L’écoquartier Bastille à Fontaine : une situation de collaborations et de tensions entre différents concepteurs autour de la participation

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L’activité de conception questionnée par la participation

Dans une précédente recherche17, nous avions déjà pu constater que l’idée de concevoir des aménagements urbains durables avec les habitants était devenue une incitation récurrente dans la quasi-totalité des chartes et des labels produits sur les écoquartiers en France au cours des années 2000. L’enquête nationale menée par le lab’Urba et le Laboratoire Espaces Travail (LET)18 sur la concertation dans les premiers projets français à laquelle nous avons participé (Zetlaoui-Léger, dir. 2013) montre que ces opérations ont été l’occasion d’associer les habitants plus que d’habitude, à l’élaboration d’un projet urbain19. Un quart de ces projets a donné lieu à des situations de coproduction sur des objets particuliers. Outre le fait qu’elles puissent être soutenues par des enjeux de communication, d’adhésion ou d’appropriation liés à des principes du développement urbain durable, les démarches participatives les plus ambitieuses montrent que les habitants peuvent être porteurs de formes d’expertises pouvant contribuer à renforcer de manière innovante la « durabilité » des projets.
Bien que les dispositifs dépassant le stade consultatif concernent principalement l’aménagement des espaces publics, objets récurrents dans la « grammaire de la participation » depuis le début du XXe siècle (le Maire, 2009), l’implication des habitants a, dans plus de 50% des opérations, été qualifiée de « plus importante que d’habitude » par les chefs de projet et s’est parfois étendue à l’élaboration des schémas d’aménagement urbain.
Ces résultats suggèrent une transformation significative du contexte de la demande ou de la commande faite aux concepteurs architectes, urbanistes et paysagistes, qu’ils interviennent dans des fonctions de maîtrise d’œuvre ou dans des missions d’assistance à maîtrise d’ouvrage. Comment ces professionnels ont-ils évolué dans un contexte opérationnel marqué à la fois par des injonctions à la participation plus fortes et par des mobilisations habitantes significatives, liées aux enjeux du Développement durable ? Quels nouveaux types « d’appels à compétences » (Claude, 2006) leur ont été adressés par leurs commanditaires, voire par les habitants ? Comment ont-ils perçus ces demandes ? Ces attentes et ces expériences opérationnelles ont-elles fait évoluer leurs pratiques et leurs représentations de la participation ?
Architectes, urbanistes et paysagistes partagent la pratique du projet ainsi que des techniques de représentations comme le plan20. Mais ils s’inscrivent dans des histoires différentes et n’exercent pas sous les mêmes statuts professionnels. En les regroupant dans l’objet de la thèse, c’est finalement l’activité de conception au sens large, en lien avec la transformation de l’espace que nous interrogeons à l’aune des exigences participatives.
En France, en Architecture, le vocable de « conception » tend souvent à désigner l’activité de définition d’une solution formelle. Or il est porteur d’une double signification, dont les deux termes ne sont pas toujours distingués. Il renvoie d’une part à une forme de raisonnement, un processus dans lequel s’effectue le travail de développement d’un projet et d’autre part aux résultats qu’il produit, voire parfois uniquement à sa production finale (Boutinet, 1990). L’image arrêtée ou la construction achevée sont dans ce dernier cas, totalement assimilées au « projet », ce que l’on peut encore souvent constater dans la critique architecturale, mais également dans les textes réglementaires21 et dans la pédagogie. L’enseignement académique de l’architecture mis en place à partir du XVIIe siècle en France (Pinson, 1993) et la loi sur la Maîtrise d’Ouvrage Publique de 1985 envisagent essentiellement l’intervention de l’architecte-concepteur en tant que maître d’œuvre, une fois le programme précisé en grande partie par le maître d’ouvrage. Il y répond par la réalisation d’une esquisse, voire par des plans plus élaborés. Il est ensuite responsable de la bonne exécution des travaux en conformité avec son dessin.
Les « paysagistes concepteurs » se définissent quant à eux, dans la lignée des architectes, en mettant en avant leur responsabilité de « concevoir par une démarche de projet ». La notion de « projet » se trouve aussi au cœur de leur discipline. Selon le paysagiste Denis Delbaere, ils partagent avec les architectes « un fond méthodologique commun (la pratique du projet), [opèrent] sur un matériau identique (l’espace) avec les mêmes finalités sociales »22. Les paysagistes utilisent des distinctions dans leurs différents niveaux d’intervention et ont fait historiquement de la « conception », entendue alors comme la recherche de solutions formelles et techniques telle que peut la mettre en scène le concours « à la française » (Macaire, Zetlaoui-Léger, dir. 2017), la part la plus valorisante de leur métier (Dubost, 1984).
Or, aborder la question de la participation nous conduit à aller au-delà d’une définition de la conception se limitant à un processus de formalisation de solutions, par le dessin et la maquette, en réponse à une commande qui serait d’emblée bien définie par un maître d’ouvrage financeur de l’opération. Cette approche, centrée sur la production de solutions, a été portée pendant plusieurs siècles par la profession d’architecte et la critique architecturale23. Elle reste prégnante aujourd’hui encore dans l’exercice de la maîtrise d’œuvre dans le secteur du bâtiment en France (Macaire, Zetlaoui-Léger, dir. 2017). Cependant, elle conduit à ignorer le rôle que peuvent avoir les concepteurs dans l’accompagnement de la définition des usages futurs des espaces, ce qui constitue souvent un objet central de la participation, quelles que soient les étapes du projet.
Afin de mieux saisir le travail effectué dans les dispositifs participatifs, et compte tenu du fait que des concepteurs peuvent parfois intervenir comme « Assistants à Maîtres d’Ouvrage » (AMO) pour aider alors un commanditaire à formaliser un programme, nous avons opté pour une approche de la conception intégrant à la fois l’idée de démarche de définition des attendus d’un projet – dite de programmation – et celle de sa formalisation. Nous avons donc considéré l’intervention des concepteurs tout au long du processus de projet. Nous nous sommes ainsi rapprochés de la notion anglo-saxonne de design telle que l’ont explicitée les théoriciens des méthodologies de la conception à partir des années 1960 (Chupin, 2013). Pour les chercheurs du Design Methods Movement24, la programmation correspond à un travail de clarification de la demande de projet et fait partie d’un processus global de conception. Définition du programme et propositions de solutions progressent de façon itérative et non pas de manière forcément séquentielle comme peuvent pourtant le laisser entendre les découpages de responsabilités ainsi que certaines procédures administratives. Les approches séquentielles tendent à exclure de façon symétrique l’architecte de la programmation et l’assistant à maître d’ouvrage d’une amélioration de la demande, à partir des solutions formelles proposées. Des évaluations de projet réalisées en France, montrent qu’elles rendent difficiles les processus de co-apprentissage ainsi que la prise en compte de manière continue de certains problèmes, en particulier lorsque les acteurs qui les portent ne sont pas amenés à dialoguer entre eux tout au long d’un projet (Zetlaoui-Léger, 2007).
En France, une approche « globale et itérative de la conception » est aujourd’hui généralement partagée par les architectes-urbanistes et par les « paysagistes-urbanistes »25, sans pour autant que l’activité de programmation soit précisément objectivée dans leurs méthodes et leurs pratiques26. Envisager que la  programmation fasse partie du processus de conception est d’autant plus primordial lorsque l’on s’intéresse à des projets participatifs. Plusieurs recherches ont en effet montré ces dernières années qu’elle constitue l’activité par laquelle les habitants entrent le plus facilement dans un processus de projet lorsqu’elle les invite à exprimer des usages et des modes de vie souhaités (Biau, Bacqué, dir. 2010 ; Debarre, Steinmetz, dir. 2010 ; Zetlaoui-Léger, dir. 2013a). Toutefois, la programmation reste un exercice auquel sont peu habitués et formés les architectes dans les écoles en France.

