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L’éducation non formelle
Définition
L’ éducation non formelle est déduite des concepts « analphabète » et « groupe défavorisé ». L’éducation non formelle, attribuée à des personnes analphabètes et pauvres inclus dans le rouage de l’économie et de la société, complète l’inexistences ou la moindre éducation formelle qu’ils ont eu dans leur actif. C’est une formation d’alphabétisation et d’insertion à la vie socio-économique.
Organisation
La mise en œuvre de l’Education non formelle suppose la collaboration entre les différents intervenants ayant des tâches respectives. Ces ressources humaines comprennent d’une part les alphabétiseurs et les formateurs des alphabétiseurs et d’autre part les adultes apprenants et les groupes défavorisés.
L’adulte apprenant est le principal cible de l’éducation non formelle. Le processus d’apprentissage a pour objectif de lui conférer les caractéristiques suivantes :
son sens accru de la responsabilité
sa participation active dans la gestion de la vie
sa capacité de valoriser l’esprit d’analyse et de négociation
l’affirmation de soi qui fait de lui un être émancipé et décideur de son propre développement.
Les alphabétiseurs et les formateurs d’alphabétiseurs assurent intégralement la conduite technique et pédagogique de l’action.
Composante
Actuellement, le terme alphabétisation et Education des adultes ne se limite plus à la simple acquisition et pérennisation des capacités à la lecture, l’écriture et le calcul ; l’ idée de Centre de ressources polyvalent intègre l’ idée d’ intégration des actions d’ éducation formation, et donc d’ alphabétisation au contexte et aux attentes de la réalité socio-économique, peut alors être retenue.
Ces activités à la base exigent pour leur efficacité des actions :
d’ analyse qui permet de déterminer le contenu des actions à entreprendre en tenant compte du contexte local, des attentes et besoins du public cible et des ressources disponibles ;
de planification, qui permet de définir avec des indicateurs mesurables, les résultats attendus et avoir une programmation dans le temps et dans l’ espace avec une identification des ressources à mobiliser ainsi que leur répartition judicieuse et équitable ;
d’ exécution, qui assure la bonne réalisation des programmations faites et qui ne concerne pas seulement l’ aspect technique mais aussi l’ administration, la gestion des ressources et la supervision ;
de suivie et d’ évaluation, qui permet à tout instant de situer le niveau de réalisation des actions par rapport aux résultats attendus afin d’ apporter éventuellement des ajustements de planification.
On a montré dans ces différents concepts que l’homme et l’éducation sont des réalités inséparables. C’est l’éducation qui caractérise l’évolution de l’homme et c’est l’instrument de base de développement de son être. Qu’en est il pour une nation ?
Education dans une nation
Après avoir définis le concept « éducation » et ces différentes notions , on essayera de voir dans cette section la réalité de l’éducation au niveau d’une nation : l’historique de l’ éducation à Madagascar, l’éducation comme forme de capital qu’on appelle « capital humain » et l’éducation comme une composante de la croissance et du développement d’un pays.
Historique de l’Education à Madagascar
L’idée est de vérifier que l’homme et l’Education coexistent bien au-delà de ce qu’on appelle ère moderne c’est à dire avant et pendant la période coloniale à Madagascar.
Avant la période coloniale
« Ny sekolin’ny Ntaolo »
Elle se fonde sur ce qu’il appelle “Ny lalàm-piainana” qui intègre une notion philosophique : “fanahy an-dalàna”. L’éducation traditionnelle malagasy a comme objectif la sagesse suprême déduite des conseils et des éthiques de la vie et des applications et leçons concertées vécues auparavant.
La sagesse implique la notion d’existence de l’esprit de l’âme car selon eux « Ny fanahy no olona » c’est-à-dire que c’est l’âme qui définit l’homme, c’est par son esprit que l’homme existe ou aussi que l’essence de l’homme vient de son comportement définit par son âme. « Ny fanahy » est intégré dans l’éthique qui est la finalité de l’éducation traditionnelle malagasy, et cette éthique est définie à partir des comportements dictés par des concepts originaires malagasy qui sont « ny hasina » dit l’éthique, « ny masina sy ny fady » dit sainteté et tabou qui sous-entend l’esprit de respect et de dignité ; « ny marina, ny rariny, ny hitsiny » qui sous-entend l’esprit de vérité, de légitimité, et de droiture.
