LES ACTIVITES SOCIO–ECONOMIQUES ADAPTEES AUX FEMMES DANS LA VILLE D’ANTSOHIHY

Télécharger le fichier pdf d’un mémoire de fin d’études

LES CARACTERES BIOPHYSIQUES DE LA REGION

LE RELIEF

Comme la région d’Antsohihy appartient à la côte Nord–ouest de Madagascar, elle est caractérisée par la présence de la côte la plus intéressante de la grande île, la plus calme, la plus découpée ce qui ne l’empêche pas de renfermer des plaines alluviales deltaïques, qui sont les mieux mises en valeur de tout le littoral de l’île (René Battistini et André Guilcher : 1967 ; 84).
Dans le vaste estuaire de la Loza, en position monoclinale, la seule qui joue le rôle important à l’économie de toute la région d’Antsohihy, le relief est présenté par une grande cuesta de grès aptien (230 à 370m de commandement) très rectiligne (Jean Michel Hoerner et René Battistini :1986 ; 27).

Le relief est caractérisé aussi par la présence des apports continentaux des fleuves et les niveaux des marées qui développent des vases salés, colonisées par la mangrove favorable au développement de la pêche (RANDRIASANDRATRIONY Yvon : 2003 ; 5).

L’HYDROLOGIE.

L’hydrologie dans la région d’Antsohihy est caractérisée par la présence de deux cours d’eau affluants du fleuve Loza: la rivière Tsinjomorona et la rivière Vavanantsohihy (Carte nº2 p9, Image satellite nº1 p 12).
La première rivière Tsinjomorona est grossie par une autre qui s’appelle Doroa et elle coule dans la sous–préfecture d’Antsohihy. Elle déborde pendant la saison des pluies entre décembre et mars et inonde la majeure partie des plaines et des champs de culture durant cette période.

La seconde rivière Vavanantsohihy dérive du fleuve appelé : Loza. Elle traverse aussi la sous–préfecture d’Antsohihy. Elle se mélange avec l’eau de mer quand la marée est haute et devient ainsi quelque peu salée.
La nappe phréatique est aussi la troisième source d’eau importante dans la région d’Antsohihy, car elle est utilisée par la JIRAMA pour ravitailler la population urbaine. Elle est aussi la source d’eau (sous forme de puits) de plusieurs habitations qui se situent dans les zones basses, aussi bien en milieu rural qu’urbain.

LES SOLS

Le milieu étudié se trouve sur un bassin sédimentaire qui repose sur le socle cristallin, présentant les variétés suivantes :
• Le complexe lithosols, le sol calcimorphe et le sol hydromorphe,
• Le sol salé des mangroves aux embouchures des fleuves et
• Le sol ferrugineux tropical.

LE CLIMAT.

Le climat de la région d’Antsohihy appartient au climat de la côte Nord-Ouest de Madagascar qui se caractérise par la présence de la mousson modérée appelée : Varatraza. Ce vent doux rend le climat en général chaud et sec (Hubert DESCHAMPS : 1976 ; 22). La région connaît aussi un climat sub– maritime avec une saison sèche très marquée (de mai à octobre) et la saison humide (de novembre à avril).

Une forte luminosité et un degré hygrométrique faible sont dues à des chutes de pluies irrégulières atteignant encore 1m 50 (ABEGG Jean : 1946 ; 233).
Les données de la station d’Antsohihy sur 30ans (1961-1990) ont permis de déterminer les caractéristiques générales du climat qui sont résumées dans le paragraphe suivant. Image satellite nº 1 : Situation de la ville d’Antsohihy par rapport à la rivière Vavanantsohihy et au fleuve Loza

LES TEMPERATURES ET LEURS VARIATIONS.

Elles restent élevées même en saison fraîche. La température moyenne annuelle est de 26.5°C. La température moyenne maximale est de 33.1°C avec un maximum absolu de 39°C au mois de novembre. Les mois les plus frais sont juillet et août avec une moyenne des minima égale à 20.8°C. Grâce à cette température, elle est favorable à l’agriculture.

