L’économie des connaissances

Collaborations entreprise-université

Comme nous avons fait état dans les chapitres précédents, les connectivités U-E-E ont été encouragées au sein des politiques institutionnelles, grâce à la mise en place de programmes encourageant les collaborations et facilitant les échanges par la création de bureaux de liaisons U-E à l’intérieur des structures organisationnelles universitaires (Brassard, 2003 ; Bertrand et Gabudiza, 1995 ; Bernatchez, 2008 ; CSE, 2012). Les collaborations entreprise-université visent le transfert d’une recherche appliquée à l’industrie pour développer de nouveaux produits ou de nouveaux procédés. Ces connectivités peuvent prendre plusieurs formes : contrats de recherche universitaire destinés à l’industrie, présence de stagiaires de recherche en industrie, valorisation d’un nouveau procédé ou d’un nouveau prototype industrie, recherche de financement conjoint, élaboration d’une formation sur mesure pour du personnel hautement qualifié, ou encore la création d’entreprises universitaires. Comme nous en avons fait état dans notre revue de la littérature, les liens U-E dans le secteur des SVTS sont intimement liés au phénomène social d’encastrement. L’évolution de ce secteur semble soutenir des relations étroites entre une recherche scientifique de calibre mondiale et la commercialisation de produits de pointe (Bourque, 2011 ; Klein, 2014). Pour ce secteur hautement compétitif, les relations entre les entreprises et les universités semblent être bénéfiques pour les mises en application des brevets issus de laboratoires de recherche (Bartholomew, 1996). Dans le cadre de notre recherche doctorale, nous avons voulu reconnaître la perception de chaque type d’acteurs de la grappe U-E-E, du secteur des SVTS du Grand Montréal, en regard de ces aspects.

Collaborations université-université

Les connectivités vécues entre universités sont généralement profitables pour les sociétés (Pavitt, 1987). Les universités collaborent entre elles sur le plan de la recherche et sur le plan organisationnel (pour optimiser les liens administratifs). Leurs intentions de collaborations visent, entre autres, une contribution au développement socio-économique de la province. Nous avons d’ailleurs compris au premier chapitre de la thèse que le modèle universitaire québécois tendait vers ce que les politiques institutionnelles appellent « l’entrepreneuriat scientifique ». On se rappellera que Lacroix et Maheux (2015) considèrent que des innovations concrètes, issues de l’obtention de brevets, sont pertinentes pour le développement de la recherche fondamentale. Les universités qui collaborent conjointement sur ce type de projets sont plus financées par le privé et leur rendement est valorisé dans les politiques d’innovation technologique. Au Québec, les activités de recherche universitaire, dans le secteur des SVTS, sont principalement localisées dans les grands centres urbains de Montréal, de Québec et de Sherbrooke (Melviez, 2008). Par contre, les relations internationales développées, au sein des stratégies de développement institutionnelles, poussent les universités à collaborer entre elles et à déployer leurs réseaux internationaux. Des incitatifs financiers prenant la forme de programmes de financement les incitent à déployer leurs efforts à l’international, dans les secteurs de pointe de la province et ceux du Canada (PNRI, 2014-2019).

Consortium multipartite

La construction d’outils institutionnels de concertation incite parfois les acteurs à œuvrer, à l’intérieur de normes prescrites, au sein d’ententes bilatérales ou trilatérales (Memorandum of understanding) et à bénéficier de la mise en place des organismes de support aux relations U-E-E, ou alors à tirer profit des nouveaux programmes de concertation prenant la forme de consortiums dans les domaines de la technologie de santé ou des sciences de la vie. Au Québec, par exemple, des organisations comme Montréal InVivo, Laval Technopole, CTS MedTech, Fondation canadienne pour l’innovation ou Génome Québec (Melviez, 2008 ; Vignola-Gagné, 2008) encouragent les collaborations normées et régularisées au sein d’actions structurantes pour le secteur des SVTS. Notre recherche doctorale a cherché à reconnaître la perception des acteurs U-E-E quant aux modes collaboratifs liés aux consortiums.

