Télécharger le fichier pdf d’un mémoire de fin d’études
Les activités liées à la faune sauvage et à l’écotourisme
La faune sauvage qui vit en forêt et en savane est une importante source de loisirs, et procure d’utiles rentées des devises. Les forêts et savanes boisés de la région qui conservent 80% des animaux sauvage sont une attraction touristique en faveur. Divers Communes rurales ont tiré part des potentialités offertes par leur faune sauvage pour l’écotourisme. A Masoala, les lémuriens dans le Parc National sont un important pôle d’attraction pour le tourisme et ont attiré plus de 10 000 visiteurs en 201014. A Marofinaritra et Ambohitralanana où le tourisme basé sur l’observation des animaux dans les Parcs Nationaux est une tradition bien plus ancienne, l’écotourisme représente une part importante de revenus provenant du tourisme. Mais ces possibilités disparaissent dans les régions où les activités humaines (principalement agriculture et élevage) entrainent une fragmentation croissante des massifs forestiers, d’où perte d’habitats essentiels et marginalisation de grandes populations animales. L’écotourisme a des meilleures perspectives de développement à long terme.
Les fonctions socio-culturelles
Dans de nombreux Communes, les forêts sont également importantes pour leurs fonctions socio-culturelles. Les bois sacrés et les arbres, les plantes et les animaux de la forêt jouent un rôle important dans les cérémonies traditionnelles. Les forêts et les produits forestiers figurent dans de nombreuses traditions culturelles dans toute la région : légende, mythes et contes, et même dans la politique. Les forêts dans cette zone ont en outre une valeur esthétique et offrent de grandes possibilités de loisirs et de tourisme. En matière de science et d’éducation, elles constituent des laboratoires vivants pour l’étude des animaux et des plantes.
Les services écologiques fournis par les forêts
Si le climat et la roche-mère, avec la topographie, restent les facteurs essentiels de la pédogénèse et de l’érosion, l’évolution, la conservation et la richesse du sol sont sous la dépendance directe du type de couverture végétale.
La forêt constitue un couvert végétal plus ou moins continu avec une masse frondaison aérienne, un enchevêtrement racinaire développé et souvent profond. Elle fournit en plus une grosse quantité de litière accumulée au sol. Ce qui lui confère des multiples fonctions.
La fonction de protection et de fertilité des sols
La forêt protège les sols contre l’agressivité des pluies et du vent en réduisant les phénomènes de ruissellement superficiel et profond, d’érosion et de perte de fertilité. Les sols défrichés, surtout s’ils sont en pente, perdent plus facilement leur terre superficielle.
Les arbres poussant sur les terres de culture contribuent à la reconstitution de la fertilité des sols, au recyclage des éléments nutritifs, et à l’amélioration du climat. Ils protègent les sols fragiles en interceptant les pluies et en diminuant la vitesse de vents, favorisent la fixation d’azote, atténuant les extrêmes de températures, stabilisent les bassins versants, et agissent comme « puits de carbone »15. Les fonctions d’amélioration de la fertilité des sols et du microclimat exercées par les forêts sont extrêmement importantes du fait de la faible utilisation d’engrais dans cette zone et de la rudesse des conditions climatique.
La fonction de régulation
L’absence ou l’importance d’une litière végétale fait que les horizons du sol jouent un rôle primordial dans le partage entre ruissellement et infiltration de l’eau.
Une litière épaisse préserve les sols d’un décapage par ruissellement et d’une insolation directe. En maintenant une zone d’humidité constante, elle diminue l’évaporation directe du sol et retient l’eau de pluie qui ne s’infiltre que lentement, atténuant ainsi le lissage du sol.
Le battage des pluies et le ruissellement étant amortis par la frondaison et la litière, l’eau peu s’infiltrer lentement et d’une façon durable dans le sol, ce qui permet d’alimenter la nappe phréatique et de régulariser le débit des sources et des rivières. La présence d’une forte couverture forestière dans les bassins versants assure ainsi une protection contre les crues, les inondations et l’envasement des barrages.
