Le tourisme périurbaine

Écotourisme et biodiversité

Principes L’association des principes de l’écotourisme avec ceux du développement durable (et donc la conservation de la nature) rencontre les faveurs de nombreux organismes internationaux (ONU, ONG, Gouvernement et leurs agences…) Il doit pour ces derniers satisfaire à plusieurs critères :
– La conservation nécessaire à la préservation de la biodiversité et de ses fonctions… à travers la protection. L’opérateur touristique devrait justifier de l’absence d’efforts de conservation quand de tels efforts n’existe pas ;
– Éduquer des voyageurs sur l’importance de la conservation
– Respect de la diversité naturelle et ses liens à l’environnement
– Minimiser les impacts négatifs sur la nature et la culture que pourrait endommager une activité touristique ;
– Il faut travailler en coopération avec les autorités et populations locales pour que l’activité économique apporte un double bénéfice, une réponse aux besoins locaux de développement et aux besoins de conservation de la nature ;
– Les revenus et autre bénéfices tirés de l’écotourisme doivent directement bénéficier aux populations de l’aire concernée et à celles qui en sont riveraines et être utilisés pour la protection, la gestion, restauration, conservation et surveillance de la nature et des zones protégées.
– Vérifier que la pression de l’écotourisme soit toujours inférieure aux limites naturelles et aux changements acceptables socialement pour la population autochtone et locale, avec des seuils à déterminer en amont par des chercheurs, avec la population.
– Les principes et critères généraux du développement durable doivent être respectés par l’écotourisme, l’utilisation d’infrastructures (accueil, routes, pirogues et autres moyens de transport…) L’encouragement du développement durable, en fournissant des emplois au aux populations locales et autochtones.
– Le partage des bénéfices socio culturels avec les communautés locales en obtenant leur plein accord et accord éclairé, pour une participation à l’activité éco touristique et la gestion de ses impacts.
Pour de nombreux pays, l’écotourisme n’est plus préconise comme une activité marginale destinée à financer la protection de l’environnement mais parce qu’il y est devenu un secteur moteur d’une économie nationales, et un moyen de générer des revenus. Par exemple, dans des pays tels que le Kenya, l’Équateur, le Népal, le Costa Rica et Madagascar, l’écotourisme est devenu la principale source de devises. (Principe et critère en novembre 2012) guide de bonne pratique en tourisme durable.
Évolution de la notion d’écotourisme On parle un peu de code éthique en écotourisme, d’après ça la majorité était la conservation de la biodiversité à la compréhension de la culture. Et le principe c’est toujours la notion de non collecte de la faune et de la flore et ainsi le héritage culturelle. (Synthèse écotourisme. Pdf).
Importance de l’écotourisme et sa biodiversité La priorité de donnée à la valeur économique de la nature fait partie des réalités sociales. Le tourisme proche de la nature désira une importance croissante car il peut maintenir l’économique locale et nationale. Le tourisme environnant de la nature et écotourisme sont également importants en ce qu’ils convaincront à protéger la nature et à tenir les espaces protégés. Tout un chacun doit soutenir un rôle dans la préservation de notre environnement. Le tourisme proche de la nature les loisirs en plein air peuvent coopérer à intégrer cette idée de protection en amenant les gens à estimer davantage la nature mais aussi à l’être plus conscients de la disparition croissante des paysages ouverts et de l’impact de nos modes de vie sur l’environnement naturel. Dans la mesure où l’on est plus sensible à ces questions, on est aussi plus prêt à soutenir des mesures de protection et à s’engager personnellement. Ces espaces jouent donc un rôle important, pas seulement pour la protection de la biodiversité. On peut résumer que toutes les espaces protéger à la société n’y a pas la même importance dans chaque région. Les espaces réserve servant la biodiversité, en effet sur la protection de la nature, l’agriculture, la santé et les relations extérieures ; Ils élaborent un partie pour le tourisme et c’est pour le développement économique régional et local ; Ils participent à la disposition d’un environnement local aux communes lors des environnements sain, de paysage ouvert et de possibilités de loisirs, qui avoir bénéficié sur la qualité de vie de la population locale. Quand ils exportent le produit forestiers et pour à l’économie forestiers de la commune et ainsi évolution économique. Mais pas tout à fait, ils ont aussi la protection de sol ainsi que les effets sur l’agriculture et aussi plantation de ressource naturelle. Ils fournissent de grandes surfaces constituant des puits de carbone, bénéfiques à la politique énergétique et à de bonnes relations extérieures ; ils constituent un cadre pour des établissements de recherche. (Écotourisme en novembre 2012).
Valeur de la biodiversité Madagascar avec de 1,7 millions d’espèces, alors la biodiversité est l’un la plus grande valeur dans la plante. Mais malheureusement cette richesse important pourtant en danger car presque plus de 16000 espèces d’animaux et de plante est désigné d’être menacées. En autreMadagascar est un pays priorité mondiale en issue de conservation de la biodiversité. Ensuite, il y a cinq famille de plante cache dans cette l’ile, au sein de ses biodiversité à peu près 14000 espèces végétales, et près de 90% sont endémique. (Conservation International Madagascar) année 2014

Description générale

                     Pour aller à Antsanitia, la route principale d’Amborovy doit être longée. On peut apercevoir des fragments de palétuviers formant une frange de part et d’autre de la digue entre le quartier d’Andovinjo ou mazavahuile jusqu’au pont manapatanana, avec l’espèce d’Avicennia marina(Avicenniaceae) ou afiafy qui prédomine. De nouvelles constructions sont constatées sur place ; par ailleurs, c’est l’une des menaces qui pèse sur l’afiafy restant. Arrivée à Amborovy, on rencontre l’aéroport de Philibert Tsiranana. A partir de là, on poursuit une route secondaire et on traverse de terrain agricoles des villageois aux alentours. Parmi les plantes cultivée, on peut citer : les ciboulettes, les petsai, les concombres,…. Parmi les sites touristiques les plus réputés et situés non loin de la ville, on peut citer aussi le lac sacre de Mangatsa

Avicennia marina(Avicenniaceae) ou (afiafy)

                 Le littoral de la Région Boeny est bordé de vaste de mangrove tout au long de canal de Mozambique, qui frayères aux poissons et crustacés, d’habitat aux oiseaux, de zone de multiplication à soie sauvage et protègent le continent contre la marée et les cyclones, les vagues houleuses, la dégradation de l’environnement marin, l’érosion côtière. Ces palétuviers ou « honko » reste un bois de construction très prise par les majungais. (ORTB) 2015. Les espèces Avicennia marina(Avicenniaceae) est l’une de 7 espèces de palétuviers au sudouest de Madagascar Elle se développe sur le sableux ou vaseux ou même sur le salée. C’est une espèce la plus adaptée qui résiste presque dans tout le milieu. Dans la zone d’Antsanitia on peut visiter aussi des mangroves à Avicennia marina

Recommandations et Solutions

                La route qui mène de l’aéroport vers Antsanitia est une route secondaire difficilement accessible surtout pendant la saison humide ce qui mérite d’être améliorée afin d’assurer la fluidité du tourisme toute l’année. En effet, pendant la saison sèche le passage sur la route vers les sites précités entraine ont beaucoup de poussière, si on parle un peu de sante sur le lieu périurbain on peut citer l’insuffisance de l’eau potable dans cet endroit et d’hôpital et aussi le wc. Cette étude ouvre un nouvel itinéraire de recherche qui mérite d’être élargi. Pour développer le paysage rural et valoriser le patrimoine biologique des flores spécifique, nous faisons les propositions suivantes : Alors pour attirer une panoplie de touriste, il est préférable de veiller aux sante des visiteurs et de ceux qui accueil (villageois). Le foret d’Antsanitia est un foret secondaire mais elle est dégradée à cause de feux de brousse donc ce fléau est la cause de la mortalité de plante. Il faut développer et avoir plus de pépinières dans cet endroit pour offrir aux paysans des boutures ou des semi d’arbuste et d’arbres destinés aux reboisements ; Les touristes pourront participe aux activités de reboisement. Donc la pépinière a pour but de donner une nouvelle vie aux forêts dans cette région ou les feux de brousse fait rage. Il faut renforcer le développement du produit touristique encore plus attirant aussi et avec la participation des touristes. Il faut aussi convaincre les villageois pour éviter ce phénomène dévastateur causé par l’homme, il faut faire comprendre aux villageois l’importance de l’écotourisme. Il faut privilégier les plantes alimentaires comme les maniocs et les arbres fruitier tel que : les manguiers…
• Il faut avoir des différentes structures d’accueil :
Comme les panneaux de signalisation : on trouve de règlement, la discipline et le circuit
Envers le centre d’écotourisme :
– logistique une ouverture, buvette, restauration, toilettes, hôtel
– Proposer des activités (vélo, randonne,)
– Développer les différents événements, les expositions, la participation public
– Information et valorisation des produits locaux
Donc il faut plus des activités ou des évènements sur ce lieu touristique comme l’activité de course de vélo,

Le rapport de stage ou le pfe est un document d’analyse, de synthèse et d’évaluation de votre apprentissage, c’est pour cela rapport-gratuit.com propose le téléchargement des modèles complet de projet de fin d’étude, rapport de stage, mémoire, pfe, thèse, pour connaître la méthodologie à avoir et savoir comment construire les parties d’un projet de fin d’étude.

Table des matières

INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : GENERALITE
CHAPITRE I. CONTEXTE GENERAL
I.1.Présentation de la zone d’étude
I.2. Culture périurbaine
I.3. Ecotourisme et culture périurbaine
I.4. Ecotourisme et biodiversité
I.4.4. Valeur de la biodiversité
DEUXIEME PARTIE : METHODOLOGIE ET RESULTATS
CHAPITRE II : Méthode d’étude
II.1. Analyse bibliographique
II.2. Descente sur terrain
II.3. Enquête socio-économique
II.4. études socio-économiques
II.5. Inventaire floristique
II.6. Cartographie
CHAPITRE III : RESULTATS
III.1. Description générale
III.2. Cartographie des sites périurbains à attraits touristiques
III.3. Liste floristique des espèces
III.4. Les différents sites
TROISIEME PARTIE : RECOMMANDATIONET SOLUTION
CHAPITRE IV. Recommandations et Solutions
IV.1. Antsanitia
IV.2. Au lac sacre de Mangatsa
IV.3. Recommandation par rapport aux activités
CONCLUSION

Télécharger le rapport complet

Télécharger aussi :

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *