Les bases d’hébergements touristiques et de loisirs face aux enjeux environnementaux

La naissance d’un tourisme aristocratique

                Le tourisme à ses débuts est réservé qu’à une catégorie de voyageurs privilégiés. C’est un bien de luxe pratiqué par les familles aisées et aristocratiques. Pendant cette époque, on voyage surtout en Italie pour ses carnavals (Naples et Venise), ses opéras, les peintures et les antiquités de Rome mais aussi les cérémonies religieuses. Cependant, il existe peu d’équipements pour recevoir les touristes. Le tourisme nait réellement au XVIIIème siècle avec la révolution industrielle en Angleterre. La montagne et la mer autrefois des lieux non visités deviennent le cœur des destinations touristiques. La France devient alors un pays clé de l’essor du tourisme, grâce au développement des installations ferroviaires qui permettent l’accès à Paris et à la Normandie non loin. On voit alors des stations touristiques faire surface comme Dieppe et Trouville, pour les « bains de mer ». Par la suite, d’autres centres vont voir le jour : « Étretat, Deauville, Houlgate, Cabourg, Les Sables d’Olonne, mais aussi sur la côte d’Azur qui devient un lieu prisé des anglais, russes et allemands.

Le tourisme durable

                Allemand Sylvain (2007), dans son ouvrage « Les paradoxes du développement durable », nous parle d’un tourisme comme un exemple de développement social et sociétaire. Cependant il semble qu’il apporte paradoxalement un poids important aux communautés et aux sociétés directement touchées par le tourisme. Lourbes Jean-Paul (2015)6 confirme ces propos dans son ouvrage « Tourisme : arme de destruction massive », en exposant le paradoxe touristique. Le tourisme fait le lien entre les différents patrimoines que possèdent les pays du monde et la population, cependant avec le réchauffement climatique et l’annonce dans une revue de Science et vie « Les mers menacent à terme 149 sites de l’UNESCO ». J-P Lourbes se pose la question d’une pratique qui détruit elle-même sa pratique. De plus, le tourisme infligerait une pression significative pour l’environnement avec la massification touristique que l’on connaît. Ajouté à cela, le nombre d’emplois précaires important en lien avec ces activités, notamment avec les emplois saisonniers qui sont peu valorisés et récompensés. Le tourisme s’avère être source d’inégalité sociale et économique. Le développement du marché touristique a donné lieu à une guerre de la concurrence dominée par les grands groupes prestataires de services marchands privés. La plupart des recettes liées à l’activité leur reviennent et ne sont pas forcément touchées par les villes, les lieux touristiques et les communautés locales. En outre, la question d’un tourisme plus égalitaire et durable se pose. Le tourisme social, solidaire et durable vise un but d’amélioration et de changement des relations avec les populations anciennement colonisées (Allemand S. 2007). Suivi par un tourisme équitable qui permet d’aider les partenaires locaux à vivre, mais surtout à valoriser les cultures locales et leurs donner une importance certaine. Vient ensuite l’écotourisme depuis 1980 qui permet la sensibilisation des touristes aux risques des dégradations des espaces naturels par leur fréquentation massive. A cette époque, ce tourisme reste réservé à un public plus aisé qui peut se permettre les frais supplémentaires liés à cette forme de tourisme. De plus, il n’existe que peu d’infrastructure de ce genre, ce n’est encore qu’une goutte dans l’océan du tourisme de masse mondialisé. Le réchauffement climatique et les différents enjeux environnementaux d’aujourd’hui amènent les autorités publiques à une prise de conscience. La nécessité d’agir les poussent à entreprendre des politiques visant à préserver notre environnement. De nombreuses lois ont été votées et le sont encore, c’est pourquoi nous apercevons une augmentation du nombre de projet touristique durable. Ces projets sont en lien avec les codes du développement durable qui suit les principes de la Triple Bottom Line

La CSR (Corporate Social Responsabilty) ou RSE (Responsabilité Sociale de l’Entreprise)

                    La Corporate Social Responsability ou Responsabilité Sociale de l’Entreprise en français, fait référence à l’image de l’entreprise, d’une manière plus globale, c’est tout ce qui toucherait à l’éthique de l’entreprise. La RSE incite l’entreprise à refonder et éclairer son contact avec la société, elle comprend notamment un volet environnemental (Martinet et Reynaud, 2004)12. L’étude de Swaen et Chumpitaz (2008)13, nous montre que la RSE joue un rôle clef dans les motivations des parties prenantes « consommateurs » pour adhérer à une entreprise et provoquer un acte d’achat. Les entreprises auraient donc « des responsabilités qui vont au-delà de la recherche de profit et du respect de la loi et que celles-ci concernent, non seulement les actionnaires mais l‘ensemble des parties prenantes des activités de l’entreprise ». (Anne-Sophie Binninger et Isabelle Robert (2011)14. Pour reprendre les définitions précédentes, « la contribution des entreprises au développement durable ». Pour la commission européenne, les entreprises qui sont responsables sont celles qui « décident de leur propre initiative de contribuer à améliorer la société et rendre plus propre l’environnement » (Livre vert, 2001)15. D’après le « Livre vert » de la Commission Européenne, la RSE serait plus développée dans les grandes sociétés et multinationales, même si elle est d’autant plus nécessaire dans les PME et micro-entreprises, « puisque ce sont elles qui contribuent le plus à l’économie et à l’emploi ». Les entreprises commencent à écrire des rapports sociaux et environnementaux pour prétendre à une transparence certaine et montrer leur implication dans notre société. D’après une enquête internationale de KPMG16 en 2011, 95% des 250 plus grandes entreprises américaines et 64% des 100 plus grandes entreprises dans les pays industrialisés ont communiqué sur leur responsabilité sociale et environnementale. De plus, sur les 100 plus grandes entreprises mondiales, 33% publient un rapport social et environnemental soit 10% de plus qu’en 2002. Deplus l’INSEE17 indique que différents secteurs réalisent l’impacts qu’ils ont sur notre planète et certifient agir pour les minimiser. D’après le graphique ci-dessous, l’INSEE nous montre que le secteur touristique (hébergement et restauration) qui pollue considérablement est le troisième secteur à s’engager pour l’environnement. D’après François Salanié et Nicolas Treich18, les entreprises ont différentes options pour avoir une RSE propre et transparente :
– La production verte : vente de produits respectueux de l’environnement. Cela peut passer par des produits biodégradables, durables ou part un retraitement des produits usagés. De plus, la fabrication des produits doit être responsable et manager de manière à produire le minimum d’empreinte carbone.
– Les programmes volontaires : Les entreprises adhèrent à un programme avec une agence de régulation. En échange, elles reçoivent une aide technique ou de la publicité de la part du gouvernement.
– Les accords négociés : Pacte entre le gouvernement et une entreprise pour des objectifs environnementaux.
– Les alliances : Une entreprise soutient et se lie avec une association ou une ONG pour réduire leurs déchets et leur consommation contre une aide technique et une certification.
Différentes marques aujourd’hui tentent d’avoir une image verte et responsable grâce à un bon management. Les marques comme TOM’S (une paire de chaussures achetée égale une paire donnée dans un pays sous-développé), Patagonia (T-shirts en cotons bio), Alter-ego (qui distribue du café partout dans le monde) et différents Eco-Hôtels (CPA Lathus, Eco-Hôtel des landes) travaillent essentiellement sur leur réputation RSE pour attirer le client et fidéliser le consommateur. Il semblerait que ces entreprises jouent un rôle important dans la protection de l’environnement et ses enjeux, contrairement à d’autres entreprises qui ont une bonne réputation mais qui sont paradoxalement loin d’un engagement réel pour une transition écologique.

Le lien entre RSE et PFE

                  Avant d’étudier la possible dérive de ces stratégies marketing, il s’avère que l’implication d’entreprise dans le positionnement RSE amène à influencer les parties prenantes (Skateholder) et donc à générer des bénéfices financiers à l’entreprise (Barnett, 2007)25. En revanche selon Friedman (1970), la Responsabilité Sociale de l’Entreprise et son investissement que cela incombe « gaspille les ressources des entreprises et met l’entreprise dans une situation de désavantage concurrentiel ». Toutefois, en 1984, Freeman affirme que la RSE permet un avantage concurrentiel, puisque la RSE va améliorer la relation avec les parties prenantes, réduire le coût des transactions des entreprises et générer des bénéfices (Barnett, 2007)26. Il semblerait que cette situation se traduirait donc par une performance financière nette plus élevée (Yusuf Ibrahim Karaye, Zuaini Ishak, Noriah Che-Adam 2014)27. D’autres études empiriques ont permis d’obtenir des chiffres concrets sur cette relation entre la RSE, les parties prenantes et les performances financières de l’entreprise. La méta-analyse de Margolish et Walsh (2003), rapporte que 54 des 109 travaux examinés ont trouvé une relation positive entre RSE et PFE (Performances Financières de l’Entreprise), 7 ont répondu avoir des relations négatives, 28 ont des résultats neutres et 20 des résultats combinés. Boaventura (2012) trouve des résultats similaires, avec 65,5% des études trouvant un résultat positif pour la relation RSE/PFE, 19% avec des résultats négatifs et 31% neutres. On peut donc déduire qu’il existerait bel et bien une corrélation entre la Responsabilité Sociale de l’Entreprise et les Performances Financières de l’Entreprise. Cette relation réciproque, serait partiellement mitigé mais majoritairement positive. Les différentes études qui portent sur ce sujet nous montre que travailler son image et ses actions envers la société et l’environnement apporte une plus-value à l’entreprise et donne lieu à des retombées financières à court mais surtout long-terme (Yusuf Ibrahim Karaye, Zuaini Ishak, Noriah Che-Adam 2014)28. Cependant il ne faut pas abuser de la RSE et la développer pour de bonnes raisons, le marketing « vert » poussé et peu sincère serait une façon de « décrédibiliser la démarche par une utilisation débridée des arguments sociétaux dans les communications » (Anne-Sophie Binninger et Isabelle Robert, 2010-2015)29.

Le marché du tourisme durable à travers les surfcamps

                 On a vu ces dernières années se développer les sports de pleine nature, les sports de glisse, les sports d’aventures et les sports dits « de nouveaux genres », Alain Loret  appelle cela, « La révolution du sport des « Années Fun » (1995). On peut noter aussi un attrait des voyages en milieu naturel afin de rechercher le calme, de se couper de la société et de retourner à l’essentiel. Ces différentes pratiques étant liées, on peut comprendre pourquoi le surf est une activité en plein développement et particulièrement pour les vacanciers, qui cherchent de plus en plus à retrouver un lieu calme naturel pour pratiquer ce sport en lien direct avec l’environnement. De plus, le nombre de surfeurs dans le monde tournerait autour des 27 millions aujourd’hui selon la « Surf Association ». En Europe, le surf a connu un essor spectaculaire avec le symbole d’une « culture fun » (Ludovic Falaix, 2012)39, c’est-à-dire une croissance ininterrompue au cours des deux dernières décennies. La fréquentation massive des différents spots du monde constitue un réel problème pour bon nombre de surfeurs qui tentent d’éviter ces lieux surpeuplés. Il existe donc un réel marché pour les pays côtiers accueillant la houle et peu fréquentés. En effet, le nombre de surfcamp a considérablement évolué ces dernières années, diversifiant l’offre et saturant le marché sur certains territoires. On notera une évolution de la diversification de l’offre notamment avec les éco-surfcamps. Ce concept se révèle être un atout particulier dans le choix du surfcamp pour les pratiquants d’après la Direction Régionale de la Jeunesse des Sports et la Cohésion Sociale Aquitaine (DRJSCSA) : « Cette éco-organisation est un plus qui est parfaitement en phase avec leur représentation du surf » (Philippe Sanchez, 2011)40. Différentes études montrent que les voyageurs sont intéressés et sensibles à ce genre de pratique. Une étude de TNS Sofres dans le cadre de la 2ème édition des Trophées du Tourisme Responsable intitulée « Les Français et le Tourisme Responsable en 2008 », montre que ce type de vacances est en constante progression (Sanchez, 2011). Une étude de « CDurable », nous apprend que 89% des surfeurs voyageurs (contre 72% en 2007) sont intéressés par les éco-surfcamps, avant tout pour le côté respectueux de la nature et du développement local. Cela nous montre que le marché se développe et qu’il est bon pour les gérants et managers de profiter de cette opportunité en amenant une plus-value environnementale. De plus 68% des sondés disent percevoir le tourisme responsable comme « compatible avec tous les types de voyages ». Une seconde étude de Booking.com en 201841 a fait état des motivations des voyageurs et a analysé les habitudes de consommation de ceuxci. Cette recherche a prouvé que pour 68% de touristes, l’environnement est un critère important lors du choix de réservation hôtelière. Ces travaux nous montrent la perception du développement durable par les pratiquants du monde de la glisse, en effet les bases d’hébergements touristiques en lien avec ce monde progressent vers ce genre d’infrastructures et de concepts. Cela peut donc nous amener à réfléchir sur la motivation première d’intégrer des normes environnementales dans leur entreprise. Cependant, l’étude nous informe que les touristes français sont pas beaucoup plus nombreux à adopter une pratique de tourisme responsable (2% en 2007 contre 7% en 2008). En opposition aux nombres de touristes qui se disent prêts à utiliser cette forme touristique (72% en 2008, contre 68% en 2007), grâce à l’offre qui est de plus en plus claire et sécurisante. Cela nous amène à réfléchir sur l’intérêt que porte les acteurs du tourisme à entreprendre un changement vers le tourisme durable et/ou à ouvrir une base d’hébergement et de loisir responsable. D’après les travaux et études sur la relation entre Responsabilité Sociale de l’Entreprise (RSE) et les Performances Financières de l’Entreprise (PFE), on est capable aujourd’hui de trouver un apport positif à l’élaboration d’un plan de développement durable au sein d’une entreprise. De plus, la conjecture actuelle nous pousse à nous tourner vers ces types de pratiques qui s’avèrent favorable à la crise écologique que nous subissons actuellement. De ce fait, les bases touristiques telles que les surfcamps seraient donc en proie à ce changement. Les gérants et managers auraient alors deux motivations distinctes et éthiquement opposées pour développer un éco-surfcamp. La première étant l’envie de tendre à une responsabilité globale des acteurs de notre monde dans un but de préservation de l’environnement et de sauvegarde de la planète. Cela passerait donc par une remise en question de ces entreprises qui veulent prendre un tournant afin d’intégrer des notions de développement durable. La seconde motivation serait purement financière, effectivement l’atout responsable de la base apporterait un plus et donc un avantage concurrentiel sur le marché du tourisme. D’autre part, les entreprises auraient des relations améliorées avec les parties prenantes et obtiendraient des coûts inférieurs à long terme.

Les facteurs comportementaux des dirigeants d’entreprise

                  Ahmed Turki45 a étudié l’évolution des comportements écologiques des dirigeants d’entreprises. Il en déduit trois phases au cours du dernier siècle. A l’ère industrielle, les chefs d’entreprises ne pensaient pas à l’environnement, ils avaient une vision seulement économique de l’entreprise. Il fallait être le plus productif possible et limiter les coûts. S’en est suivi une phase de réglementation. Les entreprises ont été contraintes d’investir pour limiter leur impact. Cependant, cela était vu d’un œil négatif ; l’environnement infligeant des coûts supplémentaires à l’entreprise sans retour concret. Actuellement, nous sommes dans une troisième phase, celle du « win-win » d’après Olivier Boiral dans son étude « Concilier environnement et compétitivité, ou la quête de l’éco-efficience »46. Les dirigeants d’entreprises se sont rendus compte qu’il existe un lien entre économie et environnement. En effet, investir dans l’environnement serait bénéfique pour l’économie de l’entreprise comme on a pu le voirprécédemment avec l’étude de Barnett en 2007 sur le lien entre la Responsabilité Sociale de l’Entreprise (RSE) et les Performances Financières de l’Entreprise47. Nous pouvons ainsi déterminer les motivations qu’ont les entreprises à investir dans une stratégie environnementale. Olivier Boiral émet l’hypothèse de trois catégories motivationnelles : « La vulnérabilité de l’entreprise aux pressions sociétales, les possibilités de réduction de coûts associées au partenariat d’autres organisations et la valorisation commerciale qui peut être faite des actions environnementales. ». De plus, Marie-Josée Roy et Denis Lagace viennent appuyer O, Boiral en expliquant que peu de dirigeants d’entreprises ont des engagements environnementaux liés à leurs convictions. La motivation éthique ne serait pas celle qui prédominerait48. « Généralement les dirigeants ne s’activent dans la protection de l’environnement que s’ils détectent une opportunité et/ou une menace. » (Ahmed Turki, 2009)49. L’opportunité fait référence à la réduction des coûts et la valorisation commerciale exprimée par Olivier Boiral. La menace quant à elle corrèle avec les pressions sociétales qui poussent les dirigeants à agir afin de ne pas altérer la légitimité de l’entreprise. Cela reste à nuancer avec le domaine d’intervention de l’entreprise. Notre étude s’interroge sur les surfcamps qui sont des bases intégrées dans un milieu naturel. De ce fait, nous pouvons penser que ces acteurs ont une motivation d’ordre éthique plus importante que certaines entreprises. De plus, la définition de l’entreprise est nécessaire pour objectiver notre enquête. L’entreprise dit « surfcamp » se révèle être une petite structure généralement gérée par une ou deux personnes avec un effectif inférieur à dix employés. Nous avons donc le sentiment que l’individu en tant que tel est plus à même d’influer sur la stratégie entrepreneuriale. En effet, une entreprise dite de moyenne ou de grande taille requiert l’accord et la volonté de nombreuses parties prenantes pour intégrer des stratégies environnementales, ce qui n’est pas le cas des surfcamps.

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Table des matières

INTRODUCTION
I. CADRE THEORIQUE
1. Contextualisation
a. La naissance d’un tourisme aristocratique
b. Le développement touristique
c. L’émergence d’une pratique alternative
2. Définition des notions clés
a. Le tourisme durablE
b. Le développement durable
c. La CSR (Corporate Social Responsabilty) ou RSE (Responsabilité Sociale de l’Entreprise)
3. Les entreprises touristiques d’hébergement face aux enjeux environnementaux 
4. La RSE : une source marketing
a. La stratégie RSE
b. Le lien entre RSE et PFE
c. L’effet « greenwashing »
5. Les motivations des acteurs du tourisme durable : le cas des éco-surfcamps
a. Les labels éco-responsables
b. Le marché du tourisme durable à travers les surfcamps
6. Les Influences motivationnelles des gérants de surfcamps
a. Les facteurs comportementaux des individus
b. Les facteurs comportementaux des dirigeants d’entreprise
II. ÉTUDE DE TERRAIN
1. L’émergence des hypothèses
2. Méthodologie de l’enquête
a. La méthode de l’entretien semi-directif
b. Les interrogés : gérants de surfcamps
3. Résultats de l’enquête
a. L’environnement comme stratégie marketing
b. Les influences sociales et psychologiques à l’origine de la stratégie marketing
c. La révolution environnementale : vecteur de développement du tourisme durable
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE
ANNEXES

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