L’éducation par les arts du cirque

EDUQUER ET VIVRE 

Vivre ou ne pas vivre à l’école

Vies invisibles 

Amélie
Elle arrive toute petite penchée, son regard bleu semble voilé derrière ses trop grandes lunettes de mode ancienne. Sa voix pourrait brailler, railler si elle n’était pas toujours rayée. Elle aime faire le clown avec ses amies. Mais au lycée c’est pas facile. Elle est harcelée. On la traite d’handicapée. Cela sort directement de ces bouches d’adolescents, sans prévenir. Mais elle le sait elle en a pris l’habitude. Tout cela parce qu’elle vient d’une section SEGPA . Mais elle ne va pas bien et ne dit rien. Chaque jour est un jour gagné sur la vie. Ses amies la reconnaissent « gentille ». Ne rien dire à personne de ce qu’elle vit. Maman ne va pas bien. Maman a une maladie. Et depuis que maman ne l’a plus reconnue, depuis qu’elle ne dort plus la nuit mais erre dans l’appartement, Amélie ne dort plus non plus. Elle lui parle, la rassure. Non, ce n’est pas le moment de dire des bêtises ni d’en faire. Maman doit continuer à vivre même si sa vie est un enfer et pour Amélie c’est pareil. Elle n’a plus envie de travailler. Ses résultats ont chuté du jour de retour de sa mère de l’hôpital. Elle a tellement changé. Sa vie a basculé. La maladie de maman la détruit et détruit toutes ses relations y compris avec ses enfants. Amélie ne pense qu’à elle toute la journée… La reverra-t-elle le soir ? Elle vit dans un brouillard. Les paroles des profs : du charabia ! Quel sens ça a tout ça ? Les profs sont débordés, la classe est plus qu’agitée « invivable ». Ne pas avoir le choix : rester. Et en payer le prix. Peu ou prou la force de résister est là. Dans certains cas elle monte au créneau et elle aussi insulte parce qu’elle en a marre et puis se recroqueville. Vivement ce soir ! Se brancher sur Internet avec un amoureux virtuel à des milliers de kilomètres. Lui, lui dit qu’elle est belle. Elle oublie les insultes de la vie de classe et les humiliations de certains profs plus abrupts que d’autres.

Lilli
Elle est robuste, costaud et en a démoli plus d’un ! Ses yeux noisettes sont perçants et son visage rapide à expulser la colère. Elle a une jolie bouille d’enfant cachée sous des serments violents. Mais touchée au cœur, elle pleurniche elle aussi. C’est Lili. Elle ne supporte pas la classe non plus. «Ils gueulent ». C’est impossible de travailler. Elle n’est pas harcelée. Elle est arrivée cette année. Elle découvre le fonctionnement d’un lycée. Elle ne sait pas ce que c’est. N’a connu que le foyer dès l’âge de 8 ans. Elevée dans la rue. Ne connaît que la loi de la rue. Un jour elle a été agressée, à l’âge de 6 ans. Depuis elle se défend. En jouant, elle fracture facilement ses amis. Elle les avait prévenus. Tant pis ! Un des logements sociaux dans lequel elle a habité, un jour a pris feu. Un locataire avait eu l’envie de brûler son canapé. En pleine nuit elle a touché la poignée de sa porte, elle fut brûlée. Pourtant elle était petite. Mais son cœur et son corps sont encore en feu. Elle ne supporte aucune ombre de regard malveillant. Elle explose. Elle implose même dès qu’elle soupçonne une personne d’être « gentille ». Pourquoi et comment ce sentiment ? Elle le renie. Renie ce que la vie lui donne. Avec sa mère c’est pas facile non plus. Mais elle ne dit rien. Elle supporte pas « qu’on la traite ». C’est tout. Elle est de l’autre côté, celui affirmé des harceleurs, insulteurs. Sa vie rêvée ? Etre avec les chevaux. Là elle est l’enfant prodigue estimée de tous. La vie lui a offert ça en cadeau grâce à un de ses foyers. Mais les rêves ne se réalisent pas. En tout cas pas maintenant. Sa guerre quotidienne avec elle-même continue chaque jour au moindre soupçon d’irrespect. Sa violence déferle. Amélie peut trembler.

