Cadre lรฉgislatif
Instituรฉe pour les รฉtablissements publics de santรฉ par la loi du 31 dรฉcembre 1970, lโexistence du dossier mรฉdical du patient a รฉtรฉ progressivement imposรฉe aux รฉtablissements de santรฉ privรฉs par la loi du 31 juillet 1991. Son importance a รฉtรฉ confirmรฉe par la loi du 4 mars 2002 relative aux droits des malades et ร la qualitรฉ du systรจme de santรฉ.
Dans les recommandations de la HAS (Haute Autoritรฉ de Santรฉ) sur la qualitรฉ du Dossier Patient (2008), il est notรฉ que ยซ le dossier du patient assure la traรงabilitรฉ de toutes les actions effectuรฉes. Il est un outil de communication, de coordination et d’information entre les acteurs de soins et avec les patients. Il permet de suivre et de comprendre le parcours hospitalier du patient. Il est un รฉlรฉment primordial de la qualitรฉ des soins en permettant leur continuitรฉ dans le cadre d’une prise en charge pluriprofessionnelle et pluridisciplinaire ยป.
Le Code de Dรฉontologie Mรฉdicale prรฉcise ร lโarticle 45 : ยซ ร la demande du patient ou avec son consentement, le mรฉdecin transmet aux mรฉdecins qui participent ร la prise en charge ou ร ceux quโil entend consulter les informations et documents utiles ร la continuitรฉ des soins. ยป [22].
Lโarticle R. 710-2-2. Indique quโun dossier mรฉdical est constituรฉ pour chaque patient hospitalisรฉ dans un รฉtablissement de santรฉ public ou privรฉ et que ce dossier contient au moins les รฉlรฉments suivants :
Le dossier mรฉdical partagรฉ
Historique
Le dossier mรฉdical partagรฉ (DMP), anciennement dossier mรฉdicalpersonnel, est un carnet de santรฉ informatisรฉ et sรฉcurisรฉ. Il est accessible sur internet et cโest le patient qui le crรฉe lui-mรชme et qui dรฉcide qui y a accรจs. Le DMP peut contenir, comme le prรฉsente la figure 2, les documents suivants : comptes rendus hospitaliers et radiologiques, rรฉsultats d’analyses de biologie, antรฉcรฉdents et allergies, actes importants rรฉalisรฉs, don dโorganes, directives anticipรฉes, mรฉdicaments prescrits et dรฉlivrรฉs. Le patient peut supprimer ร tout moment certains des documents qu’il contient, ou masquer certaines informations.
La seule condition de pouvoir ouvrir un DMP est dโรชtre bรฉnรฉficiaire de l’Assurance maladie [23].
Le dossier mรฉdical personnel a รฉtรฉ instaurรฉ par la loi du 13 aoรปt 2004 relative ร lโassurance maladie, laquelle a รฉgalement instaurรฉ le parcours de soins.
Lโobjectif รฉtait de permettre aux professionnels de santรฉ dโaccรฉder en ligne ร lโensemble des donnรฉes mรฉdicales concernant un patient et de faciliter la coordination et les รฉchanges dโinformations afin dโรฉviter, notamment, les rรฉpรฉtitions dโexamen et/ou les prescriptions coรปteuses. Il devait donc permettre ร terme des รฉconomies importantes.
Mon espace santรฉ (MES) ou Espace Numรฉrique de Santรฉ (ENS)
Historique
Lโespace numรฉrique de santรฉ a vu le jour en fรฉvrier 2022. Ce service permet de stocker et partager ses documents et donnรฉes de santรฉ avec toute la sรฉcuritรฉ informatique et confidentialitรฉ nรฉcessaire ร leur protection. Cโest la Dรฉlรฉgation ministรฉrielle au Numรฉrique en Santรฉ (DNS) rattachรฉe au ministรจre en charge de la Santรฉ et la Caisse nationale dโassurance maladie (CNAM), qui a mis en ลuvre ce service, avec lโappui de lโAgence du Numรฉrique en Santรฉ [26].
Cโest en fait une version amรฉliorรฉe du DMP pour stocker et partager ses propres donnรฉes de santรฉ :
– Ordonnances, traitements, rรฉsultats dโexamens, antรฉcรฉdents mรฉdicaux, comptes-rendus dโhospitalisation, vaccination
– Une messagerie sรฉcurisรฉe de santรฉ entre patient et professionnels de santรฉ
– Un agenda santรฉ pour gรฉrer nos rendez-vous mรฉdicaux et recevoir des rappels pour les dates clรฉs de nos examens de contrรดle (bilans, mammographie, vaccinationโฆ)
– Un catalogue de services numรฉriques de santรฉ rรฉfรฉrencรฉs par lโรtat pour dรฉcouvrir lโoffre des services utiles en santรฉ et gรฉrer les accรจs ร nosdonnรฉes de santรฉ
En voici une impression รฉcran sur la figure 3.
Les aspects terminologiques, les codes et les normes utilisรฉs dans le domaine mรฉdical
Introduction sur les terminologies mรฉdicales
Les terminologies mรฉdicales rรฉpondent au besoin dโexprimer lโinformation mรฉdicale. On lโenregistre afin dโobtenir un recueil dโinformations cliniques pour un patient, un recueil normatif (en santรฉ publique) et pour indexer des documents. Il y a un besoin dโinformation mรฉdicale qui permet lโaide ร la dรฉcision, et de faire des รฉtudes รฉpidรฉmiologiques. Enfin, ces terminologies permettent de communiquer lโinformation mรฉdicale afin dโassurer la continuitรฉ des soins.
Il est possible dโexprimer lโinformation mรฉd icale en langage naturel avec du texte libre. Cela permet au professionnel de santรฉ dโรชtre plus prรฉcis et dโavoir une souplesse dans le choix de ces mots. Il y a une meilleure comprรฉhension du texte mรชme si le contexte est implicite, il sโadapte aussi ร lโรฉvolution des connaissances et permet lโinterprรฉtation humaine. En revanche, cโest un rรฉel obstacle pour le traitement de lโinformation. Les terminologies mรฉdicales vont donc prรฉserver lโintรฉgritรฉ du message et prรฉserver son sens, cโest lโinteropรฉrabilitรฉ sรฉmantique.
Il existe des difficultรฉs dโinterprรฉtation et dโambiguรฏtรฉ notamment avec les acronymes comme dans lโexemple de lโIVG (pour rappel, IVG peut signifier interruption volontaire de grossesse ou insuffisance ventriculaire gauche selon le contexte). Lโambigรผitรฉ peut exister par polysรฉmie comme avec lโexemple du genou qui peut รชtre une articulation comme un angle anatomique. Ou encore une ambiguรฏtรฉ dโimprรฉcision avec lโexemple de lโinfarctus qui peut รชtre un infarctus du myocarde ou un infarctus mรฉsentรฉrique. Par synonymie, une mรชme notion peut รชtre dรฉsignรฉe par plusieurs expressions diffรฉrentes (infarctus myocardique/infarctus du myocarde/crise cardiaque).
Il est donc nรฉcessaire de normaliser les รฉlรฉments dโinformation que lโon veut manipuler. On reprรฉsente donc les concepts mรฉdicaux par des terminologies, par des descriptions des concepts et par formalisation. On utilise les terminologies pour dรฉcrire des diagnostics, symptรดmes, actes, examens complรฉmentaires, prescriptions des mรฉdicaments, structures anatomiques, de la biologie, de laย gรฉnรฉtique, etc. Ce sont les mรฉdecins prescripteurs qui enregistrent ces donnรฉes, sur des logiciels qui aident ร la saisie structurรฉe avec un certain niveau de dรฉtail.
Les concepts
Un concept identifie une notion. Il est dรฉfini comme une idรฉe gรฉnรฉrale et abstraite que se fait l’esprit humain d’un objet de pensรฉe concret ou abstrait, et qui lui permet de rattacher ร ce mรชme objet les diverses perceptions qu’il en a, et d’en organiser les connaissances [28].
Il est dรฉsignรฉ par un terme qui est son expression dans sa langue et une dรฉfinition lui est associรฉe. Il est gรฉnรฉralement dรฉsignรฉ par un identifiant, un code unique qui permet son stockage dans les systรจmes dโinformations.
Les codes peuvent รชtre signifiants et donc peuvent รชtre liรฉs aux caractรจres des concepts et ร leur position dans la terminologie. Il existe des codes mnรฉmoniques, des abrรฉviations, des codes hiรฉrarchiques, juxtaposรฉes ou combinรฉs.
