LE TRAUMATISME DES MEMBRES 

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Les muscles squelettiques du membre supérieur

Les muscles qui croisent l’articulation de l’épaule

Neuf muscles croisent l’articulation de l’épaule pour effecteur les mouvements de l’humérus. Parmi ceux-ci, sept trouvent leurs origines sur l’omoplate et deux viennent du squelette axial
Quatre muscles font partie de la coiffe de rotateur et contribuent à la stabilisation de l’articulation de l’épaule.
Généralement, les muscles antérieurs effectuent laflexion, rotation et adduction du bras . Ceux qui sont postérieurs assurent l’extension, rotation et adduction du bras. Le deltoïde de l’épaule est l’agoniste dans l’abduction de l’épaule ( Annexe 1).

Les muscles qui croisent l’articulation du coude

Les muscles qui produisent les mouvements de l’avant-bras forment la partie charnue du bras (annexe 2).
Les muscles antérieurs du bras sont les fléchisseurs de l’avant-bras tandis que les muscles postérieurs sont les extenseurs de l’avantbras.

Les muscles de l’avant-bras

Les mouvements du poignet, de la main, et des doigts sont principalement effectués par les muscles qui prennent leurs origines sur l’avant-bras.
A l’exception de deux pronateurs, les muscles de la loge antérieures de l’avant-bras sont les fléchisseurs du poignet et des doigts, ceux de la loge postérieure seront les extenseurs du poignet et des doigts..
Les muscles intrinsèques de la main contribuent aux mouvements des doigts ( Annexe 3) .

Les articulations des membres supérieurs 

L’articulation de l’épaule

L’articulation de l’épaule est une articulation sphénoïde formée par la tête humérale et la cavité glénoïdale de l’omoplate. ‘estC une articulation plus mobile de tout le corps; elle permet touts les mouvements angulaires et circulaires. Ses surfaces articulaires sont peu profondes. Sa capsule est lâc he et mal renforcée par les ligaments. Les tendons des muscles de biceps brachial et de la coiffe des rotateurs contribuent à sa stabilité.

Les articulations du coude

Le coude est une articulation trochléenne dans laquelle le cubitus ( et radius ) s’articule avec l’humérus et permet la flexion etextension . Les surfaces articulaires sont tout à fait complémentaires et constituent le facteur le plus important dans la stabilité de l’articulation.

Les articulations du poignet

L’extrémité inférieure du radius ( et cubitus ) articules’ avec les os de la première rangée des carpiens. C’est une articulation type condylienne rendant possible des mouvements angulaires du poignet : flexion, extension, abduction et adduction .

Les articulations de la main

Qui sont : l’articulation trapézo-métacarpienne, articulationl’ des quatre métacarpiens et les articulations inter-métacarpiennes maintenues par les ligaments latéraux internes et les ligaments latéraux externes.

Les articulations des doigts

Elles sont l’articulation métacarpo-phalangiennes et l’articulation inter-phalangiennes maintenues par les ligaments latéraux internes et les ligaments latéraux externes.

Les membres inférieurs

La ceinture pelvienne est formée de deux os iliaques qui relient les membres inférieurs au squelette axial. Chaque membre inférieur comprend la cuisse, la jambe, le pied et est conçu pour supporter le poids du corps et pour se déplacer.

Le squelette appendiculaire inférieur

Le squelette du bassin est constitué par les os iliaques et le sacrum. Chaque os iliaque comprend trois os soudés ensemble: l’ilion, l’ischion et le pubis. La fosse articulaire de l’os iliaque reçoit la tête du fémuret se situe au point de jonction de ces trois os.
L’ilion constitue la partie supérieure évasée de’osl iliaque, et il est solidement fixé en arrière aux ailes du sacrum.
L’ischion est en forme de L. Les os de pubis en forme de V s’articulent ensemble en avant pour former la symphyse pubienne.
– Le fémur est l’unique os de la cuisse,
– Les os de la jambe sont le tibia et le péroné,
– Les os du pied sont les tarsiens, les métatarsiens et les phalanges. Les tarsiens les plus importants sont le calcanéum et l’ astragale (7).

Les muscles squelettiques du membre inférieu

Les muscles qui croisent les articulations de la hanche et du genou

Les muscles antéro-internes comprennent les fléchisseurs et les adducteurs de la cuisse, et les extenseurs du genou.
Les muscles de la loge postérieure de la cuisse autorisent l’extension de la hanche et la flexion du genou ( Annexe 4 ) .

Les muscles de la jambe agissent sur la cheville et sur les orteils 

Les muscles de la loge antérieure sont en grande partie responsables de la dorsiflexion de la cheville.
Les muscles de la loge latérale ouvrent la flexionplantaire et l’éversion du pied. Ceux de la loge postérieure effectuent la flexion plantaire. Les muscles intrinsèque du pied soutiennent la croûte plantaire et contribuent aux mouvements des orteils (Annexe 5).

Les articulations des membres inférieurs (5)(6

L’articulation de la hanche

– C’est une articulation sphéroïde formée de la têtefémorale et de la fosse acétabulaire de l’os iliaque.
– Elle est extrêmement bien adaptée pour supporter lepoids de la tête et du tronc.
– Les surfaces articulaires sont profondes et solides.
– La capsule épaisse est renforcée par des ligaments: ligament de Bertin, ligaments-pubo-fémorale, ligaments ischio-fémoraux,ligament rond.

L’articulation du genou

C’est une articulation trochléenne formée par le ondylec fémoral et la partie supérieure du tibia ainsi que la rotule située sur la face antérieure.
Les surfaces articulaires sont peu profondes et condyliennes. Des ménisques en forme de croissant approfondissent les surfaces articulaires du tibia.
Plusieurs ligaments extra-capsulaires et les ligaments intra-capsulaires
( antérieur et postérieur ) contribuent à empêcherle déplacement anormal des condyles du fémur sur les surfaces articulaires du tibia.

Les articulations du cou du pied et du pied

Le cou du pied est un ensemble de plusieurs articulations de type très variable responsable d’une grande mobilité du pied.
Elle intéresse la surface articulaire des malléoles interne et externe avec la surface articulaire de l’astragale . Le calcanéum et l’astragale s’articulent entre eux et se situent dans la partie postérieure du pied. Ils supportent tout le poids du corps.

LE TRAUMATISME DES MEMBRES

Définition

Le traumatisme est une violence d’origine externe qui peut provoquer sur la région d’impact des lésions tissulaires ou osseuses, et sur l’organisme , une réaction de déficit ou un état de choc.
Les différentes lésions qu’on peut rencontrer dansles traumatismes des membres
– Des lésions cutanées: contusion.
– Des lésions musculaires : élongation, contracture,déchirure musculaire.
– Des lésions articulaires: luxation, entorse.
– Des lésions osseuses: les fractures.
Nous relevons ici les lésions traumatiques courantes des membres qui peuvent
entraîner des séquelles ayant nécessité une priseen charge au service de rééducation.

Les principales lésions traumatiques courantes du membre supérieur

Traumatisme de l’épaule

Fracture de la clavicule 

Traumatisme direct en règle générale, secondaire àun choc sur le moignon de l’épaule ou traumatisme par chute d’un objet lourdsur la face supérieur.
Types de fractures ( Annexe 6a)
– Les fractures du tiers moyens, plus fréquentes.
– Les fractures des tissus externes : selon Neer et Latarjet, il existe 3 types :
a – type I : Trait de fracture siège sur la clavicule, les ligaments conoïde et trapezoïde sont intacts.
b- type II : Trait de fracture siégé sur le même niveau, rupture de ligament conoïde et déplacement du fragment interne. c- type III : Une fracture du tiers externe avec un troisième fragment.
– Les fractures du tiers interne .
Diagnostic de la fracture est purement clinique dans la majorité du cas devant la saillie du fragment interne qui soulève la peau .
Traitement soit:
– Réduction orthopédique avec immobilisation du membre supérieur en abaissement- retropulsion soit par le boléro, soit par le pansement en 8 chiffres pendant six semaines (9).
– Réduction sanglanteavec
• Embrochage avec écharpe pendant 4 semaines
• Plaqué visée avec 2 semaines d’écharpe.
• Fixateur externe pour la fracture ouverte.

Fracture de l’omoplate

Elles sont rares, il faut bien distinguer dans ces fractures 3 types :
– les fractures de la glène,
– les fractures du pilier,
– les fractures du corps de l’omoplate (Annexe 6 b).
Le diagnostic est difficile autant clinique, car elles font partie en générale d’un traumatisme important de l’épaule, que radiologiquecar la mise en évidence des traits de fracture est mal aisée .
Le traitement des fractures de l’omoplate dépend dudéplacement et des lésions associées. Le plus souvent, il est orthopédique; immobilisationl’ de 4 semaines suffit dans la plupart des cas .

Luxation de l’épaule

Luxation acromio-claviculaire 

– Le mécanisme est une chute sur l’épaule ou coude.
– Le diagnostic est représenté par des signes cliniques: douleur et impotence fonctionnelle, saillie anormale de l’extrémité externe de la clavicule réductible à la pression digitale ( mobilité en touche de piano)
– Le traitement soit:
• Réduction orthopédique sous anesthésie générale, etles dispositifs d’immobilisation utilisés sont de plus divers : contentions par strapping, écharpe, attelles.
• Réduction sanglante dans des cas compliqués ou en asc d’échec de la réduction orthopédique.

Luxation antéro-interne

Une perte de contact entre la tête humérale et lacavité glénoïde. La tête humérale passe en avant et en dedans.
Elle succède soit à un choc direct sur la partie postérieure de l’épaule, soit à une chute sur la main ou coude accompagnée d’une abduction, retropulsion et rotation externe.
Diagnostic : fait par les examens cliniques.
A l’inspection: Moignon de l’épaule aplati en épaulette, coup de ache deltoïdien, bras en abduction et vue de profil, élargissement antéro-postérieur du moignon de l’épaule .
A la palpation :
– Sensation de vide sous acromial,
– Tête humérale palpable en avant et en dedans de l’épaule,
– Abduction irréductible élastique,
– Adduction impossible.
La radiographie confirme la situation anormale de la tête humérale.
Traitement
Un traitement orthopédique qui doit être réaliséurgenced’ sous anesthésie générale. Le principe est celui du dégagement partraction vers l’axe du membre et réintégration de la tête humérale par rotation intern du bras. Contention pendant 3 semaines par un bandage du jarrier

Autres luxations de l’épaule

– Luxation postérieure,
– Luxation inférieure,
– Luxation supérieure.

Fractures de l’extrémité supérieure dehumérusl

Elle succède à un traumatisme indirect sur le coude soit en abduction ou adduction.
Classification anatomo-pathologique des fractures.

Fractures du col chirurgical

Trait de fracture horizontal ou oblique en bas et en dedans souvent présence d’un trait de refend détachant la grosse tubérosit.
Des fractures non engrenées
Le fragment diaphysaire venant se placer en avant et en dedans de fragment épiphysaire.
Des fractures engrenées
Avec pénétration de la diaphyse humérale dans la métaphyse en formant une angulation soit:
• Un angle souvent en dedans ou fracture engrenée paradduction.
• Un angle ouvert en dehors ou fracture engrenée parabduction.

Fractures du col anatomique

Le trait de fracture est oblique en bas et en dedans.
Des fractures non engrenées (Annexe 7d)
Elles s’agissent le plus souvent de luxation – fracture avec tête humérale dans l’aisselle et le rèse de l’humérus dans la cavitéglénoïde.
Des fractures engrenées (Annexe 6c) La tête humérale bascule en arrière.
Traitement
– Traitement orthopédique avec immobilisation par plâtre ou bandage, coude au corps pendant 3 semaines pour les fractures engrenées ou peu déplacées.
– Réduction orthopédique suivie d’immobilisation avectraction pour les fractures non engrenées .
– Traitement sanglante après échec de la réduction orthopédique le plus souvent,
avec contention par vissage, clou plaque , vis plaque ou prothèse type Neer.

Traumatisme du bras

Fractures de la diaphyse humérale
Ce sont des fractures fréquentes qui siègent entrel’insertion du grand pectoral en haut et une ligne passant à quatre travers de doits au-dessus de l’interligne du coude (Annexe 7f).
Elles succèdent à un choc direct ou à un traumatis me indirect entraînant une torsion sur le coude (Annexe 7 e ).
Diagnostic est évident par la présence de douleur violente, déformation apparente avec une crosse antéro-externe.
La radiographie montre la trait de fracture qui siège en pleine diaphyse; transversal ou oblique, comminutif en cas de choc direct.
Traitement
Traitement orthopédique
Pour les fractures sans déplacement: immobilisation pendant 45 à 60 jours par plâtre thoraco-brachial en abduction ou par apparei l de Pouliquer.
Pour les fractures avec déplacement : Hanging plâtré.
Traitement chirurgical
– Enclouage centro-médulaire.
– Embrochage.
– Plaque vissée.
– Fixateur externe.

Traumatisme du coude

Les fractures de l’extrémité inférieuree dl’humérus

Classification

• Les fractures extra- articulaires (Annexe 8g)
– Fracture supra-condylienne
– Fracture de l’épitrochlée
– Fracture de l’épicondyle
• Les fractures articulaires
– Fracture sus et intercondylienne
– Fracture de la trochlée.
– Fracture du condyle externe.
– Fracture du capitellum: décollement du condyle huméral.
– Décollement épiphysaire

Le diagnostic

Ce sont des fractures extrêmement fréquentes surtouchez l’enfant. Elles sont caractérisées par leur difficulté diagnostique carla radiographie du coude parfois difficile à lire pour l’œil non averti .

Le traitement

Le traitement orthopédique est indiqué dans les fractures extra-articulaires sans déplacement. Il se fait par plâtre brachio-antébrachial à 90° de flexion du coude en pronation neutre . La durée d’immobilisation variede 3 à 6 semaines.
Le traitement chirurgical est indiqué dans les fractures extra-articulaires déplacées et articulaires. La réduction des surfacearticulaires doit être maintenue par un ostéosynthèse solide et stable, autorisant une ééducationr immédiate et laissant libre les fossettes articulaires.
Les techniques utilisées sont:
– L’embrochage.
– Le vissage.
– La plaque vissée moulée.
Ces fractures seront par la suite immobilisées par attelle plâtrée postérieure durant 3 à 6 semaines.

Fractures de l’extrémité proximale du radius 

Elles succèdent indirectement par valgus forcé en pronation ou en supination.

Les types de fracture

• Chez l’adulte (17)
Elles intéressent le plus souvent le volume cylindrique de la tête radiale. Les fractures du col sont rares.
Selon MASON, on distingue 3 types :
Type I : Fissure sectorielle marginale de la tête sans déplacement.
Type II : Fracture sectorielle marginale avec déplacement.
Type III : Fracture comminutive intéressant l’ensemble de latête ( Annexe 8h).
• Chez l’enfant
Il s’agit presque toujours de fractures métaphysaires dont le trait siège au col du radius ou en dessous de cartilage de croissance.

Le traitement

Traitement orthopédique et contention par un plâtre brachio-anti-brachial pendant 21 jours.
En cas d’échec, traitement chirurgical avec contention par embrochage suivie d’un plâtre brachio-antibrachial pendant 3 à 6 sema ines.

Fractures de l’extrémité proximale du cubitus 

Ce sont des fractures très fréquentes dues à un traumatisme direct sur le coude ou indirect par chute sur l’avant-bras. Le coude étant en demi-fléxion.
Le diagnostic est simple: le coude est gros, déformé, il existe une dépression transversale postérieure douloureuse et une modification des repères normaux du coude par ascension de l’olécrâne.
Le traitement est chirurgical, les techniques utilisées sont :
– Le haubanage, cerclage.
– La plaque vissée.
L’immobilisation est mise en place pendant 3 semaines, le coude étant fléchi à 45°.