LES ACTIVITES SOCIO–ECONOMIQUES ADAPTEES AUX FEMMES DANS LA VILLE D’ANTSOHIHY
LES ACTIVITES ECONOMIQUES
LE COMMERCE.
A Madagascar, le commerce occupe une place prépondérante dans le développement économique du pays. En plus des échanges commerciaux et culturels, il renforce non seulement le lien existant entre les pays, mais aussi la relation entre deux régions différentes. En général, le commerce se présente souvent sous deux aspects : le commerce de gros et le commerce de détail.
Dans la ville d’Antsohihy, ces derniers sont actuellement parmi les activités les plus dynamiques des femmes. Le marché rassemble des commerçants fixes comme, les gargotiers et les épiciers, les marchands ambulants, et les petits paysans qui apportent des produits tels que le riz, le manioc, les fruits, les légumes, les poissons secs, le bois de chauffe et autres. Tandis que les commerces de gros et de détail regroupent les grands commerçants tels que les Indopakistanais, les Comoriens, ainsi que les Malgaches riches. Les échanges commerciaux sont dynamiques non seulement parce que Antsohihy représente une capitale régionale mais aussi par sa situation de carrefour sur les axes routiers Antananarivo – Mahajanga – Antsiranana–(RN6) et Analalava – Bealanana –Befandriana – Mandritsara (RN31–RN32).
Le système commercial évolue avec l’augmentation de la population. La création de nouveaux pavillons aux marchés de la Haute Ville et d’Ambalabe entraîne la croissance progressive du nombre des commerçants. Cela constitue un indicateur remarquable de l’évolution du commerce.
Le commerce s’anime en période de récolte, c’est-à-dire, pendant la saison sèche. Durant celle-ci, les produits agricoles destinés pour la consommation directe sont vendus au marché, avec les produits artisanaux. Par contre, les produits issus des cultures de rente sont exportés ou écoulés vers d’autres régions.
L’activité diminue durant la saison de pluie, car les moyens de transport par voie terrestre sont limités et sont relayés par le transport maritime. Grâce à cela, plusieurs femmes effectuent d’autres activités économiques telle que : la pêche.
LA PECHE.
La pêche et la vente de produits halieutiques sont des activités économiques rémunératrices dans la ville d’Antsohihy. La présence de la mer et des cours d’eau favorise la pratique de celles-ci. Les habitants qui vivent au bord de la mer sont en majorité des pêcheurs. Ce sont notamment des Sakalava, et des Tsimihety. Actuellement, l’élargissement de la place du marché entraîne le développement de la pêche, car la vente de produits halieutiques possède son propre emplacement qui s’appelle Bazarindako ou marché des poissons.
La pratique de la pêche traditionnelle est encore développée chez les femmes. La plupart de celles-ci utilisent le <sihitra> fabriqué en bambou ou en tissu blanc et le <vintana> ou la canne à pêche. Ces différents matériels sont utilisés pour capturer les petits poissons et les crustacés au rivage.
Les produits obtenus sont destinés à la consommation locale ou acheminés vers les villages périphériques. Pour mieux les conserver, on les vend sous forme de poissons séchés. L’activité de pêche se ralentit pendant la saison cyclonique et la période de Varatraza durant lesquelles le petit élevage se développe.
L’ELEVAGE.
Le pays Tsimihety est d’abord une zone d’élevage (Bernard Magnès : 1953 ; 8).La présence de vastes étendues favorisent cette vocation pastorale.
Aujourd’hui encore, la pratique de l’élevage qui est en vigueur dans la région peut être observée aussi bien en milieu rural qu’urbain. Mais la proportion et le nombre des animaux élevés diffèrent souvent d’un milieu à l’autre. En général, l’élevage prédomine encore en milieu rural. La façon d’économiser en nature (signe de la richesse) et de la facilité de sa pratique dans tout milieu sont les facteurs qui poussent les femmes à pratiquer le petit élevage.
L’ELEVAGE BOVIN
Pour les Tsimihety et les Sakalava, la pratique de l’élevage bovin incarne encore un aspect rituel jamais effacé de la vie quotidienne. Le bœuf est non seulement sacré pour faire le JORO dans la région natale, mais aussi utilisé au moment des grandes cérémonies comme le mariage (traditionnel ou chrétien) et surtout les funérailles. C’est pour cela que l’élevage bovin persiste depuis les ancêtres jusqu’à nos jours.