Aude
Grande, légèrement repliée et le regard soucieux, elle avance sensiblement. Parfois aussi elle respire mal. Elle a mal. Elle a mal pour eux, tout ceux qui ont du quitter l’école et qu’elle ne reverra jamais. Elle étouffe et le vit mal. Depuis la 5ème, depuis la SEGPA, elle est reléguée. Ce n’est pas un sentiment, c’est une réalité. Une souffrance du quotidien. C’est ce qu’elle sent, voit et croit. Elle a du les quitter. Et s’est quittée. Et puis cette fois encore après la SEGPA, c’est le CAPA qu’on choisit pas ! Elle rêvait de « faire fleuriste »…mais elle peut pas, elle a pas pu. Ses résultats ne suffisaient pas ! Tous les jours elle vit dans la classe ce minutieux travail, ce laborieux appareil de sape qui va faire qu’un autre encore va partir, exclu et déclassé à son tour. Au fond d’elle l’école désintègre. Alors, elle voudrait, sortir de son chapeau de magicien, la phrase, la solution qui fait du bien. Mais elle n’y peut rien ! Alors elle attend le départ suivant toute angoisse devant. C’est vrai aussi, ça fait du bien, on peut enfin entendre le prof parler, calmé ! et oublier les exclus de cette année…Mais y sont pas méchants ceux qui sont partis…Avaient juste plus mal à la vie ! Alors, elle rêve de ce projet, du cirque à la télé ! Et si c’était possible, une école à vivre ensemble ? On dirait qu’il ferait beau et qu’on travaillerait sans se fâcher, en vacances de tant de maux…et ce serait beau !

Jade
Grande aussi et blonde, joliment bâtie, son visage offre des sourires fleuris. Charmante, elle avance, son corps a de l’assurance. A l’école ça marche. Pas de souci. Elle a le projet de créer son entreprise, mi-production mi-fleuriste. Elle connaît pas le but de ce projet-ci. Mais du cirque, elle en a fait un peu quand elle était petite. Grâce à lui, elle s’était fait des copains et copines. Elle se souvient aussi qu’on se sent bien. L’ambiance aussi est bien. Et c’est quand même un réconfort. Elle pourra aussi partir en Angleterre. Déjà, elle aide Lili qui s’inquiète et lui dit. Elle est là et l’aide. Un appui. Ses parents sont encourageants. Ca pourrait lui donner des idées en tête et des bons souvenirs aussi ! A Jade, gentiment la vie réussit.

Clémentine
Fine, brune et active, Clémentine a le corps qui danse et s’élance de branche en branche. Elle aussi est un peu voûtée, mais ce n’est que d’offrir son cœur et ses bras aux amis perdus dans la nuit. A sa famille aussi. Famille recomposée, un bébé-fille de nouveau à venir qu’elle aimera et dont elle s’occupera. Juste un peu moins d’espace pour soi ! Elle en est là. En classe c’est pareil, sa conscience de l’autre est perceptible. Elle sait les heurts et a du mal avec les départs aussi. Mais elle accepte. Ainsi est la vie. Cependant ses résultats ont chuté ! elle n’a pas eu le choix, pour elle pas d’option fleurs non plus ! sa sensibilité grande n’a pas été respectée. Elle s’est sentie désabusée. Mais a fini par accepter. Peut-être qu’elle va pas redoubler ? Aussi elle voudrait bien faire du trapèze comme à la télé et s’envoler ! Enfin être plus léger, regarder de haut, c’est beau ! C’est ça qu’elle aimerait pour cette fin d’année ! C’est ça qu’elle veut vivre ! S’envoler, décoller de la réalité, faire ce qui lui plait et y être encouragée ! Sa présence assurée, fluide et profonde ne fait soupçon d’aucune colère ni frustration. Un rêve lui vient et c’est certain …elle a envie d’en profiter, de l’embrasser ! Clémentine est ainsi disponible, confiante et aimant les gens silencieusement. Sans peur et sans appréhension, le cœur bien arrimé, elle est prête à s’envoler ! La vie est un destin qu’on accepte sagement. Et si on s’envolait pour changer de destinée ? En émerveillant la vie de son enfant enfoui !