Les codes non signifiants ne sont pas liรฉs au sens du concept et le changement de structure de la terminologie nโa pas dโinfluence sur les codes. On y trouve des codes sรฉquentiels ou alรฉatoires.
Les relations entre concepts
Les concepts peuvent avoir des relations hiรฉrarchiques entre elles ou non. Les relations hiรฉrarchiques expriment un ordre entre deux concepts : un subordonnant (exemple : valve cardiaque), ou un subordonnรฉ (exemple : valve mitrale). Elles peuvent รชtre gรฉnรฉrique, cโest-ร -dire que lโintention du concept gรฉnรฉrique est contenue dans lโintention du concept spรฉcifique (exemple : lโinfarctus est la mort de tissus due ร un manque de perfusion. Lโinfarctus du myocarde est la mort du muscle cardiaque due ร un manque de perfusion). Elles peuvent aussi รชtre partitive, cโest-ร -dire que le concept intรฉgrant reprรฉsente le tout et les concepts partitifs se rรฉfรจrent ร ses parts (exemple : main, doigts). Dans la figure 4 cidessous, une gรฉnรฉralisation de relations hiรฉrarchiques.
Typologie des terminologies
Une terminologie est une liste des termes faisant rรฉfรฉrence aux concepts dans un domaine particulier. Par exemple, un thรฉsaurus et une nomenclature sont deux terminologies.
Dโaprรจs Cimino et al. [29], il y aurait 12 caractรฉristiques pour les systรจmes terminologiques dans les dossiers mรฉdicaux :
– Le contenu doit satisfaire lโutilisateur
– Le vocabulaire doit รชtre basรฉ sur des concepts
– Le sens du concept doit รชtre pรฉrenne
– Le code identifiant unique du concept ne doit pas รชtre signifiants (identifiants non sรฉmantiques)
– Le systรจme doit รชtre poly hiรฉrarchique cโest-ร -dire quโil doit permettre ร un concept dโรชtre classรฉ de plusieurs faรงons
– Le concept doit avoir une dรฉfinition formelle
– Le systรจme ne doit pas comporter de catรฉgories rรฉsiduelles comme โNot Elsewhere Classifiedโ, โSans autre indicationโ
– Le systรจme doit permettre plusieurs niveaux de granularitรฉ selon les utilisateurs (exemple : organes, tissus, cellules, molรฉculesโฆ)
– Il faut des vues multiples consistantes (diffรฉrentes organisations fonctionnelle, anatomique et pathologique)
– Reprรฉsenter le contexte (avec les antรฉcรฉdents familiaux par exemple)
– La maintenance du systรจme doit permettre une รฉvolution facile
– Un mรฉcanisme doit permettre de reconnaรฎtre et de gรฉrer les redondances dโinformation (รฉquivalences)
Il existe de nombreuses terminologies mรฉdicales, mais chacune dโentre elles a รฉtรฉ crรฉรฉe pour rรฉpondre ร un besoin donnรฉ. On peut citer 4 besoins :
– Coder lโinformation du patient pour le soin et la santรฉ publique
– Indexer des documents notamment la littรฉrature biomรฉdicale
– Reprรฉsenter les entitรฉs dans des systรจmes dโaide ร la dรฉcision
– Servir de support en interface pour le recueil dโinformation
Donc une pathologie peut รชtre reprรฉsentรฉe de maniรจre trรจs diffรฉrente dans plusieurs terminologies et aucunes dโentre elles ne couvrent tous les besoins. On utilise donc plusieurs concepts. Il est nรฉcessaire de faire le bon compromis entre les besoins de reprรฉsentation, dโinteropรฉrabilitรฉ et de facilitรฉ de saisie.
Sur le site de lโANS, on peut retrouver un catalogue des terminologies [30].
Les ressources existantes
Dans cette partie, il sera listรฉ diffรฉrentes terminologies utilisรฉes dans le domaine mรฉdical, du DIM (dรฉpartement dโinformation mรฉdicale) et utiles dans un DPI.
