L’ENVIRONNEMENT HUMAIN AVEC UNE POPULATION COMPOSEE DES MIGRANTS 

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L’ENVIRONNEMENT HUMAIN AVEC UNE POPULATION COMPOSEE DE MIGRANTS:

LE BREF HISTORIQUE DU PEUPLEMENT :

· En 1890, les nobles d’Antananarivo arrivèrent à Ifa nja.
· En 1896, à cause de la pacification, des sakalava v enaient aussi à Ifanja.
· En 1920, l’aménagement du marais commença, les Merina venant d’Antanananarivo étaient arrivés à Ifanja par l’initiative du Ministère de l’Agriculture.
· En 1958, des individus de toute part arrivaient pour chercher des terres à cultiver et à occuper.
· A partir de 1960, il y eut des vagues de migration : Vakinankaratra, Betsileo, Atandroy, les agents de l’Etat affectés dans cette zone9.

LA DÉMOGRAPHIE : 

La population des villages du marais s’élève à 32129 habitants, administrativement répartis ainsi :
Commune rurale Habitants 0-5 ans 6-18 ans 19-60 ans 61 ans et plus ANOSIBE 15329 3373 (22 %) 5211 (34%) 6439 (42 %) 307 (2 %)
SAROBARATRA 16800 2688 (16 %) 3360 (20%) 9912 (59 %) 840 (5 %)

L’APERÇU ETHNOGRAPHIQUE ET ACTIVITÉS SOCIO- ÉCONOMIQUE :

La population appartient à 3 ethnies principales av ec 70 % de Merina, 15 % de Betsileo, 10 % d’Atandroy et 5 % d’autres ethnies. La densité s’élève jusqu’ 231,14 habitants
au km2.
Ces différentes ethnies remplissent des fonctions particulières dans l’activité économique :
Les Merina. Arrivés dans la zone depuis 4 générations, ils rmentfo le fond du peuplement. Ils sont devenus propriétaires de la presque totalité des terres de culture. Ils pratiquent l’élevage et les cultures traditionnelles sur les marais et tanety avoisinants. La majorité emploie des métayers, d’autres louent leurs terres. Souvent le gardiennage des bœufs est assuré par un bouvier salarié. Depuis la mise ne valeur du marais, les Merina ont étendu la superficie des rizières cultivées et manifestent ledésir d’améliorer leur condition de vie.

Les Atandroy sont axés dans la zone depuis 1956 pour l’exécution des travaux hydrauliques agricoles. Presque tous cultivent de petites rizières dans le marais et possèdent des bœufs (5 en moyenne), quelques-uns sont même propriétaires d’un troupeau plus important. Chaque exploitant cultive seul ses terres, il est très individualiste, l’entraide est un cas exceptionnel. Les femmes cultivent leur jardin de case et travaillent comme salariées dans les rizières pour les sarclages, mais semblent ignorer le repiquage. Elles pratiquent aussi de petits commerces ou l’artisanat. L’épargne de cette population laborieuse est comme partout ailleurs investie les bœufs. Quand leur capital est suffisant, les Atandroy rentrent dans leur région natale.
Les Betsileo : La plupart habitent dans les différents villages au Nord du marais. Certaines familles sont établies depuis assez longtemps, d’autres sont venues récemment. Elles possèdent ou louent des rizières, exploitentun troupeau. Les plus riches ont des maisons en dur. Les Betsileo de la région d’Ambositra viennent en outre sur le marais comme apport de main-d’œuvre saisonnière au moment des grands tr avaux (préparation du sol). Ces cultivateurs forment l’élément le plus dynamique etle plus ouvert de la population. La plupart de magasins de commerce leur appartiennent, soit les 7/12 de la partie Nord du marais.
Les migrants récents sont arrivés depuis le débutesd travaux d’assèchement. Ce sont les anciens chômeurs d’Antananarivo qui occupent le s villages d’Anosibe et d’Anosinondry construits pour eux par l’administration, ainsi que les agriculteurs d’Ambatolampy qui habitent pour la plupart le village d’Anosibe. Cette migration a été provoquée et organisée par les Services Agricoles. Ceux dont l’arrivée a pour cause la migration spontanée est organisée depuis 1945.

LE NIVEAU D’INSTRUCTION :

Le taux de scolarisation est de 68 %. La plupart des gens entre 16 et 40 ans savent lire et écrire en malgache. Chez les habitants de plus de 40 ans, l’analphabétisme s’accentue. Mais cette situation ne constitue pas un facteur limitant de la vulgarisation agricole, car les paysans de la région ont parfaitement pris conscience de lanécessité d’une aide.

LES PROBLÈMES HUMAINS :

Il s’agit surtout de problèmes socio-économiques, à savoir le non maîtrise de l’eau l’état dégradé des voies de communication, les autres ne sont que des problèmes secondaires, et peuvent passer au second plan (électrification rural).
la situation géographique de la plaine qui entraîne un mauvais écoulement de la rivière. Bizy et Kotombolo subissent presque chaque année un changement de lit suivant l’importance des crues. Cette instabilité de deux rizières constitué un facteur limitant la production à cause :
– de l’ensablement de rizières provoqué par des crues ou par un déplacement des deux rivières
– du déséquilibre hydrologique entre les fokontanyd’Ambatolampy et d’Ampokonato. Le premier souffre d’un excès d’eau. Il se trouve juste en amont du déversoir de la rivière Kotombolo. Il préfère actuellement le déroctage durocher de ce déversoir qui forme un goulot d’étranglement. Le deuxième souffre d’une mauvaise irrigation et préconise la construction d’un barrage en amont de la rivière, pour faciliter l’approvisionnement en eau de cette partie.

L’ENVIRONNEMENT ÉCONOMIQUE CONSTITUANT UNE ZONE A VOCATION AGRICOLE :

Situé dans une zone de transition entre les plaines rizicoles de la région d’Antananarivo et le Moyen-Ouest pastoral, au point de passage même des migrations des bœufs, l’Ifanja présentait à l’origine une double o rientation économique : la production rizicole pour la consommation, et l’élevage à l’origine d’un commerce de bovins. l’importance des certaines productions est accrue suite à l’extension des surfaces cultivées notamment en riz, à l’arrivée de plusieurs centaines des migrants, à l’ouverture de nouvelles voies d’évacuation et de pénétration et enfin à l’organisation d’un marché hebdomadaire à Sanganoro.

L’AGRICULTURE :

La pratique de l’agriculture est l’activité la plus importante et plus de 80 % de la population sont des agriculteurs. Le riz et le manioc constituent les principales productions vivrières.

LA RIZICULTURE :

Le riz est la culture principale et la nourriture de base de la population. La riziculture constitue donc la base de l’activité agricole. Le riz est cultivé à la fois sur des terres argileuses et alluvionnaires, dès lors que les conditions d’alimentation en eau sont suffisantes10.
Toutefois Les rendements sont néanmoins faibles en raison de l’insuffisance de l’irrigation alors que les sols sont en effet relativement fertiles et les pratiques culturales sont similaires à celles des autres régions rizicoles.
Le riz récolté suffit actuellement pour satisfaireles besoins de la consommation locale, et l’excédent est commercialisé.
Les techniques de culture de riz sont :
Préparation des pépinières : les pépinières se trouvent sur le point bas des rizières existantes, se préparent vers le mois de novembre à l’angady, sans fumure. La densité de semis est de 40 kg / are, la superficie de pépinière est de 1 à 1,5 ha de rizière.
Préparation de rizières pour le repiquage : les rizières se trouvent surtout sur les sols hydromorphes évolués, baiboho. Le labour se fait àl’angady ou quelquefois à la charrue, suivi de hersage, puis de quelques piétinements. Le repiquage s’effectue vers la fin décembre à fin janvier.

