L’enfant et l’album : étude sur le rôle de l’image dans l’apprentissage de la lecture

L’animation et le partenariat

L’animation est irrémédiablement l’activité prédominante de la Bibliothèque de Liévin, que ce soit sur le site Jacques Duquesne ou sur le site Des rousseaux.. De nombreuses animations sont programmées sur les deux sites tout au long de l’année : expositions, rencontres avec des auteurs, des illustrateurs ou des conteurs, lectures et contes. De manière générale, c’est le domaine de l’animation pour la jeunesse qui est privilégié, les animations concernant le public adulte sont moins fréquentes. Ceci peut s’expliquer par le fait qu’ il est plus difficile de toucher un public adulte qu’un public jeune, ce dernier se laissant plus facilement attirer par des animations telles que la venue de conteurs ou d’illustrateurs.
De plus, le personnel de la bibliothèque accentue de plus en plus sa politique d’ouverture sur l’extérieur en multipliant les partenariats avec le centre culturel de Liévin (C.C.S.), le centre d’action
jeunesse (CMAJ) et les centres-aérés, de façon à ce que les jeunes, enfants ou adolescents qui n’ont pas l’habitude de se rendre à la bibliothèque, puissent avoir accès aux livres ou venir découvrir la bibliothèque dans le cadre de leur inscription à ces différents centres.
La plupart des animations culturelles proposées par la bibliothèque municipale de Liévin sont donc réalisées en partenariat avec les différents centres culturels et sociaux de la commune : le Service Jeunesse, le CMAJ, le Centre Arc-en-Ciel qui comporte une galerie d’Art, un cinéma, un théâtre, un espace musique et qui collabore assidûment avec la bibliothèque. Mais aussi, dans le cadre de certaines animations ponctuelles, la bibliothèque peut parfois collaborer avec le C.C.A.S., le C.C.S. et le Service Environnement de la ville.
Notons enfin la mise en place d’une action de chariotage à la polyclinique Riaumont de Liévin : « le livre à la polyclinique ». En avril 2002, une rencontre a permis de relancer la réalisation d’un projet, qui consistait à aider la polyclinique à créer un espace bibliothécaire dépositaire d’un fonds de la bibliothèque. La polyclinique ayant désormais acheté des rayonnages, le projet risque de se concrétiser prochainement avec l’aide de la bibliothèque de Liévin.
Cependant, la bibliothèque municipale de Liévin est le plus souvent amenée à travailler en partenariat avec l’Education Nationale, son plus grand collaborateur. Mais j’évoquerais plus précisément le travail effectué avec ce partenaire et les différentes animations qui ont été mise en place pour l’année 2002 dans la deuxième partie du mémoire.

Les coopérations

Plusieurs coopérations sont à citer :
-Le plan Lecture-écriture départemental, qui est un dispositif qui permet de mener des actions dans le domaine de la lecture dans un cadre intercommunal. Ce dispositif regroupe les villes de Liévin, Loos-en-Gohelle, Givenchy en Gohelle, Souchez, Servins, Ablain St Nazaire et Bouvigny-Boyeffles. Chaque année, il permet de réaliser des actions intercommunales, concertées et pérennes : Cycles de contes, cahier-voyageurs, plaisir des livres et des actions nouvelles : enfants conteurs, mémoire de quartier, etc.
-Une deuxième coopération qui relie uniquement cette fois la ville de Loos-en-Gohelle et la ville de Liévin : c’est le contrat Ville-Lecture. Le but de ce contrat est de mettre en avant les forces et les faiblesses de la politique de lecture publique de la ville, d’apporter les moyens de combler ces faiblesses, avec en particulier des subventions du Ministère de la Culture et de créer un réseau de lecture publique à l’échelle de la ville. L’ambition de ce contrat est principalement de remettre à plat l’existant afin d’envisager de nouveaux développements répondant aux diverses préoccupations des municipalités. De plus, la mise en réseau de ces deux villes voisines est très importante en raison de quartiers communs et d’une tradition de partenariat et d’échanges depuis quelques années.
-La troisième et dernière coopération à laquelle la ville de Liévin adhère est Num & Liv, coopération des bibliothèques du Nord- Pas-de-calais.
Depuis plusieurs années, la région Nord-Pas-de-calais connaît un développement continu des structures culturelles, notamment des bibliothèques et médiathèques. Face au développement des besoins, aux enjeux technologiques en matière de bibliothéconomie, la coopération entre les professionnels s’avère à la fois un atout et une nécessité pour mieux assurer encore leurs missions de service public. Ce sont ces raisons qui ont motivé la création de l’agence de coopération des bibliothèques en mai 2001. Divers axes d’activités ont été dégagés par un conseil d’administration issu de l’assemblée générale de création . Ces axes sont : la conservation partagée des périodiques, la création d’un centre de littérature de jeunesse, l’organisation de la formation en partenariat avec le CNFPT, l’organisation de colloques et de journées d’étude et la mise en réseau des bibliothèques f) Les partenariats locaux ou la création d’un réseau de la lecture publique à l’échelle de la ville.
L’idée de réseau vient d’un constat. En effet, malgré les deux sites de la bibliothèque, on peut le rappeler avec la bibliothèque Jacques Duquesne dans le centre ville et la bibliothèque Desrousseaux dans le quartier des Marichelles de Liévin, certains quartiers ne la fréquente pas, comme St Albert, Calonne ou Petit-Bois. Ainsi, la bibliothèque songe à constituer un réseau de lecture publique qui pourrait être de deux ordres :
_ Tout d’abord par l’élargissement des permanences dans les B.C.D après les heures scolaires et par la constitution d’un dépôt d’ouvrages pour les adultes. Ce sont les médiateurs du livre en relation avec les aides-éducateurs de l’Education Nationale qui assureraient les permanences.
_ La bibliothèque de Liévin prévoit également pour les dessertes de quartiers, la création d’un bibliobus, qui circulerait dans les quartiers éloignés à des dates fixes. Ce bibliobus serait un équipement de proximité qui permettrait l’accès de tous à la lecture. Son financement pourrait d’ailleurs être envisagé en collaboration avec la ville de Loos-en-Gohelle, dans le cadre du contrat Ville-lecture.
Je vais maintenant aborder la deuxième partie de ce mémoire en commençant par reprendre plus précisément l’importance du travail effectué en partenariat par la bibliothèque avec d’autres structures, en particulier avec l’Education nationale. Partenariat qui permet, entre autre, de développer avec plus d’efficacité les animations destinées à la jeunesse et d’envisager aussi, une meilleure répercussion de celles-ci sur les plus jeunes, dans le cadre de l’éveil de l’enfant à la lecture. Je mettrai ensuite en valeur les nombreuses animations effectuées au cours de l’année 2002 autour de la littérature de jeunesse à la bibliothèque de Liévin, pour ensuite en analyser les enjeux et les apports dans le cadre de l’éveil de l’enfant à la lecture.
Enfin, je compléterai cet état des lieux en évoquant la mise en place de l’atelier d’activités manuelles et ses objectifs.
En troisième partie du mémoire, j’expliquerai comment, dans cet atelier dessin, je me suis focalisée sur le rôle de l’image et sur le rapport texte-image dans l’album de jeunesse. Cet atelier m’ayant amenée à faire de nombreuses observations sur le rôle des illustrations dans l’album, dans le cadre de sa contribution à l’éveil des plus jeunes à la lecture et aux arts, je tenterais d’établir un constat sur les différentes animations effectuées autour de la littérature de jeunesse et sur ce que la création de cet atelier d’activités manuelles a pu apporter aux enfants, toujours dans cette optique d’éveil à la lecture.

LES ANIMATIONS EFFECTUEES AU COURS DE L’ANNEE 2002 AUTOUR DE

LA LITTERATURE DE JEUNESSE : ENJEUX ET CONTRIBUTION DANS LE CADRE DE L’EVEIL DE L’ENFANT A LA LECTURE.

Les objectifs des animations menées en partenariat

Depuis 1990, la ville de Liévin, avec le soutien de l’association A.D.N.S.E.A., a mis en œuvre un programme de développement culturel par le livre, pour la petite enfance, dans les quartiers D.S.Q.. En 1994, ce programme a été étendu aux quartiers nord de Liévin, classés à leur tour en D.S.U..
Parallèlement, un partenariat étroit s’est développé avec l’Education Nationale, particulièrement dans le cadre du dispositif Z.E.P. avec, comme missions : l’aide au développement des B.C.D., la formation de médiateurs du livre, la proposition d’animations et le soutien des actions lecture-écriture.

Les priorités ou « dans quel but mettre en place des animations autour de la littérature de jeunesse » ?

D’après les constats « officiels » concernant les animations pour la jeunesse véhiculés dans des ouvrages tels que L’action culturelle en bibliothèque ou Lectures, livres et bibliothèques pour enfants de Claude-Anne Parmegiani, le « terme d’animation recouvre des réalités et des objectifs de plus en plus variés et l’animation en bibliothèque enfantine répond à des attentes diverses, qui s’ajoutent les unes aux autres sans s’annuler : calmer les lecteurs agités, faire parler de la bibliothèque dans la presse locale, tenir son rang au sein de la municipalité, faire venir de nouveaux lecteurs, faire plaisir aux lecteurs qui sont déjà inscrits, rencontrer des gens intéressants, donner libre cours à ses dons artistiques, encourager l’apprentissage de la méthodologie de la recherche documentaire, séduire les écoliers et les enseignants, initier à l’imaginaire, donner le goût de lire, encourager une pratique de la liberté responsable… » A partir de ce constat qui englobe un grand nombre de directives socioéducatives et culturelles, il me fallait envisager précisément les objectifs-mêmes de l’animation que j’allais mettre en place, c’est-à-dire de l’atelier d’activités manuelles. Mais avant cela, il me restait à analyser la finalité des animations auxquelles j’avais pu assister.
Ainsi, après avoir attentivement observé les diverses animations citées précédemment et les avoir replacées dans le contexte de la politique culturelle de la bibliothèque municipale de Liévin, j’ai pu établir ce constat : les animations mises en place par la bibliothèque de Liévin et ses partenaires ont pour but de favoriser l’accès des plus jeunes à la lecture, à l’écriture mais aussi à l’Art de manière générale. L’approche et l’appropriation de ces disciplines se fait d’autant plus facilement que ce sont les propres travaux des enfants qui sont mis en valeur à leurs yeux. En effet, leurs « œuvres » sont exposées (exposition « Or et Argent »), mises en scène (cahier voyageur), publiées (les nouvelles policières de l’atelier d’écriture) ou encore dédicacées et tout cela dans des lieux publics et par des professionnels (auteurs-illustrateurs, comédiens, conteurs).

Le rôle de l’image dans l’apprentissage de la lecture

Le livre de Jacqueline Danset-Léger offie un état des lieux très précis sur ce que les images de la littérature de jeunesse suscitent chez les enfants. Cependant, nous nous attacherons uniquement à l’analyse effectuée sur l’image et la lecture dans son ouvrage, puisque c’est cette question-là qui nous intéresse, et qui a été développée lors des ateliers à la bibliothèque.
Différentes études ont été menées afin de déterminer l’influence de l’image dans l’apprentissage de la lecture chez des enfants non-lisants et chez des lecteurs débutants.
Ainsi, l’étude de Samuels effectuée en 1967 a permis d’observer que l’image ne permet pas à l’enfant d’apprendre à lire plus vite ou à décoder les mots avec plus de facilité. L’image n’est donc pas facteur de performance pour l’enfant durant son apprentissage de la lecture.
Par contre, elle apparaît comme un bon moyen de susciter le goût de la lecture, en particulier chez les enfants qui ont des difficultés en lecture. Car si les enfants qui n’aiment pas lire ou qui éprouvent des problèmes dans leur apprentissage de la lecture sont rebutés par le texte d’un album, ils sont à l’inverse souvent attirés par ses illustrations. D’ailleurs, les albums du Père Castor sont justement réputés pour leur capacité à aider les enfants qui éprouvent des difficultés dès l’apprentissage de la lecture. Et c’est d’ailleurs pour cette raison, que les bibliothèques municipales ont décidé de mener de front une politique d’animation, dont le moteur est la promotion de l’album de jeunesse dans leurs secteurs petite-enfance. Caroline Rives affirme à ce propos dans l’action culturelle en bibliothèque que « c’est en remettant le livre au centre des pratiques d’animation qu’on cherche à recréer un lectorat intéressé par l’offre spécifique des bibliothèques enfantines ». Que faut-il alors entendre par ces propos ? Plus clairement, le pouvoir des albums de jeunesse est d’attirer un public très jeune vers la lecture, grâce à leurs histoires originales d’une part, et à leurs images captivantes d’autre part.
Le pouvoir de l’animation en secteur jeunesse des bibliothèques est également d’attirer un public d’enfants vers la lecture, par le biais des albums de jeunesse « mis en scène » pendant les séances d’animation. Le résultat est alors que l’association des deux médias, albums et animation réunis, est doublement efficace et par la même occasion extrêmement favorable au projet des bibliothèques d’éveiller l’enfant à la lecture. La réussite est plus forte encore, puisque les animations et les albums permettent d’attirer vers la lecture, les enfants qui entretiennent un rapport difficile avec les livres et qui endurent des désagréments dans leur apprentissage de la lecture. Je reviens donc finalement à l’atelier d’activités manuelles que j’ai mis en place et je pense désormais pouvoir affirmer que le lien avec le livre et la lecture s’est donc pleinement réalisé.
Car d’une manière générale, que ce soit avec des enfants non-lisants ou avec des lecteurs débutants, l’animation de dessin a été clairement perçue par les enfants comme entretenant un rapport étroit avec l’album de jeunesse. Et même si la finalité visible de cet atelier est une exposition résultant des travaux manuels des enfants, le but adjacent était de les rapprocher davantage du livre, en l’occurrence des albums, et de cette littérature de l’imaginaire rendue vivante par des illustrations dignes d’oeuvres d’art.
A propos de l’exposition en bibliothèque, Caroline Rives dit : « l’exposition, en mettant en valeur l’iconographie, témoigne aussi de ce que tous les supports de l’information doivent être mis à contribution pour construire le savoir, qu’ils soient recherchés dans les collections de la bibliothèque, ou qu’ils soient réalisés par les lecteurs : on fera donc dessiner les enfants, et on leur fera fabriquer des objets. » Et cette remarque justifie pleinement la démarche de proposer aux enfants une animation de dessin à l’intérieur d’une bibliothèque. Car les travaux manuels des enfants sont autant la résultante d’un travail effectué sur le livre et ses illustrations, qu’un travail de la connaissance et de l’imagination, (cf. annexe 12 pour les photos de l’exposition).
Enfin, il y a une dernière chose à préciser au sujet des animations pour la jeunesse effectuées à la bibliothèque. Nous savons que les animations permettent de rendre vivante la bibliothèque, mais aussi de faire parler d’elle dans les journaux locaux. La médiatisation est aussi pour elle une façon de faire connaître son action culturelle menée en direction de la jeunesse et de démontrer la finalité de cette action auprès d’un plus large public, (cf. annexe 13 pour l’article de presse.)
En guise de conclusion à propos de l’atelier de dessin que j’ai mis en place, je dois préciser qu’il n’a pas été possible de démontrer par des preuves tangibles (de type questionnaire ou statistiques) de l’efficacité de cette animation par rapport à la cible visée, qui est l’éveil de l’enfant à la lecture et aux arts. Les enfants qui ont participés à cet atelier étaient en effet trop jeunes pour pouvoir répondre à des questionnaires élaborés. Ce n’est donc qu’au travers des observations que j’ai pu faire durant l’atelier, grâce en particulier aux réactions des enfants devant les albums et devant cette énergie déployée pour réaliser leurs dessins ou travaux manuels, que l’efficacité de l’atelier a été prouvée. C’est aussi parce que les enfants ont participés activement et positivement à ce travail effectué sur les illustrations des albums et qu’ils me posaient des tas de questions sur le thème des histoires, que j’ai été convaincue de l’apport de cette animation.

CONCLUSION 

Au terme de ce stage, il m’a été permis de découvrir les projets socioculturels et éducatifs déployés par le biais de l’animation en bibliothèque. J’avais auparavant entendu parler des animations réservées à la jeunesse en bibliothèque, mais je ne connaissais pas l’ampleur de ses ambitions. Non seulement j’ai pu découvrir que le partenariat permettait une pleine expansion de ces animations et que les objectifs principaux en sont l’éveil de l’enfant à la lecture et le rapprochement des plus jeunes à l’Art et au livre. Mais j’ai eu aussi le privilège d’instaurer une nouvelle animation au sein de la bibliothèque de Liévin : un atelier d’activités manuelles, durant lequel j’ai effectué un travail sur l’image dans l’album de jeunesse, le tout dans un cadre agréable et divertissant grâce aux diverses activités que j’ai proposé aux enfants, soit : peinture, dessin, collage, assemblage etc.
Grâce à cet atelier, j’ai pu également approfondir mes connaissances sur la littérature de jeunesse que j’avais pu découvrir durant mon année universitaire, dans les cours de M. Loock. Une littérature que j’avais trouvé riche et originale dès le départ et qui m’est apparue comme vraiment extraordinaire lors de mon stage, étant donné ce qu’elle peut apporter à l’enfant pour son apprentissage à la lecture, mais aussi pour ce qu’elle apporte à l’adulte qui l’utilise comme outil de travail. A la fois œuvre d’Art par ses illustrations et source de plaisir par ses textes, l’album pour enfant renferme un tas de richesses qui permet à l’enfant aussi bien d’avoir une approche plaisante de la lecture, que de développer son imagination.
Bien entendu, les animations pour la jeunesse ne sont pas toutes basées sur l’album petiteenfance. Il y a des animations durant lesquelles on fait travailler les jeunes sur la nouvelle, le roman ou les bandes dessinées. On choisit toujours selon les objectifs de l’animation et selon le public visé, l’outil le mieux approprié. Pour l’atelier de dessin, l’utilisation de l’album était inévitable, puisque qu’il se faisait le relais de l’animation lecture et que le but était de rapprocher les enfants du livre en les faisant travailler sur les illustrations des albums.
Quant à la réussite de ce projet, comme je l’ai dit plus haut, il n’y a que par le résultat de l’exposition des travaux des enfants et par leurs réactions durant l’atelier que j’ai pu me rendre compte de l’efficacité de cette animation. J’en conclue donc que la portée de cette animation a été relativement satisfaisante, que les enfants ont eu la possibilité de s’imprégner davantage des albums, de leurs histoires et de leurs illustrations. Cependant, le succès d’une telle animation dépend également de la période durant laquelle elle est réalisée et de sa durée. Ainsi, pour s’assurer de son efficacité, il est préférable d’organiser ce type d’animation de manière ponctuelle, de préférence pendant les vacances ou les fêtes.
Ainsi, on s’attachera à travailler sur des thèmes précis, comme la mer, Halloween, les fêtes de Noël et de Pâques, pour que les enfants soient aussi bien conditionnés par les événements de la vie réelle, que par les thèmes de l’animation, pour faciliter une meilleure approche de l’univers des albums de littérature de jeunesse et de la lecture.

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Table des matières
INTRODUCTION 
I PRESENTATION GENERALE DE LA BIBLIOTHEQUE MUNICIPALE DE LIEVIN 
1.1 Historique de la bibliothèque
1.2 La bibliothèque en chiffres
a) Les collections
b) Les lecteurs
1.3 Les fonctions de la bibliothèque
a) L’accès pour tous à la lecture et à la culture
b) L’introduction des Nouvelles Technologies de l’Information
c) L’animation pour la jeunesse et le partenariat
d) Les coopérations
e) L’action des médiateurs du livre
f) Les partenariats locaux ou la création d’un réseau de la lecture publique à l’échelle de la ville
II] LES ANIMATIONS EFFECTUEES AU COURS DE L’ANNEE 2001/2002 AUTOUR DE LA LITTERATURE DE JEUNESSE : ENJEUX ET CONTRIBUTION DANS LE CADRE DE L’EVEIL DE L’ENFANT A LA LECTURE
2.1 Les animations pour la jeunesse : description, but, analyse
a) Les objectifs des animations menées en partenariat
b) Quelques exemples d’animations
c) Les priorités ou « dans quel but mettre en place des animations autour de la littérature de jeunesse ? »
2.2 Les animations autour de la littérature de jeunesse ou « comment rapprocher davantage l’enfant de la lecture et des arts ? »
a) Intégration d’une nouvelle animation au sein du secteur jeunesse de la bibliothèque : l’atelier d’activités manuelles
b) La place de l’image dans l’atelier lecture et dans l’atelier dessin
b) Les difficultés rencontrées dans la mise en place d’animations
III L’ENFANT ET L’ALBUM : ETUDE SUR LE RÔLE DE L’IMAGE DANS L’APPRENTISSAGE DE LA LECTURE
3.1 Description du travail effectué durant l’atelier d’activités manuelles
a) Intérêt des « activités plastiques »
b) Comment s’effectue le lien avec le livre
3.2 Les illustrations et le texte dans l’album de jeunesse
a) Un atelier qui permet de « jouer » sur deux aspects : Le plaisir et l’éducatif
b) Etude des rapports texte-image dans l’album
c) Le rôle de l’image dans l’apprentissage de la lecture
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE
ANNEXES
LISTE DES ANNEXES

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