Les terminologies pour coder
CIM-10 (Classification Internationale des Maladies)
La Classification internationale des maladies ou CIM (en anglais, International Classification of Diseases ou ICD) est une classification mรฉdicale codifiรฉe classifiant les maladies et une trรจs vaste variรฉtรฉ de signes, symptรดmes, lรฉsions traumatiques, empoisonnements, circonstances sociales et causes externes de blessures ou de maladies [31]. La derniรจre version en vigueur est la CIM-11 et un extrait de celle-ci est reprรฉsentรฉe en figure 5 [32].
La CIM-10 permet le recueil des causes de dรฉcรจs, la morbiditรฉ pour rรฉaliser des statistiques internationales. Elle permet dโenregistrer les motifs dโhospitalisation et les prises en charge au cours de lโhospitalisation pour la tarification des รฉtablissements de soins (PMSI = Programme de Mรฉdicalisation des Systรจmes d’Information) et pour la planification des soins. Elle contient environ 55 000 codes uniques pour les traumatismes, les maladies et les causes de dรฉcรจs [33]. Les concepts sont identifiรฉs par un code de catรฉgorie et un terme.
Deux situations similaires peuvent avoir deux codes. Exemple :
– รtiologie : B05.0 Rougeole compliquรฉe dโune encรฉphalite
– Manifestation : G05.1 Encรฉphalite, myรฉlite et encรฉphalomyรฉlite au cours dโinfections virales classรฉes ailleurs.
CSARR (Catalogue Spรฉcifique des Actes de Rรฉรฉducation et Rรฉadaptation)
Le CSARR dรฉcrit et code lโactivitรฉ des professionnels concernรฉs dans les รฉtablissements de soins de suite et de rรฉadaptation (SSR) ร l’exclusion des actes relevant de la seule responsabilitรฉ mรฉdicale qui sont dรฉcrits dans la Classification Commune des Actes Mรฉdicaux (CCAM) [38].
EDGAR (Entretien, Dรฉmarche, Groupe, Accompagnement, Rรฉunion)
La grille EDGAR (Entretien, Dรฉmarche, Groupe, Accompagnement, Rรฉunion) est un recueil dโinformations qui permet dโenregistrer les actes rรฉalisรฉs pour un patient au cours dโune prise en charge pour lโaccueil et les soins ambulatoires rรฉalisรฉs en centre mรฉdicopsychologique (CMP), lโaccueil et les soins en centre dโaccueil thรฉrapeutique ร temps partiel (CATTP), et lโaccueil et les soins dans un lieu autre que le CMP et le CATTP [39].
ADICAP (Association pour le Dรฉveloppement de lโInformatique en Cytologie et Anatomie Pathologiques)
Le thรฉsaurus ADICAP permet de dรฉcrire un prรฉlรจvement tissulaire examinรฉ en anatomie et cytologie pathologiques (ACP). Ce thรฉsaurus a รฉtรฉ รฉlaborรฉ par les pathologistes franรงais de lโAssociation pour le Dรฉveloppement de lโInformatique en Cytologie et Anatomo-Pathologie (ADICAP). Il contient 9511 concepts rรฉpartis en 8 dictionnaires [40].
CISP2 (Classification Internationale des Soins Primaires)
Elle permet de coder les motifs de rencontres, les problรจmes diagnostiquรฉs et les procรฉdures de soins. Elle a une classification ร 2 axes, le premier dรฉsigne les systรจmes, le second dรฉsignant les symptรดmes, procรฉdures, rรฉsultats, diagnostics de la maladieโฆ) cโest un code ร 3 caractรจres (1 lettre et 2 chiffres). Cโest une classification majeure en Mรฉdecine Gรฉnรฉrale et ce, dans de nombreux pays. La France ne lโa acquise quโen 2019. Une version 3 est en cours dโรฉlaboration et de traduction en franรงais [41].
LPP (Liste des Produits et Prestations)
La LPP est la liste des produits et prestations remboursables par l’Assurance Maladie. Il s’agit notamment des dispositifs mรฉdicaux pour traitements et matรฉriels d’aide ร la vie, aliments diรฉtรฉtiques et articles pour pansements, des orthรจses et prothรจses externes, des dispositifs mรฉdicaux implantables et des vรฉhicules pour handicapรฉs physiques. Cette liste est disponible sur le site de lโassurance maladie [42].
