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SOURCES DE CONTAGION
LES ANIMAUX MALADES ET LES PORTEURS DE VIRUS
Les malades, les cadavres, les produits d’origine animale sont les principales sources de contagion. La mise en รฉvidence par la sรฉrologiede l’existence de la forme inapparente de FVR atteste la prรฉsence de porteurs sains ou paradoxaux chez les espรจces sensibles mais aussi chez les autres espรจces dont les ruminants sauvages, les camelins, les รฉquidรฉs, les rongeurs sauvages, les singes, les chiroptรจres et le chat (Saluzzo et al, 1987 ; Sobhy et al, 1981).
LES CADAVRES ET LES MATIERES VIRULENTES.
Chez le cadavre, le sang, le foie, la rate, l’encรฉphale sont les tissus d’รฉlection du virus donc susceptibles de fournir des matiรจres virulentes.
Les avortons et les annexes fลtales sont รฉgalement susceptibles d’รชtre virulents.
LES PRODUITS D’ORIGINE ANIMALE.
Les produits dโorigine animale concernent les viandes et abats, le lait et les produits laitiers.
Le virus rรฉsiste ร la congรฉlation par consรฉquent laviande rรฉfrigรฉrรฉe et congelรฉe et les abats peuvent รชtre ร l’origine de la contamination humaine suite ร une manipulation de ces produits.
Le virus est excrรฉtรฉ dans le lait lors de la phase de virรฉmie. Toutefois il est inactivรฉ par la pasteurisation.
Les autres produits d’origine animale tels que la laine, les fourrures, les os, les peaux et cuirs, le fumier semblent jouer un rรดle non encore รฉlucidรฉ mais trรจs nรฉgligeable dans la dissรฉmination du VFVR.
RECEPTIVITE – SENSIBILITE
L’expression du pouvoir pathogรจne est non seulement sous la dรฉpendance de la virulence de l’agent infectieux et de facteurs extrinsรจques mais aussi de facteurs intrinsรจques ร l’animal.
FACTEURS INTRINSEQUES.
L’ESPECE
Dans les conditions naturelles les ovins sont plus sensibles que les bovins et ceux-ci le sont plus que les caprins. Ces derniers peuvent mรชme รชtre rรฉsistants ร la FVR (Sobhy et al, 1981).
La FVR est une zoonose majeure, et l’homme est contaminรฉ par contact avec les animaux malades ou les carcasses d’animaux infectรฉsmais aussi lors des manipulations du virus au laboratoire.
LA RACE
Lors de l’รฉpizootie de 1977 en Egypte les races importรฉes et celles croisรฉes des espรจces sensibles ont รฉtรฉ les plus sensibles (Sobhy et al,1981). Fagbami et al en 1973 ont dรฉmontrรฉ la rรฉsistance du mouton nain de l’Afriquede l’Ouest en l’infectant par une souche du VFVR isolรฉ au Nigeria.
LE SEXE
Les femelles gravides sont plus sensibles avec un taux d’avortements รฉlevรฉ et une perte de la production lactรฉe.
L’AGE
Les jeunes sont hautement plus sensibles que les adultes. Ainsi lors de toutes les รฉpizooties connues le taux de mortalitรฉ chez les nouveau-nรฉs est de l’ordre de 95 ร 100% contre 20 ร 30% chez les adultes.
L’INDIVIDU
Il a รฉtรฉ constatรฉ en Afrique du Sud que des animauxqui ne rรฉagissent pas ร la vaccination par production d’anticorps sont aussi bien rรฉsistants ร l’infection naturelle qu’ร l’infection expรฉrimentale (Banard, 1981).
FACTEURS EXTRINSEQUES
Outre l’introduction de cheptel neuf, la sous-alimentation et la sous-nutrition, le parasitisme, les maladies intercurrentes, et le stress qui rรฉduisent la rรฉsistance immunitaire de l’organisme, les facteurs majeurs dont l’influence est dรฉterminante ร dรฉclencher une รฉpizootie sont la pluviomรฉtrie et slemodifications รฉcologiques. Ces derniรจres sont dues ร la crรฉation de barrages et ร l’extension de zones nouvellement irriguรฉes.
De toute รฉvidence les fortes pluviomรฉtries ou les luviomรฉtriesp moyennes prรฉcรฉdรฉes de sรฉcheresse favorisent l’รฉclosion massive et la prolifรฉration des moustiques vecteurs de la FVR. La pullulation de ces vecteurs associรฉe ร l’introduction du virus dans des zones nouvellement irriguรฉes ร forte concentration en bรฉtail semble รชtre ร l’origine des flambรฉes รฉpizootiques.
MODE DE TRANSMISSION
Le mode de transmission peut รชtre indirect par lโintermรฉdiaire des vecteurs, ou direct dโanimal ร animal.
Elle se fait par piqรปres des moustiques. Le rรดle ve cteur des moustiques dans la transmission de la maladie a รฉtรฉ prouvรฉ par l’isolement du virus chez de nombreuses espรจces de moustiques (association virus-vecteur) et par la coรฏncidence des รฉpizooties de la FVR avec la prรฉsence de populations anormalement รฉlevรฉes de moustiques.
Chez l’animal, la transmission horizontale d’animalร animal ou la transmission par le lait n’a jamais รฉtรฉ observรฉe (Easterday et al, 1962). Par contre la transmission verticale par voie utรฉrine est possible dรจs l’instant que levirus a รฉtรฉ isolรฉ du placenta de brebis et de l’avorton de vache en Tanzanie et au Zimbabwe. (Marniquet, 1972). (Swanepoel, 1981).-Chez les moustiques, bien que la transmission transovarienne se fasse ร des taux trรจs faibles il a รฉtรฉ constatรฉ l’infection des mรขles adultes de l’espรจce Aedes mcintoshi capturรฉs dans la nature (Linthicum et al, 1985). Or les mรขles ne prennent jamais de repas sanguin.
Chez l’homme la contamination directe sous forme d’aรฉrosols est trรจs frรฉquente. Par ailleurs les bouchers, les รฉleveurs et les vรฉtรฉrinaires sont contaminรฉs soit par contact avec les animaux malades ou morts et avortons soit par manipulation des carcasses et du lait infectรฉs. Mais il n’a jamais รฉtรฉ observรฉ dentaminationco interhumaine
LES VOIES DE PENETRATION.
Dans les conditions naturelles chez les animaux sensibles, la voie d’inoculation habituelle est la voie intradermique (cutanรฉe ou muqueuse) par l’intermรฉdiaire des moustiques indispensables ร la transmission du viru s. La voie intra-utรฉrine est aussi possible. L’agneau n’est pas infectรฉ per os ni parcontact direct avec les animaux atteints (Easterday et al, 1962). Chez l’homme la voie nasale est la plus frรฉquente par inhalation d’aรฉrosols renfermant des particules virulentes.
ETIOLOGIE
Le VFVR est un virus ร Acide Ribonuclรฉique (ARN) segmentรฉ, ร symรฉtrie hรฉlicoรฏdale, sphรฉrique de 90 ร 110 nm de diamรจtre, pourvu dโune enveloppe lipidique dโorigine cellulaire et prรฉsentant deux types de spicules glycoprotรฉiques en surface. Ses caractรฉristiques physicochimiques et antigรฉniques el classent dans la famille des Bunyaviridae appartenant au genre des phlebovirus lequel regroupe actuellement 37 virus (Lefรจvre et al, 2003).
Le VFVR appartient ร la famille des Bunyaviridae, q ui comprend plus de 250 espรจces rรฉparties en 4 genres : Bunyavirus, Nairovirus, Phleb0 virus, et Uukuvirus (Bishop et al, 1979) (Matthews, 1982). Rรฉcemment un 5รจ genre Hantavirus a รฉtรฉ proposรฉ par Schmaljohn et al en 1986.
La morphologie et les dimensions des virus de la famille des Bunyaviridae montrent que le VFVR est ultra filtrable, ultracentrifugable et capable de s’adsorber sur les hรฉmaties. En culture in vitro la prรฉsence du virus se traduitpar une lyse cellulaire, des inclusions intranuclรฉaires รฉosinophiles et des plages (Coackley, 1963). (Takamoriet al, 1955).Au microscope รฉlectronique on constate que le VFVR est sphรฉrique de 95 ร 105 nm de diamรจtre et enveloppรฉ par une membrane hรฉrissรฉe despicules dont la structure permet de mettre en รฉvidence une membrane unique glycoprotรฉinique. Sa masse molรฉculaire relative est d’environ 350.106. Celles des 3 espรจces d’ARN sont respectivement: 2,7.106 pour L, 1,7.106 pour M, et 106 pour S.
PATHOGENIE
Aprรจs son introduction dans lโorganisme ร la suite dโune piqรปre, le virus est transportรฉ par les lymphocytes et gagne le foie et les glandes surrรฉnales, oรน a lieu la multiplication primaire dans les hรฉpatocytes et les cellules de lazone corticale (Lefรจvre et al, 2003). Le virus gagne ensuite la rate, les glomรฉrules et les tubules rรฉnaux. La virรฉmie peut atteindre 10 7 โ 10 8 UFP/ ml en 24h avec des titres lรฉgรจrement dans le oief. Les lรฉsions hรฉpatiques sont dues ร une insuffisance hรฉpatique aiguรซ provoquรฉe par la destruction des hรฉpatocytes sous l’effet de la multiplication apider du virus (Ali, 1999).
Chez les femelles en gestation, le virus prรฉsente une prรฉdilection pour les cotylรฉdons placentaires atteints par voie sanguine. La mort du fลtus intervient rapidement par infection de celui โ ci, et non par atteinte gรฉnรฉralisรฉe du placenta (Lefรจvre et al, 2003).
SYMPTOMES
Les symptรดmes de la FVR se prรฉsentent sous trois formes : forme suraiguรซ, forme aiguรซ et forme subaiguรซ. Le plus souvent, ils varient sui vant lโรขge, le sexe et lโespรจce concernรฉe. En effet, chez les ruminants domestiques, les jeunes dรฉveloppent une infection suraiguรซ et aiguรซ, alors que la forme sub aiguรซ infecte les adultes. Les autres espรจces comme les chevaux, les chiens et les chats sont rรฉceptifs (virรฉmie transitoires) mais ne prรฉsentent aucun symptรดme. Chez lโhomme, la FVR se prรฉsente sous la forme aiguรซ, associรฉe ร de violents maux de tรชte et surtout des douleurs rรฉtro orbitaires.
FORME SURAIGUร
Lโincubation est de courte durรฉe (12 ร 72 heures) et les symptรดmes sont peu รฉvocateurs en raison mรชme de la rapiditรฉ de lโรฉvolution. Ellest caractรฉrisรฉe par une forte hyperthermie, inappรฉtence, faiblesse, douleurs abdominales, dรฉcubitus et mort en 24h.
FORME AIGUร
Cette forme se traduit, aprรจs une incubation de 2 ร 5 jours, par des symptรดmes plus caractรฉristiques qui apparaissent peu de temps avant la mort de lโanimal : forte hyperthermie, jetage mucopurulent striรฉ de sang, vomissement, diarrhรฉe putride hรฉmorragique et, parfois ictรจre
FORME SUBAIGUร
Se traduit par des avortements nombreux dans les troupeaux, deux semaines aprรจs lโinfection (mais une durรฉe dโincubation plus longue est possible, et le code zoo sanitaire de lโOffice Internationale des Epizooties (OIE) a retenu 30 jours, comme durรฉe maximale) (Lefรจvre et al, 2003).
LESIONS
LESIONS MACROSCOPIQUES
Dans le cas dโune forme aiguรซ, la principale lรฉsion observรฉe dans toutes les espรจces sensibles est une nรฉcrose du parenchyme hรฉpatique uiq apparaรฎt parsemรฉ de petits foyers de nรฉcrose grisรขtres de 1 ร 2 mm de diamรจtre (Lefรจvre et al, 2003).
Chez les adultes, le foie est congestionnรฉ, friable, de couleur orange ou marron, avec prรฉsence de pรฉtรฉchies sous โ capsulaires. La muqueuse de la vรฉsicule biliaire est souvent ลdรฉmateuse et hรฉmorragique. Des pรฉtรฉchies ous โ capsulaires sont visibles ร la surface de la rate, mais pas en profondeur. Les organes du tractus digestif, en la caillette et lโintestin grรชle, sont le siรจge de lรฉsions dโลdรจmes ou dโhรฉmorragies (entรฉrite hรฉmorragique), ainsi que les sรฉreuses (Lefรจvre etl,a 2003).
LESIONS MICROSCOPIQUES
Dans les formes suraiguรซs ou aiguรซs, la destruction presque complรจte des hรฉpatocytes donne une image histologique difficilement reconnaissable : quelques rares cellules intactes sont observรฉes au pรฉriphรฉrique des lobulesou autour de la veine centrale, associรฉes ร un envahissement massif par des polynuclรฉaires neutrophiles et des macrophages. Au niveau cellulaire, la lรฉsion est caractรฉrisรฉe par des inclusions cytoplasmiques trรจs acidophiles rappelant les corps de Councilman observรฉs dans la fiรจvre jaune, et des inclusions nuclรฉaires รฉosinophiles en forme de bรขtonnet ou ovales dans la moitiรฉ des cas (Lefรจvre et al, 2003).
DIAGNOSTIC
DIAGNOSTIC CLINIQUE
Toute mortalitรฉ รฉlevรฉe des jeunes animaux, notammenles ruminants, associรฉe ร une augmentation des taux dโavortement chez les femelles doit attirer lโattention.
DIAGNOSTIC ANATOMOPATHOLOGIQUE
Les lรฉsions macroscopiques sont suffisamment nettespour orienter le diagnostic vers la FVR lors dโune รฉpizootie. En revanche, dans la forme subaiguรซ et, a fortiori, lors dโun avortement sans autres signes cliniques, le laboratoire est seul en mesure dโassurer le diagnostic.
DIAGNOSTIC DIFFERENTIEL
Il convient de distinguer la FVR de toutes les maladies abortives des ruminants (brucellose, salmonellose, leptospirose,โฆ..) lors d e lโavortement.
Aussi bien la Pasteurella multocida (type B ou C) que lโempoisonnement par des plantes toxiques peut รชtre confus avec la FVR par esl syndromes hรฉmorragiques quโelles entraรฎnent.
Les symptรดmes observรฉs lors de la maladie de Wesselsbron et la maladie du mouton de Nairobi sont similaires ร ceux de la FVR dans les f ormes aiguรซs.
PROPHYLAXIE
PROPHYLAXIE MEDICALE
Elle consiste la lutte contre les vecteurs de la maladie, mais ceci รฉtant illusoire. La vaccination des animaux domestiques est seule efficace ร la prรฉvention.
PROPHYLAXIE SANITAIRE
Plusieurs types de vaccin sont actuellement disponibles sur les marchรฉs. Les vaccins ร virus vivants, constituent quatre souches diffรฉrentes dont la souche Smithburn qui est la plus utilisรฉe vue son prix trรจs abordable et aussila longรฉvitรฉ de lโimmunitรฉ quโelle induit qui dure toute la vie de lโanimal ; la souche MVP 12, le clone 13 et la souche R566.
Les vaccins ร virus inactivรฉs procurent une immunitรฉ de courte durรฉe, six mois ร un an, et des rappels annuels sont indispensables. De plus, leur coรปt รฉlevรฉ en limite lโusage.
Les vaccins recombinants sont en cours dโexpรฉrimentation.
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Table des matiรจres
INTRODUCTIONย
I. REVUE DE LA LITTERATUREย
.1.1 FIEVRE DE LA VALLEE DU RIFT
I.1.1. Dรฉfinition
I.1.2. Historique et rรฉpartition gรฉographique de la FVR
I 1.2. 1. En afrique du Sud et de l’ESt
I 1.2.2 En Afrique de Nord
I1.2.3. En Afrique de l’Ouest et de Centre
I.1.3. Historique de la FVR ร Madagascar
I.1.4. Epidรฉmiologie
I 1.4..1 Espรจces affectรฉes
a . Animaux domestiques
b Animaux suvages
I 1.4.2 Sources de contagion
a . Les animaux malades et les porteurs de virus
b. Les cadavres et les matiรจres virulentes
c . Les Produits d’origine animale
I.1.5. Rรฉceptivitรฉ – Sensibilitรฉ
I 1.5.1 Facteurs intinsรจques
a . L’epรจce
b La race
C Le Sexe
d . L’รขge
e . L’Individu
I 1.5.2 Facteurs extrinsรจques
a . Mode de transmission
b / Les Voies de pรฉnรฉtration
I.1.6. Etiologie
I.1.7. Pathogรฉnie
I.1.8. Symptรดmes
I 1.8 .1 Forme suraigรผe
I 1. 8. 2 aiguรซ
I 1.8.3 Forme subaigรผe
I.1.9. Lรฉsions
I 1. 9 .1 Lรฉsions macroscopiques
I 1. 9.2 Lรฉsions macroscopiques
I.1.10. Diagnostic
I 1.10.1 Diagnostic clinqiue
I 1 10 2 Diagnostic โฆanatomopathologique
I 1 10 3 Diagnostic diffรฉrentiel
I.1.11. Prophylaxie
I 1 11 1 Prophylaxie mรฉdicale
I 1. 11 .2 Prophylaxie sanitaire
I.2. LA SURVEILLANCE EPIDEMIOLOGIQUE
I.2.1. Synonymie
I.2.2. Dรฉfinitions
1.2.2.1. Epidรฉmiosurveillance
1.2.2.2. Epidรฉmiovigilance
1.2.2.3 D’รฉpidรฉmiosurveillance
I.2.3. Distinction entre prophylaxie, รฉpidรฉmio surveillance et recherche รฉpidรฉmiologique
I.2.4. Objectifs de la surveillance รฉpidรฉmiologique
I.2.5. Catรฉgorie de rรฉseau dโรฉpidรฉmio surveillance
I.2.6. Les acteurs du rรฉseau dโรฉpidรฉmiosurveillance
1.2.6.1 Les รฉleveurs
1.2.6.2. Les vรฉtรฉrinaires praticiens et les techniciens d’รฉlevage
1.2.6.3. Les Laboratoires d’analyses
1.2.6.4. Les Services vรฉtรฉrinaires
I.2.7. Historique de la surveillance des maladies ร Madagascar
I.2.8. Organisation de la surveillance nationale ร Madagascar
II. MATERIELS ET METHODESย
II.1. Etude du rรฉseau dโรฉpidรฉmiosurveillance
II.1.1. Site dโรฉtude
II 1.1.1. Situation gรฉographique et รฉcconomique
II 1.1.2.Situation sanitaire animale
II.1.2. Procรฉdure dโรฉchantillonnage
II.1.3. Conception des questionnaires dโenquรชte
II.1.4. Test du questionnaire
II.1.5. Collecte dโinformations
II.1.6. Saisie et traitement des donnรฉes
II.2. Sรฉroprรฉvalences de la FVR
II.2.1. Base dโรฉtude
II.2. 2. Echantillonnage CERF 2008
II 2.2.1.Stratification
a Les zones รฉco climatiques
b La Densitรฉ bovine
II 2.2.2. Prรฉvalence attendue
II 2.2.3 Facteurs de risques
II 2.2.4 Zones d’enquรชtes sรฉrologiques
a Critรจres de dรฉtermination des zones
b Zones d’enquรชte sรฉrologique
II.2. 3. Exploitation des donnรฉes dโanalyses sรฉrologiques
II.2.4. Dรฉtermination de la sรฉroprรฉvalence
II.3. Proposition dโune structure dโun RES
II.3.1. Analyses des donnรฉes
II.3.2. Elaboration dโune nouvelle structure
III. RESULTATSย
III. 1. Rรฉseau dโรฉpidรฉmiosurveillance
III. 1. 1. Communes
III 1.1.1. Taille de l’รฉchantillon
III 1.1.2 Enquรซtes
III. 1. 2. Circuits dโinformations
III.2. Sรฉroprรฉvalences de la FVR
III.3. Proposition dโune structure dโun RES
III.3. 1. Comparaison des transmissions dโinformations
III.3.2. Structures du rรฉseau dโรฉpidรฉmiosurveillance
IV. DISCUSSIONย
IV. 1. Prรฉ requis
IV. 2. Transmission dโinformations actuelle
IV. 3. Proposition de la transmission dโinformations par les enquรชtรฉs
IV. 4. Autres blocages observรฉs au niveau du RES
IV. 5. Sรฉroprรฉvalences de la FVR
IV. 6. Comparaison des transmissions dโinformations
IV. 7. Structures du Rรฉseau dโรฉpidรฉmiosurveillance
V. SUGGESTIONSย
CONCLUSION
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