Les données obtenues à partir de la recherche nous montrent que celui-ci est développé dans les quartiers périphériques du Centre ville tels que Ambalatany, Ambalabe Ouest et Est, Ambodimadiro et Antafiampatsa. Sur les vingt éleveurs bovins enquêtés dans la ville d’Antsohihy, neuf d’entre eux sont des femmes et elles sont souvent célibataires.
Cependant, le nombre de bœufs élevés par celles-ci reste limité à cause de la difficulté de les nourrir, et du fait de problème de sécurité (vol de bœufs) et du manque d’espace en milieu urbain.
L’ELEVAGE PORCIN
L’augmentation du nombre de migrants venant des Hautes Terres, consommateurs de porc favorise l’élevage porcin qui est de plus en plus apprécié par les femmes dans la ville d’Antsohihy. Une hausse de prix de la viande de porc est constatée chaque année. C’est ce que nous montre la figure n°6.
En plus des foyers, les gargotiers qui sont établis le long de la Route Nationale 6 reliant Antananarivo – Antsiranana, sont de gros acheteurs de viande de porc pour satisfaire leur clientèle. De ce fait, ils sont parmi les principaux investisseurs dans ce type d’élevage.
Parmi les vingt éleveurs de porcin enquêtés, 90% d’entre eux sont des femmes. Celles-ci confirment que ce type d’activité est facile à pratiquer par rapport à l’élevage bovin. Il est rentable et peut être associé à d’autres activités comme l’élevage aviaire.
L’ELEVAGE DES VOLAILLES
A Madagascar, dans bien des cas, l’élevage de volailles se caractérise par la présence de deux catégories d’activité :
Le premier cas est l’élevage mixte dans lequel on mélange les poules avec les oies et les canards, les manilles et les pintades, les dindes. Cette première catégorie s’observe essentiellement dans le bas quartier de la ville d’Antsohihy comme : Ambalabe, Ambalatany.
Le deuxième est l’élevage de type moderne dans lequel une seule espèce est choisie pour ses qualités. C’est le cas des poules pondeuses, par exemple, qui sont élevées dans des fermes tout près de l’habitation. On les trouve notamment à Ambalabe, au Camp de la gendarmerie et à Ankiriky.
On remarque également une nette domination numérique de la femme sur vingt éleveurs enquêtés dans ce secteur. Elles représentent 95% des éleveurs.
L’élevage mixte se trouve un peu partout sans distinction de quartier. Dans la mesure où les volailles sont laissées en liberté, elles donnent moins de contrainte aux femmes. Seules les manilles et les oies obligent la recherche de son de riz pour les nourrir.
Néanmoins, la poule pondeuse est la plus rentable à cause de la demande en œufs frais
L’AGRICULTURE
L’élevage et l’agriculture constituent des activités économiques importantes dans la région SOFIA. Ces deux activités se pratiquent dans le milieu rural ainsi que dans le milieu urbain dans cette région. La riziculture fait partie des premières activités agricoles de la région d’Antsohihy. C’est une culture dynamique en pays tsimihety et dans toute la partie basse de la ville d’Antsohihy (Ambalabe Est et Ouest, Antananantimaoro, Ambalatany, Bikitraobaka et Ambodimadiro). Ces quartiers se situent près de la rivière Tsinjomorona et celle de Vananantsohihy. La technique culturale adaptée aux conditions biophysiques de la région et de la ville même sont les cultures pluviale et irriguée. Les autres produits tels que le maïs, le manioc, la patate douce, sont cultivés près des rizières pour servir d’aliments d’appoint.
D’après nos enquêtes, la population urbaine s’intéresse à la culture du riz pour ne pas trop grever le budget familial dans l’achat de ce produit qui constitue la base de l’alimentation de bon nombre de Malgaches. D’où le regain d’activité de la riziculture pour plusieurs foyers. Mais comme l’agriculture malgache n’est pas encore mécanisée, les femmes n’y sont représentées qu’en faible proportion : sur les vingt agriculteurs étudiés, on relève douze femmes seulement. Les méthodes et les techniques culturales dans la ville sont encore de type traditionnel. La herse ou la charrue sont encore tirés par les bœufs. Sinon, les cultivateurs utilisent la bêche.
La période de pluie est la saison des cultures et la récolte se fait durant la saison sèche. En plus des communes rurales riveraines, la région de Bealanana et de Mandritsara ravitaillent la ville d’Antsohihy en produits agricoles.
LES ACTIVITES INDUSTRIELLES
Dans la ville d’Antsohihy, les femmes sont présentes dans deux secteurs d’activités industrielles : l’INOFISH et la menuiserie.
L’ INOFISH, une industrie de pêche, fait la conservation de crabes, d’écrevisses et de crevettes. Les crustacés sont bouillis dans de l’eau et les femmes en extraient ensuite la chair pour la mettre dans des sachets en plastique qui sont déposés dans des congélateurs.
La menuiserie fait partie des activités qui emploient plusieurs personnes dans la ville d’Antsohihy. Six grandes menuiseries existent et sont opérationnelles dont une à Farafangahely, deux à Ankiriky, deux à Ambalabe, une à Ambalakida. La richesse en bois dur (palissandre, ébène) des forêts environnantes et celles des régions voisines (Port – Bergé par exemple) favorise l’industrie du bois.
Ce secteur d’activité fournit des matériaux de construction pour la production de planches ou de mobiliers divers d’utilisation courante (armoires, tables, chaises…). La plupart de ces produits sont vendus sur place. Certains sont acheminés vers la ville de Diégo Suarez ou l’île de Nosy Be. Les femmes interviennent dans la commercialisation des produits.
L’ARTISANAT
L’activité essentielle de l’artisanat est la vannerie qui est une des activités économiques non négligeables. Elle consiste à fabriquer des paniers ou d’autres objets domestiques à partir de fibre d’un arbre appelé « satra » Hyphaene shatan. Nous rangeons aussi parmi les activités artisanales dans lesquelles les femmes excellent la pratique de la couture qui se fait par commande.
A part ces deux activités, on remarque de très petites unités de transformation comme la fabrication de jus de tamarin, de l’huile de coco, et de glace alimentaire. Ce sont des activités qui sont pratiquement réservées aux femmes et qui se retrouvent dans tous les quartiers de la ville.
LE TRANSPORT.
Trois grands types de transport se retrouvent dans la région : le transport routier, le transport maritime, et le transport aérien.
LE TRANSPORT ROUTIER
C’est le premier réseau qui permet à la population d’être en contact direct avec les centres de production. On peut présenter l’architecture de ce réseau comme suit :
• d’abord l’axe principal constitué par la Route Nationale 6 reliant Tananarive – Ambondromamy – Antsohihy – Diégo Suarrez (Cartes nº1, p 8 et nº 4, p 28) et ;
• les axes secondaires reliant : Antsohihy – Ambondromamy (RN6) – Mahajanga (RN4), Antsohihy – Befandriana – Mandritsara (RN32) et enfin les deux routes d’intérêt Provincial Antsohihy – Bealanana et Antsohihy – Analalava (Carte nº1, p 8).
Ces axes secondaires favorisent la circulation des personnes et de leurs biens vers les grands centres urbains inter – régionaux et d’autres régions de l’île. Grâce à cela, la ville présente trois grandes catégories de transport routier :
le transport routier par charrette qui concerne aussi bien le milieu urbain que rural, Le transport routier par le taxi – ville et le taxi-be qui concerne seulement le milieu urbain, et le transport routier par taxi-brousse qui assure les liaisons interrégionales.
LE TRANSPORT PAR CHARRETTE
Le transport routier par charrette se caractérise de deux façons différentes : le transport par charrette provenant des communes rurales et le transport du milieu urbain. Le premier assure le déplacement des paysans et le transport des marchandises vers la ville. Tandis que le deuxième, fait le zébu-taxi et transporte des marchandises à l’intérieur de la ville. Il est à noter qu’au marché de « Fotaka », la vente des produits agricoles est faite souvent par les femmes des charretiers venues des communes rurales environnantes.
LE TRANSPORT ROUTIER PAR LE TAXI – VILLE ET LE TAXI – BE
En milieu urbain, le taxi – ville et le taxi – be sont des moyens de transport pratique pour les citadins. A partir de l’année 2002, le transport en taxi – be se développe même si les infrastructures routières de la ville (Carte nº3, p 25) nécessitent des réhabilitations et réaménagements. Il fait travailler un grand nombre de femmes car 60% des 15 propriétaires de véhicule enquêtés sont représentés par des femmes et elles interviennent surtout au niveau de la surveillance et du contrôle des recettes.

Le rapport de stage ou le pfe est un document d’analyse, de synthèse et d’évaluation de votre apprentissage, c’est pour cela rapport-gratuit.com propose le téléchargement des modèles complet de projet de fin d’étude, rapport de stage, mémoire, pfe, thèse, pour connaître la méthodologie à avoir et savoir comment construire les parties d’un projet de fin d’étude.

Table des matières

REMERCIEMENTS
INTRODUCTION
Première partie : PRESENTATION DE LA VILLE ET LES DIFFERENTS SECTEURS D’ACTIVITES SOCIOECONOMIQUES ADAPTEES AUX FEMMES
CHAPITRE 1 : PRESENTATION DE LA VILLE D’ANTSOHIHY.
1.1 – L’HISTORIQUE DE LA VILLE
1.2.- LA LOCALISATION DE LA VILLE.
1.3- LES CARACTERES BIOPHYSIQUES DE LA REGION
1.3.1.- LE RELIEF
1.3.2- L’HYDROLOGIE
1.3.3- LES SOLS
1.3.4- LE CLIMAT
1.3.4.1- LES TEMPERATURES ET LEURS VARIATIONS.
1.3.4.2- LES PRECIPITATIONS MENSUELLES ET LEUR REGIME SUR L’ANNEE
1.3.5- LA VEGETATION
1.4- LA POPULATION DE LA VILLE D’ANTSOHIHY
CHAPITRE 2 : LES ACTIVITES SOCIO–ECONOMIQUES ADAPTEES AUX FEMMES DANS LA VILLE D’ANTSOHIHY
2.1. – LES ACTIVITES ECONOMIQUES
2.1.1- LE COMMERCE.
2.1.2- LA PECHE.
2.1.3- L’ELEVAGE.
2.1.3.1- L’ELEVAGE BOVIN
2.1.3.2- L’ELEVAGE PORCIN
2.1.4- L’AGRICULTURE
2.1.5- LES ACTIVITES INDUSTRIELLES.
2.1.6- L’ARTISANAT
2.1.7- LE TRANSPORT
2.1.7.1-LE TRANSPORT ROUTIER
2.1.8- LE SERVICE PUBLIC
2.1.9- LE SECTEUR PRIVE
2.2.- LES ACTIVITES SOCIALES
2.2.1- L’EDUCATION
2.2.2- LA SANTE
2.2.3- LA VIE ASSOCIATIVE
2.2.3.1- LES ASSOCIATIONS DANS LA RELIGION
2.2.3.2- L’ASSOCIATION DANS LE SECTEUR CIVIL ET PRIVE
Deuxième partie : LA FEMME FACE AU DEVELOPPEMENT SOCIO-ECONOMIQUE DE LA VILLE.
CHAPITRE 3 : LA FEMME DANS LES DIFFERENTES SOCIETES.
3.1.- LA FEMME DANS LA SOCIETE TRADITIONNELLE.
3.2.- LA FEMME DANS LA SOCIETE ACTUELLE
3.2.1- L’ELEVAGE.
3.2.2- L’AGRICULTURE
3.2.3- LE COMMERCE
3.2.4- LA PECHE.
3.2.5- L’ARTISANAT.
3.2.6- LA PROSTITUTION
3.3- LA FEMME ET LE TRAVAIL ADMINISTRATIF.
3.3.1- LE SERVICE PUBLIC
3.3.2- LE SECTEUR PRIVE
CHAPITRE 4 – L’EVOLUTION DES SECTEURS D’ACTIVITE SOCIALE.
4.1- LES SECTEURS DE L’EDUCATION
4.1.1- LES ECOLES PUBLIQUES.
4.1.2- LES ECOLES PRIVEES
4.2- LES SECTEURS DE LA SANTE.
4.2.1- LES FEMMES DANS LE SECTEUR SANITAIRE HOSPITALIER
4.2.2- LES FEMMES ET LA MEDECINE TRADITIONNELLE
4.3- LE SECTEUR DE L’ASSOCIATION
Troisième partie LES IMPACTS DE LA PARTICIPATION DE LA FEMME AU DEVELOPPEMENT SOCIO – ECONOMIQUE DE LA VILLE ET BILAN
CHAPITRE 5 : LES IMPACTS DES ACTIVITES DE LA FEMME AU DEVELOPPEMENT SOCIOECONOMIQUE DE LA VILLE D’ANTSOHIHY
5.1- LES IMPACTS AU NIVEAU ECONOMIQUE.
5.1.1- LE RENDEMENT FAMILIAL
5.1.1.1- LE RENDEMENT FAMILIAL DIRECT
5.1.1.2- LE RENDEMENT INDIRECT
5.1.2- RENDEMENT DE LA VILLE
5.1.2.1- LA CROISSANCE DES ACTIVITES SOCIO-ECONOMIQUES
5.1.2.2- L’EVOLUTION DES EMPLOIS FEMININS
5.1.2.3- L’EVOLUTION DE L’HABITAT DANS LA VILLE
5.2- LES IMPACTS AU NIVEAU SOCIAL
5.2.1- L’EVOLUTION DE L’EDUCATION
5.2.1.1- L’EVOLUTION DE L’EDUCATION D’UNE FILLE
5.2.1.2- L’EVOLUTION DE L’EDUCATION DANS LE FOYER
5.2.2- L’EVOLUTION DU SECTEUR SANITAIRE
5.2.3- L’EVOLUTION DE LA VIE ASSOCIATIVE.
CHAPITRE 6 : IMPACTS DE CES ACTIVITES SUR LES PRATIQUES TRADITIONNELLES.
6- L’ABANDON DE LA CULTURE TRADITIONNELLE
6.1- LE STATUT DE LA FEMME DEVANT LES HOMMES
6.2- LES INTERDICTIONS.
BIBLIOGRAPHIE

Télécharger le rapport complet

Télécharger aussi :

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *