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Aperçu sur le piment
La situation du piment à Madagascar
La filière piment est une nouvelle culture à Madagascar, elle fait partie des autres épices existantes. Les données statistiquesconcernant cette filière auprès de l’Etat pour évaluer la production dans chaque région ne onts pas encore disponibles, mais les données officielles disponibles les plus récentes elativesr à la production malgache sont celles de l’année 2004.
Nous avons puisé les renseignements sur la production de piment à Madagascar dans la publication et les bases de données de la MAEP et celles de l’Institut National de la statistique. Sur les 22 régions, quatre cultivent le piment puisque la condition climatique et le rendement du sol y sont favorables, mais les facteurs bloquant la relance de cette culture sont l’absence d’information, de sens ibilisation des paysans.
Les régions productrices sont : Analanjirôfo, Atsinanana, Boeny, Vakinankaratra.
La plus productive de ces quatre régions est la région Analanjirôfo. Ce produit ne figure pas encore dans l’étude statistique nationale, ainsi nous nous sommes référés à l’estimation du DRRR, selon laquelle la superfici e cultivée destinée à ce type de culture pour l’ensemble de la région est de 30 ha, avec une production totale de 21 tonnes de piment séché en l’année 2005.
D’après les informations fournies par le responsable de PPRR, la production de la zone d’intervention du programme a atteint 15 tonnes en août 2007 et l’objectif était une récolte de 40 tonnes sur 20 ha en l’année 2008 en piment séché.
La situation du piment dans le site du projet
Les quatre districts de la région SAVA : Sambava, Antalaha, Vohémar et Andapa ont un climat et un rendement du sol très favorable à la filière piment.
Les variétés de piments comme le pili-pili, le Tsilanindimilahy, le Cerise existent dans cette région. On le met souvant dans les cultures du terrain des produits d’exportations. Mais jusqu’à maintenant, aucune amélioration ou lancement de cette filière n’a été envisagé, encore moins la commercialisation. Aucun producteur sérieux, n’a été identifié. Il est considère comme étant une culture sauvage, non apte à devenir une source de revenu financier.
D’ailleurs, l’usage de piment n’est pas favorisé mais certaines personnes consomment directement avec un plat de riz, ou dans des restaurants… .
Lorsqu’on le conserve dans une bouteille avec des mangues râpées, qu’on l’appelle achares. Comme, le créateur du projet est un étudiant gestionnaire et chercheur et futur spécialiste en commerce et marketing, le but dumontage du projet est d’améliorer le revenu des paysans ruraux, surtout durant la période de soudure et pendant le passage des catastrophes naturelles, comme le cyclone, car 4 mois après l’avoir de planté, le piment procure déjà de l’argent aux producteurs.
L’importance socio-économique du piment
Le piment est l’épice le plus répandu et le plus utilisé dans le monde. Il peut s’associer à de nombreux produits et se marie avec de nombreuses épices. Il peut être utilisé frais, sec, entier, broyé, moulu, au vinaigre, en conserve.
Les extraits du fruit sont utilisés également dansl’industrie alimentaire comme arôme piquant ou un colorant alimentaire.
Le piment rouge est souvent utilisé pour la cuisine, surtout par les Sud Américains, les Français, les Indiens et les Réunionnais pour préparer les viandes, les poissons, les soupes et les sauces. Le TABASCO, sauce particulièrement brûlante, est préparé pour la cuisson des fruits hachés en saumure ou en vinaigre. Les fruits contiennent jusqu’à 20 fois plus de capsaîcine que les fruits du poivron.
Les populations africaines l’emploient en abondance comme le poivre dans la plupart des repas. Il rentre dans la composition de la poudre du curry pour l’entreprise agroalimentaire….
LOCALISATION DU PROJET
Comme tout projet, le choix de la zone d’implantation revêt une grande importance
Les raisons du choix du projet
Le lieu d’implantation envisagé pour ce projet se situe dans le district d’Antalaha dans la région SAVA, dans la partie sud de l’ancienne province autonome d’Antsiranana, vu la particularité de cette zone. Il est indispensable d’approfondir la connaissance de ce lieu d’implantation avant de prendre la décision finale d’investissement. Pour avoir plus d’informations sur le site du projet et ses grandes potentialités économiques, il s’avère nécessaire de procéder à l’analyse de plusieurs aspects de sa localité. Nous allons développer dans cette section les caractéristiquesdu district d’Antalaha et les principales activités économiques.
Les caractéristiques du district d’Antalaha
– Délimitation géographique et administrative
La délimitation géographique et administrative du ieul d’implantation est donnée par l’annexe n°I. Elle précise en effet la place du district par rapport à la région SAVA et l’ensemble du territoire malgache.
La ville d’Antalaha qui est le chef lieu de ce mêmedistrict se situe dans la partie Sud –Est de l’ancienne province autonome d’A ntsiranana, et plus particulièrement dans la région SAVA, qui s’étend sur une superficie de6 127 km². Selon les données statistiques concernant le nombre de population, publiées, par l’INSTAT en 2006, le district compte 300 404 habitants.
Sur le plan administratif, le district est délimitépar trois districts : Sambava au Nord, Andapa à l’Ouest et Maroantsetra au Sud. La c ôte orientale s’étend au bord de l’Océan Indien. Il comprend 13 communes dont une urbaine et 12 rurales.
On y trouve plusieurs représentants des différentsdépartements ministériels, entre autres les services sanitaires, le tribunal de première instance, le centre fiscal, la gendarmerie nationale, la circonscription scolaire.
– Climat et relief
Le climat est de type tropical chaud et humide, caractérisé par deux saisons distinctes : la saison fraîche qui s’étale du mois de mai à septembre, et la saison chaude qui va d’octobre à Avril, et qui est caractérisé par des pluies abondantes et des températures élevées.
Les variations des températures perceptibles varient entre 18°C à 31°C. La plus forte température est enregistrée en janvier et/ouFévrier, et la saison la plus froide se situe en juillet et en août.
Pour le relief, comme toute la zone Nord-Est de Madagascar, il est constitue d’un ensemble massif marqué par le contact rapide et brusque entre les hautes terres et la mer. De l’Est à l’Ouest du district, on rencontre un rel ief très peu diversifié, mais la culture dominante varie en conséquence. Sur la zone côtière, on distingue quelques plaines transformées par les paysans en rizières. La côte est parsemée de bourrelets et les végétations adaptées aux milieux côtiers tropicaux. De maigres mangroves sont localisées dans quelques endroits.
Au fur et à mesure que l’on avance à l’intérieur. C ette zone devient montagneuse et couverte de végétations verdoyantes,notamment par des forêts tropicales qui sont, malheureusement, en état de dégradation incessante à cause de la pratique abusive de la déforestation.
Le district est caractérisé par une forte pluviométrie d’une moyenne annuelle de plus 2 000 mm.
Le milieu économique
L’agriculture
L’agriculture est une activité économique qui consiste à tirer des substances utiles à l’homme, en particulier des produits alime ntaires.
Comme dans la plupart des régions de Madagascar, l’économie de ce district reste dominée par l’agriculture, du fait de la grande fertilité du sol. Cette zone possède un bon nombre de types de cultures qui constituent sa grande potentialité économique. C’est pourquoi Antalaha se distingue par son grand potentiel agronomique. Cela est dû à ses conditions climatiques humides et aux caractéristiques du sol, favorables à toutes cultures tropicales tempérées.
Dans tout le district, notamment la zone littorale, le climat est propice à des cultures d’exportation. C’est pourquoi les cultures spéculatives comme le girofle, la vanille restent les plus dominantes, elles occupent la plupart des terres alluviales. C’est la raison pour laquelle le chef lieu du district a été surnommé « la capitale mondiale de la vanille ».
Parmi les cultures des épices exportées, il y a nu genre très important qui n’est pas lancé dans cette zone, c’est le piment. Il est cultivable dans tous les terrains dans le district, ce qui nous a poussés à réaliser le présent projet, car cette culture contre saison est facile à cultiver et pourrait bien promouvoir l es revenus des paysans ruraux.
Les infrastructures
Dans le cadre de l’étude du projet, les informations sur les infrastructures s’avèrent nécessaires. Pour déterminer les opportunités ou les menaces éventuelles à la réalisation du projet, nous devons analyser les infrastructures d’accueil relatives à notre activité. Cela nous permet d’évaluer les risques sur l’injection du fonds de l’investissement envisagé.
Dans le domaine du transport, le district est doté de plusieurs infrastructures. Pour rejoindre le lieu, ou expédier les produits locaux vers d’autres lieux, on peut emprunter aussi bien la voie terrestre, la voie maritime ou la voie aérienne. Pour le cas de notre projet, nous pouvons profiter des transports maritime, aérienne, au moment de la saison des pluies, mais pendant la sécheresse, nous pensons utiliser la voie terrestre pour le piment séché et frais, stocké dans des bidons en plastique.
En ce qui concerne les infrastructures administratives, on peut citer : le service des domaines, la topographie, le service des postes et de télécommunication, le tribunal de première Instance, la Résidence du chef de district, la Gendarmerie, le Commissariat de Police, la Météorologie, les services Eaux et Forêts, la contribution directe et la commune. Le service sanitaire est composé d’un centre hospitalier de district et de 30 centres de santé de base dont 25 publics et 5 privés.
La population
La population de la région de la SAVA est formée en majorité d’Antambahoaka, des migrants comme : Antemoro et Antesaka venant du Sud -Est et Tsimihety venant du Nord ; ainsi que de quelques Merina, Betsileo et des étrangers (des chinois, indopakistanais, des asiatiques et des européens). En général, la population est de 1 059 754 habitants, selon les données statistiques de l’INSTAT de l’année 2006. Le région rassemble 79 communes et 733 fokontany qui se repartissent comme suit : Sambava 26 communes et 292 fokontany,Antalaha 16 communes et 159 fokontany, Vohémar 19 communes et 153 fokontany, Andapa 18 comunes et 129 fokontany .
Le terrain d’implantation du MAEX
Le champ de culture du MAEX est situé à 8 km de la ville, dans le Fokontany appelé Andavanio sur la route secondaire d’Ankavanana Antsahanoro. Il fait partie de la commune urbaine d’Antalaha. Notre famille à donné gratuitement le terrain à MAEX, une superficie de 4 hectares, à condition que les 40% des pieds de café ne soient pas déracinés, ainsi que les autres arbres fruitiers comme les orangers, etc. La société MAEX ne bénéficierait donc pas des produits du café et des orangers, car ils appartiennent au propriétaire du terrain.
Pour la première année de plantation, elle doit aménager les 2 ha de terrain. Le reste sera effectué à la quatrième année, c’est-à-dire au début de la quatrième année, l’aménagement des 2 ha restant du terrain devrait être réalisé.
A la première récolte, on déracinera directementoutes les anciennes plantes des 2 hectares. Cette technique est un moyen pour lutter contre les maladies du piment, et pour avoir un nouveau sol fertilisé, après un ou2 ans de jachère.
Caractéristiques juridiques du projet
La détermination de l’identité de l’entreprise à créer, ses activités principales, ses buts et objectifs constituent les caractéristiques du projet que nous allons présenter ci-dessous.
Identité de l’Entreprise
L’identification de l’entreprise permet déjà d’avo ir une idée assez précise sur l’influence de l’environnement, ainsi que les actio ns conséquentes à entreprendre. La transformation du projet en entreprise de culture semi-industrielle et de commercialisation du piment pili-pili a défini son statut juridique comme suit :
-Dénomination de la société
La société portera le nom de “MAEX »
Il est facile à prononcer, à reconnaitre et à reten ir Il est distinctif
Forme juridique : SARL
Activités principales : Plantation et production de piment pili-pili, mise en vente
-Siège social
On a choisi comme siège social l’ancienne province d’Antsiranana, région SAVA.
Siège social : ANTALAHA.
Raison d’implantions : Cette implantation a été choisie, d’abord pour l’accessibilité de la zone, le calme, le climat et la nature du sol très favorable à la filière piment, et enfin, parce qu’il n’y a pas eu d’achat de terrain.
-Forme juridique
MAEX est une Société à Responsabilité Limitée(SARL).
Date de création : en cours
Numéros d’immatriculation : en cours
Numéros de registre de commerce : en cours
Identification fiscale : MAEX
Forme juridique : Société à Responsabilité Limitée
Activités principales
En tant que société de, Culture et de Commercialisation de piment pili-pili, ses activités principales sont la plantation de piment et la formation des paysans ruraux sur les nouvelles techniques de production au lieu du CAM, pour appliquer les normes et les qualités exigées par les pays importateurs.
-Buts et Objectifs
Cette sous-section détermine les intérêts attendusde ce projet, si on atteint les objectifs et les buts déterminés.
– Buts
Il s’agit d’un but lucratif, nous sommes donc tenu s de tirer profit de nos activités, tout en rendant service, pour que le projet puisse survivre. Nous rendons donc compte de l’importance que représente ce secteur pour développer le traditionalisme
malgache et la mise en valeur de la commercialisation des produits malgaches au niveau national et international, nous avons choisi ce projet de « création d’une société de culture semi-industrielle et commercialisation de piment pili-pili ».
-Objectifs
Madagascar, comme bon nombre de pays, mène une politique de la libéralisation et de mondialisation de son économie.Cette politique, favorise l’investissement dans tous les secteurs d’activité. Étant donné que l’entreprise est un pilier du développement économique, la création d’entreprise a un impact sur l’augmentation de la richesse nationale et de la recette fiscale.
Exploiter la filière piment pili-pili comme un pilier de développement durable de la zone rurale et préparer la population dans la région SAVA à y participer.
Apprendre à exploiter les produits piment pili-pili fournis par la société, pour répondre aux besoins de l’importateur.
Donner au secteur privé des opportunités de création d’affaires et de concourir à l’amélioration de la filière piment.
Accroitre la compétitivité des entreprises.
Créer des emplois et accroitre les revenus de la population locale, tout en améliorant leur condition de vie.
Contribuer à l’exploitation optimale des investisse ments, même ceux des opérateurs. Faire connaitre les activités et les produits locaux par le biais du dit projet, qui reflètent les potentialités et les compétences locales.
LE PÔLE DE PARTENARIAT
Le pôle de partenariat comprend une zone géographique ou un bassin d’activités homogènes ou complémentaires dans lesquelles la société mère mènera des interventions coordonnées (financement, infrastructures, organisation paysanne, développement de la production et commercialisation, ) pour atteindre les objectifs spécifiques fixés par la MAEX.
La population dans la commune rurale d’Antananambo
Le pôle de partenariat se situe à 18Km de la grand e ville d’Antalaha. Pour le relier, on utilise les moyens de déplacement citésci après : Automobile sur la ligne d’Antsahanoro , pirogues , bicyclettes , motocyclettes et canot. Ce pôle est localisé à l’ouest de la grande ville d’Antalaha, dont il est séparé par une grande rivière Ankavanana et Ankavia. Sa superficie est de 150 Km2, avec 16333 habitants qui vivent d’agriculture et d’élevage.
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Table des matières
NTRODUCTION
PARTIE I : PRESENTATION GENERALE DU PROJET
CHAPITRE I. DESCRIPTION GENERALE DU PROJET
SECTION I. GENERALITES SUR LE PIMENT
111 1 L’aperçu général
11111 Le monde en affaire économique
11112 Les actions participatives de l’Etat et des Opérateurs Economiques
1112 aperçu sur le piment
11121 La situation du piment à Madagascar
11122 La situation du piment dans le site du projet
11123 L’importance socio-économique du piment
11124 La spécificité du piment
– Origine et historique
– Aire de dispersion
11125 Caractéristiques
11126 Les variétés
11127- L’écologie du piment
– Besoin en eau
– Besoin en altitude
– Besoin en sol
– Rotation
SECTION II. LOCALISATION DU PROJET
1121 Les raisons du choix du projet
11211 Les caractéristiques du district d’Antalaha
– Délimitation géographique et administrative
– Climat et relief
11212 Le milieu économique
112121 L’agriculture
112123 La population
1122 Le terrain d’implantation du MAEX
1123 Caractéristiques juridiques du projet
11231 Identité de l’Entreprise
-Dénomination de la société
-Siège social
11232 Activités principales
-Buts et Objectifs
– Buts
-Objectifs
SECTION III. LE PÔLE DE PARTENARIAT
1131 La population dans la commune rurale d’Antananambo
1132 Les problèmes de développement
1133 Les cultures spécialisée et ses problèmes
1134 Quelques solutions avancées pour sortir de la pauvreté
1135 Lancement de la culture de piment dans le pôle de partenariat
11351 La superficie du terrain occupé par la culture
11352 La rapidité de la culture et son avantage
1136 Mise en place du CAM (Centre d’Accès aux Marchés)
11361 Les objectifs du CAM
11363 Le fonctionnement du travail au CAM
– La direction du CAM
– Les outils de gestion
11364 La motivation du gérant du CAM
11365 Cahier de charge fixé par la société MAEX
11366 Conditions d’Adhésion au CAM
11367 Les règlements intérieurs du CAM
1137 L’Association FITAN
11371 Les motivations des adhérents
11372 Une assemblée générale tous les trimestres
11373 Le règlement intérieur de FITAN
CHAPITRE II. ETUDE COMMERCIALE DU PROJET
SECTION I .CARACTERISTIQUES DU MARCHE
1211 Analyse de l’environnement
12111 Les fournisseurs en terme d’approvisionnement
12112 Les institutions financières
12113 les clients
12113 les ressources humaines
1212 L’analyse de l’environnement du projet et l’identification des opportunités et menaces.
SECTION II. ANALYSE DE L’OFFRE ET DE LA DEMANDE
1221 L’analyse de l’offre
12211 La situation de l’offre
12212 L’offre sur le site du projet
12213 Les sources des produits
-Produit de la société MAEX seulement
-Production venant du pôle de partenariat
1222 L’analyse de la demande et de la concurrence
12221 La demande de piment de Madagascar
12222 La répartition de la demande de Piment international
– L’analyse de la concurrence
12223 Identification des concurrents
-Concurrent sur la zone d’étude
-Concurrence locale
-Les concurrents extérieurs
-Détermination des concurrents sur PPFO (Production, Prix, Faiblesse, Opportunité).
SECTION III. L’ETUDE MARKETING ENVISAGEE
1231 Le marketing Mixte
12311Le marketing du produit
12312 Le marketing de prix
-Les techniques de fixation de prix
-Le marketing de distribution
12313 Le marketing de communication du MAEX
La communication interne de l’entreprise MAEX
La communication externe de l’entreprise MAEX
1232 La stratégie de prix du MAEX
CHAPITRE III. ETUDES TECHNIQUES DU PROJET
SECTION I. TECHNIQUES DE PLANTATION ET LES MALADIES
1311 La multiplication de piment
13111 La préparation des semences
13112 Traitement des semences
13113 Préparation des plates bandes
13114 Traçage des lignes de semis
13115 Semis
1312 Choix de la préparation du terrain de plantation
13121 Défrichement
13122 La plantation
– Piquetage
– Plantation
-Repiquage
– La Récolte
– Rendement
1313 Les maladies y afférentes, les ennemies et la lutte
13131 Les maladies afférentes au piment
13132 Les ennemis
13133 Luttes
SECTION II. LA TECHNIQUE DE PREPARATION ET DE CONDITIONNEMENT
1321 La technique de préparation
1322 Les conditionnements
SECTION III. PLANNING DE PRODUCTION ET DE VENTE
1331 Planning de production et de vente de la 1ère année
13311 Capacité de production
13312 Mission de MAEX au mois d’Avril de la première année de réalisation du projet
13313 Vente prévisionnelle et chiffre d’affaires durant la première année (Ar)
1332 Planning de production et de vente durant la 2ème année
13321 La capacité de production
13322 Vente prévisionnelle pour la 2ème année
13323 Avantages de l’utilisation du canot
1333 Planning de production et vente de la 3ème année
13331 La capacité de production
13332 Recette du canot à la 2ème année d’utilisation
1334 Planning de production et de vente de la 4ème année
13341 La capacité de production
13342 recette du canot à la 3ème année d’utilisation
1335 Planning de production et vente de la 5em année
13351 La capacité de production
13352 Recette du canot à la 4ème année d’utilisation
13353 Total chiffre d’affaires durant les 5 ans : coût d’euro : 2 733, 15
PARTIE II : ETUDE DE FAISABILITE
CHAPITRE I. ETUDE DE L’ORGANISATION ET DE L’INVESTISSEMENT
SECTION I. ETUDE ORGANISATIONNELLE ET CHRONOGRAMME
2111 Organigramme envisagé
21121 Explication de cette structure
2113 La répartition des tâches
21131 Le Gérant
21132 Les responsables financiers
21133 Les responsables de la production
21134 Le responsable commercial
21135 Le Gérant du CAM
21136 Les chefs de fil
21137 Le FITAN
2114 Le profil exigé pour les employés
21141 Le Gérant
21142 Responsable financier
21143 Responsable commercial
21144 Le Gérant du CAM
2115 Chronogramme des travaux et des activités
21151 La préparation et la mise en œuvre
21152 La calendrier de réalisation
-Première partie
– Deuxième partie
SECTION II : LE COUT DES INVESTISSEMENTS
2121 Les investissements nécessaires et les amortissements
21211 Les immobilisations
21212 les types d’immobilisations
– Immobilisation incorporelle
– Immobilisation corporelle
–Récapitulation des investissements nécessaires dans le cadre de ce projet
2122 Les amortissements des biens
21221 La spécificité de l’amortissement
– Définition
– Calculs préliminaires
21222 Le tableau d’amortissement des biens
SECTION III : LES COMPTES DE GESTION
2131 Les produits
2132Les charges du MAEX
CHAPITRE II. L’ETUDE DE LA FAISABILITE FINANCIERE
SECTION I. LES SOURCES DE FINANCEMENT
2211 Le fond de roulement initial (FRI)
2212 Le plan de financement
SECTION II. ETUDE DE RENTABILITE
2221 les comptes de résultats prévisionnel
2222 L’analyse du SR
SECTION III. L’ETUDE DES BILANS ET DES TRESORERIES
2231 Le bilan d’ouverture de la première année
2232 Le bilan de clôture durant les 05 années d’exploitation
2233 Le plan ou les flux de trésorerie.
22331 Le flux de trésorerie directe
CHAPITRE III.L’EVALUATION DU PROJET
SECTION I. LES CRITERES D’EVALUATION
23111 La pertinence du projet
23112 L’efficacité du projet
23113 L’efficience du projet
23114 La durabilité du projet
SECTION II. LES EVALUATIONS ECONOMIQUES
2321 Evaluation économique
23211 Création de la valeur ajoutée
23212 Création d’emplois
23213Augmentation des revenus
23214 Développement de la région et sécurité sociale
SECTION III. EVALUATION FINANCIERE DU PROJET
2331 Les outils des évaluations
23311 La Valeur Actuelle Nette (VAN)
23312 Le Taux de Rentabilité Interne (TRI)
23313 Indice de profitabilité (IP)
23314 Le Délai de Récupération des Capitaux Investis (DRCI)
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE
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