Niveau de flexibilité des rôles des acteurs dans l’action

La théorie de la triple hélice nous renvoie à une articulation flexible des différents rôles entre des acteurs à l’intérieur d’un système d’innovation (Henry Etkowitz, 2001). Dans cette conceptualisation de l’innovation, la nouvelle dimension provient d’une hybridation des dynamiques et des interfaces entre les acteurs (université, entreprise, État). Il en résulte un modèle non linéaire, au sein duquel les acteurs ont tendance à se transformer. Or, il semble que les acteurs locaux sont également en mesure de nous informer sur l’unicité de leur modèle de fonctionnement à l’échelle globale. Les orientations théoriques les plus récentes du modèle, de même que son modèle néo-évolutionnaire, se construisent autour d’une temporalité séquentielle des actions chez les acteurs dans leur mise en action visant la conduite de l’innovation d’un produit. Selon ces nouvelles approches, les acteurs suivraient des mécanismes de fonctionnement en commun, et ce, dans un ordre dédié. À cet égard, la version néo-évolutionnaire de la triple hélice souhaite opérationnaliser les notions de l’économie des connaissances à l’intérieur d’un système qui s’autorégule (Leydesdorff et Zambie, 2010).Or, la mise en application de la triple hélice peut constituer un défi pour des acteurs qui, devant la montée en puissance de la globalisation et du nouveau mode de production de l’économie des connaissances, souhaitent devenir partenaires pour atteindre leurs objectifs, tout en se gardant à l’abri d’une relation fusionnelle avec les collaborateurs. Les acteurs comprennent leurs besoins de dépendance par rapport aux autres dans leurs modes de production. Mais, le métissage des rôles, l’hybridation proposée par l’approche de la triple hélice, se révèle complexe dans un contexte où la culture institutionnelle de chacun d’entre eux trace en quelque sorte la voie de leur devenir.

C’est le principe que certains auteurs appellent le « chemin de la dépendance » (Palier, 2010). C’est donc pourquoi on retrouve au sein des connectivités des difficultés inhérentes à la mise en application du modèle de la triple hélice concernant les actions relatives à la gestion de leurs ressources humaines, à la gestion de leurs ressources financières, à la flexibilité nécessaire pour rencontrer le rôle de l’autre acteur, à leur conceptualisation spatiotemporelle ou le cadre institutionnel régissant les processus de protection nationaux des innovations du secteur des SVTS (Melviez, 2008). Notre recherche a voulu rendre compte de cette réalité.

Financement recherche universitaire et industrielle

Nous avons compris, dans les chapitres 1 et 2 de la thèse, que le développement des connaissances dans le secteur des SVTS nécessite inévitablement des avancées technologiques dans les secteurs de pointes et les recherches fondamentales (Niosi, 1994, 1995, 2007 ; Bourque, 2011 ; Veilleux, 2008). Nous avons aussi relaté que la recherche fondamentale ne se retrouve plus uniquement dans les murs universitaires (Bernatchez, 2008 ; CSE, 2012). En effet, certaines grandes entreprises, notamment dans le secteur pharmaceutique, ont aujourd’hui les moyens de conduire des activités de RetD au sein de leur propre organisation. Des mesures institutionnelles gouvernementales visant le développement du secteur des SVTS, notamment par l’injection de capitaux de risque et par les politiques entourant les crédits d’impôt, ont une application uniforme sur tout le territoire du Québec (Beaudry et Farcy, 2008). Les nouvelles entreprises technologiques ou médicales du secteur des SVTS ont besoin d’une mise de fonds importante pour démarrer leurs activités. Ainsi, les connectivités entourant l’accès aux capitaux jouent un rôle prépondérant dans le secteur des SVTS et permettent la survie des PME, au sein desquelles s’effectue de la recherche (Niosi, 1994, 1995, 2007 ; Beaudry et Farcy, 2008). Les modèles internationaux à succès nous démontrent que la présence d’entreprises de capitaux de risque, au sein d’une région, augmente considérablement les chances de réussite des entreprises du secteur des SVTS dans leur capacité à recevoir l’argent nécessaire pour conduire leurs innovations (Melviez, 2008).

Le financement de la recherche fondamentale, inscrite au sein des universités, semble aussi un élément inhérent à la conduite des innovations dans le secteur. L’université sert de catalyseur et de diffuseur des connaissances dans les industries (Bartholomew, 1996). Elle a donc un poids important dans le développement de ce secteur d’activités. Par exemple, le Conseil National de Recherche du Canada (CNRC), Génome Canada, ainsi que les treize Instituts de Recherche en Santé du Canada (IRSC) supportent les grands laboratoires publics travaillant dans les sous-secteurs de pointe des SVTS. De même, le Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canada (CRSNG) finance des projets, par appels à proposition, et la Fondation canadienne pour l’innovation (FCI) se charge d’effectuer des investissements en infrastructure d’innovation au sein des universités. De plus, sur le plan fédéral, une politique de financement des entreprises en capitaux de risque a été développée par la Banque du Développement du Canada (BDC), qui détient également une société de capital-risque. Puis, des partenariats ont été développés au sein de programmes, tels le Partenariat technologique Canada (PTC) (ce programme est terminé depuis 2006), ou encore le Programme d’aide à la recherche industrielle (PARI) du CNRC. Le tout, pour permettre à la PME de saisir des opportunités et de lancer des projets (Beaudry et Farcy, 2008).

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Table des matières

Introduction
CHAPITRE I – PROBLÉMATIQUE ET OBJET DE LA RECHERCHE
Introduction
1.1 La connectivité entre les acteurs au sein d’un système d’innovation dans le contexte de l’économie des connaissances
1.1.1 La connectivité dans un système d’innovation multiscalaire
1.1.2 L’économie des connaissances
1.2 La recherche scientifique comme moteur du développement socioéconomique au Québec
1.3 Évolution des intérêts scientifiques pour les interactions « U-E»
1.4 Évolution des modélisations des systèmes : nouveaux paramètres à définir quant aux interactions U-E-E
1.5 Question et objectifs de la recherche
CHAPITRE II – ASSISES THÉORIQUES ET ÉVOLUTION DES MODÉLISATIONS
Introduction
2.1 Les fondements de l’approche institutionnaliste
2.2 Le système d’innovation national (SNI)
2.2.1 Les perspectives d’évolution du SNI
2.3 Le Mode 2 de production des connaissances
2.3.1 Les perspectives d’évolution du Mode 2 de production des connaissances
2.4 La triple hélice
2.4.1 Les perspectives d’évolution de la triple hélice
2.5 Le système d’innovation régional (SIR)
2.5.1 Les perspectives d’évolution du SIR
2.6 Un pont conceptuel entre les concepts la triple hélice et les concepts du SIR
Conclusion
CHAPITRE III CADRE CONTEXTUEL ET CONCEPTUEL
Introduction
3.1 Définition de la grappe U-E-E du secteur des SVTS du Grand Montréal
3.1.1 Processus d’innovation et implantation du secteur des SVTS
3.1.2 Caractéristiques de la grappe U-E-E dans le secteur des STVS du Grand Montréal
3.1.2.1 Les investissements internationaux
3.1.2.2 La recherche pharmaceutique
3.1.2.3 Les universités, leurs hôpitaux affiliés et leurs centres de recherche
3.1.2.4 L’importance de la recherche clinique
3.1.2.5 Les incubateurs et la présence de technoparcs
3.1.2.6 Le dynamisme général du secteur
3.1.3 Justification du secteur et du lieu d’étude
3.1.3.1 Un secteur et un lieu qui offrent des explications sur les modes de collaborations encastrées U-E
3.1.3.2 Un secteur et un lieu qui offrent des explications sur les modes collaboratifs de financement
3.1.3.3 Un secteur et un lieu qui offrent des explications sur les modes collaboratifs U-E-E multicalaires
3.2 Conceptualisation du système d’innovation des SVTS dans le Grand Montréal
3.2.1 La contribution de Susan Bartholomew (1996)
3.2.2 Hybridation entre les concepts de la triple hélice et les concepts des SIR
3.2.3 Vers une nouvelle compréhension grâce aux facteurs de connectivité U-E-E
3.2.3.1 Système innovation
3.2.3.2 Collaborations entreprise-entreprise
3.2.3.3 Collaborations entreprise-université
3.2.3.4 Collaborations université-université
3.2.3.5 Consortium multipartite
3.2.3.6 Niveau de flexibilité des rôles des acteurs dans l’action
3.2.3.7 Financement recherche universitaire et industrielle
3.2.3.8 Politique technologique nationale
3.2.3.9 Tradition nationale éducation scientifique
3.2.3.10 Niveau d’orientation commerciale de l’organisation
3.2.3.11 Relations internationales entre organisations ou avec des entreprises étrangères
Conclusion
CHAPITRE IV DÉMARCHE MÉTHODOLOGIQUE DE LA RECHERCHE
Introduction
4.1 L’enquête qualitative comme choix méthodologique
4.1.1 La démarche qualitative
4.1.2 Les risques de la démarche qualitative
4.1.3 L’enquête qualitative
4.2 La méthode d’échantillonnage : mécanisme d’enquête
4.3 La méthode liée au dispositif de cueillette des données
4.3.1 Description des participants à l’enquête qualitative
4.3.1.1 Université, institut de recherche et école
4.3.1.2 Entreprise
4.3.1.3 Organisation d’administration publique ou parapublique
4.3.2 Stratégie de collecte des données
4.3.3 L’instrument : la grille d’entrevue
4.3.3.1 Construction et articulation de la grille d’entrevue
4.3.3.2 Évolution de la grille d’entrevue
4.4 La méthode d’analyse des données
4.4.1 La démarche de codification
4.4.2 L’analyse de contenu
4.4.2.1 L’accord inter-juge
4.4.2.2 Les indicateurs de l’analyse
4.4.2.3 L’analyse comparative du contenu codifié
4.5 L’éthique de la recherche
Conclusion
CHAPITRE V PRÉSENTATION ET ANALYSE DES RÉSULTATS
Introduction
PARTIE I Facteurs prépondérants de la connectivité facilitant la conduite de l’innovation en SVTS dans le Grand Montréal
5.1 Importance relative des quatre facteurs de connectivités facilitant les connectivités entre les acteurs U-E-E
5.1.1 Synergie et système d’innovation régional
5.1.2 Collaboration université-entreprise
5.1.3 Financement
5.1.4 Création de réseaux d’expertises nationales et internationales
5.2 Dualité entre vision institutionnelle synergique et connectivités vécues entre les acteurs U-E-E
Conclusion
PARTIE II Perception des connectivités vécues entre les acteurs U-E-E
Introduction
5.3 Difficultés liées à la connectivité
5.3.1 Accès aux ressources financières
5.3.2 Accès à des ressources humaines qualifiées
5.3.3 Accès à de l’équipement et du matériel de pointe
5.3.4 Flexibilité des rôles dans les interactions des acteurs
5.3.4.1 Réalité universitaire et entrepreneuriale
5.3.4.2 Philosophie d’action universitaire et entrepreneuriale
5.3.4.3 Compréhension de la réalité des rondes de financement
5.3.5 Différence notable de la conception de l’espace-temps devant les livrables
5.3.6 Manque de coordination des activités dans le système 163 Conclusion
5.4 Différenciation des connectivités entre les acteurs dans la conduite de l’innovation
Introduction
5.4.1 Connectivités perçues par les universités
5.4.1.1 Collaborations université-entreprise : le développement de la recherche
5.4.1.1.1 Valorisation et commercialisation de la recherche en industrie
5.4.1.1.2 Formation sur mesure
5.4.1.2 Connectivités financières : consortiums et autres programmes publics
5.4.1.2.1 Financement : programmes gouvernement-industrie
5.4.1.2.2 Investissements privés et capitaux de risque
5.4.1.3 Création de réseaux nationaux et internationaux : la collaboration scientifique
5.4.1.3.1 Création de réseaux d’expertise en RetD
5.4.1.3.2 Recrutement d’experts et investissements internationaux
5.4.1.3.3 Mobilité étudiante et professorale
5.4.2 Connectivités perçues par les entreprises
5.4.2.1Collaborations entreprise-université : l’importance du transfert technologique dans une complémentarité d’actions
5.4.2.1.1 Démarrage de projets et transfert des produits de la recherche
5.4.2.1.2 Commercialisation de la recherche
5.4.2.1.3 Coaching et mentorat 196
5.4.2.2 Financement : Accès au capital de risque
5.4.2.2.1 Capital de risque, le nerf de la guerre
5.4.2.2.2 Commercialisation des idées de la recherche : cibles et programmes de financement
5.4.2.3 Création de réseaux d’expertises nationales et internationales : complémentarité multiscalaire des productions
5.4.2.3.1 Création de réseaux : construire un écosystème d’innovation mondial
5.4.2.3.2 Décloisonnement mondial les relations en RetD « université-entreprise »
5.4.3 Connectivités perçues par les organisations d’administration publique et parapublique
5.4.3.1 Collaborations université-entreprise : le rôle de représentation de l’État
5.4.3.1.1 Valorisation des transferts de connaissances en industrie
5.4.3.2 Financement : importance de la diversité des fonds publics de capitaux de risque
5.4.3.3 Réseaux d’expertise internationaux : investissements et représentation nationale
5.4.3.3.1 Création de réseaux internationaux
5.4.3.3.2 Investissements étrangers, mobilité de la maind’œuvre et recrutement
Conclusion
PARTIE III
5.5 Collaborations U-E-E dans le secteur des SVTS du Grand Montréal : connectivités multiscalaires en contexte de globalisation
CHAPITRE VI INTERPRÉTATION DES RÉSULTATS
Introduction
6.1 Paramètres émergents pour un nouveau modèle : vers une optimisation multiscalaire connectivités U-E-E dans la conduite de l’innovation
6.1.1 Nouvelle approche méthodologique pour comprendre les systèmes d’innovation : l’analyse fine des connectivités U-E-E
6.1.2 Nouveau modèle visant la compréhension des collaborations U-E-E multiscalaires en conduite de l’innovation
6.2 Prochaines orientations des travaux de recherche
6.3 Limites de la recherche 243 Conclusion générale
Références
Annexes

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