L’EDUCATION DANS LA PENSEE ECONOMIQUE

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LES THEORIES DU CAPITAL HUMAIN

La théorie du capital humain se fonde sur l’hypothèse que les individus, ou les gouvernements qui agissent en leur nom, dépensent de l’argent en matière d’éducation et de santé et dans d’autres services d’intérêt généralvant tout pour élever leur revenu et leur productivité. Le complément de production et de revenu qui en résulte par la suite peut être considérée comme le rendement de l’investissement ffectué.

La rentabilité de l’éducation

D’abord, si l’on admet l’analogie de l’éducation avec d’autres investissements productifs, il s’ensuit obligatoirement qu’elle rap porte. C’est en particulier à partir de l’œuvre de Théodore Schultz et Gary Becker que nous allonsdéterminer la rentabilité de l’éducation.

Par ses avantages directs et indirects

La contribution de l’éducation au bien-être économique et humain peut se mesurer de deux façons : d’après ses avantages directs et d’ap rès ses avantages indirects. Les avantages indirects sont analogues à ces « économies externes » dont parlait Marshall et Pigou. Ainsi, poursuivant le raisonnement développé par Marshall,les économistes de Chicago font remarquer qu’en principe le rapport direct de l’éducation peut se mesurer en évaluant les revenus de l’individu. En général, un homme gagne davantage s’il est plus qualifié et, par conséquent, en comparant le salaire des gens avec les différents niveaux d’éducation. Nous allons étudier cette situation selon les trois points suivants :
• En premier lieu, compte tenu du niveau d’éducation défini par le nombre d’années scolaires ou par le dernier échelon atteint, les rémunérations augmentent jusqu’à niveau maximal, auquel on parvient aux alentours de 40 ans ou davantage et qui plafonne ou décline ensuite.
• En second lieu, pour ceux qui ont bénéficié d’une lusp longue durée d’études, la courbe est plus élevée et plus énoncée dans sa phase ascendante. Les gens qui ont davantage d’études entrent un peu plus tard dans la vie active, mais ils commencent généralement à un niveau de rémunération supérieuràcelui qu’obtiennent ceux qui, ayant fait moins d’études, travaillent déjà.
• Troisièmement, la prolongation de la période d’éducation retarde l’obtention d’une rémunération maximale et l’élévation des versementsde retraite.

Par la production

Ensuite, on peut mesurer la rentabilité de l’éducation à partir de la production. Cela exige un calcul des coûts annuels de l’éducation de différents types, puis un calcul du rapport direct et indirect de l’investissement. Ce calcul montrerait l’effet sur la production nationale d’un accroissement donné de l’éducation. Schultz a adopté une méthode qui consistait à calculer ce coût en additionnant ensemble les revenus abandonnés par les étudiants et les ressources utilisées pour procurer une éducation enrègle.

Par la méthode du taux interne de rendement

On peut aussi la mesurer par la méthode du taux interne de rendement. Pour analyser ce concept, diverses méthodes ont été faites. Parmicela se trouve la méthode de Becker, qui consiste à mettre l’expérience en premier rang dans les processus d’accumulation du capital humain, la formation scolaire n’est évoquée qu’en second lieu.
En fait, son propos est d’analyser le processus d’a ccumulation, qu’il appelle « apprentissage sur le tas ». Cela se déroule pendant la période initiale de la vie active durant laquelle l’individu se familiarise avec son emploi et l’entreprise. De plus, son ambition est de déterminer qui paie ce type de formation, tout en justifiant la concavité des profils de rémunération pendant la vie active. L’issus de sesrecherches l’a amené à distinguer deux cas : soit l’expérience acquise est dite spécifique, et lle ne peut être dispensée puis valorisée que dans l’entreprise où travaille l’individu, soit l’e xpérience est dite générale et l’individu pourra utiliser son savoir-faire dans n’importe quelle entreprise.

Le coût

Comme tout capital, l’éducation comporte un coût c’est-à-dire les frais pris en charge par les foyers familiaux. Les frais sont de deux types1, les frais directs et les frais indirects.
-les premiers concernent les frais d’inscription, les écolages, les droits d’inscription. Il importe de connaître que, même « gratuite » c’està-dire sans droit d’inscription, la scolarité entraîne des coûts. Il faut toujours payer, notamment des livres, les vêtements et les transports.
-les seconds sont aussi si importants qui sont imputables à la poursuite des études, lesquelles prennent la forme des rémunérations sacrifiées des élèves.
Ainsi, Schultz a adopté une méthode qui consistait à calculer ce coût en additionnant ensemble les revenus abandonnés par les étudiants te les ressources utilisées pour procurer une éducation en règle.
Une analyse minutieuse des coûts par élèves ayantsuivi les cours jusqu’au bout montrerait que le coût pour produire un diplômé (exemple en Afrique orientale) est extrêmement très élevé, car, pour obtenir un diplômé, il faut instruire un grand nombre de personnes qui abandonneront en cours de route.
Ensuite, l’analyse des courants de personne dans l’ éducation dicte fréquemment d’une façon presque technique le nombre de places à prévo ir dans l’éducation aux différents niveaux. En éducation, il y a ce qu’on appelle une « fonction de production » ; elle est connue généralement sous le nom de «pyramide de l’éducation »2. Si chaque niveau n’est pas suffisamment large pour supporter le suivant, il ne sera pas techniquement efficace. Par exemple, il se peut que, pour produire un diplômé, il faille cent élèves du primaire et vingt-cinq du secondaire ; dans ce cas, l’expérience a montré, en effet, que seulement un sur quatre des élèves du primaire passe dans l’enseignement secondaire, et que un sur vingt-cinq des élèves du secondaire passe éventuellement ses examens. Inversement, si un diplômé sur trois enseigne, et s’il faut un diplômé pour cinquante élèves d’établissement secondaire, il sera évidemment nécessaire d’établir une relation entrela production de l’université et les demandes des écoles en professeurs. Autrement dit, l’éducation est un cas particulier des « prévisions de main d’œuvre » et il est possible d e calculer bien plus minutieusement qu’on ne le fait qu’aujourd’hui les conséquences indirectes de chacun des actes politiques. Cela revient à dire que la décision d’accroître de cent le nombre de place à l’université peut être envisagée en terme de demande dans d’autres secteurs du système d’éducation, et en fonction de son influence sur l’offre de professeurs.

Les caractéristiques spécifiques du capital éducatif

Le capital éducatif possède des caractères spécifiques qui font que l’assimilation ne peut être total. De façon générale, on peut dire ueq la spécificité de ce bien est qu’il est par nature :

Indissociable de l’individu

En fait, cela semble être logique puisqu’on ne peutpas dissocier l’individu qui a fait les études, en terme économique « qui a fait l’accumulation » de ses connaissances qui n’est autre que ses richesses ou son capital. En d’autre terme, l’appropriation de ce capital est totalement privative

Illiquide

Illiquide tout simplement parce que l’individu propriétaire ne peut pas s’en défaire. Il vend les services de son capital sur le marché du travail et non son capital lui-même. C’est-à-dire, que si l’individu vend sa force de travail, il ne vend son capital éducatif mais par ce geste il ne fait que vendre les services de son capital en ayant la capacité d’augmenter sa productivité.
Notons au passage que dans les caractéristiques spécifiques du capital éducatif, il n’y a pas que les caractéristiques « capitalistiques » puisqu’il existe aussi les caractéristiques « non capitalistiques ». En effet, « sa possession, son utilisation ou son acquisition » comme le note Schultz « procurent, sans nulle doute, des satisfactions non monétaires ». On peut citer comme exemples : le prestige la position sociale attachés à la formation, les satisfactions intellectuelles (cultures générales) que procure unniveau d’éducation élevé. De plus, c’est un bien de consommation durable puisque l’individu possesseur de ce bien peut en retirer une utilité sur plusieurs périodes. Exemple, un individu qui peut toujours recourir à ses diplômes à chaque fois qu’il recherche un emploi ou une montée en grade au sein d’une entreprise.

LES EFFETS DE L’ENSEIGNEMENT

Les effets de l’éducation s’intéressent à la performance des personnes formées quand elles ont quitté le milieu éducatif et ses entréesdans leurs vies actives. On peut distinguer d’une part les effets sociaux et les effets économiques, les effets individuels et les effets collectifs d’autre part.

Les effets sociaux

Les effets sociaux peuvent comprendre les dimensions telles que la santé, la vie civique et la population. Les effets sur la santé sont liés au revenu récupéré par l’individu. Selon Vaizey, « il existe une relation réelle entre la possession d’une qualification et la possession d’un revenu »1. Evidemment, il y a une relation entre éducation et revenu. Plus un homme est qualifié, plus il aura un revenu élevé,t epar conséquent, il pourrait satisfaire ses besoins sanitaires en ayant accès à l’achat des médicaments par exemple. On peut en tirer aussi une relation avec l’espérance de vie, le taux de mortalité infantile. Il est évident qu’un individu sain et bien éduqué sera capable d’augmenter sa productivité.
Concernant la liaison éducation société, comme l’affirmé l’idée de Smith et Malthus selon laquelle l’éducation est nécessaire pour assurer « la liberté civile ». Des individus plus éduqués peuvent mieux participer à la vie collectiv organisée et faire des choix politiques mieux informés. Ainsi, cette liberté civile permetde diminuer la corruption.
Enfin par l’éducation, la croissance démographique est mieux contrôlée dans les sociétés plus éduquées (Malthus). Par conséquent,a croissancel économique supérieure à la croissance de la population permet une économie à s’avancer.

les effets économiques

En ce qui concerne l’impact de l’éducation dans la sphère économique, les relations entre l’éducation de la population d’une part, l’emploi et la croissance économique de l’autre, sont évidemment de première importance.

L’éducation et l’emploi

L’éducation est devenu la source principale du personnel qualifié. L’économie exige une gamme de qualifications allant du simple travail manuel au travail scientifique le plus poussé. Les liens entre l’enseignement et l’offre de travailleurs qualifiés sont très étroits. Comme l’observe Johnson, le développement a affectéla pensé économique sur le travailleur et son salaire : « sa connaissance et son aptitude sont à tour de rôle de produit d’un investissement important dans son éducation… »
On peut également remarquer que le système de formation est subordonné au mécanisme productif à la fois théoriquement et pratiquement. Par conséquent, il n’existe pas des tensions que l’on trouve dans les sociétés entr la valeur d’éducation et les valeurs de production. Comme dit De Witt, « afin de satisfaire la demande croissante en main d’œuvre qualifiée et spécialisée, la politique d’éducations’est dirigée de plus en plus, à tous les niveaux d l’enseignement, vers la promotion des types de formation qui insistent sur la connaissance concrète » .
Il faut aussi attribuer cette relation importante directement à la théorie marxiste selon laquelle l’éducation est utilisée comme force d’intégration. Une étude sur les besoins de main d’œuvre en Italie s’est attachée à établir le lien entre les besoins de l’économie de développement (de 1960 à 1975) et le système d’éducation de la main d’œuvre capable de répondre à la demande en quantité et en qualité. Selon cette hypothèse, le produit national aurait presque doublé vers 1975. Dans ces conditions, l’aspect des différents secteurs a changé. On a fait des projections détaillées des changements dans la structure de l’industrie ; elles ont conduit à la conclusion qu’il se produira : « une transformation radicale de la composition de l’emploi de la population active dans toutes les prochaines années ». On peut en tirer donc qu’il y a une relation étroite entre l’éducation et l’emploi.
Nous pouvons dire que l’éducation contribue à la diminution du taux de chômage. Elle permet et favorise les innovations technologiques, l’adaptabilité de la main d’œuvre aux inévitables évolutions liées aux développements économiques. Cette adaptabilité sera meilleure que la politique éducative se préoccuperade prendre en compte les besoins de main-d’œuvre de l’économie pour ajuster le système éducatif de façon cohérente.

L’éducation et la croissance économique

Denison1 est dès le départ celui qui a réfléchi sur le sujet. En fait, il s’est attaché à mesurer la contribution de l’éducation à la croissance des USA. Nous allons proposer une présentation de ses travaux, ensuite une logique dela liaison éducation croissance.
=> La contribution de l’éducation à la croissance
Selon lui, la croissance des facteurs de production traditionnels comme le capital et le travail n’explique pas en totalité le taux de croissance de l’économie. Pour cela, il nous suppose que la fonction de production générale de ’économiel peut être estimée par une relation Cobb-Douglas avec rendements d’échelle constants. En fait, pour soutenir cela, il propose une équation de définition du taux de croissance de l’économie : G= d + (b.n) + (a.q) Où G, d, n et q sont les taux de croissance respectif de la production, du coefficient de dimension de la fonction de la main d’œuvre et du c apital technique. Les calculs effectués par Denison permettent d’évaluer G à 2.93%, q à 0.45%, et n à 1.09%. Le coefficient b, qui correspond à la part des salaires dans le revenu na tional, peut être estimé à 0.73. Il en résulte que la contribution des facteurs « bruts » n’est que de : (b.n)+ (a.q)= 0.73. (1.09%) +0.27. (0.45%)=0.92%
Il subsiste donc un résidu de 2.01%. L’hypothèse de Denison est que l’on peut décomposer ce résidu et plus particulièrement, déterminer la part qui est imputable à l’éducation. Pour cela, il suppose que l’on peut mesurer la croissance de l’éducation à partir de la croissance des salaires. Dans la mesure où, pendant la période considéré, ils ont augmenté en moyenne de 0.94%, et puisque la part des salaires dans le revenu national est de 0.73. Il en conclut que l’éducation contribue pour 0 ,73 . 0,94% soit 0,68% au taux de croissance de l’économie. En fait, ce taux de croissance est de 2,93% ; nous pouvons donc dire qu’environ 23% du taux de croissance est imputable à l’éducation. Et à partir de ce résultat, l’éducation contribue donc et cela de manière non négligeable à la croissance économique.
=>La liaison éducation-croissance
Comme nous l’avons vu précédemment, nous pouvons dire que l’éducation crée un ensemble de facteurs favorables aux processus de croissance. Cela vient des faits suivants :
– Premièrement, l’éducation améliore la productivité des individus, et permet à l’économie de disposer d’une main d’œuvre qualifiée , adaptée à l’innovation des techniques de production utilisées.
– Deuxièmement, la capacité à saisir les opportunités comme les nouvelles techniques constitue une des clés de développement
– Troisièmement, l’éducation engendre un « état d’esprit » favorable, elle rend l’individu à être compétitif et être créatif
– Quatrièmement, l’éducation joue aussi un rôle fondamental du côté de la demande sans laquelle toute croissance économique est illusoire. Un haut niveau d’éducation aboutit sur des revenus plus élevés qui permettront d’alimenter la demande des biens et services ainsi qu’une capacité d’épargne nécessaire pour financerl’investissement.

éducation et inflation

L’effet de l’éducation sur l’inflation est double : soit elle est génératrice des pressions inflationnistes, causées par l’augmentation brusques des dépenses publiques suite au développement du système éducatif. Soit ce développement de l’éducation exercera des effets anti-inflationnistes tout à fait bénéfiques par lacréation des gains de productivité dont nous savons qu’ils sont la meilleure arme contre le dérapage de prix.

éducation et finances publiques

L’éducation pèse nécessairement sur les finances publiques, comme l’affirme Gravot en disant : « face à une demande croissante des fam illes, mais aussi aux besoins croissant de main d’œuvre qualifié, les pouvoirs publics au nive au national comme au niveau local, doivent engager des sommes de plus en plus importantes dans ce domaine ». Toutefois cette hausse de dépenses publique est compensée par une ugmentation quasi-automatique des recettes fiscales. Nous pouvons penser qu’au total les dépenses publiques dans le domaine éducatif sont, au moins à terme, tout à fait rentab les pour les finances publiques.

l’éducation et la relation économique internationale

La théorie du commerce international surtout de la théorie des avantages comparatifs de Ricardo, reprise par Hecksher Ohlin stipule que grâce à un niveau d’éducation plus élevé, un pays comme les Etats-Unis est conduit à se spécialiser dans la production des biens qui nécessitent beaucoup en travail. A la suite de ces travaux, l’école dite « néo-factorielle » va introduire dans l’analyse l’idée de décomposer le acteurf travail en plusieurs catégories de main d’œuvre repérées par leur niveau de qualification. La structure du commerce international est alors déterminée par celle de lamain d’œuvre utilisée dans la production des biens échangés. Quant à la structure de la main d’œ uvre, elle est évidemment liée à celle du système éducatif et à la politique éducative menéedans chaque pays. De ce fait, nous pouvons dire que l’éducation joue un rôle déterminant dans le commerce international. Ce n’est pas un hasard si l’Allemagne, dont la structure d’enseigne ment est très développée en faveur des formations techniques, est un des premiers exportateurs des produits manufacturés.