En outre, l’évapotranspiration des massifs forestiers entretient l’humidité de l’air à l’origine des formations nuageuses et des pluies, ainsi que l’amortissement des variations de température dans la région.
La fonction dans l’évolution et la conservation des sols
Le sol est un complexe minéral et organique : la roche mère et le sol fournissent les éléments minéraux, la végétation apportant la plus grande quantité de matières organiques par la décomposition et l’humification de la litière accumulée sur le sol.
La présence d’une forte couverture végétale et d’une litière épaisse assure un cycle d’échanges avec le sol : succession de mouvement descendants (lissage) et ascendants (absorption) des solutions du sol. Les racines amènent aux plantes vertes les éléments minéraux solubilisés par la nappe phréatique des horizons inférieurs. Au niveau des feuilles, les plantes utilisent ces éléments pour élaborer leur matière organique de base grâce à la photosynthèse.
Les plantes vertes ou chlorophylliennes, grâce à l’énergie solaire absorbe le gaz carbonique atmosphérique dont le carbone est conservée, pour être associé à la sève minérale et transformé en divers produits organique. L’oxygène libéré au cours de réactions biochimique est rejeté dans l’atmosphère.
En fonction de l’humidité et de la température, la litière se décompose en humus sous l’action des micro-organismes et libère une grande quantité de bases soluble et des micro-organismes et des matières humiques. Une partie de ces éléments est captée par les racines et l’autre entrainée en profondeur par lessivage ou retenue dans le sol en un complexe argilo-humique.
Ce complexe argilo-minéral, entre les colloïdes argileux et humiques, et les ions minéraux (base échangeables), a une valeur pour la transformation des proportions des propriétés physiques et chimiques du sol, donc pour sa structure et sa fertilité. En effet, les cations fixés par ce complexe dit absorbant sont ensuite plus facilement utilisés par les plantes.
La déforestation, les feux et l’absence de cette litière nuiraient donc à l’apport en matière organique et au fonctionnement de ces phénomènes d’échanges et d’absorption, lesquels sont indispensables à l’évolution et à la conservation des sols.
La déforestation dans le district d’Antalaha
L’explication du terme déforestation ne paraît pas facile puisque les indicateurs par rapport auxquels la déforestation peut être définie continuent de faire l’objet des discussions intenses entre spécialistes et aucune définition universelle. Le terme « déforestation » évoque des images de paysages dévastés, des sols érodés, de désertification et de misère humaine. Cependant, les spécialistes ont défini la déforestation comme étant l’élimination d’au moins 90% de la couverture forestière. Elle sera également défini sur un territoire et à une échelle de temps données comme le recul net des surfaces arborées et forestières. Selon le FAO, elle s’est nettement accélérée entre 1976 et 1990, et donc les pertes de surfaces forestières sont encore plus fortes16.
Dans le DA, la déforestation aurait été existée depuis la première installation humaine.
Elle peut historiquement classifier en trois grandes périodes :
Avant 1964
Pendant la période coloniale, le DA a été le théâtre de nombreuses concessions d’exploitations forestières accordées par le gouvernement malagasy aux étrangers. Les forêts depuis Cap Est jusqu’aux environs d’Antalaha furent les premières Victimes. En 1950, HARDVICK Wilson, originaire de l’île Maurice, a installé une première scierie de Masola. Dès 1887, les autorités malgaches ont délivré aux étrangers de gigantesques concessions pour l’exploitation de bois. Et une concession forestière de 2500 km2 à Masoala a été accordée à Monsieur DESIRE Maigrot (citoyen créole Mauricien et consul d’Italie) à titre de remerciements pour ses efficaces tractions lors de la guerre franco-malgache de 1883 à 1885. Cette concession a une période de 10 ans (1887 à 1897) s’étendait autour de l’ensemble de la péninsule Masoala. Son principal centre d’activité était dans la région du Cap Est.
En 1927, une réserve naturelle intégrale fut créée à Masoala. Elle a une superficie de 27 682 ha de forêt dense humide et sempervirente. Or à cette époque 400 000 ha de massif forestier restant dans l’ensemble de la presqu’île. Ce qui fait que 372 318 ha de forêts sont exclus de la protection dans la RNI de Masoala. La RNI ne représente que 6,9% de la presqu’île Masoala. Les 94,46% sont destinés à l’exploitation des ressources forestières. La réserve naturelle intégrale de Masoala est délimitée sur les bassins versants du fleuve Onive et Ratsianarana (dans l’actuelle CR Ambohitralanana). Elle est limitée au nord par la rive gauche du fleuve Onive et à l’Est par la mer (océan indien), à l’exception des villages Ambohitralanana, Ambodirafia, Ratsianarana et Antsambavy.
Entre 1927 à 1964 la déforestation dans le DA ne touche qu’une petite partie de la forêt car la majeur partie de la couverture forestière était minutieusement sous surveillance des services des eaux et forêts à cette époque. Malgré le fait que l’administration forestière se déplace rarement dans la zone forestière, les paysans ont peur d’elle. Un rapport explique d’ailleurs que les villageois éprouvent véritablement de la peur devant les agents forestiers (COEFFOR-KEPEM, 1998). Durant la colonisation, il y avait deux catégories de pratiquants du Tavy. D’un côté, il y a ceux qui peuvent assumer les coûts de transactions avec l’administration forestière et donc agissent presque au vue et au su de tous. Cette catégorie regroupe les colons, les Malgaches riches et instruits. Tandis que de l’autre côté, les simples paysans qui ne faisaient pas partie de ce groupe sont obligés d’aller plus loin dans les zones plus discrètes. Durant la période de 1927 à 1964, la plupart des populations indigènes pratiquent le défrichement illicite dans des vallées plus à l’écart échappant au contrôle de l’administration forestière.
De 1964 à 2000
Après le déclassement de la réserve naturelle intégrale de Masoala en 1964, elle était accordée en tant que concession d’exploitation forestière à la société Grand Moulin de Dakar. Cette dernière avait établi une importante base à Cap Est (dans l’actuelle CR d’Ambohitralanana) où elle a installé les infrastructures nécessaires à cette exploitation. Elle a implanté deux balises au port d’Andrombazaha pour servir des repères d’accostage de leurs bateaux. Actuellement ces balises sont encore en bon état. Elle a construit aussi une route pour l’évacuation des bois vers le port et a créé des layons à l’intérieur de la forêt. Pour ses hélicoptères, elle a aménagé deux terrains d’atterrissage : Antanandavahely et Marivorano. Quand cette société s’est retirée en 1970, les forêts des plaines de cette région étaient presque entièrement ravagées. Ainsi des milliers de troncs d’arbres abattus non évacués sont laissés pourrir sur place.
La délivrance de permis d’exploitation forestière à la société Grand Moulin a donné raison aux paysans qui pensaient que toutes les forêts de cette zone vont disparaitre. C’est à partir de ce moment qu’ils se sont mobilisés davantage pour approprier des terres par le biais du défrichement de forêts primaires. C’est à partir de ce moment aussi que le défrichement de la forêt avait effectivement commencé. Ainsi, 800 ha de forêts denses et seulement 480 ha de formations végétales secondaires avait disparus grâce à l’implantation de 1 280 ha de palmier à huile dans la CR Ambohitralanana en 1989.
Entre 1950 et 1991 (41 ans), le taux annuel de la déforestation dans le DA était de 0,52%17. En 1996, la société Malaisienne Timber Master a même demandé l’autorisation d’abattre toute la forêt dans quelques zones. Heureusement le gouvernement s’est alors opposé à ce projet et a décidé de protéger la forêt dans cette région.
De 1989 à 1991, le Missouri Botanical Garden (MBG), le département des eaux et forêts (DEF) du Ministère et la branche de développement de l’église luthérienne Malgache (SAFAFI), commencèrent un projet de conservation de forêts dans la presqu’île Masoala pour être suspendu quelques temps après. En 1992, CARE international assura la réconceptualisation de ce projet de telle sorte qu’en 1993 CARE invita Wildlife Conservation Society (WCS) et Peregruine Found pour prendre part à l’avant-projet de conservation. Finalement, le parc national Masoala a vu officiellement le jour le 02 Mars 1997 sous le décret de création N° 97-141, cité dans le journal officiel N° 2444 du 21/07/97 et dont l’inauguration a été effectuée le19 octobre 1997.
De 2000 à 2009
Après la création du Parc National Masoala, le rythme de la déforestation à été modifié dans le DA. Mais les passages des cyclones depuis l’an de 2000 qui ont augmenté la surface déforestier dans la zone. Ceci s’explique par l’extension des parcelles par le défrichement, avant la création du Parc dans la zone forestier, car les paysans ont cru que les terrains déjà défrichés seront exclus du parc, et une fois le parc est maintenu, ils n’arrivent pas à élargir leurs parcelles.
Ainsi, l’exploitation illicite des bois de rose remonte en 2000 lors des passages des cyclones successifs qui ont ravagé les forêts dans le DA. En effet, après le passage du cyclone Hudah en Avril 2000, une autorisation a été délivrée par le Ministère responsable aux exploitants forestiers à titre de ramassage des bois abattus. Mais cette mesure exceptionnelle a donné à ces exploitants l’occasion pour effectuer la coupe généralisée des bois vert encore sur pied au cœur de la forêt.
Une autre autorisation de collecte et d’évacuation a été attribuée aux exploitants pour une période de trois mois, après le passage du cyclone Gafilo en Mars 2004, durant laquelle les exploitants se précipitèrent à couper des bois encore verts et non à l’évacuation de produits autorisés. A la fin de la date buttoir, les exploitants déclarent au Ministère qu’ils ont encore beaucoup de produit à évacuer en brousse ou stocks, d’où « la naissance de stocks élastiques ». Dans ce cas le Ministère a dû prolonger l’autorisation d’évacuation des stocks. C’est pourquoi à la fin de l’année 2006 jusqu’au début de l’année 2007, une nouvelle autorisation d’évacuation fut attribuée aux exploitants. Dès le début de l’année 2009 jusqu’au 2010 une autre nouvelle autorisation fut accordée aux exploitants pour leur permettre d’évacuer leurs stocks.
La déforestation dans le DA a fait disparaitre plus de 468 ha de forêts de 2000 à 2009 (9ans), donnant ainsi une vitesse moyenne annuelle de 50 ha. Ce chiffre est évaluée à 31% des forêts défrichés dans la région jusqu’en 2012. Durant cette période, la déforestation y était dans une phase alarmante18.
|
Table des matières
INTRODUCTION GENERALE
PARTIE I : ETAT DE CONNAISSANCE
Chapitre I : Approche général du district d’Antalaha
Section 1 : Cadre naturel
1-Historique
2-Identification géographique
2-1- Localisation
2-2- Délimitation
2-3- Relief
2-4- Climat
2-4-1-Situation pluviométrique
2-4-2-Situation thermique
Section 2 : Les caractéristiques socio-culturels
1-Situation démographiques
1-1-Composition Ethnique
1-2- Répartition de la population
1-3- Structure de la population
1-4- Evolution de la population
2-Le mouvement migratoire
3-Les caractéristiques culturelles
3-1-Les usages traditions traditionnels et communautaires
3-2-Les fady ou tabous
Section 3 : Les activités économiques
1-L’agriculture
1-1-La culture vivrière
1-2-La culture de rente
2-La pêche
3-L’élevage
4-Le commerce
5-Le tourisme
6-L’artisanat
Chapitre II : L’environnement forestier
Section 1 : Les ressources forestières
1-Les réserves forestières
2-Les types de végétation
3-La faune et la flore
3-1- La faune
3-2- La flore
4-Le reboisement dans le District
4-1-La reforestation
4-2- L’afforestation
4-3-Les sylvicultures
4-4-L’aire protégé et sa biodiversité
5-Evolution de la couverture forestière
Section 2 : Les rôles joués par les forêts
1-Les usages productifs
2-Les activités liées à la faune sauvage et à l’écotourisme
3-Les fonctions socio-culturelles
4-Les services écologiques fournis par les forêts
4-1-La fonction de protection et de fertilité des sols
4-2-La fonction de régulation
4-3-La fonction dans l’évolution et la conservation des sols
Section 3 : La déforestation dans le district d’Antalaha
1-Avant 1964
2-De 1964 à 2000
3-De 2000 à 2009
Chapitre III : Méthodologie
Section 1 : Problématique et échantillonnage
1-Elaboration de la problématique
2-Echantillonnage
2-1-Type d’étude et Population d’enquête
2-1-1-Type d’étude
2-1-2- Population d’enquête
2-2-Méthode d’échantillonnage
2-2-1- Le choix raisonné
2-2-2- Le choix aléatoire
2-3- Taille de l’échantillon
Section 2 : Hypothèses
Section 3: Méthodes de collecte et d’analyse des données
PARTIE II : RESULTAT ET DISCUSSION
Chapitre I : Les facteurs déterminant de la déforestation
Section 1 : La pratique du tavy comme facteur principal de la déforestation
1-Définition du mot tavy
2-Le tavy dans la société communautaire
2-1-Le tavy et l’appropriation des terrains
2-2-La démonstration des valeurs sociales
3-L’incidence du « tavy »
4-La pratique du tavy
4-1-L’abattage
4-2-La Mise au feu
4-3-Le Semis
4-4-Le sarclage
4-5-La récolte
5-Les rendements des tavy et la recherche des nouvelles terres
6- Comparaison économique de la riziculture de tavy et de la riziculture irriguée (selon S. Razafiarison et Alain Bertrand)
Section 2 : L’explosion démographiques et la déforestation
1-Les besoins quotidiens des paysans
2-La pauvreté des paysans
3-La population et la mise en valeur agricole
3-1-La relation entre population et production
3-2-La relation entre population et surface cultivée
Section 3 : L’exploitation forestière
1-Les conditions d’exploitation
2-Situation des exploitations forestières
3-La production forestière
4-L’évolution de la production forestière
5-Surexploitation du bois d rose
6-L’exportations des produits forestiers
Chapitre II : Les effets de la déforestation
Section 1 : Les effets environnementaux
1-Dans le milieu physique
1-1-Sur l’eau
1-1-1-Insuffisance des eaux souterraines
1-1-2-Perturbation du cycle de l’eau
1-1-3-Pollution de l’eau
1-2-Sur le sol
1-2-1-Erosion du sol
1-2-2-Perte de la fertilité du sol
1-3-Sur l’air
1-4-L’ensablement des rizières
2-Dans le milieu biologique
2-1-Disparition des espèces animales et végétales
2-2- Diminution de la taille des arbres
Section 2 : Les changements climatique
1-L’irrégularité de température
2-L’irrégularité pluviométrique
3-L’augmentation des aléas naturelles
3-1-La fréquence des cyclones
3-2-Inondation
Section 3 : Les effets socio-économiques
1-Sur le plan social
1-1-La santé humaine
1-2- Les enjeux de la construction d’habitation
1-3-La migration forcée de la population humaine
2-Sur le plan économique
2-1- Les impacts sur l’activité agricole
2-1-1-Les enjeux de la riziculture inondée
2-1-2- Les enjeux de la culture de rentes
2-2-Effet sur la collecte des produits forestiers
2-2-1-Les produits de chasse
2-2-2-La collecte des bois
3-Suggestions
3-1-La modernisation de l’agriculture
3-1-1-La recherche sur le système de production
3-1-2-La vulgarisation agricole
3-2-Sécurisation foncière
3-3-Intervention dans le secteur de l’énergie
3-4-Ralentissement du taux de la croissance démographique
3-5-Renforcement de l’éducation relative à la protection de l’environnement
3-6- Application de lois
CONCLUSION GENERALE
RESUME ANALYTIQUE
BIBLIOGRAPHIE
ANNEXES
Télécharger le rapport complet