L’école de la « non-vie » 

Daniel Pennac dans son « Chagrin d’école » raconte la honte et le besoin de vivre chevillé au corps à l’esprit, l’incorporation de la démission…et après ?

Pire encore pas d’avenir c’est l’école qui le dit : le passage ou le redoublement seront déterminants, comme un destin de vie ! Et la revanche manipuler, être du bon côté solidaire en apparence mais terrible solitude, sans sollicitude ! Rien à déclarer à part un passé qui aura tout décidé ! Comment s’en relever ? La honte la terrible honte qui paralyse, qui entête. Alors on ment. A Mandoline un jour une personne de l’administration a demandé de choisir entre sa mère et le lycée ! Quelle sinistre question ! Comment imaginer pire détermination ! C’est le lycée qui l’a fait ! Un humain digne de ce nom n’aurait pas mieux fait ! A une hauteur intérieur sublime elle s’est installée ! Ne leur a plus rien dévoilé. Ni le téléphone portable erroné, ni l’adresse dépassée, ni, ni, ni, …ni une mère en incroyable danger ! Jeune en difficulté ! L’anathème est lancé, la caricature à la figure ! Celle qui fait perdre la face…pire le face à face avec la réalité, car y’a pu alors qu’à s’enterrer ne pas parler, ne pas remuer…mais garder cet irrépréhensible besoin de vivre en même temps ! Parce que vivre, ça on peut pas le revendiquer ! On va se contenter de survivre, sans trop de heurts ou avec plein de bruits ! Qu’est-ce qu’on s’en fiche ! Mandoline aura choisi l’humour, la rigolade. En classe pourra pas s’en empêcher ! Sera toutes les heures quasi mise à la porte pour prendre l’air ! Quelle intelligence gâchée ? Non, l’intelligence est vive plus que jamais ! l’intelligence du vivre quand la porte reste résolument fermée et qu’on a pas trouvé comment passer ! Vivre sans permis de vivre ! Mais vivre en résistance, en endurance, par méfaits. Survivre de fait. Mais sans présent, sans avenir est-ce vivre ? Ce qu’il faudrait c’est une bonne fois pour toute revivre et puis vivre une vie simple et vraie. Marchande de fleurs pour les jolis cœurs pour embaumer la vie. Elle est très intelligente ! Si travailleuse mais personne ne le sait ! L’école c’est pas la vie, juste un pas tous les jours à côté. C’est le bulletin qui en a décidé ! Pas elle ni ses possibilités. Alors l’occasion, l’opportunité passent encore à côté…la non-vie se reproduit. Avec les êtres avec les vies…Daniel Pennac utilisait les dessins, le mensonge, l’humour pour pas plonger…Mandoline aussi ne manque pas d’humour et ça se sait ! L’école manquerait d’humour, de fraternité et d’humanité ?

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Table des matières

INTRODUCTION
PARTIE 1 : L’EDUCATION PAR LES ARTS DU CIRQUE
CHAPITRE 1 : EDUQUER ET VIVRE
1.1.1 Vivre ou ne pas vivre à l’école
1.1.1.1 Vies invisibles
Amélie, Lili, Titus, Aude, Eric, Dimitri, Gaétan, Mandoline, Clémentine, Jade et Maurice
1.1.1.2 L’école de la « non-vie »
1.1.1.2.1 Double disqualification
1.1.1.2.2 Sentiments de « non-vie »
1.1.1.2.3 Le corps de « non-vie »
1.1.2 Du nécessaire du « vivre » dans l’éducation
1.1.2.1 Une éthique du vivre pour éduquer
1.1.2.2 De l’autonomie
1.1.2.3 La part du sensible
1.1.2.4 De la nécessité d’instaurer le sujet de la création de soi
1.1.3 L’art et son éducation comme « vivre »
1.1.3.1 L’art de la relation au vivre
1.1.3.1.1 « L’effet de vivre » de la pratique
1.1.3.1.2 De la relation affective en art
1.1.3.2 L’éducation artistique et le vivre
1.1.3.2.1 Des enjeux d’une définition de l’éducation artistique
1.1.3.2.2 De la pratique de l’éducation artistique
1.1.3.2.3 Retour au sens de l’homme
1.1.3.3 L’activité artistique et le vivre
1.1.3.4 Du corps et du désir de vivre
1.1.3.4.1 Eduquer par désir
1.1.3.4.2 Désir de relation
1.1.3.5 L’apprentissage du vivre
1.1.3.5.1 Sentir dans le vivre
1.1.3.5.2 Ressentir l’autre
1.1.3.5.3 De la présence au monde
1.1.3.6 Du risque de vivre
CHAPITRE 2 : LES ARTS DU CIRQUE ET LE VIVRE
1.2.1 L’est/éthique du risque de vivre
1.2.1.1 Du lieu et de la médiance
1.2.1.2 Histoire de formes et constances
1.2.1.3 Le cirque, théâtre des arts
1.2.1.4 Lieu de transmission
1.2.1.5 La mise en scène du vivre
1.2.1.6 Cirque, en vivre ou pas ?
1.2.2 L’ex/pression du risque de vivre
1.2.2.1 L’artiste intermittent de risque à plein temps
1.2.2.2 Les figures
1.2.2.3 Le clown, le jongleur et l’acrobate
1.2.2.4 Espace à vivre
1.2.2.5 Le don du corps circassien
1.2.2.6 Altérité, sexe et genre
1.2.2.7 Les publics d’en vivre
1.2.3 Eduquer par le risque de vivre
1.2.3.1 La pratique de cirque dans un monde qui se radicalise
1.2.3.2 Espace politique de création de soi et du monde
1.2.3.3 La natalité en écho à la mortalité
1.2.3.4 Expérience de création du sujet autonome
1.2.3.5 Espace de remise au monde
1.2.3.6 Une rencontre hors les murs
1.2.3.7 Agir, juger, penser
1.2.3.8 Sens, but et fins
CHAPITRE 3 : DE SE VIVRE A S’EDUQUER
1.3.1 Les activités de cirque
1.3.1.1 Activités à risque
1.3.1.2 L’auteur du risque
1.3.1.3 Activités émotionnelles
1.3.2 Apprentissage du cirque
1.3.2.1 L’apprentissage du circassien
1.3.2.2 L’apprentissage en école de cirque de loisirs
1.3.2.3 Impact affectif de l’apprentissage
1.3.2.4 Sens de l’apprentissage
Conclusion
PARTIE 2 : UNE PRATIQUE D’ART DU VIVRE
CHAPITRE 1 : APPRENTISSAGE ACROBATIQUE D’UNE POSTURE
ETHIQUE
2.1.1 Cherche posture en animation-recherche interculturelle
2.1.1.1 Un métier « de nature » transformateur
2.1.1.1.1 Petite histoire, grandes valeurs
2.1.1.1.2 Un référentiels de projets
2.1.1.2 Animatrice et chercheuse : posture acrobatique à risque
2.1.1.2.1 Territoire d’animation et de recherche
2.1.1.2.2 Projets de cirque, action et recherche
2.1.1.2.3 Clôture du projet Interreg et fin d’une posture
2.1.1.3 Temps de l’Action : à la recherche du sens perdu de l’éducation
2.1.2 Posture retrouvée de recherche en Art et (Sciences) de
l’éducation
2.1.2.1 Chercheuse en cirque et éducation : sur la piste du sens
2.1.2.1.1 Eduquer : comment, pourquoi ?
2.1.2.1.2 Du corps du risque
2.1.2.1.3 S’emparer du risque pour vivre
2.1.2.1.4 Communauté de posture ?
2.1.2.1.5 Une pratique artistique pour vivre
2.1.2.2 Ce que les jeunes en disent
2.1.2.2.1 Un mal-vivre
2.1.2.2.2 La souffrance de la vie à l’école
2.1.2.2.3 L’effet vitalisant de la pratique de cirque
2.1.2.2.4 Le changement sensible
2.1.2.3 Temps de la Recherche : le sens retrouvé de l’ Art et des (Sciences) de
l’Education
2.1.2.3.1 Une recherche en Sciences de l’Education
2.1.2.3.2 Une recherche en Arts
2.1.2.3.3 De la réflexivité en tout et pour tout
2.1.2.3.4 L’éducation, un art du funambule ?
2.1.3 Recherche-Action en intervention de cirque : L’art et la
manière du vivre
2.1.3.1 Gratuité et empathie de l’éducateur-chercheur intervenant engagé
2.1.3.2 Anthropologie du funambule : écriture sensible du vivre et se vivre
2.1.3.2.1 Théorisation ancrée et ethnographie combinatoire
2.1.3.2.2 De la rencontre anthropologique
2.1.3.2.3 Vers une anthropologie du funambule
2.1.3.2.4 Du sensible de vivre avant tout
2.1.3.2.5 L’écriture sensible
2.1.3.3 Temps de la Recherche-Action en art : une éducation par la recherche ?
2.1.3.3.1 De l’ethnographie en recherche-action
2.1.3.3.2 Une recherche-action en intervention artistique
2.1.3.3.3 Une dominante existentielle
2.1.3.3.4 Une recherche-action comme éducation
CHAPITRE 2 : FAIRE VIVRE LE MATERIAU DE TERRAIN
2.2.1 Journal de terrain, observations et entretiens
2.2.1.1 Journal sensible
2.2.1.2 Observations et participations
2.2.1.3 Entretiens sur fil tendu
2.2.2 Analyse en trois étapes
2.2.2.1 La vie des entretiens
2.2.2.2 Analyse de contenu détaillée
2.2.2.3 Analyse comparée avant/après et intégration des observations
2.2.2.4 Analyse comparée des jeunes : montée en concepts
2.2.3 Analyse et influence des contextes de la dynamique
2.2.3.1 Vivre en Lycée agricole en désarroi
2.2.3.2 Revivre en Ecole de cirque
2.2.3.3 Projet Interreg III, entre distance critique et projet concret : faire vivre
2.2.3.4 Le sens commence à vivre
CHAPITRE 3 : LA PISTE AUX CONCEPTS
2.3.1 Le déroulement des épreuves
2.3.1.1 Quitter l’école
2.3.1.2 Souffrance physique, psychique, affective
2.3.1.3 Nécessaire dépassement de soi dans le déséquilibre
2.3.1.4 Plaisir jouissance de la réussite
2.3.1.5 Re-connaissance de soi et des autres
2.3.1.6 Mise en commun dans le processus de création collective
2.3.1.7 Lâcher-prise devant le public ou assumer un rôle
2.3.1.8 Fierté individuelle et collective
2.3.1.9 Bien-être du vivre retrouvé, relatif à soi, aux autres et au monde
2.3.2 La preuve par trois
2.3.2.1 Trois étapes
2.3.2.2 Trois épreuves
2.3.2.3 Trois stratégies
2.3.2.3.1 Les « Transformeurs »
2.3.2.3.2 Les « Mal-fêteurs »
2.3.2.3.3 Les Clowns
2.3.2.4 Configuration de concepts à vivre
2.3.2.4.1 La survivance
2.3.2.4.2 La revivance
2.3.2.4.3 La convivance
2.3.3 A chacun suivant ses preuves
2.3.3.1 Un processus éducatif du vivre
2.3.3.2 Plantons le décor sous chapiteau !
2.3.3.3 Les « transformeurs »
2.3.3.4 les « mal-fêteurs »
2.3.3.5 Les clowns
2.3.3.6 Portraits sensibles des jeunes
Amélie, Lili, Titus, Aude, Eric, Dimitri, Gaétan, Mandoline, Clémentine, Jade et Maurice
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE

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