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Table des matières

Introduction
PARTIE I : APPROCHES THEORIQUES DE L’EDUCATION
CHAPITRE I- L’EDUCATION DANS LA PENSEE ECONOMIQUE
I.1 L’éducation selon certains auteurs
a- Selon Adam Smith
b- Théodore Schultz
c- Timbergen
d- Gary Becker
e- J.S.Mill
f- Alfred Marshall
g- Harbison
CHAPITRE II –LES THEORIES DU CAPITAL HUMAIN
II.1 La rentabilité de l’éducation
a- Par ses avantages directs et indirects
b- Par la production
c- Par la méthode du taux interne de rendement
II.2 Le coût
II-3 Les caractéristiques spécifiques du capital éducatif
a – Indissociable de l’individu
b – Illiquide
CHAPITRE III- LES EFFETS DE L’ENSEIGNEMENT
III-1 Les effets sociaux
II-2 les effets économiques
a – L’éducation et l’emploi
b – L’éducation et la croissance économique
c – éducation et inflation
d – éducation et finances publiques
e – l’éducation et la relation économique internationale
PARTIE II : DIAGNOSTICS DE L’EDUCATION A MADAGASCAR
CHAPITRE I – L’EDUCATION POUR TOUS À MADAGASCAR
I.1- L’éducation dans son sens
I.2- Genèse de l’Education Pour Tous
I.3- Les buts et objectifs de l’EPT
I.4- Les textes officiels relatifs à ces objectifs
CHAPITRE II – SITUATION ACTUELLE DE L’ENSEIGNEMENT A MADAGASCAR
II.1 – Education formelle
a – La population scolaire actuelle
b – Classification selon le type d’école fréquenté: privé et public
c – le niveau d’instruction de la population
d – Le taux de scolarisation
II.2 Education non formelle et alphabétisation
a- L’Alphabétisation
b- L’éducation préscolaire
II.3 La formation technique et professionnelle (FTP)
a- Les objectifs
b- Stratégies
II.4 Evolution dans les dernières années
a) Au niveau de l’effectif
b) Au niveau du résultat à l’examen
CHAPITRE III- LES POLITIQUES ET STRATEGIES EN FAVEUR DE L’EDUCATION
III.1 Généralités
III.2 Education fondamentale à tous les Malgaches
a – En terme d’Amélioration des infrastructures
b – En terme de recrutement et de formation d’enseignants
c- En terme d’allégement des charges des familles
III.3 Amélioration de la qualité de l’éducation
a- En terme d’amélioration de la qualité de l’apprentissage
b- En terme d’amélioration de la capacité et de la qualité des services d’éducation et de formation rendus aux communautés
c – En terme de renforcement du partenariat Public–privé
d – En terme de renforcement de la qualité et de la pertinence de l’enseignement post- primaire et en liaison avec les priorités économiques et sociales
e – En terme de l’intégration de l’Approche par les Compétences (APC)
f – En terme d’appui institutionnel
III.4 Les nouvelles orientations du plan de reforme du système éducatif
a- L’enseignement fondamental
b- L’enseignement secondaire
c – L’enseignement supérieur
d- La politique de l’éducation non formelle
CHAPITRE IV- LES AVANTAGES ET CONTRAINTES
IV.1 Les avantages
a) Les résultats encourageants
b – Une part de budget importante allouée au secteur éducatif
c – Le niveau d’instruction, un indicateur de développement
d – le taux d’alphabétisation : un indicateur clé du développement
e – Madagascar, un modèle d’EPT en AFRIQUE
IV.2 Les contraintes et obstacles
a- Contraintes relevées par le Gouvernement
b- Contraintes au niveau des ménages
c – La qualité de l’offre éducative insuffisante
d- Le problème d’insertion professionnelle
IV.3 Très faible en Développement humain
IV.4 Retard en matière de diffusion et création
IV.5 Budget très important alloué à l’éducation de base
CHAPITRE V- LES PERSPECTIVES DE L’EDUCATION A MADAGASCAR
V.1 Au niveau de la qualité de l’enseignement
V.2 Au niveau de l’alphabétisation
V.3 Au niveau de l’EPT
a – Défis à relever
V.4 Madagascar et l’Algérie
V.5 Recommandations
Conclusion

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