Le Verdon, une rivière, un territoire, un parc : contexte du territoire et objectifs du Parc Naturel Régional du Verdon 

La méthodologie quantitative

Dans la démarche de définition de la capacité de charge, il est essentiel de prendre en compte les perceptions des visiteurs par rapport à la gestion du site et à sa fréquentation.
Ainsi, l’enquête qualitative est tout à fait adéquate pour mettre en chiffre un phénomène, connaître son ampleur et son évolution. La méthode statistique permet également de mettre en évidence que deux variables peuvent être dépendantes. Il y a deux types de variables : la variable dépendante et la variable explicative, idée que la première dépend souvent de la deuxième. La première phase de cette méthode consiste à élaborer une base de données où les colonnes sont les variables et les lignes correspondent aux individus. Les questions posées sont censées répondre aux objectifs et hypothèses formulées en amont de l’enquête. Une fois cette base de données créée, la seconde étape consiste à administrer les questionnaires. Pour cette étude deux modes d’administrations ont été sélectionnés.

Mode d’administration

Comme il était difficile d’accéder à la clientèle des professionnels de l’eau vive après l’activité, à cause de leurs rotations et d’un temps limité sur le parking du site, un accord a été passé avec eux pour qu’ils fassent passer les questionnaires sur le chemin du retour dans la navette, puisque le trajet dure entre 20 à 40 minutes selon la circulation. Il a également été proposé de laisser des questionnaires à disposition sur les bases des professionnels, lieu où les clients peuvent se changer et discuter avec les guides. 500 questionnaires ont ainsi ont été transmis au professionnels dont 250 en anglais. Ces questionnaires ont donc été auto-administrés, les clients ont remplis eux même les questionnaires.
De mon côté, je me suis donc concentré sur la baignade. La décision s’est portée sur une population mère correspondant aux pratiquants de la randonnée aquatiques et aux baigneurs. Cependant les baigneurs sont souvent des randonneurs, des grimpeurs ou des curieux, on peut donc englober les usagers du site dans la population mère. L’administration de ces questionnaires a été faite en face à face.

L’échantillon et période de d’administration

La procédure pour l’échantillonnage s’est faite de façon aléatoire puisque la population mère est essentiellement touristique et pour le moins inconnue. Il a donc été nécessaire de choisir les personnes interrogées de manière hétérogène. La phase d’administration des questionnaires s’est déroulée à partir du mois Juillet, période à laquelle la fréquentation commence à être importante mais relativement supportable et de terminer l’administration des questionnaires le 15 août, journée la plus fréquentée de la saison. En somme, les deux semaines d’août sont censées être les semaines où la fréquentation est saturée. L’administration des enquêtes quantitatives sur des périodes de fréquentation différentes que sont Juillet et Août dans le Verdon, était un choix stratégique pour comparer le profil du juilletiste et de l’aoûtien. Les professionnels de leur côté ont terminé l’administration des questionnaires le 18 août.

L’analyse des questionnaires : des analyse s descriptives

Une fois l’administration des questionnaires effectuée et les enquêtes récupérées auprès des professionnels, l’ensemble des réponses ont été insérées dans une base de données. Pour cela, le logiciel de traitement de données SPSS a été utilisé. Dans un premier temps il a fallu définir le type de variable à savoir numérique, nominales, la date etc. Cette étape est ce que l’on qualifie de codification du questionnaire. Un nom et une étiquette ont été attribués à la variable correspondant à la question de l’enquête. Pour faciliter l’analyse, les questions étaient majoritairement fermées.Dans la colonne valeur, qui correspond aux différentes réponses possibles, celle ci ont été classées de façon ordinale. Les mesures de ces variables sont donc ordinales. Pour les variables comme la date par exemple, la mesure définit est une échelle. En ce qui concerne les variables définis comme une chaîne soit les questions ouvertes, une mesure nominale a été choisit. Une fois la codification terminée, comme l’illustre la figure ci dessous, les données ont donc été saisies. L’analyse de cette enquête est une analyse descriptive. Dans la rubrique analyse, une sous rubrique effectif permet de présenter les résultats d’une variable sous forme de graphique. L’analyse contient également l’effectif de réponses, de réponses manquantes et l’écart type de celles ci. Il est également possible d’analyser plusieurs données à partir d’un tableau croisé, comme c’est le cas par exemple pour le tableau qui traite de la durée des séjours et les budgets des visiteurs (cf. graphique 6). L’analyse s’est ensuite portée sur les variables faisant l’objet d’un intérêt pour l’étude, à savoir la perception de la fréquentation par les visiteurs, leurs motivations de venir visiter ou pratiquer des activités sur ce site, leurs perceptions par rapport aux stationnements ou à l’aménagement du site etc.

Le comptage des véhicules en stationnement sur le site

Cette partie du travail a été réalisée en collaboration avec les écogardes. Un tableau récapitulatif, des heures de comptages et du nombre de stationnement et de stationnement gênant est présent en annexe . Les écogardes ont réalisé ces comptages deux jours par semaine sur la période Juillet/Août. En complément, du temps d’administration des questionnaires, nous avons effectué un comptage des véhicules deux fois dans la journée lors de l’arrivée et du départ sur le site et environ quatre à six fois par semaine en fonction des lâchers d’eau. Généralement, l’administration des questionnaires n’a pas été effectuée les jours de lâchers d’eau car la randonnée aquatique n’est pas praticable, à l’inverse du raft sur le tronçon Castellane-Point Sublime, au vu du niveau d’eau d’environ 14m³/s.

Les limites méthodologiques

Les limites bibliographiques

Les limites bibliographiques de cette étude porte sur le manque d’apport de la bibliographie nord-américaine sur les carrying capacity. Il est vrai que ce travail s’est principalement consacré à la littérature française notamment des rapports critiques concernant la capacité de charge sur les grands sites naturels et ses limites. La plus grande partie de la recherche a également été de comprendre comment mettre en place la définition des indicateurs et donc de définir la capacité de charge. Beaucoup de temps a donc été perdu dans l’étude de la méthodologie de ce concept. Ainsi les références anglaises ont été mises de côté, toutefois ces dernières sont tout de mêmes présentes en référence dans les articles de la bibliographie de l’étude.

Les limites de la méthode qualitative

Dès le départ, le fait de devoir réaliser des entretiens auprès des acteurs de la gestion du Verdon avait ses contraintes. Tout d’abord, il faut rappeler que le Parc Naturel Régional du Verdon est composé de deux départements, il y a donc double compétence sur ce territoire. Les agents techniques et administratifs sont concernés aussi bien du côté Var que du côté Alpes de Haute Provence. Le but des entretiens semi-directifs n’est pas d’être exhaustif mais représentatif. La première limite de cette étude est le fait qu’elle se cantonne majoritairement à des enquêtes auprès des personnes des Alpes de Haute de Provence. En effet, les représentants du Var n’ont pas été interrogés hormis la fédération de pêche, puisque celle de Castellane n’a pas répondu à la demande d’entretien. Ainsi, l’enquête aurait pu être complétée par des entretiens auprès de la préfecture du Var, ou encore auprès de l’ONEMA etc. Il en va de même pour les socio professionnels. Le choix des entretiens s’est donc principalement porté sur les acteurs installés sur la région de Castellane et de La Pal ud.
Cependant, d’autres compagnies qui proposent des prestations sur le site du Couloir Samson sont également présentes sur le Bas Verdon ou encore sur les Alpes Maritimes. Ces entretiens n’ont pas été réalisés faute de temps et par méconnaissance de ces compagnies.

Les limites de la méthodologie quantitative

Dès l’administration des questionnaires et surtout à la fin, lors de la réception de ces derniers auprès des professionnels de l’eau vive, une limite est très vite apparue : le nombre de questionnaires n’était pas assez important. Pour avoir un résultat représentatif, il aurait fallu atteindre un quota de 500 questionnaires auprès des usagers du site qui aurait pu représenter 250 questionnaires pour la randonnée aquatique et 250 pour la baignade ou 350 pour la randonnée aquatique et 150 pour la baignade. Cependant, comme le relevé ci dessous le démontre, seulement 227 questionnaires ont été administrés, soit moins de la moitié de ce qui était attendu. Il était convenu avec les professionnels que ces derniers administreraient les questionnaires à leur clientèle et que les questionnaires auprès des baigneurs seraient réalisés sur le site. Au vu du nombre de compagnies sur le territoire supérieur à 40, il était possible d’imaginer que si dix compagnies jouaient le jeu et distribuaient deux questionnaires par jour, un objectif de 100 questionnaires par semaine serait atteint. Mais en connaissance de l’organisation des professionnels, il semblait peu plausible que 100 questionnaires par semaine soit réalisés mais 500 questionnaires en un mois semblaient largement réalisables.
D’après le retour des guides, l’administration des questionnaires prenait trop de temps et ces derniers étaient trop compliqués. Toutefois, sur le terrain l’administration auprès des baigneurs était d’environ sept minutes par questionnaire. Le trajet du Couloir Samson, jusqu’à Castellane étant de 20 km approximativement et au vu de la circulation estivale, la durée du trajet est d’environ 30 minutes. Il est vrai que certaines compagnies ne ramènent pas les clients à leurs bases mais sur un lieu de rendez vous, situé soit au camping de Carajuan, soit un peu après celui ci. Ces points de rendez vous sont situés à environ sept kms et dix kms du site. Il est donc largement possible d’administrer un questionnaire sur ce trajet.
L’autre limite à cette enquête est l’administration elle même. Le questionnaire auto administré a comme difficulté les non réponses à certaines questions. Cette limite est ressortie à de nombreuses reprises lors des questionnaires auto-administrés, par exemple la date pour 13 d’entre eux ou plus souvent le budget du séjour etc.

Les limites et contraintes des indicateurs

Les objectifs de l’analyse sont de répondre aux attentes fixées par le stage. Toutefois, ces résultats sont dépendants des indicateurs mis en place et des données qu’il a été possible de recueillir. Ainsi, certains indicateurs n’ont pu être abordés a u cours du stage soit par manque de données ou difficulté d’accès à celles ci notamment en ce qui concerne les données économiques telles que les chiffres d’affaires des compagnies ou encore les retombées économiques des activités d’eau vive sur le Moyen Verdon. Les autres indicateurs n’ont pu être abordés faute de temps.
Les indicateurs qui ont pu être traités sont donc les données concernant la fréquentation dans une certaine mesure, les textes réglementaires en vigueur sur le site, les comptages des stationnements des véhicules effectués durant la période estivale, le nombre de compagnies et leurs salariés obtenues par le secrétaire du GPSEVV et le président du Syndicat des professionnels de La Palud, les représentations des professionnels par rapport à la gestion de ce site obtenues grâce aux entretiens semi -directifs, la représentation des visiteurs à l’aide des questionnaires ainsi qu’une valeur moyenne de leur consommation sur le territoire.

La fréquentation du Couloir Samson

L’évolution de la fréquentation

L’un des objectifs majeurs de ce stage, est de définir ou du moins de percevoir l’évolution de la fréquentation des visiteurs sur le site du Couloir Samson. Bien que le travail du stage n’ait pas consisté à effectuer des comptages de pratiquants de randonnée aquatique ou de visiteurs sur le site, le travail effectué par Léa Meilleurat stagiaire du PNRV en 2014 et grâce aux données des éco-compteurs du CD 04, donne un aperçu de la fréquentation globale sur le site ainsi que du nombre de pratiquants de rando nnée aquatique sur ce secteur de la période allant du mois de Juillet à la fin du mois d’Août.
Les données de comptages du stationnement effectués cette année ainsi que l’arrêté préfectoral, qui limite la fréquence de passage et le nombre de personnes par groupes pratiquants la randonnée aquatique, peuvent également permettre de visualiser une moyenne de la fréquentation du site. En 2012, le groupement des professionnels de Castellane a employé une personne pour comptabiliser les randonneurs aquatiques sur la période Juillet/Août dans le Couloir Samson. Le comptage recense environ 12 000 personnes d’après le pôle activité sport de nature du Parc. Toutefois, le groupement des professionnels ne souhaite pas divulguer la totalité du comptage. Il est donc difficile d’avoir un chiffre précis.
En 2014, Léa Meilleurat a effectué une étude sur la fréquentation de la randonnée aquatique sur le Couloir Samson et sur le cheminement emprunté par les professionnels. Elle a compté 4554 personnes en 85 heures d’observation, ce qui donne par extrapolation les jours où la pratique de la randonnée aquatique est possible (lundi, mercredi, jeudi, samedi et dimanche) du 1 er juillet au 31 aout une fréquentation du Couloir Samson à environ 10 000 personnes :
 700 pers en Juin
 4700 pers en Juillet
 4400 pers Août
 500 pers Septembre

L’arrêté préfectoral encadre l’activité randonnée aquatique

Il n’y a pas de données de comptage pour cet été (l’été 2016), cependant il est possible de calculer le nombre de personne pouvant normalement pratiquer la randonnée aquatique sur la période Juillet/Août. En effet l’arrêté préfectoral n°2014 – 1890003, relatif à la réglementation de la randonnée aquatique sur le Couloir Samson, st ipule que cette activité « est autorisée de 9h à 17h ». Le nombre de personne par groupe ne doit pas excéder huit personnes, plus le guide. Ce qui signifie que six groupes de neuf personnes sont censés passés par heure. Si on multiplie ces 54 personnes qui passent par huit heures soit le nombre d’heure où l’accès au site est autorisé alors cela fait un total de 432 passages journées, avec un cadencement à 10 minutes. Ainsi pour le moi s de Juillet 2016, où il y a eu huit jours de lâchers d’eau, il y a donc eu 23 jours de randonnée aquatique. Ce qui veut dire que pour le mois de Juillet, 9936 personnes sont censés avoir pratiqués cette activité dans le Couloir Samson.
Cependant pour le mois d’Août l’arrêté préfectoral a été modifié pour les 15 premiers jours
du mois, après demande effectuée par les professionnels auprès de la préfecture. Il y a eu neuf jours de lâchers d’eau : deux sur les 15 premiers jours du mois et donc sept sur la dernière quinzaine. Ce qui signifie qu’au vu de l’arrêté préfectoral, avec un cadencement à sept minutes, 7956 passages ont pu avoir lieu. Il faut rajouter à cela, les neuf autres jours de la fin du mois où le cadencement est repassé à dix minutes, ce qui donne un nombre de passages équivalent à 3888, additionné à ceux des 15 premiers jours, cela fait la somme de 11 844 passages pour le mois d’Août.
Il ressort majoritairement de l’enquête quantitative auprès des interrogés, que la fréquentation est perçue comme moyenne de la part des pratiquants et des baigneurs à 53%. Toutefois 30% des pratiquants jugent la fréquentation importante. Quand on demande à ces mêmes interrogés si la fréquentation leur a posé problème, ils sont 97% à répondre non, alors que plus de 30% d’entre eux trouvent la fréquentation importante ou très importante.
À l’aide du graphique suivant, il est intéressant de comparer la perception de la fréquentation par rapport à la date d’administration du questionnaire. En effet, il est possible de remarquer que les interrogés trouvent la fréquentation plus importante sur les deux premières semaines du mois d’Août, ce qui confirme aussi la forte affluence de la période. À l’inverse du 12 au 20 Juillet la fréquentation est largement considérée co mme moyenne par les enquêtés. Il faut toutefois relever que c’est aussi la période où le nombre de questionnaires administrés est le plus important. Il est intéressant de noter que les journées du 4, 5, 8, 11, 14 et 15 août sont jugées comme étant les jour nées où la fréquentation est importante ou très importante par les visiteurs. Ces dernières correspondent à des journées de très fortes affluences corroborées par les données de comptages, où le nombre de stationnement et notamment de stationnement gênant sont très élevés.

La situation économique des compagnies d’eau vive du Verdon

L’évaluation des retombées économiques

Il a été mentionné au préalable que pour calculer la capacité de charge d’un site, il est nécessaire d’évaluer la capacité du territoire en termes de retombées économiques. Il existe actuellement deux approches au sein de l’économie des espaces naturels. La première est une approche des services écosystémiques qui a pour but de traduire la contribution des espaces naturels au bien être des populations et des touristes. La seconde est l’approche des retombées économiques qui vise à évaluer les retombées des sites naturels en termes économiques, sociaux et fiscaux . Elle se compose de trois types de retombées. Les retombées directes qui concernent les dépenses réalisées sur le site . Les retombées indirectes correspondent aux consommations intermédiaires locales et enfin les retombées induites qui sont issues des dépenses de la population locale et des employés ayant bénéficié des effets de la fréquentation touristique.
Ce type de méthode est couramment utilisé par les grands sites naturels de France, afin de percevoir la contribution économique des acteurs pour leurs activités touristiques au développement économique du territoire.
Cet outil est donc nécessaire aux demandes des gestionnaires pour approcher l’évaluation économique d’un espace naturel ou plus largement d’un territoire comme le Parc. Il semble pourtant difficile de pouvoir réaliser une évaluation économique aussi complexe pour plusieurs raisons. La première est qu’il faut posséder des compétences en économie pour pouvoir calculer les effets indirects et induits. La seconde est qu’il est très compliqué de pouvoir accéder aux chiffres d’affaires des compagnies locales pour cause logistique notamment et qu’il faut cibler tous les acteurs du secteur touristique, (prestataires d’activités de sport de nature, restauration, hôtel etc.), connaître le nombre de saisonniers, leurs dépenses etc.
Pour pouvoir tout de même apporter des éléments de réponses à cette enquête, plusieurs points ont pu être étudiés. Tout d’abord, il a été possible de recenser le nombre de compagnies d’eau vive présentes sur le territoire d’étude ainsi que le nombre de salarié s de chacune de ces sociétés. Le chiffre d’affaire des compagnies reste quant à lui difficilement accessible, cependant il existe des données globales sur ce sujet datant de 2008. Ensuite il a été possible d’évaluer le pourcentage des dépenses journalières des personnes interrogées sur le site du Couloir Samson et leurs budgets vacances. S’ajoute à cela, la durée de leur séjour et le type d’hébergement vers lequel les enquêtés se tournent le plus lors de la saison estivale.

Etat des lieux et évolution des compagnies d’eau vive sur le territoire

Cette sous partie est consacrée aux professionnels de l’eau vive et à la randonnée aquatique sur le territoire. En effet, l’objectif de ce stage est d’évaluer l’évolution des activités d’eau vive sur le site du Couloir Samson. L’attention est portée sur la randonnée aquatique car celle ci est l’une des seules activités d’eau vive qui se déroule sur ce site. Les autres activités telles que le raft ou l’hydrospeed ne font qu’y débarquer. C’est aussi la seule activité permettant de découvrir les Gorges de l’intérieur. Accessible à tout public, ludique et sensibilisante, elle devient vite une activité phare de la découverte du Verdon . Il est important de rappeler que cette activité s’est largement développée avec la révision des débits réservés par EDF . Il est bon de préciser que les données présentées ci dessous sont des données globales, qui peuvent être remise en cause. En effet, pour le Parc, comme pour moi, il est très difficile d’accéder aux données économiques des compagnies d’eau vive. Ainsi l’information à notre disposition est très succincte.

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Table des matières

Remerciements 
Liste des abréviations 
Introduction 
I- Le Verdon, une rivière, un territoire, un parc : contexte du territoire et objectifs du Parc Naturel Régional du Verdon
II- Méthodologie
III- Résultats
IV- Pistes d’améliorations
Conclusion
Annexes 
Glossaire 
Bibliographie  
Table des figures 
Table des matières .

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