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Les aliments de complément
Les recommandations de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) pour une alimentation optimale du jeune enfant s’appuient non seulement sur l’introduction, à partir de l’âge de 6 mois, d’aliments complémentaires tout en maintenant l’allaitement mais aussi sur l’augmentation des rations alimentaires et la diversification des aliments au fur et à mesure que l’enfant grandit (WHO, 1998).
Les premiers aliments donnés en transition doivent être du type bouillies ou des aliments spéciaux (OMS, 1989), de densité énergétique élevée (120 kcal/100ml), contenir les nutriments indispensables à la croissance de l’enfant (OMS, 2004), ne contenir ni germe pathogène, ni toxine, ni résidu chimique toxique (TRECHE et al, 1994), être disponibles en permanence, avoir un prix accessible, être faciles à préparer (SHEPHERD, 1985).
A Madagascar, l’aliment de complément est surtout à base de céréales et de tubercules et le plus souvent des aliments issus du plat familial même, sans modification particulière. Les apports en produits animaux, en matières grasses, en fruits et légumes ne sont pas assez suffisants (MOURSI et al, 2003). L’indicateur de diversification alimentaire reste faible : 27 % en 1975 et 25 % en 2000 (RALISON, 2005).
L’introduction d’aliments de complément, avant l’âge de 6 mois, est aussi remarquée : 22,7% des enfants de 0 à 5 mois les ont reçus. Plus de 20% des enfants entre 6 et 10 mois ne reçoivent pas simultanément de lait maternel et des aliments de complément (EDSM, 2010).
Les maladies infantiles
La maladie comme la diarrhée constitue directement ou indirectement une des principales causes de décès des jeunes enfants. Le non–respect des règles essentielles d’hygiène peut la provoquer tout autant que la consommation d’eau insalubre ou d’aliments préparés et stockés dans de mauvaises conditions (ENSOMD, 2014).
A Madagascar, la prévalence de la diarrhée est particulièrement importante chez les jeunes enfants de 6 à 23 mois (15%), âges auxquels les enfants commencent à explorer leur environnement. Ce qui les expose davantage à la contamination par les agents pathogènes (EDSM, 2010).
Les pratiques d’hygiène
L’amélioration de l’hygiène et l’assainissement sont des interventions qui peuvent prévenir la malnutrition d’après le Plan National d’Action en Nutrition ou PNAN. Le tiers des malagasy (environ 33,3%) pratique la défécation à l’air libre et seuls 11% ont accès à une installation adéquate (toilette avec chasse d’eau). 22% des mères attestent se laver les mains avec du savon après défécation. Quant à l’accès à l’eau potable, environ 26% des ménages en zone rurale disposent d’une source d’eau améliorée en saison sèche et 28% en saison de pluie (PNAN, 2012).
Les besoins et les apports conseillés en protéines
Les protéines ont un rôle énergétique en plus de leurs fonctions structurales. Elles sont sources d’acides aminés essentiels dont l’organisme est incapable de faire la synthèse (NICOLE, 1971). Les apports protéiques recommandés pour les enfants de 6- 23 mois sont présentés dans le tableau 1.
Les besoins et les apports conseillés en lipides et en acide gras essentiels
Les besoins en lipides, substrats hautement énergétiques des nourrissons et des jeunes enfants ont été estimé à 30 à 45% de l’énergie totale des rations (DEWEY et al, 2003). Les besoins minimums et les apports recommandés en acides gras essentiels (AGE), constituant indispensables des membranes cellulaires, sont donnés dans le tableau 1.
Les apports recommandés en vitamines et en minéraux
Une bonne alimentation doit contenir les vitamines et les minéraux en quantités normales nécessaires à la croissance et au bon fonctionnement de l’organisme lequel ne peut pas les synthétiser. Le tableau 1 montre les apports recommandés en micronutriments qui sont issus d’estimations plus récentes (FAO /WHO/UNU, 2001).
L’ANALYSE SENSORIELLE
L’analyse sensorielle est la science relative à l’examen des propriétés organoleptiques d’un produit par les organes de sens (vue, odorat, ouïe, toucher, gout) (AFNOR NF EN ISO 5492, 2009). Il s’agit d’ un ensemble de méthodes permettant de définir, mesurer, analyser et interpréter les caractéristiques d’un produit perçues par l’intermédiaire des sens de l’homme (SAUVAGEOT, 1980).
Lors d’une analyse sensorielle, les participants n’ont pas le droit de se communiquer. Les produits testés sont mis dans des contenants identiques, codés avec des numéros aléatoires à 3 chiffres. L’ordre des échantillons est prévu à l’avance pour chaque dégustateur. Une fois que les échantillons sont présentés, les dégustateurs peuvent les goûter plusieurs fois mais doivent se rincer la bouche avant de passer à un autre échantillon (URDAPILLETA et al, 2001).
Selon l’objectif de l’analyse, deux tests peuvent être appliqués : le test axé sur le consommateur et le test axé sur le produit.
Tests axés sur les consommateurs
Ces tests fournissent des renseignements sur les goûts et les préférences des consommateurs aux produits testés. Les panels sont des amateurs, naïfs, non expérimentés mais consommateurs du produit. Le test se fait dans des conditions identiques à la réalité, tout en gardant les principes d’une analyse sensorielle cités ci-dessus (JEAN-JACQUES, 2001).
Avant l’application des tests, un pré-test se fait pour habituer les sujets aux épreuves, déterminer leur capacité et leur acuité sensorielle (AFNOR NF ISO 8586-1, 1993).
Test de préférence
Le test de préférence permet aux consommateurs de faire un choix entre 2 échantillons qui leur sont présentés simultanément. Les résultats sont analysés en se servant d’un test binomial à 2 queues.
Test hédonique ou test de notation
Le test hédonique mesure le degré d’appréciation d’un produit. Une échelle de catégories allant de « détester » à « adorer » en passant par « ni bon ni mauvais » est utilisée. Les dégustateurs choisissent, pour chaque échantillon, la catégorie qui correspond à leur degré d’appréciation. Ils peuvent inscrire plus d’un échantillon dans chaque catégorie (AFNOR NF EN ISO 5492 ,2009). Les échantillons sont présentés un à un aux dégustateurs.
L’analyse des données se fait en convertissant les catégories en notation numérique allant de 1 à 6 où 1 correspond à « détester » et 6 à « adorer », au moyen de l’analyse de variance (ANOVA) et le test de comparaison multiple (PASCAL-RICHARD, 2013).
Test de classement
Le test de classement permet aux dégustateurs de classer les échantillons en fonction de l’acceptation en allant du plus accepté au moins accepté. Les égalités ne sont pas permises. Les échantillons sont présentés simultanément à chaque dégustateur dans un ordre prévu à l’avance (AFNOR XP V09-500, 2000). La moyenne des classements attribués à chaque échantillon est ensuite analysée par le test de Friedman.
Tests axés sur le produit
Ces tests procurent des renseignements sur les caractéristiques sensorielles particulières des produits testés. Des panels experts, formés et de bonnes acuités sensorielles sont utilisés pour identifier les variations entre les échantillons, mesurer l’intensité de leur saveur, caractériser leur texture ou leur apparence sans donner leur avis personnel. Les tests se font dans un laboratoire équipé (WATTS et al, 1989).
LA FARINE KOBA AINA, COMPLEMENT ALIMENTAIRE INFANTILE
Le « Koba Aina » est une farine à base de maïs, de riz, de soja et d’arachide, riche en minéraux et en vitamines, permettant de couvrir une grande partie des besoins nutritionnels des enfants à partir de 6 mois. Cette farine infantile est produite par l’entreprise Taf. Elle est conditionnée à partir de matières premières locales et sur la base d’une formule nutritionnelle.
L’ajout d’une enzyme industrielle « Bactérie Amylase Novo » ou BAN permet à la farine après cuisson de garder une densité énergétique élevée (100 à 120 kcal/100 ml) tout en ayant une consistance acceptable (TRECHE, 1994).