L’institution de la première Ecole (1820)
Comment ?
Au cours du XIXè siècle, Madagascar, pour mieux préciser les Malgaches du haut plateaux, a connu des progrès considérables grâce à la présence d’une vaillante légion de pionniers européens (Espagnoles, missionnaires anglais…).
Sous le règne de RADAMA I (1810-1828), la relation avec l’extérieur est une priorité vu son esprit d’ ouverture et l’apport de ce qu’il a su obtenir de son voyage en Angleterre. Alors il a permis au missionnaire DAVID JONES d’instaurer une école d’enseignement primaire en 1820 avec l’alphabète latin inconnu, en Imerina avant 1820, comme base de l’enseignement.
Idée de l’éducation
L’enseignement (l’éducation) à Madagascar n’était jamais séparé du christianisme car l’idée de l’institution de l’école dérivent d’un modèle d’évangélisation qui comprend :
évangéliser ou prêcher la base du christianisme
établir ou construire la base (infrastructure) pour mettre en œuvre le processus d’évangélisation
équiper qui introduit la notion de donation en vue de pratiquer et de réaliser les objectifs de l’évangélisation
envoyer sous-entend l’idée d’une extension massive afin d’atteindre le but du modèle.
Ces concepts du modèle d’évangélisation incitent l’idée de l’institution de l’enseignement à Madagascar car les missionnaires anglais ou français ou autres ont pour objectif d’enraciner l’évangile à Madagascar. L’influence anglaise est plus marquée dans la religion et les cultes tandis que l’enseignement français influence le comportement et le mode de vie. Qu’en est il pendant la période coloniale ?
Pendant le période coloniale (1896-1960)
Cette période est très marquée par l’influence de Général Gallieni21. En connaissant le développement de l’enseignement pendant le règne de RADAMA I, il a pris l’initiative de reprendre ce développement, même si ceci est interrompu lors du règne de RANAVALONA II, pour renforcer la présence et la domination coloniale. Le Général Gallieni a su comprendre que pour dominer une entité, il faut d’abord dominer son esprit. D’après cette prémisse de la domination, il a essayé de stimuler le développement de l’enseignement afin de rayer les usages de la société malgache.
L’organisation de l’enseignement
Les Sociétés oeuvrant
Cinq Sociétés missionnaires étaient à l’œuvre au moment de l’occupation.
La Mission de Londres (LMS) est la plus importante. Elle incorpore 3/5 des écoliers et est fortement constituée même si elle est neutre politiquement du fait qu’elle a le monopôle de réparation des hauts fonctionnaires, des médecins. D’après les statistiques de Bianguis22 : 92.000 écoliers sont recensés pour la LMS alors que le total des élèves malgaches est de 138.000. Ces mêmes statistiques ont pu montrer les 100.000 élèves et 8.000 instituteurs indigènes, 4 écoles normales et 225 missionnaires recensés en 1896.
Statut de l’enseignement
Au point de vu social, toutes les écoles se trouvaient, presque tous, dans la partie centrale de l’Ile.
L’existence des « Hova »23 favorise cette initiative car selon l’analyse des colonisateurs, il est plus rentable pour eux de conquérir et d’instruire cette classe.
Au point de vu légale, l’enseignement à Madagascar est statué par la loi du 1881 « orientation générale de l’enseignement en France ». Cette loi incorpore tous les règlements internes pour la bonne organisation de l’enseignement :
à la tête du service se trouve un Directeur de l’enseignement qui a pour rôle d’être une source de renseignement (évolution et coordination de l’enseignement, mouvement des peuples malgaches…) .
vient après le Chef de service, qui se trouve au-dessus des instituteurs et n’a aucun pouvoir sur ce dernier et assure la bonne marche de l’enseignement.
Il y a aussi le « Masoivoho » chargé d’assurer la liaison entre les écoles et les autorités politiques
les écoles existants sont celles du premier degré ou école élémentaire de base et celles du second degré dont le Collège, Ecole Normale, Ecole Industrielle et l’Académie Médicale
Réalité
L’instruction était obligatoire de huit à seize ans. Les parents qui n’enverraient pas leurs enfants seraient punis d’une amende de cinq francs ou de huit jours de prison s’ils ne pouvaient pas payer.
Matière et méthode
Les matières fondamentales enseignées dans les écoles élémentaires étaient : la lecture, l’écriture, le calcul et l’histoire sainte. Et pour les grandes élèves : la grammaire, la géographie et la musique, et les travaux de coutures sont spécialement attribués aux filles. Les écoles supérieures dispensent des cours de mathématique, géométrie et algèbre et les académies médicales, des cours théoriques de médecine et des pratiques en cliniques.
La méthode d’approche, étant une méthode à la base, est plus subtile car elle valorise les capacités des élèves, écoliers à acquérir des nouvelles choses encore inexistantes dans leur vie courante. La méthode pratique consiste à assembler le cours théorique et le cours pratique comme en médecine (5 ans d’étude dont 3 ans cours théoriques et 2 ans cours pratique) et en école normale (3ans d’étude dont 1 mois de stage chaque année).
Les enseignants et les élèves
Pour l’enseignement élémentaire : 1 instituteur (indigène) est responsable de l’instruction de 50 écoliers. Tandis que les Européens sont chargés de dispenser les cours dans l’école normale. Dans les académies médicales existaient 3 ou 4 européens assistés d’un médecin malgache diplômé d’université anglaise. La poste d’enseignant est surtout attribuée aux européens et aux indigènes sortant de l’école normale. On a su voir un niveau plus haut des capacités d’expérimenter et d’élargir l’horizon de leur connaissance. Face à l’empressement que les élèves avaient toujours mis à s’instruire, l’enseignement à Madagascar, depuis la colonisation, a su montrer son ampleur, son existence, et a pu atteindre son objectif : la prémisse de la domination.
Le système éducatif malgache après l’indépendance
Le système éducatif à Madagascar, après l’indépendance, est régit par les lois suivantes :
l’ordonnance 60-049 du 22 juin 1960 fixant les principes généraux de l’enseignement et de la formation professionnelle et portant création de divers catégories d’établissement d’enseignement, services, et organismes relevant du ministère de l’éducation nationale ;
l’ordonnance 76-023 du 02 juillet 1976 et la loi 78-040 du 17 juillet 1978 portant cadre général du système d’éducation et formation ;
la loi 94-033 du13 mars 1995 portant orientation générale du système d’éducation et de formation à Madagascar ;
la loi 2004-004 du 26 juillet 2004 portant orientation générale du système d’éducation et de formation à Madagascar.
Structure de l’éducation formelle
L’éducation formelle comprend :
l’éducation fondamentale : qui est dispensé sur une durée de 9 ans et accueille les enfants à partir de l’âge de six ans. Elle comprend deux cycles : l’éducation fondamentale du premier cycle (EF 1) de 5 ans, dispensée dans les écoles primaires ; l’éducation fondamentale du second cycle (EF 2) de 4 ans, dispensée dans les collèges.
L’enseignement secondaire est d’une durée de 3 ans, est ouvert aux élèves ayant terminés les cycles fondamentaux ; le baccalauréat est l’examen de fin d’études du secondaire, il permet la poursuite des études dans l’enseignement supérieur.
La formation technique et professionnelle a pour mission de former les jeunes et adultes, selon les besoins réels et évolutifs de l’économie. Elle contribue au développement socioculturel et économique de la famille, de la région et de la nation. L’économie de marché, le partenariat, l’autonomie, la cohérence et l’excellence technique et professionnelle déterminent les principes généraux de l’organisation et du fonctionnement du dispositif de la formation technique et professionnelle.
L’enseignement supérieur et les recherche scientifiques contribuent au développement de la recherche, support nécessaire des formations dispensés et à l’élévation du niveau scientifique, culturel et professionnel de la nation et de l’individu. Il contribue aussi au développement de l’individu par une formation de haut niveau visant son épanouissement sur le plan scientifique, culturel, moral et physique. Il est à la base du développement régionale et nationale et à l’essor économique d’un pays. Il peut être un fondement à le promotion et à l’enrichissement des valeurs fondamentales de l’identité nationale
Les autres formes de l’éducation
L’éducation non formelle est constituée de toutes les activités éducatives et de formation assurée en dehors du système éducatif formel. Elle est destinée à offrir des possibilités d’apprentissage et de formation à tous ceux qui n’ont pas bénéficié des structures du système formel. Elle comprend :
l’école infantile qui intègre les nurseries (prennent en charge les bébés de zéro à deux ans ), les jardins d’enfants (s’occupe des enfants de 2 à 3ans ), et l’école maternelle (assurant l’éducation des enfants de 3 à 5 ans ).
l’alphabétisation fonctionnelle qui se donne pour objectif de favoriser la mobilisation des acquis en lecture, en écriture et calcul au profit de la vie quotidienne, familiale et communautaire. Tout projet d’alphabétisation fonctionnelle doit se prolonger par la mise en place de programme post alphabétisation25 pour la maintenance et la capitalisation des acquis. Car il doit contribuer à la création d’un environnement lettré dans des structures d’apprentissage de proximité aux métiers de base.
L’éducation à la citoyenneté et au civisme a pour composante : l’éducation citoyenne et patriotique, l’éducation à la vie familiale et communautaire, l’éducation au développement et à l’environnement, et l’éducation à l’hygiène et à la santé familiale et villageoise (en particulier la prévention et à la lutte contre le VIH/SIDA.
D’après l’histoire, on a pu en tirer que l’éducation formelle a une part importante dans le concept éducation. Alors dans la suite de cet œuvre quand on parle d’éducation on se refera à l’éducation formelle. Et par analogie « au capital humain » du théoricien Théodore Schultz, on y vérifie que la part de l’éducation est plus importante dans la composition de ce genre de capital.
L’éducation comme forme de capital
Pour mieux analyser, l’existence et l’utilité de l’éducation, les théoriciens l’ont agrégé dans un tout qu’on appelle capital humain.
Le capital humain
Le capital humain est définit comme les connaissances, les qualifications, les compétences et les caractéristiques individuelles qui facilitent la création du bien être personnel, social, économique. Il prend aussi en compte la santé psychologique, physique et mentale et certaines catégories morales : la motivation, les comportements de persévérance mais également les capacités non cognitives (des comportements qui peuvent être modifiés par l’apprentissage).
Le concept de base de la théorie du capital humain est le flux de salaire dont dispose le salarié au cours de sa vie et non pas seulement le salaire correspondant à une période de temps limitée (J. Mincer, Préface de « Accumulation du capital humain », Riboud, 1978). L’importance de cet investissement éducatif est naturellement liée à la capacité d’apprentissage de chacun et aux règles institutionnelles (organisation de l’appareil éducatif au sens large), autrement dit, aux conditions de production du capital humain.
Selon les précurseurs26 de la théorie du capital humain27 : il se définit comme l’ensemble des capacités de production qu’un individu acquiert par accumulation de connaissance générale ou spécifique, des savoir-faire. La notion de capital exprime l’idée que c’est un stock immatériel imputé à une personne pouvant être accumulé, s’usé.
Lien entre économie et capital humain
Pour les précurseurs de la théorie du capital humain, le capital humain a un rôle essentiel dans la croissance et le développement d’un pays. Il ne suffit plus, pour eux, de mesurer les quantités des facteurs de production (capital, et travail), mais il faut aussi prendre en compte la qualité de main d’œuvre (la qualité des travailleurs). Une qualité qui est évaluée par rapport à des compétences cognitives acquises, des savoirs, et des comportements d’appréhension face à des modifications due à des apprentissages de l’individu.
