Les activités socio-économiques de la population

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Aperçus théoriques sur les méthodes d’investigations et définitions du thème :

Aperçus théoriques:

Généralités:

A Madagascar, le développement agricole et rural est considéré à juste titre comme un enjeu stratégique sur le plan national : 75% de la population vivent en milieu rural et le secteur agricole concerne plus de 60% de la population active.
La modernisation du secteur doit permettre d’améliorer les conditions de vie en milieu rural, d’une part, de répondre aux besoins des marchés urbains, d’autre part.

Cadres théoriques :

· Interactionnisme symbolique :
Lors de notre enquête, nous avons pu remarquer que les habitants de cette Commune sont très rattachés aux valeurs traditionnelles. Il existe un fond commun d’organisation et de valeur pour tous les villageois, il s’agit de la solidarité familiale, c’est-à-dire une solidarité mécanique. Elle est basé sur le « Fihavanana », le respect du pouvoir des parents « Ray aman-dreny »ou bien l’ aîné ou les anciens. Comme disait Durkheim, la solidarité mécanique rend l’ordre social stable. Nous avons pu distinguer que la vie collective des habitants provient de deux sources : « la similitude des consciences et la com plémentarité des tâches dans cette société ».
· Individualisme méthodologique :
Weber (Max), Boudon (R) affirment qu’on ne peut expliquer les phénomènes sociaux qu’à la condition da partir des individus dans leurs motivations et de leurs motivations, c’est-à-dire que les individus sont motivés, dynamiques au développement.
Les Sociologues croient d’abord étudier les actions individuelles qui constituent l’élément de base du social puis montre comment ces actions ont interféré et donnent naissance à un phénomène social. Il y a une interaction effectuée par deux individus ou plusieurs individus. Cette action est appelée « action sociale »et « action rationnelle », c’est-à-dire qu ’il y a de bonnes raisons d’agir.
· Approche matérialiste de Marx (K) :
Le matérialisme explique la conscience par l’être. Appliquée à la société humaine, cette doctrine exige qu’on explique la conscience sociale par l’être sociale. D’où le matérialisme historique ou l’application du matérialisme au domaine des phénomènes sociaux. L’évolution des sociétés résulte de l’évolution des conditions matérielles de la vie.

Les paysans possèdent leurs moyens de productions qui sont constitués par les forces productives (ce sont les instruments et les techniques de production, forces de travail des paysans et objets auxquels s’appliquent ce travail) et les rapports de production (ce sont les rapports que les individus nouent entre eux à l’occasion de la production : rapport de propriété, distribution du travail, répartition de la production).
Ce mode de production est essentiel à connaitre, car une société est déterminée à la fois par le niveau des forces productives et par l’état des rapports de productions.

Méthodologie :

· Techniques :
Techniques vivantes : enquêtes, entretien directif et semi-directif ;
Techniques non vivantes : documentations, ouvrages, audio-visuel ; Descente sur terrain.

Développement :

Dans le monde actuel, le terme « développement » es t utilisé pour décrire le progrès, l’évolution ou le changement, surtout dans le domaine social et économique d’une vie collective.
Une définition est donnée dans le rapport mondial sur le développement humain de 1991. « Le principal objectif du développement humain est d’élargir la gamme des choix offerts à la population, qui permettent de rendre le développement plus démocratique et plus participatif. Ces choix doivent comprendre des possibilités d’accéder au revenu et à l’emploi, à l’éducation et aux soins de santé, et à un environnement propre ne présentan pas de danger. L’individu doit également avoir la possibilité de participer pleinement aux décisions de la communauté et jouir des libertés humaines, économiques et politiques.
La sociologie du développement étudie la dynamique qui affecte des sociétés des pays les moins « avancés » économiquement. Elle a commencé par prendre pour objet les spécificités des sociétés rurales traditionnelles par opposition aux sociétés capitalistes.
La place et la nature de l’Etat dans le processus de développement, après les indépendances nationales, ont été l’objet de diverses recherches . La sociologie du développement met l’accent sur les facteurs tels que le cadre institutionnel, la cohésion sociale et le capital social. Elle s’intéresse notamment aux facteurs multidimensionnels du bien-ê tre.
Le développement s’embrouille souvent avec les progrès scientifiques et technologiques. Or, c’est un processus qui vise à chercher en permanence, dans un milieu donné l’équilibre entre les besoins et les ressources pour jouir d’un niveau de vie convenable. Lorsqu’on parle de développement, on s’attend souvent à des réponses variées telles que :
Le niveau de vie élevé, c’est-à-dire, le revenu par habitant est supérieur au seuil d’existence ;
L’élimination de la pauvreté, c’est-à-dire, la satisfaction des besoins alimentaires ;
La réduction des disparités avec les pays industriels en matière de technologie, de richesse, de pouvoir, de statut, … ;
L’indépendance économique et l’autosuffisance alimentaire.

Les facteurs sociologiques qui doivent permettre de jeter les bases d’un développement humain et durable reposent sur le corpus de la société malgache, à travers cet élément historique et sociologique.
L’objectif final de cette étude est de voir comment ce facteur sociologique que nous formulons de nos recommandation, permet d’assurer un développement humain et durable à long terme et par voie de conséquence de diminuer la pauvreté.
Une analyse approfondie de mode de fonctionnement nous a permis de mettre l’accent sur une catégorie d’acteur, celle qui est la première concernée par toutes formes de développement. Nous avons pris en considération les acteurs de base que nous retrouvons en général dans le Fokonolona, une structure sociale qui a évolué dans le temps et dans l’espace surtout à partir de la formation de « Royaume de Madagascar » au XIXème siècle et de l’ impulsion qu’elle a donnée dans tous les pays, pour ensuite être prise par la colonisation puis par les trois Républiques jusqu’à aujourd’hui.
Les ambitions dans le Document Stratégiques pour la Réduction de la Pauvreté (DSRP) pour un développement humain et durable en symbiose avec les objectifs des millénaires dans la réduction en moitié dans 10 ans de la pauvreté à Madagascar sont des enjeux majeurs et font partie du défi que l’ensemble des acteurs du développement (Etat, Secteur privé, Société civile et acteurs de la base) doit définir. Partant des analyses de ces facteurs sociologiques et historiques, nous proposons les indicateurs suivants qui tendront compte des éléments vitaux de la société malgache pour un développement à long terme:
Mettre en synergie tous les acteurs concernés par une action de développement ;
Tenir compte de la spécificité et de l’originalitéde chaque groupe socio-ethnique ;
Prendre en considération la trilogie : Fokonolona – Tanindrazana – Fihavanana ;
Utiliser selon les situations la capacité de résistance et la faculté d’adoption de la population ;
Mettre en exergue l’articulation ville – campagne, campagne – ville ; Exploiter la potentialité de travail effectuer par les femmes ;
Mettre en harmonie l’institutionnalisation du Fokonolona par l’Etat avec les aspirations des communautés locales ;
Exploiter les variables de l’économie populaire dans le processus de développement ;
Gérer le patrimoine et les ressources.

Développement économique 

Madagascar est classé parmi les pays moins avancés à faible revenu et à déficit vivrier. Plus de 70% de la population vivent au-dessous du seuil de pauvreté (soit moins de 1$ /jour) et 80% de la population vivent au-dessous du seuil de pauvreté.
Dans la catégorie des pauvres, de nombreuses familles n’arrivent pas à gagner plus de 3500 fmg /jour. Les conséquences parmi ces démunis sont très graves : malnutrition, maladie de la peau, tuberculose, analphabétisme, …
Les gouvernements malgaches, sous la pression des institutions internationales ont été amenés à formuler un plan national de lutte contre la pauvreté qui deviendra le plan stratégique de lutte contre la pauvreté : DSRP en 2001 du développement du pays en lieu et place du Document Cadre du Politique Economique (DCPE) élaboré en 1997.
Nous sommes en présence d’une situation paradoxale car on connaît le potentiel des ressources de ce pays : culture d’exportation, ressources minérales, ressources halieutiques écotourisme qui fait de Madagascar une destination privilégiée. Ajoutons à ce constat une dégradationde l’environnement et de réserves forestières.

La dégradation de l’environnement à Madagascar est étroitement liée à l’aggravation de la pauvreté en milieu : « si les tendances des 20 dernières années se poursuivent jusqu’en 2020, l’expansion des terres agricoles se fera au détriment de 500.000ha des forêts, juste pour maintenir la pr oduction de riz au niveau de 1995 ».

Développement social 

Il peut être caractérisé par l’élévation du niveau de général, la satisfaction des besoins matériels croissants de la population, la réduction des inégalités et la promotion des groupes dévalorisés.
Les habitants d’une collectivité unissent leurs efforts à ceux des pouvoirs publics pour améliorer leur situation économique, sociale, culturelle en vue d’associer plus étroitement à la vie de la Nation et contribuer ainsi plus largement au progrès de leur région ou de leur village.

Développement rural 

Les 80% de la population malgache sont constituées de paysans (vivant dans le monde rural). Une grande proportion de cette population vit malheureusement dans des conditions précaires et difficiles. En milieu rural, la production agricole est supposée être l’activité principale. Comme dans beaucoup de pays du tiers monde, Madagascar ne dispose pas encore de moyens politiques, sociaux, économiques et surtout culturels adéquats pour la gestion de la vie rurale.
Cela peut être expliqué par une scolarisation très faible, un niveau de vie très bas. Ainsi, le domaine de la production reste le problème majeur dans le milieu rural.
Selon les Marxistes, le développement rural se faisait par le passage plus ou moins d’un système de production. C’est-à-dire, prenons l’exemple de l’agriculture : passer de la production de 3 tonnes/ ha à un niveau considérable comme 6 tonnes/ ha.

En second lieu, ils parlent d’un passage d’une transformation sociale à une autre. Ainsi, l’Etat malgache lui-même avance que l e développement rural réside plutôt dans la réalisation des plans de développement tels que le Plan Communale de Développement (PCD), le Plan Rural de Développement (PRD), et le Document Stratégique pour la Réduction de la Pauvreté (DSRP)pour que la population rurale soit elle-même impliquée dans son propre développement. Il y a aussi Madagascar Action Plan (MAP) qui a succédé au DSRP qui s’est vu inefficace.

Apports du projet sur la riziculture 

CECAM : Caisse d’Epargne et de Crédit Agricole Mutuel 

Définition 

Dans la Commune rural d’Ambatofotsy, le CECAM est l’unique organisme de micro-finance qui travaille sur place. Elle est connue par les ruraux à travers quelques offres : Epargne- Emprunt et Crédit. Notre réflexion s’oriente plus sur la notion de « culture de crédit et de participation rurale différenciée » par rapport à l’accès à cette institution.
En théorie, la présence d’un tel organisme signifie un appui et un soutien aux diverses activités économiques du monde rural en vue d’augmenter le revenu par la possibilité de s’octroyer « un fond d’investissement ». Pour les paysans, ils peuvent soutenir les activités agricoles, en amont et en aval, et même des activités extra-agricoles à travers les AGR (Activités Génératricesde Revenu) en vue de réduire la pauvreté rurale qui commence par le manque d’investissement.

Nous n’avons pas pu avoir plus de données quantitatives car les responsables de la CECAM ont évoqué le « secret bancaire » afin de préserver la confidentialité de certaines informations.

La culture de crédit 

Que ce soit par des usiniers, des créanciers ou encore par le système du « vary maitso » et actuellement l’arrivée des or ganismes de micro-finance, la notion de crédit n’est pas une nouveauté pour beaucoup de ruraux. L’obligation de s’endetter s’accentue notamment lors de la période de soudure et touche tous les agricultures sur le non auto suffisant alimentaire.
Pour l’année 2013, la CECAM d’Ambatofotsy compte 30 adhérents avec 10 membres actifs dont 70% créditeurs contre 30% épargnants ; ce fait témoigne déjà de la réalité d’un problème socio-économique dans ce milieu.

La famille dans le système 

Pour le gérant de la CECAM, quelques problèmes d’ordre organisationnel ont renforcé cette difficulté d’implantation.
A tout début, elle a été prise par défaut à cause de quelques clients qui ont souscrit des « hypothèques fictifs » à l’exemple de faux papiers de bœufs « Bokin’omby sandoka ». Leur insolvabilité a conduit au recours à la
puissance publique/ la gendarmerie afin de les obliger à honorer l’engagement pris. La démarche est donc tout à fait légale. Par conséquent, beaucoup de ruraux sont devenus scientifiques lorsqu’on leur parle de la CECAM ;

L’accès au financement de la CECAM 

Avec un taux cumulé mensuel de 3% et 1 délai minimum de 5 mois, les agriculteurs n’arriveront pas à tout rembourser sans un investissement fructueux. La clé de cette réussite réside dans la capacité des prêteurs à rentabiliser un prêt pour investissement. Cette certitude nous amène à considérer un point important : la capacité de gérer. Largement admis par les ruraux (enquête par questionnaires), le besoin d’un minimum de connaissance et de savoir-faire en gestion est une des conditions primordiales pour y réussir alors que le niveau d’instruction en milieu rural laisse à désirer.

Par conséquent, on peut déduire que le cas d’échec que cet organisme a rencontré provient du fait que les emprunts n’ont pas été utilisés dans le bon sens. Souvent, les ruraux empruntent par nécessité et non pour investir. Dans un tel cas de figure, les dettes sont augmenter et le client perdra logiquement son bien mis en hypothèque.
Selon le gérant, « 1,3% des prêteurs n’ont pas pu r embourser dans l’échéance sous prétexte de maladie de mort dans lafamille ou de cataclysme ».
Pour réussir à rentabiliser un emprunt avec l’intérêt que cela comporte, il faut en plus d’un bon projet, un minimum de notion de gestion et de comptabilité. Ces conditions font défaut dans les milieux ruraux. Il y a aussi une condition première : avoir des biens à mettre en hypothèque.
Tous ces paramètres font que l’accès à la micro-finance se fait par « sélection naturelle » ; ces conditions ne sont remplies que p ar une petite frange de la population rurale comme nos récits de vie en témoignent.
Finalement, le fait que ce sont les mêmes personnes qui reviennent au sein de la CECAM est assez logique.

Le GCV/ CECAM : le Grenier Communautaire Villageois de la CECAM 

GCV, « Sopitra Iombonana ou Grenier Commun », ou en core « Manidy Vary ou Stockage de Paddy » le système offre aux riziculteurs, une possibilité d’obtenir un prêt qui équivaut à la valeur de leur paddy stocké dans un lieu Co-surveillé par la CECAM et les membres. Ces derniers pourraient rembourser leur prêt s’ils le souhaitent, moyennant un taux de 2 à 3% mensuel, un délai de 6 mois et prendre le paddy qui servait de garantir.
L’avantage reste l’argent liquide que l’on peut investir sans forcément perdre la production rizicole. Pour pouvoir y prendre part, le riziculteur doit êt re membre actif de la CECAM (- de 60 ans). Dans la réalité, le GCV/ CECAM n’attire pas beaucoup de riziculteurs. Il y a eu 30 personnes membres en 2010, 40 en 2011 et un taux qui sera revu à la baisse pour l’année 2011, suite à la stabilité relative du prix du riz en 2010. En ce qui concerne les adhérents, la majorité est constituée par les « Mpanjifa vary » ou collecteurs/ revendeurs des riz, c’est-à-dire les commerçants locaux.
Pour résumer, on peut affirmer que la réussite du GCV/ CECAM dépend entièrement de la fluctuation du prix du riz sur le marché. Sans une tendance à la hausse, les clients ne pourraient faire des bénéfices une fois le paddy récupéré. En plus, il faudrait un projet fiable pour fructifier l’argent obtenu.
Il profite en particulier, à la bourgeoisie locale soucieuse d’investir et de dominer la filière riziculture : production, collecte et vente. Si les conditions sont favorables, ces personnes en tiennent un double avantage : de l’argent liquide à investir, une garantie et une sécurité pour le stock. Pour les paysans riziculteurs, leur capacité pour mener à terme un investissement est la seule condition pour pouvoir reprendre le paddy.

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Table des matières

INTRODUCTION GENERALE
I- Objet d’étude
II- Choix du sujet
III- Choix du terrain
IV- Problématique
V- Objectifs
VI- Hypothèses
VII- Méthodes d’investigation
VIII- Cadres théoriques
IX- Méthodologie
PARTIE I : Etat des lieux et cadres théoriques
CHAPITRE1 : Situation historique et géographique
A- Historique de la Commune
B- Délimitation géographique et administrative
C- Milieu naturel / cadre physique
a) Climat
b) Relief
c) Hydrographie
d) Végétation, Forêt et Reboisement
CHAPITRE 2 : Aperçus théoriques sur les méthodes d’investigations et définitions du thème
A- Aperçus théoriques
1) Généralités
2) Cadres théoriques
B- Définitions
1) Développement
2) Développement économique
3) Développement social
4) Développement rural
PARTIE II : Les activités socio-économiques de la population
CHAPITRE 3 : les activités socio-économiques de la population
A- Situation démographique
B- Activités économiques
1) Agriculture
2) Elevage
3) Pêche
4) Industries
5) Artisanat
6) Commerce
7) Tourisme et Hôtellerie
8) Mine
9) Transports
10) Infrastructure physique
C- Données sociales
1) Enseignement et Education
2) Santé
3) Sports et loisirs
4) Infrastructure sociale
a) Adduction d’eau potable
b) Electrification rurale
c) Barrages
d) Marché
5) Associations paysannes
6) Dina
7) Valeurs culturelles
8) Les intervenants
9) Sécurité
10) Administration de la commune et fonctionnement/ compte administratif
a) Conseil communal
b) Organe administratif
c) Délégation administrative d’arrondissement
D- Apports du projet sur la riziculture
I) CECAM
1) Définition
2) La culture de crédit
3) La famille dans le système
4) L’accès au financement
5) Le GCV/ CECAM
II) Participation des ruraux à la CECAM
1) Ceux qui sont membres de la CECAM
2) Pour ceux qui ne sont pas membres de la CECAM
III) Le système simple de riziculture intensif (SRI) et système de riziculture amélioré (SRA)
CHAPITRE 4 : bilans du diagnostic participatif et les principaux problèmes
A- Atouts/force et contraintes/faiblesse/problèmes
B- Problèmes principaux
a) Sur le plan social
b) Sur le plan économique
c) Sur le plan environnemental
d) Sur le plan administratif
C- Problématique du développement
PARTIE III : Analyses et perspectives d’avenir
CHAPITRE 5 : analyse et dynamique sociale
A) Analyses
B) Mobilité sociale et mouvement de la population
1) Mobiliser l’ensemble de la population
2) Logique communautaire
CHAPITRE 6 : perspectives d’avenir et recommandations
A) Approches perspectives
a- Amélioration des conditions de vie
b- Scénario de développement
B) Axes stratégiques
a- Amélioration de la gouvernance
b- Développement du secteur social
c- Promotions des activités économiques et environnementales
C) Suggestions et recommandations
CONCLUSION GENERALE

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