Les terminologies pour indexer des documents
Le thesaurus MeSH : Medical Subject Headings
Les buts du thesaurus MeSH sont lโindexation et la recherche documentaire des articles scientifiques biomรฉdicaux de la base MEDLINE, du web mรฉdical francophone (catalogue CISMeF = Catalogue et Index des Sites Mรฉdicaux de langue Franรงaise), et du web mรฉdical multilingue (HON = Health On the Net). En 2022, ce thรฉsaurus contient environ 30 000 descripteurs et termes prรฉfรฉrรฉs (Main Headings) qui sont des termes devant reprรฉsenter, sans ambiguรฏtรฉ, un concept, 100 000 synonymes (ou entry terms), 210 000 concepts supplรฉmentaires (essentiellement en chimie) et 85 qualificatifs (qualifiers) permettant dโaffiner les sens des descripteurs.
Les descripteurs sont rรฉpartis en grands axes recouvrant tout le domaine biomรฉdical, lโanatomie, les organismes, les maladies, les mรฉdicaments et produits chimiques, etc. Lโorganisation est hiรฉrarchique (voir les figures 10 et 11).
La classification est multiple cโest-ร -dire quโun mรชme concept peut รชtre placรฉ ร plusieurs endroits dans la hiรฉrarchie (il a donc plusieurs parents). Pour la recherche dโinformation, il permet des recherches plus ou moins spรฉcifiques, sur le modรจle broader/narrower (plus large/plus spรฉcifique).
Ressources ยซ mรฉdicaments ยป
La classification ATC (Anatomical Therapeutic Chemical)
La classification ATC est une classification internationale permettant de classer les substances actives en diffรฉrents groupes selon lโorgane ou le systรจme sur lequel ils agissent et selon leurs propriรฉtรฉs thรฉrapeutiques, pharmacologiques et chimiques [47]. Les explications sont sur les figures 13 et 14.
Cโest l’Organisation Mondiale de la Santรฉ (OMS) qui a รฉtabli le systรจme ATC de classification des mรฉdicaments. Cinq niveaux (groupe principal anatomique, sous-groupe thรฉrapeutique, sous-groupe pharmacologique, sous-groupe chimique et substance chimique) regroupent tous les mรฉdicaments. Les modifications de la classification ATC sont effectuรฉes uniquement par des experts du centre de l’OMSร Oslo, en Norvรจge. Les changements que lโon peut y trouver sont ร propos des nouveaux noms gรฉnรฉriques internationaux (DCI), aux niveaux ATC comme aux changements de doses quotidiennes dรฉfinies (DDD). Des modifications sont aussi apportรฉes en fonction des articles scientifiques actuels et des pharmacopรฉes internationales [48].
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Table des matiรจres
Liste des tableauxย
Liste des figuresย
Glossaireย
INTRODUCTIONย
PARTIE I : HISTORIQUE, CONTEXTE ET LEGISLATION DU DOSSIER PATIENT INFORMATISE EN FRANCE
1. Le dossier patient informatisรฉ
1.1 Historique
1.2 Cadre lรฉgislat
2. Le dossier mรฉdical partagรฉ
2.1 Historique
2.2 Cadre lรฉgislatif
3. Mon espace santรฉ (MES) ou Espace Numรฉrique de Santรฉ (ENS)
3.1 Historique
3.2 Cadre lรฉgislatif
PARTIE II : LES ASPECTS TERMINOLOGIQUES, LES CODES ET LES NORMES UTILISES DANS LE DOMAINE MEDICAL
1. Introduction sur les terminologies mรฉdicales
2. Les concepts
3. Les relations entre concepts
3. Typologie des terminologies
4. Les ressources existantes
4.1. Les terminologies pour coder
4.2. Les terminologies pour indexer des documents
4.3. Les terminologies dโinterfaces et de rรฉfรฉrences
4.4. Ressources ยซ mรฉdicaments ยป
4.5. Autres ressources
PARTIE III : SYNTHESE ET DISCUSSIONย
1. Convergences du DPI, DMP et Mon espace santรฉ
2. Elรฉments structurables ou non ?
3. Si les รฉlรฉments sont structurables, quelles structures possibles ?
4. Propositions dโajouts dโรฉlรฉments
5. Rรฉflexions sur les propositions de codes pour la structuration des รฉlรฉments du DPI
6. Synthรจse des mรฉtadonnรฉes et structurations correspondantes
7. Discussion
CONCLUSIONย
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES