LE COLOSTRUM
Les micronutriments
Les sels minรฉraux
Sodium
Les besoins en Sodium sont trรจs faibles : 1 mEq/kg/jour9.
Il participe ร lโรฉquilibre รฉlectrolytique grรขce ร la pompe Na+K+ ATPase15.
Un apport trop รฉlevรฉ peut conduire ร une dรฉshydratation hypernatrรฉmique si le ratio en eau nโest pas suffisant . De plus, il est probable quโun apport excessif de sel favorise ร long terme le dรฉveloppement dโune hypertension artรฉrielle. Dโautant plus quโun apport dรฉpassant les besoins ne prรฉsente par ailleurs aucun bรฉnรฉfice nutritionnel 12.
Potassium
Les besoins en Potassium sont de 1 ร 2 mEq/kg/jour.
Dans le cas oรน cet apport ne serait pas assurรฉ (par excรจs ou par insuffisance) des troubles digestifs et cardiaques pourraient apparaitre .
Calcium et phosphore
Lโapport en Calcium (500mg/jour) doit รชtre supรฉrieur ร celui du Phosphoren (50 ร 150 mg/jour) pour une bonne absorption calcique.
Le calcium intervient dans lโexcitabilitรฉ neuromusculaire, la coagulation sanguine et le rythme cardiaque. Il maintient la permรฉabilitรฉ des membranes
cellulaires et joue un rรดle dans la production de certaines enzymes et hormones .
Une hypercalcรฉmie peut provoquer des troubles rรฉnaux et digestifs alors quโune hypocalcรฉmie conduit ร des crises de tรฉtanie, une ostรฉoporose et un rachitisme.
Magnรฉsium
Le magnรฉsium participe ร tous les grands mรฉtabolismes. Cโest un activateur enzymatique. Il maintient lโion potassium dans la cellule et est nรฉcessaire aux processus de dรฉfense de lโorganisme.
La carence en Mg conduit ร des troubles neuromusculaires.
Les oligo-รฉlรฉments
Fer
Le fer est un constituant de lโhรฉmoglobine. Il contribue donc au transport de lโoxygรจne des poumons aux tissus (Tableau 7)17 . Les besoins rรฉels en fer sont faibles (1mg/jour) mais lโabsorption est mauvaise. Seulement 50% du fer du lait maternel est absorbรฉ contre 10% pour le lait de vache. Lโapport suggรฉrรฉ est donc augmentรฉ par rapport aux besoins (5 ร 10mg/jour).
La surcharge en fer entraรฎne une hรฉmochromatose. Son insuffisance conduit ร une anรฉmie hypochrome.
Zinc
Le zinc a un rรดle trรจs important dans la rรฉgulation cytoplasmique de la division et de la croissance cellulaire. Il participe รฉgalement ร de nombreuses fonctions de structure (Tableau 7).
En effet il contribue ร la fabrication des collagรฉnases, de certains protรฉoglycans, dโune gรฉlatinase qui permettent la destruction des structures bactรฉriennes .
La carence en Zinc conduit ร des troubles cutanรฉs (retard de cicatrisation, parakรฉratose, dermatite exfoliative), digestifs (diarrhรฉe prolongรฉe, mycose), oculaires (photophobie) ainsi quโร une anorexie.
Cette carence est aussi habituellement associรฉe ร un retard de croissance important.
Le zinc est peu toxique mรชme ร des doses trรจs รฉlevรฉes. Il peut cependant inhiber lโabsorption du cuivre et provoquer par consรฉquent une anรฉmie microcytaire et hypochrome sidรฉrorรฉsistante .
Cuivre
Les besoins en cuivre sont de lโordre de 40 ร 80ฮผg/kg/j pour le nourrisson et lโenfant en bas รขge12.
Cโest un composant essentiel de la cรฉruloplasmine (Tableau 7).
Cette protรฉine de transport du cuivre dans le sang, est impliquรฉe dans le mรฉtabolisme du fer par son activitรฉ ferroxydase.
La biodisponibilitรฉ du cuivre est influencรฉe par la prรฉsence du zinc, du cadmium, du fer, de la vitamine C et du fructose qui diminuent son absorption.
Un apport insuffisant en cuivre peut conduire ร une anรฉmie hypochrome, microcytaire et sidรฉrorรฉsistante.
Un apport excessif sโaccompagne dโune intoxication aigรผe avec hรฉmolyse, nรฉcrose hรฉpatique, ictรจre, hรฉpatomรฉgalie, hรฉmaturie, oligurie et anurie.
Fluor
Le fluor a un rรดle dans la prรฉvention de la carie dentaire (Tableau 7).
Cependant un excรจs de fluor peut entrainer des lรฉsions osseuses et dentaires (fluorose).
LโANSM recommande un apport en fluor seulement ร lโapparition des dents de lโenfant, c’est-ร -dire aux alentours de 6 mois, que lโenfant soit allaitรฉ ou non20.
Cependant, elle doit รชtre rรฉservรฉe pour les enfants avec un haut risque de carie dentaire (milieu socio-รฉconomique dรฉfavorisรฉ, pathologie chronique, populations migrantes).
Iode
Lโiode est un oligo-รฉlรฉment prรฉsent en trรจs faible quantitรฉ dans lโorganisme. Il constitue un rรดle essentiel dans la composition des hormones thyroรฏdiennes T3 (triiodothyronine) et T4 (thyroxine)19 (Tableau 7).
Dรจs la vie fลtale, la sรฉcrรฉtion endocrine de lโiode permet lโensemble du processus de croissance et de maturation cellulaire.
Elle permet aussi les principales fonctions vitales comme lโhomรฉostasie lipidique et glucidique, la modulation transcriptionnelle des synthรจses protรฉiques et la thermogรฉnรจse.
Les apports conseillรฉs en iode dรฉpendent de la situation gรฉographique de lโenfant. Lโenvironnement iodรฉ est faible en Europe cโest pourquoi les ANC sont plus importants quโaux USA par exemple. LโANC en iode chez le nourrisson est de 15ug/kg/jour en Europe.
La carence en Iode dans les premiรจres annรฉes de vie peut provoquer de graves anomalies du dรฉveloppement cรฉrรฉbral alors quโun excรจs peut provoquer une hypothyroรฏdie transitoire .
Sรฉlenium
Le sรฉlรฉnium (Se) a des fonctions biologiques qui passent par lโintermรฉdiaire des sรฉlรฉnoprotรฉines. Ces derniรจres, identifiรฉes chez lโhomme, sont les glutathion peroxydases (GSHPx), les dรฉsiodases de type I et III, la sรฉlรฉnoprotรฉine P et la thiorรฉdoxine rรฉductase12 .
Les GSHPx sont des enzymes antioxydantes qui participent de faรงon massive aux lignes de dรฉfenses contre les agressions produites par les radicaux libres de lโoxygรจne (Tableau 7).
Toutes ces GSHPx ont un rรดle de dรฉtoxifiant des espรจces rรฉactives de lโoxygรจne (peroxyde dโhydrogรจne et hydroperoxydes organiques). Leur activitรฉ enzymatique est proportionnelle ร lโapport en Selenium, il existe donc un rapport รฉtroit entre la carence et le stress oxydant.
Les ANC journaliers en Selenium pour lโenfant de 0 ร 6 mois sont de 15 ฮผg.
Un dรฉficit est trรจs rare, sauf dans les pays oรน les sols sont trรจs pauvres en Selenium. Ce nโest pas le cas en France. Ce dรฉficit peut bien sรปr aussi se retrouver chez les enfants souffrants de troubles mรฉtaboliques12
Les vitamines
Les vitamines B
Vitamine B1
La vitamine B1, aussi appelรฉe thiamine, intervient dans le changement des sucres en graisses ou en รฉnergie (Tableau 8).
En effet, elle participe ร la constitution dโune enzyme responsable de ces transformations. De plus, la Vitamine B1 favorise la transmission de lโinflux nerveux.
Cette vitamine nโest pas stockรฉe dans lโorganisme. Elle doit รชtre apportรฉe rรฉguliรจrement par le lait maternel ou par les prรฉparations.
Ses sources naturelles sont principalement la levure de biรจre, les cรฉrรฉales complรจtes, le riz complet, les abats et le jaune dโลuf 22 .
Le risque de carence est trรจs faible lorsque lโenfant est nourri correctement ou lorsque la mรจre nโest pas carencรฉe elle-mรชme. Si la carence est avรฉrรฉe, il se peut que lโenfant soit atteint du Bรฉribรฉri. Cโest une maladie due ร un dรฉficit en thiamine, pouvant provoquer une polynรฉvrite, des problรจmes cardiaques et un ลdรจme. Cette maladie est surtout observรฉe dans les pays oรน le riz blanc est lโaliment principal tel que le Japon, la Chine, les Philippines, lโ Inde et les autres pays asiatiques23 .
LโANC en vitamine B1 chez le nourrisson est de 0.2mg/jour12.
Vitamine B2
La vitamine B2, aussi appelรฉe Riboflavine est essentielle pour produire de lโรฉnergie dont la cellule a besoin pour fonctionner. Elle possรจde un rรดle important pour la mitochondrie qui peut รชtre comparรฉe ร une usine intra-cellulaire.
Lโoxydation des acides gras permet dโutiliser cette vitamine comme source dโรฉnergie (Tableau 8).Les besoins en Vit B2 chez le nourrisson sont de 0.4 ร 0.6mg/jour. On retrouve la vitamine B2 principalement dans la levure de biรจre, les cรฉrรฉales, les lรฉgumineuses, les noix et les abats 23 .
La carence peut causer une chรฉilite, une dermite sรฉborrhรฉique et une stomatite. Le surdosage nโest ร ce jour pas connu.
Vitamine B3
La vitamine B3, aussi connue sous le nom de niacine ou Vitamine PP regroupe deux substances actives : lโacide nicotinique et le nicotinamide.
Cette vitamine est impliquรฉe dans le mรฉtabolisme glucidique, lipidique et protรฉique (Tableau 8). Cโest un co-facteur de diffรฉrentes enzymes. Elle permet la transformation des nutriments en รฉnergie disponible pour la cellule.
Les aliments riches en vitamine B3 sont les viandes maigres, la volaille, le poisson, les arachides, le lait de vache, le riz et les pommes de terre.
LโANC chez le nourrisson est de 3 mg/jour12.
Vitamine B5
La vitamine B5, aussi appelรฉe acide pantothรฉnique a un rรดle essentiel dans le dรฉveloppement et le fonctionnement du systรจme nerveux et du cerveau (Tableau 8).
Elle est รฉgalement indispensable pour une bonne croissance des tissus, pour la synthรจse du cholestรฉrol, des hormones comme la cortisone et des hormones sexuelles. De plus elle assure en partie la fabrication de lโhรฉmoglobine qui est un constituant des globules rouges.
On retrouve cette vitamine dans les abats, le jaune dโลuf, les lรฉgumineuses, les cรฉrรฉales complรจtes et le saumon 22 .
LโANC pour le nourrisson en Vit B5 est de 2 mg/jour12 .
Vitamine B6
La vitamine B6 comprend 3 composรฉs apparentรฉs qui sont la pyridoxine, le pyridoxal et la pyridoxamine. Ils peuvent รชtre transformรฉs en phosphate de pyridoxal correspondant ร la seule forme active de la vitamine19 .
La vitamine B6 est un fort antioxydant qui permet de purifier lโorganisme de ses substances toxiques absorbรฉes (Tableau 8)19.
Les sources naturelles de cette vitamine sont les viandes, les abats et les germes de blรฉ 22.
La carence de cette vitamine est trรจs rare car il existe une synthรจse endogรจne par les bactรฉries saprophytes du tube digestif. Dans le cas contraire (surdosage), la toxicitรฉ est moindre19 .
LโANC pour le nourrisson est de 0.3 mg/jour12.
Vitamine B8
La vitamine B8, ou Biotine possรจde un rรดle important au niveau du mรฉtabolisme des graisses, des sucres et des protรฉines (Tableau 8)17.
Cโest le co-enzyme des carboxylases (enzymes qui catalysent lโincorporation de CO2 dans diffรฉrents substrats).
Les 4 carboxylases biotine dรฉpendantes sont la pyruvate carboxylase (PC), la bรฉta-mรฉthyl-crotonyl CoA carboxylase (MCC), la propionyl CoA carboxylase (PCC) et lโacรฉtyl CoA carboxylase (ACC)19.
La vitamine B8 est retrouvรฉe principalement dans les agrumes, la viande, le lait de vache, les noix et les lรฉgumes 22 .
LโANC en biotine chez le nourrisson est de 6 ฮผg/jour12 .
Les dรฉficits et surdosages restent exceptionnels19 .
Vitamine B9
La vitamine B9, aussi appelรฉe acide folique fait partie de la famille des folates.
Un dรฉficit en folates peut provoquer une anomalie de la fermeture du tube neural lors dโune grossesse. Une prise quotidienne et systรฉmatique de folates ร 0.4mg/jour est vivement recommandรฉe24,25 . La prรฉvention doit รชtre commencรฉe 4 semaines avant la conception et se poursuivre 8 semaines aprรจs celle-ci26.
La Vit B9 permet รฉgalement la formation des bases puriques (adรฉnine, guanine) et pyrimidiques (cytosine, thymine) qui sont les รฉlรฉments de base de la structure de lโADN (Tableau 8).
Les folates sont des co-facteurs qui permettent la synthรจse des neuromรฉdiateurs (sรฉrotonine, dopamine, adrรฉnaline) qui ont un rรดle important dans le fonctionnement de lโinflux nerveux.
Lโacide folique associรฉ ร la cobalamine est indispensable pour produire des globules rouges dans la moelle osseuse.
Les sources naturelles principales de vitamine B9 sont les lรฉgumes verts ร feuilles, les abats, les lรฉgumes racines, les huรฎtres et le saumon 22 .
LโANC en acide folique est de 70ฮผg/jour chez le nourrisson .
Vitamine B12
La vitamine B12, aussi appelรฉe cobalamine existe sous 4 formes : la cyanocobalamine, lโhydroxocobalamine, lโadรฉnosylcobalamine et la mรฉthylcobalamine.
La cobalamine, en association avec lโacide folique joue un rรดle puissant dans la formation des globules rouges. Elle permet la maturation des prรฉcurseurs des globules rouges dans la moelle osseuse. Elle est aussi essentielle au bon fonctionnement des nerfs pรฉriphรฉriques et du cerveau (Tableau 8)17.
Les sources alimentaires de cette vitamine sont surtout animales (foie, jaune dโลuf, viande, poisson fromage, lait). Un nourrisson peut รชtre carencรฉ si il est allaitรฉ par une maman vรฉgรฉtalienne12,19.
La carence provoque une anรฉmie macrocytaire et mรฉgaloblastique, une glossite, une neuropathie sensitive et sensorielle ainsi que des troubles psychiques19.
A dรฉfaut dโune carence dโapport, celle-ci peut aussi venir dโune malabsorption de la vitamine par cause gastrique, pancrรฉatique ou intestinale, dโun dรฉfaut de transport plasmatique ou dโune anomalie hรฉrรฉditaire du mรฉtabolisme intracellulaire des cobalamines.
LโANC chez le nourrisson est de 0.5ฮผg/jour12.
Vitamine C
La vitamine C, aussi appelรฉe acide ascorbique intervient dans le mรฉtabolisme du collagรจne, du fer, dans la rรฉsistance aux infections et est aussi un puissant antioxydant (Tableau 8)12,19 .
Concernant le collagรจne, cette vitamine contribue ร la souplesse des vaisseaux et ร leur รฉlasticitรฉ12 . Elle permet aussi la bonne absorption du fer par les cellules duodรฉnales de lโintestin. De plus, elle joue un rรดle sur la fabrication de la protรฉine qui transporte le fer dans le plasma sanguin12 .
Lโacide ascorbique participe aux diffรฉrentes รฉtapes de la dรฉfense immunitaire (synthรจse dโanticorps, dรฉfense anti-virale)12 .
Cโest un รฉlรฉment fondamental de la rรฉgulation du potentiel dโoxydorรฉduction cellulaire. Lโessentiel de son activitรฉ tient dans ses propriรฉtรฉs rรฉductrices et sa rรฉaction avec les radicaux libres17 .
Cette vitamine est prรฉsente naturellement dans les fruits frais, notamment les agrumes (orange, citron, pamplemousse, mandarine) et les fruits rouges (fraise, framboise, cassis, groseille, cerise). On la retrouve aussi dans les lรฉgumes frais comme les lรฉgumes verts, lโaubergine, le poireau, le navet, les pommes de terre et les diffรฉrentes sortes de choux 22 .
Il nโexiste pas de surdosage en vitamine C.
Une carence peut provoquer une maladie historique, le Scorbut, avec pour symptรดmes asthรฉnie, instabilitรฉ, anorexie, diarrhรฉe et fiรจvre. Par la suite apparaissent des douleurs osseuses et des hรฉmorragies cutanรฉomuqueuses.
Cette carence est trรจs rare car le lait maternel et les prรฉparations lactรฉes couvrent lโANC17.
LโANC est de 50mg/jour chez le nourrisson.
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Table des matiรจres
INTRODUCTIONย
PARTIE 1 : LES BESOINS NUTRITIONNELS DU NOURRISSON
1. LโENERGIE
1.1 Besoins caloriques
1.2 Glucides
1.3 Lipides
1.4 Les protรฉines
2. LโEAU
3. LES MICRONUTRIMENTS
3.1 Les sels minรฉraux
3.2 Les oligo-รฉlรฉments
4. LES VITAMINES
4.1 Hydrosolubles
4.2 Liposolubles
PARTIE 2 : LE LAIT MATERNEL
1. LE COLOSTRUM
1.1 Composition
2. LE LAIT MATERNEL
2.1 Composition
2.2 Propriรฉtรฉs immunologiques et bactรฉriennes
3. AVANTAGES
3.1 Moins dโinfections
3.2 Composition adaptรฉe aux besoins du nourrisson
3.3 Diminution du risque atopique
3.4 Prรฉvention de lโobรฉsitรฉ
3.5 Lien mรจre โenfant
3.6 Contraceptif naturel
3.7 Diminution du risque de cancer
3.8 Economique
4. INCONVENIENTS
4.1 Douleurs
4.2 Fatigue
4.3 Vie professionnelle
4.4 Sociรฉtรฉ
4.5 Exclusion du pรจre
4.6 Culpabilitรฉ
5. CONTRE-INDICATIONS
5.1 Chez la mรจre
5.2 Chez lโenfant
PARTIE 3 : PREPARATIONS POUR NOURRISSONS A BASE DE LAIT DE VACHE
1. COMPOSITION
1.1 Protรฉines
1.2 Lipides
1.3 Glucides
1.4 Sels minรฉraux et oligoรฉlรฉments
1.5 Vitamines
1.6 Pro et prรฉbiotiques
1.7 Diffรฉrentes formules sur le marchรฉ
2. AVANTAGES
2.1 Autonomie de la maman
2.2 Quantitรฉ ingรฉrรฉe connue
2.3 Alimentation de la maman
2.4 Diffรฉrentes formules
2.5 En public
2.6 Pas de sevrage
2.7 Moins douloureux
3. INCONVENIENTS
3.1 Allergies
3.2 Pas dโanticorps
3.3 Culpabilitรฉ
3.4 Temps de prรฉparation
3.5 Prix
3.6 Risque sanitaire
3.7 Non physiologique
4. CONTRE-INDICATION : ALLERGIE AUX PROTEINES DE LAIT DE VACHE (APLV)
PARTIE 4 : COMPARAISON DU LAIT MATERNEL, DU LAIT DE VACHE ET DES PREPARATIONS
LACTEES INFANTILES A BASE DE LAIT DE VACHE (1ER AGE)
PARTIE 5 : ALLERGIE AUX PROTEINES DE LAIT DE VACHE OU APLV
1. LES DIFFERENTES HYPERSENSIBILITES SELON GELL ET COOMBS
1.1 LโAPLV de type 1
1.2 LโAPLV de type 2
1.3 LโAPLV de type 3
1.4 LโAPLV de type 4
2. LES ALLERGENES EN CAUSE
3. LES SIGNES CLINIQUES
3.1 Symptรดmes digestifs
3.2 Symptรดmes cutanรฉs
3.3 Symptรดmes respiratoires
3.4 Lโanaphylaxie
4. LE DIAGNOSTIC
4.1 LโAPLV IgE mรฉdiรฉe
4.2 LโAPLV non IgE mรฉdiรฉe
4.3 Le bilan allergologique
4.4 Le test de provocation par voie orale ou TPO
5. LโEVOLUTION DE LโALLERGIE AUX PROTEINES DE LAIT DE VACHE
5.1 Epidรฉmiologie
5.2 Rรฉgime dโรฉviction
5.3 Tolรฉrance
6. LES CONSEQUENCES NUTRITIONNELLES
PARTIE 6 : INTOLERANCE AU LACTOSE
1. DEFINITION
2. APLV OU INTOLERANCE AU LACTOSE ?
3. LES SYMPTOMES
4. LES TRAITEMENTS DE LโINTOLERANCE AU LACTOSE
4.1 Rรฉgime dโรฉviction
4.2 Apport de lactase
4.3 Apport de probiotiques
PARTIE 7 : APLV : LA PRISE EN CHARGE THERAPEUTIQUEย
1. LES HYDROLYSATS EXTENSIFS DE PROTEINES DE LAIT DE VACHE
2. LES MELANGES DโACIDES AMINES
3. HYDROLYSATS EXTENSIFS DE PROTEINES DE RIZ
4. PRODUITS INADAPTES
4.1 Prรฉparations ร base de protรฉines de soja
4.2 Laits hypoallergรฉniques ยซ HA ยป
4.3 Laits non bovins et jus vรฉgรฉtaux
4.4 Rรฉglementation
PARTIE 8 : COMPARATIF DES ALTERNATIVES DISPONIBLES A LโOFFICINE
1. LES POINTS CLES A RETENIR SI APLV
2. DOCUMENTS UTILES A LโOFFICINE
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE
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