La fortune personnelle d’un individu représente une partie de la richesse de la société à la quelle il appartient. Cette richesse est le fruit d’un investissement (capital fixe) en matière d’éducation, d’étude, d’apprentissage. Elle se vérifie par les capacités et aptitudes de la personne à créer son propre bien-être( base du bien-être social).
D’après, une estimation économétrique28, on a déduit que le revenu d’un individu augmente de 10% de sa valeur nominale à chaque fois qu’il réussit à passer d’une année à une autre dans le cursus scolaire.
A la lumière de ces idées, les théoriciens ont pris au sérieux l’influence du niveau d’éducation de l’individu sur son salaire (sa valeur ajoutée) et sur les conjonctures économiques qui sont la production nationale, le chômage ou l’emploi.
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Table des matières
Introduction
PARTIE I : CONCEPT DE BASE ET NOTION ELARGIE DE L’EDUCATION
Chapitre I : Les différents concepts attribués à l’éducation
I- L’éducation dans tous ses sens
A. Etymologie de l’éducation
B. Education formelle
C. Education sur le tas ou formation
D. Education informelle
E. Education non formelle
II- L’éducation dans une nation
A. Historique de l’éducation à Madagascar
B. L’éducation comme forme de capital :
le capital humain
C. Modèle de croissance économique intégrant le capital humain
D. La connaissance : une nécessité pour le développement
Chapitre II : Lecture de la pauvreté à partir de l’éducation
I- Pauvreté et éducation
A. L’éducation vérifie l’existence de la pauvreté
B. L’éducation montre l’existence de la pauvreté
II- La pauvreté à Madagascar
A. Contexte général de la pauvreté
B. Analyse de la pauvreté
PARTIE II : LES POLITIQUES EDUCATIVES MISES EN OEUVRE A MADAGASCAR
Chapitre I : Monographie du système éducatif de MADAGASCAR
I- Situation générale de MADAGASCAR
A. Territoire
B. Population
C. Démographie
D. Structure politique générale
E. Situation économique
F. Contexte social
II- L’éducation à MADAGASCAR
A. L’enseignement
B. La culture et la communication
C. L’éducation non formelle
Chapitre II : Qu’est ce qu’on a déjà fait en matière de politique éducative ?
I- Initiative coloniale
A. Idéologie de l’enseignement
B. La politique
C. Selon Gallieni
II- Politique du régime socialiste
A. Les principes généraux
B. Démarches de réalisation
III- De l’ajustement structurel au DSRP
A. Bases idéologiques
B. Redynamisation du système éducatif
PARTIE III : ANALYSES DES RESULTATS ET CAS PRATIQUE
Chapitre I : Evaluation des résultats des politiques éducatives
I- Pendant le régime socialiste
II- De l’ajustement structurel au DSRP
III- Analyses des résultats
Chapitre II : Recommandations d’action et d’orientation politique
I- Perspectives de politique future
A. Priorisation de l’éducation
B. Les défis à relever
II- Suggestion alternative
A. Renforcement de l’éducation formelle et
l’ouverture extérieure
B. Part de l’éducation non formelle
Chapitre III : Etude de cas : « projet d’alphabétisation FJKM »
I- Les contraintes dues à l’analphabétisme
A. La difficulté de transmission des messages et des formations
B. La non application des adultes aux différents programmes de développement
C. L’alphabétisation et la mobilisation sociale et communautaire
D. L’alphabétisation et l’introduction d’innovations techniques
E. La réticence des parents pour scolariser
II- Lutte contre l’illettrisme et insertion dans le processus du développement économique et social
A. Idées de base
B. Les étapes de mise en oeuvre du projet
III- Evaluation des retombés du projet sur la communauté
A. Evaluation d’une campagne d’alphabétisation(FJKM)
B. Les externalités par interpolation
Conclusion
Résumé analytique
Annexes
Bibliographie
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