Les missions des concepteurs dans les projets d’aménagements urbains ou de construction

Si le « projet urbain » (cf. encadré 3) tend à se rapprocher du projet d’architecture ou de paysage par le processus de transformation de l’espace qu’il sous-tend, il s’en distingue par les objets – l’aménagement d’espaces bâtis et non bâtis censés recevoir de multiples fonctionnalités, activités, usages et populations avec une certaine densité –, par les procédures et par les systèmes d’acteurs qu’il implique. La notion « d’œuvre » est rarement revendiquée dans le champ de l’urbain, y compris chez les architectes-urbanistes, sans doute par la pluridisciplinarité des intervenants qu’il impose, au-delà des champs techniques et artistiques, ainsi que par la difficulté à envisager l’aménagement urbain comme un objet fini, immuable, mais surtout par ses dimensions intrinsèquement collective et politique (Tomas, 1998). Le projet urbain n’exprime pas seulement « une intentionnalité à spatialiser par l’intermédiaire du dessin », comme ont aussi tendance à l’envisager les professionnels de l’urbanisme d’autres pays comme la Suisse (Matthey, Mager, 2016), il renvoie également à une stratégie de transformation d’un territoire, qui est en premier lieu affirmée par des élus en France. Cette activité de planification et coordination se traduit par tout un ensemble d’actions dont certaines ne relèvent pas de la conception formelle, comme l’ont montré les travaux sur la gouvernance urbaine à partir des années 1990 (Pinson, 2009). Des textes émanant des administrations centrales affirment aujourd’hui plus clairement ce positionnement (MIQCP, 2015).
Les professionnels de l’urbanisme sont difficiles à définir en tant que groupe professionnel, mais aussi par rapport à leur expertise. Pour les uns, elles sont orientées vers la définition des futures activités d’un territoire (planification, programmation), pour les autres vers leur inscription formelle. Même si des organisations professionnelles et des qualifications existent (Tapie, dir. 2005), si un Grand Prix a été créé conflictualité des rapports entre les différents métiers de l’urbanisme (notamment ceux en lien avec la planification et ceux en lien avec le design) »30.
L’exercice du projet urbain peut donc relever aussi bien d’une mission « d’Assistance à Maîtrise d’Ouvrage » permettant de définir une commande politique, que de l’exercice de la « maîtrise d’œuvre urbaine » qui était, au moment du lancement des premiers projets d’écoquartiers une activité présentée de manière très large par les administrations centrales (cf. encadré 3)31. Le terme de « conception » peut recouvrir les deux types d’exercice, comme le montre le référentiel métiers-compétences des urbanistes en France32. Des missions d’assistance à maîtrise d’ouvrage sont même parfois intégrées ou associées à des contrats de maîtrise d’œuvre urbaine lorsqu’il s’agit de réaliser le cahier des charges qui permettra aux différentes opérations particulières de s’inscrire dans le périmètre du projet urbain, ou de définir des éléments de programmes pour des espaces publics33. Nous avons choisi de nous intéresser dans notre recherche à des concepteurs, architectes, architectes-urbanistes ou paysagistes, mandatés pour des missions de maîtrise d’œuvre, sachant donc que celles-ci peuvent parfois comporter des aspects programmatiques et être engagées très en amont d’un projet urbain. Nous n’avons pas en revanche pas retenu les urbanistes intervenant exclusivement en maîtrise d’ouvrage ou en assistance à maîtrise d’ouvrage, pour des missions de planification ou de programmation34.
Depuis quinze ans, l’articulation entre des missions de programmation et de conception urbaine dès l’amont des projets est de plus en plus recommandée, notamment par la Mission Interministérielle pour la Qualité des Constructions Publiques (MIQCP). Elle reste en revanche peu développée dans le domaine des constructions où la logique séquentielle tend encore à prévaloir dans les procédures utilisées.

Encadré 3

Le projet urbain, la maîtrise d’ouvrage urbaine et la maîtrise d’œuvre urbaine selon la Mission Interministérielle à la Qualité des Constructions Publiques (MIQCP)35

Le « projet urbain »

Le projet urbain constitue le cadre général au sein duquel les qualités de notre environnement quotidien sont instruites continuellement. Il exprime le cheminement de pensée entre la planification stratégique mise au débat public et les différentes opérations d’aménagement qui en sont la traduction concrète. La collectivité publique accompagne et instruit en continu toutes les demandes d’autorisations d’urbanisme et les opérations d’aménagement dans une perspective de recherche de cohérence permanente avec sa stratégie d’aménagement du territoire. L’extension continue des compétences des collectivités et leur fixation autour d’enjeux fortement interdépendants reposent les conditions d’élaboration des opérations d’aménagement. Par conséquent, la collectivité en position de maître d’ouvrage urbain ne se préoccupe plus seulement des conditions opérationnelles de réalisation de ses opérations mais doit aussi se saisir de questions de management de projet. »
La « maîtrise d’ouvrage urbaine »
[…] la collectivité comme maîtrise d’ouvrage urbaine, (est) en charge de définir et diriger la commande urbaine, coordonner les pilotages politiques et techniques.»
Chaque opération d’aménagement requiert l’existence d’une maîtrise d’ouvrage professionnalisée comprenant une composante politique juridiquement compétente, fonctionnelle bien administrée et opérationnelle mobilisant les parties prenantes de l’opération. Tous ces éléments constituent un collectif de projet. »
[…] la grande mission de la maîtrise d’œuvre urbaine : mettre en forme une pensée, à la fois transcription des volontés collectives et des dynamiques nouvelles, à la fois pensée personnelle de l’organisation de l’espace construit et non construit.»
[…] proposer une démarche intellectuelle aboutissant à un projet partagé et des modes opératoires crédibles de mise en œuvre. »
[…] la responsabilité de la maîtrise d’œuvre urbaine (est) de créer une « maïeutique »[…]»
Nous exposons ces définitions proposées par la MIQCP, administration interministérielle centrale, dont les textes font référence pour les opérateurs publics et privés de l’aménagement et de la construction. La MIQCP a toutefois défini tardivement les notions de maîtrise d’ouvrage urbaine et de projets urbains dans ses guides.
Nous reprenons ici la définition qui prévalait dans la période de lancement des premiers projets d’écoquartiers.
[…]Cela implique pour la maîtrise d’œuvre :
de décrypter le contexte local, on pourrait même dire de créer une psychanalyse des intentions.
de savoir se mouvoir parmi des logiques d’acteurs institutionnels ou individuels, les données et forces économiques, les forces et aspirations sociales.
de détecter et utiliser les facteurs de dynamisme ou au contraire savoir éviter les possibles écueils.
de proposer des « métamorphoses capables de l’espace, lesquelles, en même temps que l’apport personnel d’une vision, seront le support d’une réflexion collective […] la forme se met au service du contenu et aide à construire une pensée urbaine. »
Dans le domaine de l’architecture et de la construction, les attentes vis-à-vis des concepteurs en commande publique sont fixées par des procédures réglementaires définies par le Code des Marchés  dernières années sur l’habitat participatif (Biau, Bacqué, dir. 2010 ; Debarre, Steinmetz, dir. 2010) et sur les « collectifs » d’architectes ou d’artistes intervenant dans l’espace public (Macaire, 2012).
Les travaux sur l’habitat participatif témoignent d’une certaine évolution des pratiques et de la vision du rôle des architectes, bien que ce type d’opérations n’en demeure pas moins marginal dans l’ensemble de la production du logement. La France a historiquement minimisé la dimension collective du projet architectural en mettant en avant la figure d’un concepteur unique « auteur et démiurge »40. Le champ s’est développé pendant plusieurs siècles en valorisant des figures singulières, des noms d’architectes (Chadoin, 2014 ; Camus, 2016). Il est resté relativement à l’écart des « mouvements sociaux » (Lefebvre, 1968) qui ne mettaient pas directement en jeu l’avenir de la profession. Dans la loi du 3 janvier 1977, l’Architecture est qualifiée d’utilité publique. Comme le montrent les publications des différents organismes qui représentent la profession (Ordre, syndicats, sociétés), les concepteurs possédant un diplôme d’architecte considèrent qu’ils ont à cet égard un rôle social à jouer. Mais, face à la multiplication des acteurs de la production du cadre bâti et notamment à la concurrence des ingénieurs, nombre d’entre eux, ainsi que les organisations qui les représentent ont pendant longtemps eu tendance à se retrancher du côté de « l’expertise esthétique », voire symbolique et patrimoniale (Champy, 1998). La qualité architecturale s’est donc trouvée assimilée à ces dimensions dont seul l’architecte aurait la maîtrise (Pinson, 2000).

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Table des matières

Introduction
Des engagements militants aux politiques incitatives
Les écoquartiers et la construction de « l’impératif participatif »
L’activité de conception questionnée par la participation
Les missions des concepteurs dans les projets d’aménagements urbains ou de construction
Les transformations des pratiques
Problématique : l’évolution des pratiques liée aux nouveaux modes de recrutement et la (re)définition des identités professionnelles
Une approche empirique
L’enquête auprès des concepteurs
Plan de la thèse
Chapitre 1. Des concepteurs peu expérimentés en matière de participation citoyenne face à des habitants mobilisés : le cas de la réalisation de l’écoquart
A. Un processus de projet succédant à un contexte de « luttes urbaines »
1. Mise en situation territoriale et urbanistique du projet
2. Les temps forts du projet : évolution des objectifs du projet en lien avec l’évolution des politiques urbaines
3. Un système d’acteurs marqué par la perspective de réaliser un projet urbain durable et participatif
4. L’ingénierie du dispositif participatif
Conclusion intermédiaire
B. Les concepteurs et la participation des habitants
1. Le rôle attendu des professionnels de la conception vis-à-vis des démarches participatives
2. Les modalités d’échange des concepteurs avec les habitants
3. La position personnelle des concepteurs par rapport à la question de la participation
Conclusion du chapitre 1
Chapitre 2. L’écoquartier Bastille à Fontaine : une situation de collaborations et de tensions entre différents concepteurs autour de la participation
A. Un processus de projet s’inscrivant dans une culture participative locale
1. Un projet de rénovation urbaine dans une commune ayant une culture de la participation.
2. De la participation « à la carte » pour s’investir dans la vie citoyenne fontainoise
3. Un projet de démolition-reconstruction d’un quartier populaire plutôt bien accepté
4. Une nouvelle gouvernance pour les projets urbains durables
5. Des concepteurs initiateurs et animateurs de dispositifs participatifs pour une formalisation progressive et collective du projet
Conclusion intermédiaire
B. Un concepteur Assistant à Maîtrise d’Ouvrage, animateur de la participation
1. La désignation de professionnels de la conception pour une élaboration participative du projet Bastille
2. Les positionnements des concepteurs par rapport à la participation dans le projet Bastille
3. Les modes d’intervention, les apports méthodologiques et les outils mobilisés par l’animateur de la participation et le concepteur urbain
Conclusion du chapitre 2
Chapitre 3. Des concepteurs en évolution vis-à-vis de la participation ?
A. Différentes positions des concepteurs vis-à-vis de l’implication des habitants
1. Tentative de construction d’une typologie
2. Typologie
Les concepteurs « réticents »
Les concepteurs « tacticiens »
Les concepteurs « pragmatiques »
Les concepteurs « militants »
B. Champs d’intervention et évolution des représentations des concepteurs vis-à-vis de la participation
1. La participation et la commande publique de projets
2. Quelles évolutions dans les représentations de l’exercice du métier face à la demande de participation ?
3. Quelle valorisation de l’expérience de la participation dans les trajectoires professionnelles
Conclusion du chapitre 3
Conclusion générale
Bibliographie
Glossaire
Index des tableaux, encadrés et figures
Annexes

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