La récolte s’effectue vers la fin du mois de mais jusqu’au mois de juillet à l’aide d’une faucille. On superpose les gerbes en longs andains. Les panicules étant recouvertes par les chaumes de la botte suivante.
Le battage s’effectue sur un fût de 200 l, posé sur une natte dans la rizière (pas de problème de transport). Les pailles sont brûlées oupourrissent sur les rizières.
Pour le riz de semis direct :
Préparation du terrain : les cultures de riz pluvia se trouvent surtout sur des sols hydromorphes non évolués, difficilement irrigables, les cultivateurs coupent les
cypéracées à partir de juillet et commencent à les brûler à partir de septembre – octobre, leurs souches seront enlevées et brûlées en tas enoctobre et novembre. Ce brûlage favorise le tallage et diminue l’échaudage.
Semis : s’effectue vers le mois de novembre – décembre à raison de 80 à 100 kg de grains par Hectare. Les récoltes s’étalent du mois de maijusqu’en juillet.

LES ACTIVITÉS ANNEXES PEU DEVELOPPÉES :

L’EXPLOITATION FORESTIERE :

Elle est inexistante, les tanety dénudées ne fournissent pas de bois d’œuvre, à peine un peu de bois de chauffage, dont l’approvisionnement pose un grave problème à l’économie familiale. Les bois d’œuvre viennent d’Antananarivo . Ainsi le reboisement s’avère indispensable dans ce périmètre, il faut avant toutsauvegarder et étendre le couvert végétal actuel.

L’ACTIVITE DE LA PECHE :

C’est une des activités auxiliaires, elle se pratique sur le lac Mandetika et sur les canaux. Elle a contribué à améliorer la consommatio familiale. On pourrait dire que c’est une activité de loisir. La pêche et la pisciculturesemblent être encore réservées aux hommes, pourtant elles constituent des opportunités à explorer. L’exploitation des lacs n’est pas encore organisée rationnellement. La pêche est un secteurdifficile et risqué. Pourtant, les ressources tirées de la pêche peuvent être dans un délai plusrapide, pallier aux carences en protéines animales dans le régime alimentaire et augmenter lerevenu. Ainsi la pêche et l’élevage ont un point commun, celui de constituer les bases essentielles de la chaîne agroalimentaire : viande, produits laitiers et poissons sont avec le riz les éléments décisifs de notre alimentation. La pèche est une activité économique à préconiser.

L’ARTISANAT :

La production reste faible, elle sert seulement aux besoins de la famille : nattes, chapeaux, bêches, … L’artisanat utilise les matériaux locaux ou transformés. La durée du travail est longue. Les artisans spécialisés sont rares : menuisier, forgeron, poseurs de toits,… Les femmes font de la vannerie, soit pour l’usage familial, soit pour la vente. L’absence de l’encadrement et de l’exigüité des marchés risquent d’altérer la réputation et de décourager bon nombre d’artisans.

LE TRAVAIL SALARIE :

Contrairement aux autres activités, le travail salarié est largement développé et lié à l’agriculture, avec une main d’œuvre employée du Génie Rural ou de l’Agriculture ou à des organismes privés qui trouvent également du travailauprès des particuliers. Les salariés saisonniers d’origine Betsileo cherchent un emploi au moment du repiquage et à l’époque de la moisson. Enfin, de nombreux paysans pauvres (métayers, petits propriétaires, …) travaillent comme salariés auprès des propriétairesvoisins. La participation de la main d’œuvre salariée au travail des rizières et au gard iennage des troupeaux est importante, elle est une source sensible d’échanges monétaires. Il sembl néanmoins que l’entraide et l’élévation de la productivité pourraient très largement lui être substituées.

LE MARCHÉ ET LES VOIES DE COMMUNICATION :

Les marchés tiennent une grande place dans l’économie. Le marché est un lieu d’échanges et de transactions entre producteurs et collecteurs, détaillants et consommateurs.
Le marché hebdomadaire de Sanganoro se tient tous les samedis : son rôle est important en ce qui concerne les échanges internes de la zone, c’est aussi le point de collecte des produits : riz, arachide, haricots. La foire annuelle de Sanganoro est également importante.
Des boutiques sont ouvertes au lendemain de l’ouverture de la route Sanganoro, Fialofa, et d’Antaninandro. Elles s’approvisionnent à Antananarivo.
Quant aux routes, seuls quelques villages sont normalement reliés par une piste accessible aux voitures légères entre Sanganoro à Fialofa, Antaninandro, desservant Sarobaratra, Anosibe et Anosinondry et se prolongeant sur kotolay et Ambohitandinona.
Une seconde piste carrossable reliant Sanganoro à A ntebe. Les autres villages ne disposent d’aucune infrastructure, certains villages tel Ambohibary sont pratiquement isolés : Antongombato, Antsapanimahazo sont à 2 heures et de mi de marche, avec portage de Sanganoro. Le transport des produits à dos d’homme est un freinage à l’échange et à la vente.

Il paraît nécessaire que tous les villages soient reliés par des pistes, au moins praticable par traîneau.
D’une façon générale, les producteurs se plaignent du prix d’achat très bas des produits. Le paddy est vendu suivant la période del’année, la difficulté d’accès de la zone, la mauvaise qualité du produit, la vente étalée sur uteto l’année ne justifient qu’en partie des fluctuations. L’achat des récoltes sur pied, l’hypothèque d’une partie des récoltes sont également des pratiques préjudiciables aux exploitants. Les arachides, et les haricots trouvent aussi des places importantes. Les autres produits vendus en trop petite quantité n’intéressent guère les collecteurs. Le groupage des produits chez les cultivateurs pourrait être envisagé comme première étape vers l’amélioration des prix ed vente.
Les taxis brousses reliant Fialofa, Sanganoro à An alavory évitent les 3 heures de marche à pieds et de portage. Les camions des colle cteurs assurent les transports des produits.

LES ORGANISMES D’INTERVENTION :

Les organismes jouent un rôle important dans le développement surtout des zones favorables comme Ifanja soit qu’ils sont publics ou privés, à savoir
La Direction Régionale du Développement Rural Itasy, avec le Centre de Service Agricole.
L’Association Tany Meva,
Le CARITAS : Département pour le Développement Catholique, en matière d’actions sociales et caritatives dans le diocèse (développement, animation rurale sur les domaines agriculture, élevage, environnement)
Le FIKRIFAMA,
Le PAAP (Projet Autonome d’Action paysanne), ayant pour cible les paysans du diocèse de Miarinarivo, surtout les jeunes, en leur donnant des formations sur les trilogies : agriculture, élevage, santé.
Le CECAM : Organisme de crédit, le crédit rural estl’un des outils indispensables aux producteurs pour qu’ils puissent faire face aux multiples objectifs de la vie socio- économie rurale .
Le PSDR (Projet de Soutient au Développement Rural) Le SAHA IMERINA
Le Vatsi Miarinarivo,
Le FID (Fonds d’Intervention pour le Développement) Le BADEA.
Le SAF/FJKM,
Ces divers organismes contribuent au développementde ce périmètre.

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Table des matières

INTRODUCTION
PREMIÈRE PARTIE : LES PARTICULARITES ET LES POTENTIALITES GEOGRAPHIQUES DU PERIMETRE D’IFANJA
Chapitre I – L’ENVIRONNEMENT PHYSIQUE, FAVORABLE A L ’ AMENAGEMENT ET A L’EXPLOITATION
I.1 – Le relief et l’hydrographie
I.2 – Le climat tropical d’altitude
I.3 – Des sols ferralitiques plus ou moins fertiles
I.4 – Les formations géologiques
I.5 – Les formations végétales
Chapitre II – L’ENVIRONNEMENT HUMAIN AVEC UNE POPULATION COMPOSEE DES MIGRANTS 
II.1 – Le bref historique
II.2 – La démographie
II.3 – L’aperçu ethnographique et activité socio-économique
II.4 – Le niveau d’instruction
II.4 – Le niveau d’instruction
II.5 – Les problèmes humains
Chapitre III – L’ENVIRONNEMENT ÉCONOMIQUE CONSTITUANT UNE ZONE A VOCATION AGRICOLE
III.1 – L’agriculture
III.1.1 – La riziculture
III.1.2 – Les cultures pluviales
III.1.3- Les caractéristiques de système agricole particulier
III.2 –L’Élevage
III.3 – Les activités annexes
III.3.1 – L’exploitation forestière
III.3.2 – Les activités de la pêche
III.3.3 – L’artisanat
III.3.4 – Le travail salarié
III.4 – Le marché et les voies de communication
III.5 – Les Organismes d’Interventions
DEUXIÈME PARTIE : L’INTÉGRATION DES INTERVENTIONS DU SAF/FJKM DANS LE PÉRIMÈTRE D’IFANJA
Chapitre IV – LE SAF/FJKM, ORGANISME ŒUVRANT POUR LE DEVELOPPEMENT
IV.1 – L’historique et l’évolution
IV.2 – Le But et les objectifs
IV.3 – Les Stratégies transversales
IV.3.1 – L’Approche communautaire
IV.3.2 – L’Intégration des activités
IV.3.3 –L’Information – Education- Communication
IV.3.4 – L’Intégration des femmes et des jeunes
IV.3.5 – Le Durabilité écologique
IV.3.6 – Le Durabilité économique
IV.4 – LES SERVICES
IV.4.1 – Le Développement rural
IV.4.2 – La Santé
IV.4.3 – Les Infrastructures
IV.4.4 – Le Projet Secours d’urgence
IV.5 – Les Partenaires
Chapitre V- L’ARRIVEE DU SAF/FJKM A IFANJA
V.1 – Les Raisons d’intervention
V.2 – Les Activités inaugurales
Chapitre VI – LES REALISATIONS DU SAF/FJKM À IFANJA
VI.1 – Le Programme de microréalisation
VI.1.1 – L’adduction d’Eau Potable
VI.1.2 – La réhabilitation de piste en terre
VI.1.3 – L’entretien de réseaux hydro agricoles
VI.2 – Le Programme d’auto – promotion rurale
VI.2.1 – L’Appui aux activités de production
VI.2.1.1 – L’amélioration de l’agriculture
VI.2.1.2 – La décortiquerie
VI.2.1.3 – Le grenier Communautaire
VI.2.1.4 – L’Amélioration de l’élevage
VI.2.2 – L’Appui à la conservation et à la restauration de l’environnement
VI.3 – Le Programme de santé
VI.3.1 – La Protection
VI.3.2 – La Médication
VI.3.3 – L’Animation
TROISIÈME PARTIE : LES IMPACTS DES INTERVENTIONS DU SAF/FJKM SUR LE DEVELOPPEMENT DE PERIMETRE D’IFANJA
Chapitre VII – LES RESULTATS OBTENUS
VII.1 – Les travaux réalisés
VII.2 – Le dynamisme des groupements
CHAPITRE VIII – LES IMPACTS SOCIO-CULTURELS ET ECONOMIQUES
VIII.1 – Les impacts socioculturels
VIII.2 – Les impacts économiques
VIII.2.1 – L’Accroissement de la production
VIII.2.2 – La Facilité de la distribution et de la consommation
Chapitre IX – LE BILAN ET LES PERSPECTIVES D’AVENIR DU PROJET
IX.1 – Le Bilan
IX.2 – Les Perspectives d’avenir du projet
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE

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