITÉ DES EAUX DANS LE BASSIN D’EL MALABIOD
I – Introduction
II – Paramètres physico-chimiques et identification des faciès
II – 1- Paramètres physiques
II – 1- a- La température
II – 1- b- Le potentiel d’hydrogène
II – 1- c- La conductivité
II – 2- Paramètres et faciès chimiques
II – 2- 1- Les eaux de sources
II- 2- 2- Les eaux de surface
II- 2- 3- Les eaux souterraines
III – Les eaux de la région d’El Malabiod et leur habilitation pour l’irrigation
III – 1- Introduction
III – 2- Risque de salinité
III – 2- a- Salinisation
III – 2- b- Sodisation
III – 2- c- Type de sels
III – 2- d- Facteurs déterminant l’usage agricole d’une eau
III – 2- e- Calcul des paramètres
III – 3- Aptitude des eaux à l’irrigation
III – 3- a- Classification des eaux par la méthode du S.A.R
IV – Vulnérabilité des eaux du bassin à la pollution
IV –1- Introduction
IV –2- Aspects de la vulnérabilité à la pollution
IV – 3- Types de pollutions menaçant le bassin d’El Malabiod
IV – 3- b- Pollution industrielle
IV – 3- c- Pollution agricole
Conclusion
CHAPITRE VI LES POTENTIALITÉS HYDRIQUES ET DEMANDE EN EAU DANS LE BASSIN D’EL MALABIOD
6. 1. CHAPITRE
VI- 1 LES POTENTIALITÉS HYDRIQUES DANS LE BASSIN
I – Introduction
II – État de la ressource dans le bassin (l’impluvium)
II – 1- Les apports pluviométriques
II – Mobilisation de la ressource
II – 1- Les eaux superficielles
II – 1- a- Les barrages
II – 1- b- Les retenues collinaires
II – 1- c- Les oueds
II – 2- Les eaux de sources
II – 3- Les eaux souterraines
II – 3- a- Les forages étatiques
II – 3- b- Les forages non étatiques
II – 3- c- Les puits
III – Les prélèvements
III – 1- Les prélèvements d’eau de surface
III – 2- Les prélèvements d’eau souterraine
Conclusion
CHAPITRE VI- 2 BESOINS, UTILISATIONS ET DEMANDES EN EAU DANS LE BASSIN D’EL MALABIOD
I – Introduction
II – Les usagers de l’eau à l’échelle du bassin d’El Malabiod
II – 1- La population
II – 1 – 1- Ressources/approvisionnements en eau
II – 1 – 2- État du service en milieu rural
II – 2- L’agriculture
II – 2 – 1- Cultures irriguées
II – 3- L’industrie
III – Projection des besoins
III – 1- Évolution des besoins en eau potable (AEP)
III – 2- Évaluation des besoins en eau d’irrigation
III – 2 – 1- Besoins futurs pour l’alimentation en eau d’irrigation (AEA)
III – 3- Évolution des besoins en eau industrielle (AEI)
IV – Les besoins globaux en eau dans le bassin d’El Malabiod
Conclusion
CHAPITRE VII VERS UNE GESTION INTÉGRÉE DES RESSOURCES EN EAU
I – Introduction
II – Les fondements de Dublin
III – Le point de vue de l’Islam
III – 1- L’islam et la gestion de l’eau : principes généraux
III – 1- 1- L’eau, un bien social
III – 1- 2- L’eau et l’équité
III – 1- 3- Les droits de l’environnement
IV – Stratégie de gestion des eaux
IV – 1- Cadre juridique et politique nationale de l’eau
IV – 1- 1- a- Protection de l’eau douce
IV – 1- 2- Régime juridique de l’utilisation de l’eau
IV – 1- 3- Police des eaux
IV – 1- 4- Alimentation en eau potable
IV – 1- 5- Assainissement
IV – 1- 6- L’eau agricole
IV – 1- 7- La tarification
IV – 1- 8- Institution de concertation
V – Confrontation offre/demande dans le bassin d’El Malabiod
V – 1- Indice de pénurie
V – 2- Commentaire
VI – Que signifie transition-passage de la gestion par l’offre à celle de la demande ? Quelle perspective et quelle en est la portée ?
VI – 1- Gestion de la demande en eau dans le contexte de l’Islam
VI – 1- 1- Les instruments non économiques
VI – 1- 1- a- La conservation de l’eau
VI – 1- 1- b- La planification familiale
VI – 1- 2- Les instruments économiques
VI – 1- 2- a- Les droits et la « propriété » de l’eau en Islam
VI – 1- 2- b- Les tarifs de l’eau
VII – La gestion par la demande en eau et les gains économiques convoités
VII – 1- Estimation des économies possibles
VII – 2- Perspective d’une politique de lutte contre le gaspillage
VII – 2- 1- Le système tarifaire
VII – 2- 2- Sensibilisation à l’économie d’eau
VII – 2- 3- Éducation scolaire et culture d’une eau partagée et protégée
VII – 2- 3- a- Finalités
VII – 2- 3- b- Les moyens
VII – 3- Les stratégies pour la conservation de l’eau en Islam
VII – 3- 1- La sensibilisation accrue par le biais des mosquées
VII – 3- 2- La sensibilisation accrue par l’éducation officielle et non officielle
VIII – Ressources en eau dans le bassin d’El Malabiod et facteurs limitants
IX – La GIRE dans le bassin d’El Malabiod, contraintes et défis
IX – 1- Vérifier une alimentation de qualité, en quantité et au moindre coût
IX – 2- Préserver le milieu naturel et réhabiliter les écosystèmes
IX – 3- Actions de lutte contre l’érosion et la désertification
IX – 4- Gestion de l’information
Conclusion
8. CONCLUSION GÉNÉRALE
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