Les avantages et les inconvénients sur le financement des marchés administratifs

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L’historique de la BOA Madagascar

Issue du rachat de la banque BTM (Bankin’ny Tantsaha ny Mpamokatra) ; la BOA Madagascar a été créée le 26 Novembre 1999.
L’importante croissance externe réalisée à travers la création de la BOA Madagascar aura été sans doute le trait dominant de l’année 1999 pour le groupe AFRICA FINANCIAL HOLDING/BANK OF AFRICA (AFH/BOA). Cette nouvelle étape de son extension, après les dernières intervenues en 1996 et 1998, constitue en effet à plusieurs égards, un tournant essentiel de la jeune histoire de la BOA. Quelques faits marquant de l’exercice 1999 :
02 Avril 1999 : Signature du Protocole entre l’État Malgache et al société AFRICAN FINANCIAL HOLDING (AFH) pour le rachat de la banque (BTM).
22 Juillet 1999 : Signature de l’avenant au Protocole d’accord entre l’État Malgache et la société AFRICAN FINANCIAL HOLDING (AFH).
19 Octobre 1999: Création de la BANK OF AFRICA Madagascar (BOA Madagascar) au capital de 4 milliards d’Ariary.
31 Octobre 1999: Réalisation de la première vague des départs volontaires des agents de la BTM.
24 Novembre 1999 : Assemblée Générale Extraordinaire de la BOA Madagascar consacrée à l’augmentation du capital de la banque à 8 milliards d’Ariary.
25 Novembre 1999: Signature entre l’État malgache et le groupe AFH/BOA du rachat de la BTM par la BOA Madagascar.
29 Novembre 1999: Démarrage des activités de la BOA Madagascar.

L’identité

La BOA Madagascar est un établissement bancaire ayant un statut de société anonyme au capital de 44 milliards d’Ariary, son siège social se trouve à l’adresse suivante :
2 Place de l’indépendance Antaninarenina BP 183 – Antananarivo 101 Madagascar.
Elle est joignable au téléphone sur la ligne +261 20 22 391 00, par Fax +261 20 22 661 25, par email à l’adresse boa9996@boa.mg et sur son site web : www.boa.mg. C’est aussi une banque qui s’investit dans la vie locale et elle est le principal soutien du tour cycliste de la grande ile depuis 2004.La BOA Madagascar se distingue par sa participation à des nombreuses opérations de mécénat comme la donation de 125 millions d’Ariary pour la rénovation du ROVA détruite par les flammes en 1995.Elle lutte aussi activement contre le travail des enfants en partenariat avec l’Organisation Internationale de Travail (OIT).

Les activités principales de la BOA Madagascar

L’article 3 de la Loi bancaire N°95-030 du 22 Févri er 1996 donne une définition plus élaborée des banques en tant qu’établissements de crédit : « Les établissements de crédits sont les organismes qui effectuent à titre habituel des opérations de banque. Les opérations de banque comprennent de leur côté la réception des fonds du public, l’octroi de crédit ainsi que la mise à disposition du public ou la gestion des moyens de payement. »
Mais une banque est aussi autorisée à donner des conseils, assistance et à faire des opérations de changes. Depuis Mars 2007, la BOA peut faire des transferts d’argent grâce à son partenariat avec Western Union .
La banque est une entreprise qui a pour rôle essentiel de recevoir des fonds, que lui confient ceux qui n’ont pas l’usage immédiat des sommes dont ils disposent, et de prêter une partie des fonds ainsi recueillis à ceux qui en ont besoin.
Tout particulier ou toute entreprise désirant prendre contact avec une banque devra, en premier lieu, procéder à l’ouverture d’un compte de dépôt ou compte de cheque .Celle-ci est normalement considérée comme courant dans le cadre bancaire. Le compte de dépôt est un compte réservéà la personne physique ou particulière qui veut que son compte soit en bonne sécurité. Ce compte sert essentiellement à déposer à l’abri de tout risque et à les prélever au fur et à mesure de ses besoins à l’aide de cheque.
Tiré de la définition précédente, la banque a donc pour activité principale d’offrir des services aux clients, à savoir la collecte de dépôts et l’octroi de crédits.
En tant qu’établissement bancaire et suivant la définition précitée, la BOA Madagascar a sûrement pour activité principale de recevoir des dépôts et d’octroyer différents types de crédits. Pour retenir la fidélité de sa clientèle, la banque lui offre un certain nombre de services qui devraient répondre à ses besoins. Les clients cherchent autant de sécurité pour leur fortune. C’est la raison pour laquelle ils s’adressent à la banque en y versant et en y retirant des fonds sur ordre.

La notion de la gestion financière

La gestion financière qui est un outil de gestion permet d’une part, de diagnostiquer ; c’est à dire de faire une constatation de la situation d’une entreprise via l’analyse financière et d’autre part, d’établir la politique financière c’est-à-dire déterminer ce que l’entreprise doit faire pour assurer sa pérennité: investissement, placement.
De nombreuses définitions ont été proposées par esl analystes financiers. Selon (B) COLLASSE « la gestion financière est perçue comme l’ensemble des décisions et des activités qui, au sein de l’entreprise et en fonction de ces objectifs, concourent à la régularisation des flux »1.
Pour (G) DEPALLENS, « la gestion financière est une fonction qui a pour but : D’assurer régulièrement à l’entreprise les fonds nécessaires à son équipement rationnelles et à son exploitation courante en lui procurant ces fonds en temps voulu, au moindre cout, sans aliéner son indépendance à l’égard des tiers ni des possibilités d’action industrielle et commerciale.
De contrôler ce qui est primordial, la bonne utilisation des fonds et la rentabilité des opérations auxquelles elles sont efectuées.
En bref, la gestion financière consiste entre autre à :
Gérer, administrer, diriger, organiser quelque chose.
Assurer, en toute circonstance la sécurité d’approvisionnement de liquidité.
Contrôler qu’aucun bien de l’entreprise ne reste nutilisé, en particulier les disponibilités.
Optimiser la rotation des ressources et des emplois » 1.
La gestion financière implique des choix à opérer, des décisions à prendre. L’un des instruments d’aide à ces décisions est l’analyse financière complétée par des ratios.

Les objectifs de l’analyse financière

Les objectifs de l’analyste déterminent largement l’orientation de ses investigations et la gamme des instruments qu’il cherchera à mettre en œuvre. Or, ces objectifs sont eux-mêmes liés au contexte dans lequel le diagnostic se trouve inscrit. Il est ainsi nécessaire de passer en revue les circonstances dans lesquelles le recours à un diagnostic financier s’avère être utile voire nécessaire.
Malgré la diversité des situations qui suggèrent ou qui exigent la mise en œuvre d’une telle démarche, on peut dégager de façon relativement synthétique les préoccupations majeurs qui s’y expriment et qui donnent tout leur sens à l’ensemble des développements techniques permis par l’analyse financière .Ceci est l’objet principale de l’analyse financière c’est-à-dire la déduction des performances de l’entreprise.

Le diagnostic et l’orientation de l’analyse

Il revient aux banques et aux autres établissements de crédit, le mérite d’avoir conçu et expérimenté les premiers outils et les premières méthodes de diagnostic financier.
En effet, soucieux de se doter de critères susceptibles de guider leurs décisions en matière d’octroi de crédits, les banquiers ont ainsi cherché à élaborer des instruments d’analyse principalement orientés vers l’étude de la solvabilité des emprunteurs. Depuis ses origines, l’analyse financière a cependant connu une extension remarquable de son champ d’application et une large ouverture de sa gamme d’objectifs. De ce fait, les situations qui peuvent justifier le recours à ses outils et à ses méthodes apparaissent profondément différenciées. Selon que le problème du diagnostic est posé à l’intérieur de l’entreprise ou par un partenaire externe ; selon que l’analyse est orientée vers la prise de décision concrète ou qu’elle s’inscrit dans un processus d’information.

L’analyse financière interne

Primo, les indications fournies par l’analyse financière interviennent couramment dans les processus d’élaboration, d’évaluation et de contrôle des décisions de gestion. Deux exemples peuvent illustrer une telle situation :
L’appréciation de la capacité de financement de l’entreprise permet d’évaluer la compatibilité des besoins liés à un important projet d’investissement avec le montant de ressources déjà acquises par l’entreprise ou susceptibles d’être obtenues par emprunt ou par augmentation de capital. L’analyse rétrospective des emplois et ressources sert de support pour l’élaboration des projets et des prévisions relatives au plan d’investissement et de financement
Secundo, l’analyse financière fournit des indicateurs ou des documents synthétiques qui permettent le suivi et le contrôle interne de certaines opérations. Elle contribue à l’établissement des tableaux de bord qui comportent le plus souvent des ratios financiers. Ses indications permettent le rapprochement et la mise en lumière d’écarts éventuels entre les réalisations observables de l’entreprise sur une période ou une date donnée et les objectifs que les dirigeants avaient arrêtés à priori.
Ainsi peut-on mettre en parallèle les valeurs prévues et les valeurs obtenues pour certains ratios, les prévisions d’emplois et de ressources du budget d’investissement et d’opérations financières avec esl emplois et les ressources effectivement constaté.

L’analyse financière externe

Dans la préparation de certaines décisions, des partenaires extérieurs à l’entreprise peuvent également s’appuyer sur les indications fournies par l’analyse financière.
L’illustration la plus classique de ce type d’application est fournie par les procédures que les banques utilisent pour étudier esl demandes de crédit qui leur sont soumises. Si diverses variables extra-financières sont couramment prises en compte (fortune personnelle des propriétaires de l’entreprise emprunteuse, possibilités de prendre des sûretés…), les outils d e diagnostic financier jouent un rôle essentiel dans les analyses de crédits.
Mais l’étude de dossiers des entreprises dans une optique d’analyse financière concerne aussi un ensemble de partenaires largement diversifié. Les gestionnaires de patrimoine, les gérants de portefeuille y recourent pour éclairer leurs décisions d’acquisition ou de cession de valeurs mobilières. Les administrations nationales ou locales utilisent de telles démarches pour étudier les dossiers d’entreprises sollicitant certaines aides. Les tribunaux s’appuient notamment sur des indications fournies par l’analyse financière pour évaluer les possibilités de redressement d’une entreprise en difficulté. Enfin, le diagnostic financier constitue un volet indispensable dans une expertise ou dans une négociation visant à estimer la valeur d’une entreprise ou celle de ses titres à l’occasion d’une fusion, d’une cession, d’une absorption, d’une introduction en bourse, d’une privatisation ou d’une nationalisation avec indemnisation.

L’information, la communication financière et le diagnostic

Si elle contribue à la préparation et au suivi des décisions de gestion prises (ou à prendre) par l’entreprise et ses partenaires, l’analyse financière joue également un double rôle dans les processus de communication interne et de communication externe de l’entreprise.
D’une part, elle constitue les sources d’indications, élaborées à partir de l’information comptable et économique établie par ’entreprisel. D’autre part, elle permet aux destinataires de l’information d’en assurer l’interprétation.
En premier lieu, l’analyse financière fournit des ndications qui concernent des enjeux essentiels pour la communication et (éventuellement) pour des confrontations internes à l’entreprise. Ainsi la diffusion d’informations financières significatives à destination des salariés par le canal de journaux d’entreprise ou de supports audio-visuels constitue une pratique fréquente relevant de l’initiative de la Direction. Elle s’inscrit alors le plus souvent dans un projet d’aménagement du climat social de l’entreprise (qui vise par exemple à susciter un effet de mobilisation ou à créer un sentiment d’appartenance… ), voire de constitution d’une culture d’entreprise intégrant des valeurs socio-économiques et la perception des impératifs financiers fondamentaux.
L’information comptable et financière et son appréciation deviennent des enjeux dans les rapports internes à l’entreprise, tels qu’elles sont façonnées par les dispositions juridiques en vigueur, par le style de management adopté par les dirigeants et le climat qui baigne les relations formelles et informelles entre les membres de l’organisation.
En second lieu, les informations comptables, économiques et financières ainsi que leurs interprétations constituent l’objet essentiel de la communication financière entre l’entreprise et son environnement. Cette communication s’inscrit dans un cadre juridique précis qui définit les obligations d’informer auxquelles les entreprises doivent se plier. Mais par delà du simple respect de ces dispositions, les entreprises qui souhaitent développer une relation active avec leur environnement financier définissent des politiques de communications volontaristes, cohérentes avec leur politique financière et leur politique générale.

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Table des matières

PARTIE I: LA PRÉSENTATION GÉNÉRALE DE LA BOA MADAGASCAR ET L’APPROCHE THÉORIQUE DE L’ANALYSE FINANCIÈRE
CHAPITRE I : LES GÉNÉRALITÉS SUR LA BANQUE
Section I : La banque et ses fonctions
§ 1.La définition
A- Le développement du système bancaire malgache
B- Les réglementations bancaires
a-La Commission de Supervision Bancaire et Financière (CSBF)
b-La Banque Centrale de Madagascar (BCM)
c-Quelques modifications apportées par la CSBF
§ 2.La fonction d’intermédiation
§3.La fonction de création monétaire
A- La monnaie
B- La création monétaire
Section II: La BOA – Madagascar
§1.L’historique de la BOA
A- L’historique de la BOA sur le continent africain :
B- L’historique de la BOA Madagascar
C- L’identité
Section III Les missions et les activités de la BOA Madagascar
§1.L’objectif de la BOA Madagascar
§2.Les activités principales de la BOA Madagascar
§3.Les services et les produits offerts.
A- Les produits
a- Aux particuliers
b- Aux institutions :
c- Aux Entreprises :
B- Les services :
CHAPITRE II : LA THÉORIE GÉNÉRALE SUR L’OUTIL « ANALYSE FINANCIÈRE » 
Section I: Les généralités sur l’analyse financière
§1.La notion sur l’analyse financière
§2.La notion de la gestion financière
§3.Les objectifs de l’analyse financière
Section II : Le diagnostic et l’orientation de l’analyse
§1.L’analyse financière interne
§ 2. L’analyse financière externe
Section III : Les outils de l’analyse de la situation financière
§1. L’actif net et le fonds de roulement
A- L’actif net
B- Le fonds de roulement (FR)
§2.Le besoin en fonds de roulement et la trésorerie
A- Les besoins en fonds de roulement (BFR)
B- La trésorerie
§3.L’appréciation des performances de l’entreprise
A- Les performances économiques et financières
B- Les principes d’analyse des performances
PARTIE II: L’ANALYSE DU SYSTÈME D’OCTROI DE CRÉDIT AUX ENTREPRISES
CHAPITRE I : L’ÉTUDE DES RISQUES BANCAIRES AU FINANCEMENT DES ENTREPRISES
Section I: Les risques de crédit bancaire
§1.Les risques de non remboursement ou de contre partie
§2.Les risques d’immobilisation des fonds
§3.Le risque de change
Section II: L’analyse des risques
§1.Les risques nés d’événements exceptionnels
A- Les crises de succession
B- L a mésentente entre les dirigeants
C- L a suppression brutale du marché
§2.Le risque tenant au débiteur et le risque lié au secteur d’activité du bénéficiaire
A- Le dirigeant et sa politique générale
B- La structure de production
C- Les produits
D- Le marché
§3.Les risques classés par ligne de crédit
A- Les crédits par caisse
a- La Facilité de caisse
b- Le découvert :
c- Le crédit de campagne
B- Les avances
a- Les avances sur marchandises et sur produits
b- L’avance sur facture administrative
C- Les autres crédits
a- Le crédit moins de 2 ans
b- L’escompte
c- Le crédit par signature
~ 133 ~
d- Le Crédit d’investissement à MT et LT
Section III: Les analyses critiques du système d’octroi de crédit aux entreprises
§1.L’Identification des points forts et des points faibles sur les différents types de crédits offerts par la BOA :
A- Les avantages et les inconvénients de l’escompte papier commercial
B- Les avantages et les inconvénients de la mobilisation de créances nées sur l’étranger
C- Les avantages et les inconvénients sur le financement des marchés administratifs
D- Les avantages et les inconvénients des avances sur produits
E- Les points forts et les points faibles de la facilité de caisse et du découvert
F- Les points forts et les points faible de l’escompte de papier de chaîne
G- Les avantages et les inconvénients du préfinancement de collecte de produits
H- Les avantages et les inconvénients du crédit d’investissement à MLT.
I- Les avantages et les inconvénients de crédits par signature
J- Les points forts et les points faibles des crédits documentaires
§2.Les procédures d’octroi de crédit aux entreprises
A- Les points forts de la procédure d’octroi de crédit aux entreprises
B- Les points faibles de la procédure d’octroi de crédit aux entreprises
§3.Les critères d’octroi de crédit aux entreprises
A- Les types de crédit bancaire
a- Les crédits d’investissement
b- Les crédits de fonctionnement
B- Les critères d’octroi de crédit aux entreprises
a- Les renseignements généraux sur l’entreprise
b- Les garanties
c- L’étude de l’analyse financière
C- Les ratios essentiels
a- Définition
b- Type des Ratios
D- Cas pratique de l’analyse des critères d’octroi de crédit
a- Les renseignements sur l’entreprise :
b- L’analyse de la situation financière
Chapitre II : LES PROPOSITIONS DE SOLUTIONS ET LES SUGGESTIONS
Section I : Les solutions concernant la banque
§1.L’amélioration de la gestion des risques
A- Bien Collecter les informations
B- Redynamiser le mouvement confié à la banque
§2.La stratégie bancaire face à la politique monétaire
§3.La minimisation des risques encourus au niveau du taux
A- La gestion de risque de taux
B- La sensibilisation auprès des clients
Section II: Les solutions concernant les PME
§1.La sensibilisation pour l’accès au financement bancaire
A- Introduire les PME dans le secteur formel
B- Adopter une politique de choix des établissements de crédit
§2.Les solutions relatives à l’étude de la demande de crédit
§3.La réduction des formalités exigées par la banque
Section III : Les suggestions
§1.L’environnement économique de la banque
A- Le renforcement de l’étude de marché
B- Faire face à l’instabilité économique
C- L’aménagement de la planification stratégique
§2.Les principes d’atténuation des risques
A- La limitation des crédits
B- Le principe de division des risques
§3.L’amélioration de la relation avec la clientèle
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE

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