La farine infantile est très énergétique et nutritionnelle avec 382,89 Kcal d’énergie, 8,96 g de lipide et 11, 64g de protéine dans 100g de farine et 94% de matière sèche (RAKOTOARISOA, 2003). La Koba Aina se caractérise par un aspect brillant, des flaveurs intenses d’arachide et de soja, une importante saveur sucrée, une texture non granuleuse en bouche et à la cuillère, peu visqueuse et non amère (RAKOTONANDRASANA, 2009).
La préparation des bouillies aromatisées
Les bouillies sont préparées au moyen des réchauds à gaz préréglés afin qu’ils fournissent la même intensité de chaleur à chaque cuisson. Les bouillies sont ensuite placées dans un bain marie de 70°C- 80°C pour éviter toute baisse de température. La modalité de cuisson est résumée dans l’annexe 7.
L’analyse sensorielle
L’analyse sensorielle a été effectuée sur cinq demi-journées, à raison de 20 dégustateurs à chaque fois. L’heure de dégustation a été fixée tous les jours à 14heures. Le local du GRET, et le laboratoire d’Ankatso ont été aménagés pour être adaptés à l’étude.
Des dégustateurs, considérés comme panel de consommateurs naïfs ont été pris comme instruments de mesure selon AFNOR XP V09-500, (2000). Le panel d’évaluateurs est composé de mères de famille, étudiants, fonctionnaires, volontaires au test, en bonne santé, ne présentant aucune anomalie sensorielle, non-fumeurs ni buveurs d’alcool et disponibles jusqu’à la fin du test. Au total, ils ont été 185 dont 137 femmes et 48 hommes ; âgés de 15 à 60 ans.
Population cible et échantillonnage
Un recensement des enfants de 6-23 mois du quartier d’Andraisoro et d’Ambatomainty a été fait en collaboration avec l’animatrice de l’Hotelin-jazakely et un agent communautaire. Pour être sélectionnés, les enfants devaient : appartenir pendant toute la durée de l’étude à cette classe d’âge de 6-23 mois, pouvoir être présents à toutes les séances de l’étude, accepter de venir deux fois par jour pendant huit jours sur le lieu de distribution, être en bonne santé tout au long de l’étude.
Déroulement de l’étude
Trois types de bouillies ont été distribuées : bouillie nature, bouillie banane et bouillie fraise. Les taux d’arômes déterminés lors de la précédente étude sont incorporés dans les bouillies aromatisées.
Les bouillies nature et aromatisées ont été données en alternance aux enfants au cours des deux phases expérimentales : phase d’adaptation et phase de mesure en suivant le calendrier du tableau 6.
Mesure de l’écoulement des bouillies
Il s’agit de mesurer la vitesse de l’écoulement de la bouillie à la température de 45°C (température moyenne de consommation de la bouillie par les enfants) à l’aide d’un consistomètre de BOSTWICK (MULTON ,1991).Le résultat est exprimé par distance en millimètre parcourue par le front de la bouillie après 30 secondes d’écoulement.
Détermination de la teneur en matière sèche
La méthode utilisée est celle décrite dans AFNOR (1993). La détermination de la teneur en matière sèche (MS%) a été réalisée par dessiccation des bouillies à l’étuve à 103 ± 2°C jusqu’à obtention d’une masse constante.
Les pesées ont été effectuées à l’aide d’une balance de précision 0,01g. Les teneurs en matière sèche (MS%) sont exprimées en gramme pour cent grammes d’échantillons selon la formule : MS% = (M2-M0)/ (M1-M0) x 100.
Avec : M0 : poids de la capsule vide.
M1 : poids de la capsule et la bouillie avant séchage.
M2 : poids de la capsule et de la bouillie après séchage.
Détermination de la quantité de matière sèche ingérée.
La quantité de matière sèche ingérée pour une bouillie dépend de sa teneur en matière sèche (TMS) et de la quantité ingérée (QI) selon la formule : QMSI (g) = (QI x TMS) / 100.
Détermination des quantités d’énergie et de macronutriments ingérés
Les quantités d’énergie et de macronutriments ingérées sont déterminées à partir de la quantité en matière sèche ingérée (QMSI) et leur quantité dans 100g de matière sèche.
Caractéristiques des enfants
Après recensement des enfants de 6-23 mois résidant les quartiers d’Andraisoro et d’Ambatomainty, 84 d’entre eux correspondaient aux critères de sélections dont 52% garçons et 48% filles ; 18 âgés de 6-8 mois, 26 enfants de 9-11 mois et 38 enfants de 12-23 mois. 124 enfants de 6-23 mois se sont adhérés volontairement à l’étude le premier jour.
Caractéristiques des bouillies ingérées
La détermination de la teneur en matière sèche, de la consistance et de la densité énergétique des bouillies à chaque distribution a permis de dresser les caractéristiques moyennes de ces dernières dans le tableau 14.
Quantités de bouillies ingérées(QI)
La quantité de bouillie ingérée par chaque enfant à chaque distribution a été déterminée à partir de la quantité donnée moyennant les différentes pertes lors de la consommation. En traitant les données sur EPI-INFO, le tableau 15 montre la valeur de la quantité ingérée en fonction du (de la) : sexe, type de bouillie, classe d’âge, moment de la distribution, état de santé et aliment consommé avant la bouillie.
-D’après les résultats, la quantité de bouillie ingérée varie avec la classe d’âge de l’enfant et son état de santé (p-value < 0,05). Elle ne dépend pas du sexe, de la nature de la bouillie servie, du moment de la consommation, des aliments donnés avant la distribution.
-Les filles mangent plus de bouillies par rapport aux garçons (143,75g vs 137, 77g) mais avec une différence non significative (p-value >0,05).
-Pour les trois types de bouillie, celle à la banane est la plus consommée (143,37g), celle à la fraise la moins consommée (139,06 g). Statistiquement, la valeur de p supérieur au seuil de signification indique une différence non significative entre les trois quantités. La préférence pour un type de bouillie n’est pas mise en évidence. Les bouillies aromatisées sont alors acceptées par les enfants cibles.
– La quantité moyenne de bouillie consommée par les enfants 6-23 mois est de 120 à 158g. Les enfants de 12-23 mois consomment environ 30-38g de plus que les enfants des deux classes d’âge inférieures, ce qui semble lier à l’augmentation de la capacité gastrique avec l’âge et probablement à la diminution de la quantité de lait maternel ingérée. Lorsque la quantité consommée est ramenée au kg de poids corporel, ce groupe mange une quantité de bouillie plus élevé, de l’ordre de 17g /kg PC avec une différence significative (p-value < 0,05) par rapport aux deux autres.
-La quantité de bouillie consommée diffère aussi selon le moment de la prise. Elle est la plus importante le matin que l’après- midi. Statistiquement la différence est non significative donnant une valeur de p supérieur à 0,05 (141,41 g vs 139,48g).
-L’analyse entre les variables étudiées a pas permis de mettre en évidence un lien significatif entre l’état de santé et la quantité de bouillie consommée : 143,76g quand l’enfant est en bonne santé et 118,93g quand il est malade (p-value <0,0001).
-Les enfants qui n’ont pris aucune nourriture 2 heures avant la distribution de bouillie ou ceux qui ont pris des aliments solides ont consommé plus de bouillie que ceux ayant pris des boissons ou aliments semi-liquides, les quantités ingérées sont respectivement de 142,47g et 142,63g comparativement à 135,23g et 135,47g.Toutefois, la nature de ces aliments n’a aucun effet sur les quantités ingérées (p-value > 0,05).
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Table des matières
PARTIE I : SYNTHESE BIBLIOGRAPHIQUE
I.1.LA MALNUTRITION CHEZ LES ENFANTS
I.1.1. La malnutrition chronique
I.1.2. La malnutrition aigüe
I.1.3. L’insuffisance pondérale
I.1.4. Les carences en micronutriments
I.1.4.1.L’avitaminose A
I.1.4.2. L’anémie nutritionnelle
I.1.4.3. La carence en iode
I.2. LES CAUSES DE LA MALNUTRITION
I.2.1. Les pratiques alimentaires à Madagascar
I.2.1.1. L’allaitement
I.2.1.2. Les aliments de complément
I.2.2. Les maladies infantiles
I.2.3. Les pratiques d’hygiène
I.3. LES BESOINS ENERGETIQUES ET NUTRITIONNELS DES ENFANTS DE 6-23 MOIS
I.3.1. Les besoins en énergie
I.3.2. Les besoins et les apports conseillés en protéines
I.3.3. Les besoins et les apports conseillés en lipides et en acide gras essentiels
I.3.4. Les apports recommandés en vitamines et en minéraux
I.4. LA CONTRIBUTION DU LAIT MATERNEL ET DE L’ALIMENT DE COMPLEMENT AUX BESOINS ENERGETIQUES DES ENFANTS DE 6 -23 MOIS
I.5. L’EVOLUTION DE LA PERCEPTION SENSORIELLE DES ENFANTS
I.5.1. Avant la naissance
I.5.2. Après la naissance
I.6. L’ANALYSE SENSORIELLE
I.6.1.Tests axés sur les consommateurs
I.6.1.1. Test de préférence
I.6.1.2. Test hédonique ou test de notation
I.6.1.3. Test de classement
I.6.2. Tests axés sur le produit
I.6.2.1. Test de différence
I.6.2.2. Test de classement par rang d’intensité
I.7. LA FARINE KOBA AINA, COMPLEMENT ALIMENTAIRE INFANTILE
PARTIE II : MATERIELS ET METHODES
II.1. IDENTIFICATION DES AROMES LES PLUS APPRECIES PAR LES CONSOMMATEURS
II.1.1. Les arômes
II.1.2. La préparation des bouillies aromatisées
II.1.3. L’analyse sensorielle
II.1.3.1. Le pré-test
II.1.3.2. Le test sensoriel
II.2. DETERMINATION DU TAUX OPTIMAL DES AROMES CHOISIS
II.2.1. Les aromes
II.2.2. Le panel de dégustation
II.2.3. Le test sensoriel
II.3. MESURE DES INGERES DES BOUILLIES AROMATISEES
II.3.1. Zone d’étude
II.3.2. Population cible et échantillonnage
II.3.3. Déroulement de l’étude .
II.3.4. Questionnaire
II.3.5. Mesure des quantités de bouillies ingérées
II.3.6. Mesure de l’écoulement des bouillies
II.3.7. Détermination de la teneur en matière sèche
II.3.8. Détermination de la quantité de matière sèche ingérée
II.3.9. Détermination des quantités d’énergie et de macronutriments ingérés
II.3.10. Exploitation des données
PARTIE III : RESULTATS ET DISCUSSIONS
III.1.LES AROMES LES PLUS APPRECIES IDENTIFIES
III.1.1. La forme et les taux d’arômes pris lors du test sensoriel
III.2.2. Les appréciations aromatiques
III.2.2.1. Test triangulaire et test de préférence
III.2.2.2. Test de notation
III.2.2.3. Test de classement
III.2. LES TAUX OPTIMAUX POUR LES ARÔMES CHOISIS
III.2.1. Entre la moitie (T1), le tiers (T2) et le quart (T3) du taux recommandé
III.2.1.1. Test de notation
III.2.1.2. Test de classement
III.2.2.Entre le quart (T3), le huitième (T4), le seizième (T5) et le trente deuxième (T6) du taux recommandé
III.2.2.1. Test triangulaire
III.2.2.2. Test de notation
III.2.2.3. Test de classement
III.3. INGERES DES BOUILLIES AROMATISEES
III.3.1. Caractéristiques des enfants
III.3.2. Caractéristiques des bouillies ingérées
III.3.3. Quantités de bouillies ingérées(QI)
III.3.4. Quantités de matière sèche d’énergie, de protéine et de lipide ingérées par chaque catégorie d’enfant
III.3.5. Quantités de matière sèche d’énergie, de protéine et de lipide ingérées pour les trois natures de bouillies
III.3.6. Contribution des bouillies à la couverture des besoins énergétiques des enfants 6 a 23 mois
DISCUSSIONS
PARTIE IV : CONCLUSION ET PERSPECTIVES
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
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