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Table des matières

INTRODUCTION 
PREMIERE PARTIE : CONSIDERATION GENERALE
I- BREF RAPPEL ANATOMIQUE 
1-1- Les membres supérieurs
1-1-1- Le squelette appendiculaire supérieur
1-1-2- Les muscles squelettiques du membre supérieur
1-1-3- Les articulations des membres supérieurs
1-2- Les membres inférieurs
1-2-1- Le squelette appendiculaire inférieur
1-2-2- Les muscles squelettiques du membre inférieur
1-2-3- Les articulations des membres inférieurs
II- LE TRAUMATISME DES MEMBRES 
2-1- Définition
2-2- Les principales lésions traumatiques courantes du membre supérieur
2-2-1-Traumatisme de l’épaule
2-2-2-Traumatisme du bras
2-2-3-Traumatisme du coude
2-2-4-Traumatisme de l’avant – bras
2-2-5-Traumatisme du poignet
2-2-6-Traumatisme de la main et des doigts
2-3- Les principales lésions traumatiques courantes du membre inférieur
2-3-1- Lésions traumatiques du bassin et de la hanche
2-3-2- Traumatisme de la cuisse
2-3-3- Traumatisme du genou
2-3-4-Traumatisme de la jambe
2-3-5-Traumatisme de la cheville
2-3-6- Traumatisme du pied
III- LA REEDUCATION FONCTIONNELLE 
3-1- Définition
3-2-Bilan de la kinésithérapie
3-2-1- Examen cutané
3-2-2- Bilan morphologique
3-2-3- Bilan articulaire
3-2-4- Bilan musculaire
3-3-Techniques de base de la kinésithérapie utilisable en traumatologie
3-3-1- Massage
3-3-2- Mobilisations
3-3-3- Renforcement musculaire
3-3-4- Autres techniques de la kinésithérapie
3-4- Lésions traumatiques devant faire l’objet d’indication de la
rééducation fonctionnelle
3-4-1- Membre supérieur
3-4-2- Membre inférieur
DEUXIEME PARTIE : NOTRE ETUDE
A – OBJECTIF D’ETUDE
B – CADRE D’ ETUDE
C- RECRUTEMENT DES DOSSIERS
1- Les critères d’inclusions
2- Les critères d’exclusions
D- CRITERES D’EVALUATION DES RESULTATS
E- MATERIElS D’ETUDES
I-PRESENTATION DE NOS OBSERVATIONS MEDICALES SOUS FORME DE TABLEAU 
II-RECAPITULATION DES CAS TRAUMATISES DU MEMBRE SUPERIEUR 
2-1- Légendes
2-2- Les cas observés du membre supérieur
2-2-1- Répartition selon l’âge
2-2-2- Répartition selon le sexe
2-2-3- Répartition selon la provenance
2-2-4- Répartition selon la profession
2-2-5- Les types de lésions pour le membre supérieur
2-2-6- Répartition selon le mode d’admission au service de rééducation fonctionnelle
2-2-7- Répartition selon la circonstance de l’accident
2-2-8- Répartition selon les premiers soins reçus
2-2-9- Répartition des traumatisés selon le traitement entrepris après l’accident
2-2-10- Répartition selon la durée de temps entre l’accident et le début de la rééducation fonctionnelle
2-2-11- Répartition selon l’assiduité au traitement de la Kinésithérapie
2-2-12- Répartition selon le nombre de séance de rééducation fonctionnelle
2-2-13-Répartition des traumatisés du membre supérieur selon les résultats de la rééducation fonctionnelle finale
III-RECAPITULATION DES CAS TRAUMATISES DU MEMBRE INFERIEUR 
3- 1-Légendes
3-2 -Les cas observés du membre inférieur
TROISIEME PARTIE : COMMENTAIRES ET SUGGESTIONS COMMENTAIRES 
SUGGESTIONS
CONCLUSION 
ANNEXES
BIBLIOGRAPHIE

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