L’énergie du soleil – énergie de l’atome

La technologie du moteur à combustion interne (ICE : sigle de l’appellation anglophone : Internal Combustion Engine) utilisé dans les automobiles modernes a fait son apparition depuis plus de cent ans. Elle a précédé la radio, la télévision, les avions, la pénicilline, le vaccin contre la polio, l’énergie nucléaire, l’Internet et les téléphones cellulaires. Et pourtant si les moteurs d’automobiles modernes sont contrôlés par ordinateurs, leur rendement n’est encore en moyenne que d’environ 18 %. Plus de 80 % de l’énergie totale contenue dans l’essence est perdue sous forme de chaleur dans les gaz d’échappement du moteur et à travers les parois des cylindres, et consommée en friction et travail pour faire fonctionner l’équipement de bord. A vitesse lente, ce rendement est encore plus faible, car un travail utile moindre est développé. Le rendement d’un moteur à combustion interne, essence ou diesel, peut être considérablement amélioré par l’injection d’une très faible quantité d’un mélange d’hydrogène et de l’oxygène gazeux dans l’admission d’air du moteur. [1] Aux Philippines, 1969 fut aussi l’année où un inventeur philippin affirme avoir commencé le bricolage d’un concept révolutionnaire pour l’industrie automobile. Son idée était d’utiliser de l’hydrogène issu de l’eau ordinaire pour alimenter les voitures. Et, 30 ans plus tard, l’inventeur Daniel Dingel conduisant la seule voiture alimentée à l’eau au monde, se plaint toujours que les fonctionnaires et les scientifiques du gouvernement philippin refusent d’appuyer son invention [2]. Stanley MEYER est l’inventeur le plus connu dans le domaine : « Super-efficient Electrolysis » (littéralement : électrolyse super-efficace), et son travail aura inspiré beaucoup d’autres. Son concept d’origine de l’électrolyse était capable de produire bien plus de d’hydrogène gazeux que l’aurait permis la loi de Faraday sur l’électrolyse et la loi de la conservation de l’énergie. Avec cela il l’a porté à un niveau bien plus élevé, encore incompris qu’il appela « Thermal Explosive Energy ». On peut dire qu’il aura été au moins 50 ans en avance en son temps. La preuve est que son concept d’électrolyse puise dans une tout autre source d’énergie – encore méconnue en physique classique – qui doit être d’une autre dimension, en dehors de la nôtre Et elle doit être non calorifique car la « cellule » de Stanley Meyer ne produit pas de chaleur pendant l’électrolyse [3].

Vers la source d’énergie du futur

L’énergie du soleil – énergie de l’atome

Nous consommons de l’énergie sous des dizaines de formes. Pourtant, la quasi-totalité de l’énergie que nous utilisons provient de la « puissance » de l’atome. Les réactions nucléaires dynamisent les étoiles, dont notre soleil. L’énergie que nous recueillons pour une utilisation quelconque provient en grande partie du soleil ou de forces nucléaires dans le noyau terrestre. L’énergie du soleil réchauffe la surface de la planète, alimentant les transferts de chaleur et de pression titanesques des phénomènes météorologiques et des courants océaniques. Les courants d’air résultant font fonctionner les éoliennes. L’énergie solaire fait aussi évaporer de l’eau qui tombe sous forme de pluie et s’accumule derrière les barrages, où son mouvement est utilisé pour produire de l’électricité par l’énergie hydraulique. La plupart des gens utilisent néanmoins l’énergie solaire sous sa forme secondaire : les combustibles fossiles. Lorsque les rayons du soleil frappe une plante, une partie de l’énergie est piégée par photosynthèse et est stockée dans des liaisons chimiques quand la plante pousse. Nous pouvons récupérer cette énergie des mois ou des années plus tard par la combustion du bois, qui brise les liaisons et libère de l’énergie sous forme de chaleur et de lumière. Plus souvent, cependant, nous utilisons l’énergie stockée sous des formes plus denses qui résultent de la transformation de la matière organique, après des millions d’années d’activité géologique et chimique souterraines, en combustibles fossiles comme le charbon, le pétrole ou le gaz naturel. De quelques manières que ce soit, nous récupérons de l’énergie de la lumière du soleil [4].

Effet Casimir – efficacité énergétique de quelques combustibles

L’effet Casimir se réfère à une infime force d’attraction entre deux plaques non chargées dans un vide poussé. Cette force de Casimir n’est détectable que quand les plaques sont extrêmement rapprochées (de quelques diamètres atomiques). La force en question a été prédite en 1948 par Hendrik Casimir, un physicien néerlandais. Elle a de nouveau été vérifiée expérimentalement en 1958 par Marcus Spaarnay chez Philips à Eindhoven quand il étudiait les propriétés des solutions colloïdales. La cause reconnue de l’effet Casimir est la fluctuation dans le vide quantique (fluctuation au point zéro) du champ électromagnétique entre les plaques. La force d’attraction se produit car, comme indiqué par la théorie quantique, même ce l’on appelle « le vide » contient une multitude de particules et antiparticules électromagnétiques virtuelles dans un état continu de fluctuation. Ceci est connu comme étant l’énergie du vide. Etant donné que l’écart entre les plaques contraint les longueurs d’onde possibles des paires de particules virtuelles, il y en a moins au sein de l’espace entre les plaques par rapport à l’espace qui leur est extérieur. Cela signifie que la densité d’énergie entre les plaques est inférieure à celle dans l’espace environnant, créant ainsi une pression négative qui, très légèrement tire les plaques l’un vers l’autre. L’hélium 4 liquide ଶܪ ݁ସ est un très bon exemple de manifestation de cette énergie : sous la pression atmosphérique, même à la température zéro absolu ; il ne gèle pas au point de se solidifier et reste liquide. C’est que son énergie du point zéro est assez grande pour lui permettre de rester sous forme liquide même s’il est de coutume de croire qu’au zéro absolu, la matière est figée. L’hydrogène est l’élément le plus léger et le plus abondant dans l’univers (combiné à l’oxygène dans l’eau et au carbone dans les hydrocarbures). C’est la forme d’atome la plus simple (1 électron, 1 proton). L’hydrogène présente la plus haute densité énergétique par kilogramme comparé à d’autres combustibles, en particulier le gaz naturel.

Propriétés de l’eau 

L’eau est composée d’oxygène et d’hydrogène. Elle possède des propriétés extraordinaires qui ont permis en particulier le développement de la vie sur terre. C’est l’un des rares éléments chimiques pouvant exister, dans des régions relativement tempérées, sous trois états : solide, liquide, gazeux. Ces propriétés extraordinaires sont dues pour la plupart à l’existence d’une liaison particulière, la liaison hydrogène, entre les molécules d’eau.

Les atomes sont constitués d’un noyau central, lui-même constitué de neutrons et de protons et d’électrons qui gravitent autour du noyau. Un neutron est électriquement neutre alors qu’un proton est chargé positivement et qu’un électron est chargé négativement sa charge est l’opposé de celle du proton. Un atome est électriquement neutre, ce qui implique qu’il contient forcément autant d’électrons que de protons. L’atome d’oxygène contient 8 protons, et donc aussi 8 électrons. L’atome d’hydrogène quant à lui contient 1 électron. Les électrons de l’atome se répartissent en couches autour du noyau, la couche K, la plus proche du noyau, pouvant contenir au maximum 2 électrons, la couche suivante L pouvant contenir au maximum 8 électrons, la couche suivante M pouvant en contenir au maximum 18. Dans ce modèle de répartition des électrons, on ne peut passer à la couche suivante que si la couche a été remplie. La structure électronique d’un atome indique le nombre d’électrons sur chaque couche.

HHO, la nouvelle forme gazeuse de l’eau avec une structure magnéculaire 

Les études sur la séparation électrolytique de l’eau en hydrogène et oxygène remontent au 19ème siècle, (pour plus d’informations sur la molécule d’eau, voir par exemple la référence [12] et pour sa séparation par méthode électrolytique, voir par exemple la référence [13]). Plus récemment, des recherches considérables ont été sur la séparation de l’eau en un mélange d’hydrogène et d’oxygène gazeux. Ces études ont été initiées par Yull Brown en 1977 avec un équipement généralement appelé « électrolyseur » et le gaz produit est connu sous le nom de « gaz de Brown». Conformément à ces brevets, ainsi que les vastes littératures ultérieures sur le domaine, le gaz Brown est défini comme étant un gaz combustible composé de gaz hydrogène et oxygène classiques ayant un rapport stœchiométrique exact de 2/3 (ou 66,66 % en volume) d’hydrogène et 1/3 (ou 33,33 % en volume) d’oxygène.

Dans cette section, l’auteur (un physicien) Ruggero Maria Santilli présente à la communauté de chimie pour sa vérification libre – différentes mesures sur un mélange apparemment nouveau d’hydrogène et d’oxygène dénommé ici « gaz HHO» développé par Hydrogen Technology Applications, Inc., de Clearwater en Floride. Le nouveau gaz HHO est régulièrement produit par un nouveau type d’électrolyseur et se trouve être nettement différent, en composition chimique, du gaz de Brown même si les deux gaz présentent certains traits communs. Le principal objectif de cette section est de rendre compte, apparemment pour la première fois, de nouveaux amas (clusters) d’hydrogène et d’oxygène contenus dans le gaz HHO, semblant échapper à l’interprétation traditionnelle de la valence et constituant l’un des nouveautés du gaz HHO par rapport au gaz de Brown. Un autre objectif de cette section est d’initier des études quantitatives sur les caractéristiques assez uniques du gaz HHO qui ne semblent pas se représenter en chimie quantique conventionnelle des gaz hydrogène et oxygène. Encore un autre objectif de cette section est de présenter une hypothèse de travail pour initier la compréhension de l’aptitude des électrolyseurs HHO à effectuer le passage de l’eau de l’état liquide à l’état gazeux par l’intermédiaire d’un processus structurellement différent de celui de l’évaporation ou de la séparation (électrolyse classique). Cela est dû à l’utilisation d’une énergie spectaculairement inférieure à celle requise par ladite séparation ou évaporation. L’objectif final de cette section est la présentation, apparemment encore pour la première fois, d’une nouvelle forme de la molécule d’eau créée par l’élimination de sa polarisation électrique naturelle, et le ploiement consécutif des deux dimères HO de leur configuration classique (avec 105 °) à une nouvelle configuration dans laquelle les deux dimères sont rabattus l’un contre l’autre sous l’action de polarisations magnétiques fortement attractives et opposées . Du fait de la perte de polarisation électrique, celle de polymérisation et d’autres facteurs ; la nouvelle forme de la molécule d’eau énoncée plus haut permet une représentation plausible de la création du gaz HHO à partir de l’eau à son état liquide sans l’énergie de l’évaporation. Le caractère instable du gaz permet également une interprétation plausible de toutes les propriétés anormales du gaz HHO durant les mesures expérimentales [14].

Le rapport de stage ou le pfe est un document d’analyse, de synthèse et d’évaluation de votre apprentissage, c’est pour cela chatpfe.com propose le téléchargement des modèles complet de projet de fin d’étude, rapport de stage, mémoire, pfe, thèse, pour connaître la méthodologie à avoir et savoir comment construire les parties d’un projet de fin d’étude.

Table des matières

INTRODUCTION
Chapitre 1. Vers la source d’énergie du futur
1.1 L’énergie du soleil – énergie de l’atome
1.2 Effet Casimir – efficacité énergétique de quelques combustibles
1.3 Propriétés de l’eau
1.4 HHO, la nouvelle forme gazeuse de l’eau avec une structure magnéculaire
1.4. 1 Introduction
1.4. 2 Mesures expérimentales sur le nouveau gaz HHO
1.4. 3 Interprétation magnéculaire des mesures
1.4. 4 La nouvelle forme gazeuse et combustible de l’eau
1.5 Conclusion
Chapitre 2. Procédé de Stanley Meyer
2. 1 La dissociation de la molécule d’eau
2. 1.1 Phénomène de polarisation
2. 1.2 L’élongation de la molécule d’eau
2. 1.3Libération de l’atome
2. 2 Principe de fonctionnement du circuit d’intensification de tension (VIC)
2.2.1« Pure Voltage Potential » (le potentiel d’une tension pure) d’après Peter Lindemann
a.La tension aux bornes de LC
b.L’énergie potentielle
c.La tension effectue un travail (Voltage performs work)
d.Explication proprement dite
2.2.2 Explication de NAOHIRO SHIMIZU
Chapitre 3. Conception d’une variante d’un circuit en amont du circuit VIC
3.2 3 Circuit de commande du primaire du transformateur
3.4 Conclusion
CONCLUSION
Annexe 1. Calcul sur la conception du circuit
Annexe 2. Electromagnétisme dans les milieux diélectriques d’après Olivier GRANIER
Références

Lire le rapport complet

Télécharger aussi :

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *