Le tourisme et le patrimoine culturel : enjeux et développement dans la région de Baalbeck-Hermel 

Problématique

Notre choix du Mohafazat de Baalbeck-Hermel en tant que terrain de recherche supposait de tenir compte de son contexte social particulier et des conditions économiques et organisationnelles qui y règnent. En effet, dans le cadre d’une géographie du tourisme, le territoire n’est pas envisagé en tant qu’un simple espace et lieu de vie de sa population locale mais surtout comme le lieu de leurs pratiques sociales. Dans ce sens, l’analyse de la situation actuelle à travers un diagnostic de ce territoire nous permettra de mieux déterminer les problèmes que connaît la région pour ensuite énoncer les conditions qui feront peut-être du tourisme, un vecteur de développement de la mohafazat Baalbeck-Hermel. Alors, cette étudeportera plus particulièrement sur une question principale : le tourisme de savoir-faire peut-il être un moteur de développement de la région Baalbeck-Hermel ? Cette problématique se décline en une série de questionnements.
Tout d’abord, nous chercherons à comprendre quels sont les avantages de l’approche du développement « territorial » face aux modèles classiques de développement industriel qui se basent sur les matières premières et les grandes entreprises surtout dans les pays en voie de développement. En ce qui concerne notre territoire d’étude, nous tenterons de repérer les acteurs locaux, nationaux et internationaux qui sont concernés par le processus de développement du secteur touristique et patrimonial au Liban. Puis, un diagnostic du territoire d’étude nous permettra de déterminer quelles sont les forces et les faiblesses du mohafazat ainsi que les opportunités à saisir et les menaces qui pourraient contraindre le processus de développement. En terme d’opportunité, il serait important d’examiner quelles sont les caractéristiques et les ressources patrimoniales à valoriser dans le territoire étudié et s’il existe des savoir-faire spécifiques de la région ainsi que leur état actuel.
Souvent, la vulnérabilité de certaines régions freine l’accomplissement des objectifs des projets de développement. Dans ce contexte, il serait essentiel de déterminer les facteurs qui contraignent la mise en tourisme des ressources patrimoniales de Baalbeck-Hermel, les problèmes et les difficultés auxquels fait face la population locale ainsi que ses attentes et ses besoins. Il nous semble également important de préciser quelles sont les compétences professionnelles à privilégier afin de mettre en place des projets, notamment touristiques, pour valoriser le patrimoine culturel tout en mettant l’accent sur sa valeur économique.
Finalement, puisque la durabilité constitue un critère impératif, nous nous demandons si ce serait possible de créer un modèle de valorisation du patrimoine en se basant sur deux concepts antagonistes : le développement du tourisme d’une part et le respect de la communauté locale et ses traditions de l’autre.
Pour éclairer cette problématique et essayer de répondre à cette série de questions, nous tenterons de vérifier les trois hypothèses suivantes :
1. Le tourisme est un moteur de développement territorial dans les territoires émergents.
2. Les éléments patrimoniaux susceptibles d’attirer des visiteurs constituent une ressource touristique.
3. L’approche territoriale et la coopération du tissu institutionnel avec les différents acteurs régionaux travaillant dans une politique de développement touristique favorisent et renforcent non seulement le potentiel de développement de la région Baalbeck-Hermel mais aussi la possibilité de sauvegarde de son patrimoine matériel et immatériel.

Méthodologie de la recherche

Pour pouvoir répondre à la problématique et vérifier les hypothèses, il importe d’étudier lalittérature qui nous permet de mieux cerner les éléments du système touristique mais aussi les notions du patrimoine et de développement qui ont subi des changements majeurs. Ces diverses notions (le tourisme, le patrimoine et le développement) présentent des correspondances dans la sphère du développement des territoires. En effet, les nouvelles approches de développement tel que le développement par le bas prêtent une attention particulière aux territoires en tant qu’unité de développement, à leurs diversités, à leurs ressources spécifiques et aux dynamiques locales. La synthèse de ce travail est présentée dans la première partie de cette thèse.
Ensuite, en plus de l’analyse documentaire, une étude de terrain était indispensable pour rassembler les éléments essentiels concernant notre territoire d’étude. L’approche territoriale nous amène à mieux comprendre le rôle de chaque acteur et de leur influence sur le développement de leur milieu. Pour cela, nous avons réalisé une série de quatorze entretiens semi-directifs – réalisés face à face, par téléphone et par Skype – menés auprès des acteurs du tourisme libanais. Nous nous interrogerons sur les forces mais surtout sur les lacunes dans ce secteur, le rôle du secteur public et des autres acteurs dans son développement. Ainsi, la géographie humaine se manifeste dans le contexte où nous nous intéresserons à la dynamique des acteurs de développement.
Après, nous avons cherché à comprendre la situation globale qui règne dans la région à travers un diagnostic général du territoire. Nous nous sommes intéressées aux indicateurs de développement puis notre recherche s’est articulée autour des ressources touristiques existantesainsi que d’autres éléments patrimoniaux, notamment les savoir-faire. Puisque le patrimoine reflète l’identité du territoire et de la population, nous avons mené une enquête auprès des artisans afin d’étudier de plus près leurs savoir-faire et d’examiner ces ressources en tant que facteur de développement. De plus, des rencontres avec plusieurs membres de la population locale ainsi que l’observation sur le terrain d’étude ont été indispensables.

Tourisme : essai de définition

Le tourisme, dans sa forme actuelle, est une conception du monde moderne. Dans sa définition la plus simple, il signifie le voyage pour son plaisir. « Tourisme », provenant de l’anglais « tour » qui indique un « voyage circulaire, faire le tour : on part de chez soi et on y revient » (Lacoste, 2003 ; Boyer, 1999), est un mot qui a pris du temps pour devenir courant et
Le tourisme de savoir-faire : moteur de développement territorial ? entrer dans la langue. Il est apparu en langue anglaise en 1811 puis en français en 1841 (Duhamel, 2018 ; Poulot, 2016). En consultant les différentes publications évoquant l’histoire du tourisme (Duhamel, 2018 ; Poulot, 2016 ; Lecler, 2008 ; Raboteur, 2000), nous constatons que le tourisme n’est pas un phénomène nouveau. Il remonte à l’antiquité comme certainsvoyages des Grecs et des Romains pourraient être qualifiés de touristiques.

Le touriste

Les personnes qui pratiquent le tourisme sont appelées « touristes ». Le mot « touriste » est apparu en français en 1803 avant le mot « tourisme » (Duhamel, 2018). Pour Jean-Jacques Rousseau (1755), il n’y avait que « quatre sortes d’hommes qui fassent des voyages de long cours : les marins, les marchands, les soldats et les missionnaires » (in Lecoquierre, 2010).
Les touristes ne faisaient pas partie des voyageurs car ils n’existaient pas encore.
La définition du mot « touriste » est apparue chez Littré (1863) et chez Larousse (1875) avant le mot « tourisme ». Il se disait touriste « des voyageurs qui ne parcourent les pays étrangers que par curiosité et désœuvrement ; qui font une espèce de tournée dans des pays habituellement visités par leurs compatriotes » (Littré en ligne). Le touriste est alors un voyageur nouveau (Duhamel, 2018) différent des autres (Boyer, 2002). Le touriste est l’élément-clé du système touristique. Sans lui, le tourisme n’aurait jamais existé : « sans touriste, pas de pratiques touristiques, pas de lieux touristiques, pas de tourisme » (MIT, 2008). Le touriste, consommateur du produit touristique, se trouve alors au cœur du tourisme.
Depuis les années 1930, les gouvernements et les organisations du tourisme ont essayé de surveiller la taille et les caractéristiques des marchés touristiques. Pour cela, ils avaient besoin d’une définition technique du mot « touriste » pour pouvoir le démarquer des autres voyageurs.
Cette définition servait comme une base sur laquelle on s’appuyait pour recueillir les données statistiques pour compter les touristes et c’est surtout grâce aux impacts économiques qu’ils créaient suite à leur circulation et déplacement. Ce sont les acteurs principaux de l’activitétouristique qui intéressent surtout les offreurs du secteur.
La première de ces définitions a été adoptée par la commission de statistique de l’Organisation des Nations Unies (ONU) qui a évoqué qu’un touriste international est celui qui « visite un pays autre que celui dans lequel il vit habituellement pour une période minimale de 24 heures » (OECD, 1974 ; in Leiper, 1979). Selon la dernière définition de l’Organisation mondiale du tourisme (OMT) et de la Commission de statistique de l’Organisation des Nations Unies, les touristes sont des gens qui voyagent et séjournent dans des endroits hors de leur environnement habituel pour une durée ne dépassant pas un an et ayant pour motif principal le loisir ou n’importe quel autre motif qui n’est pas lié à l’exercice d’activités payées.Quant aux ressources spécifiques, elles représentent, tout comme le territoire, un construit social (Kahn, 2007) qui acquiert sa spécificité avec le temps (Colletis et Pecqueur, 2005). Tout élément du territoire constitue une ressource potentielle qui n’est pas obligatoirement matérielle : elle peut être une histoire, un savoir-faire, un mythe, etc. La ressource spécifique n’existe qu’à l’état virtuel, ne peut être transférée et n’a pas de valeur marchande. Ce sont les acteurs ainsi que leurs valeurs culturelles et traditionnelles qui attribuent le statut de ressource aux objets du territoire ; les ressources sont donc toujours « inventées, parfois bien après avoir été découvertes » (Corrado, 2007 ; in Lamara, 2009). Les ressources sont donc ancrées à leur territoire et ce qui est une ressource dans un territoire donné, ne l’est forcément pas dans d’autres lieux (ibid.).
Puisque la ressource spécifique fait référence à un territoire ainsi qu’à sa culture, son histoire et sa mémoire collective, nous y relevons une dimension morale, qui selon Pecqueur (2002) aun caractère patrimonial. Dans ce contexte, Colletis et Pecqueur (2005) voient que les ressources spécifiques d’un territoire constituent son patrimoine et considèrent que la notion du patrimoine renvoie à la même définition qui est donnée à la ressource. Nous adoptons l’approche de Colletis et Pecqueur (2005) et nous trouvons que la notion du patrimoine, quis’est élargie avec le temps pour avoir aujourd’hui une nouvelle signification, est absolumentpertinente.
A l’origine, le patrimoine, chargé d’une valeur principalement rattaché au passé et qui était simplement limité à l’héritage transmis de génération en génération, s’est transformé en un symbole qui regroupe les membres d’une communauté ou d’une nation. Cependant, le patrimoine a acquis le statut de ressource grâce à sa valeur économique, symbolique et morale ainsi que le rôle qu’il peut jouer dans le développement local des territoires. Cela poussait les personnes au pouvoir d’entretenir et de sauvegarder ce patrimoine, ce qui représente un coût et des frais. Avant d’analyser la participation du patrimoine dans les approches de développement territoriales, nous chercherons à mieux comprendre ce que signifient cette notion, sa nature etses dimensions.

Définition et évolution de la notion du patrimoine

La notion du patrimoine est complexe. Elle a émergé et s’est vulgarisée à partir des années 1970 et son sens a rapidement évolué (Gravari-Barbas & Veschambre, 2004). Les formes du patrimoine sont nombreuses et se multiplient en permanence. En plus, le patrimoine entretient des liens et présente des rapports avec les questions identitaires, territoriales, politiques et touristiques. En effet, ce concept a fait l’objet de recherches dans différentes disciplines en sciences humaines et sociales. Malgré cela, la notion du patrimoine reste vaste et incertaine et acquiert à chaque fois un nouveau sens et une nouvelle dimension. Qu’est-ce que le patrimoine ? Quelle est son importance pour les sociétés ? Pour répondre à ces questions, nous pensons qu’une approche croisée des disciplines est indispensable.

Les deux inscriptions de Nabuchodonosor

Les deux rochers de Brissa sont positionnés face à face, dans la vallée de Charbine proche du village de Brissa, à une altitude de 1250 m et à 158 km de Beyrouth et 9 km de Hermel.
C’est le roi de Babylone Nabuchodonosor qui a fait graver sur ces deux rochers un texte en écriture cunéiforme, pour raconter l’expédition militaire qu’il a mené depuis la Mésopotamie jusqu’au fleuve Lycus (ou Nahr El Kalb) puis Jérusalem. Ces inscriptions sont malheureusement très abîmées et vandalisées par des traces de peinture récentes.
Ces écritures ont été déchiffrées en 1905. Elle raconte en langue akkadienne les hauts faits du roi de Babylone qui a entreprit avec son armée la reconquête de la région (la Syrie, la Palestine et le Liban). Elles rendent hommage aux soldats morts, dont certains ont été enterrés dans des grottes avoisinantes au sommet de la montagne. Le roi, par ses inscriptions, exprime aussi son admiration pour la région et le cèdre du Liban. Il était venu chercher ces arbres pour orner dignement son palais et le temple du Dieu Mardouk. Il a ainsi écrit qu’il y a résidé six mois avant de retourner à Babylone. Les inscriptions contiennent de nombreuses données qui n’existent nulle part ailleurs, sur différents sujets : la fête de fin d’année, l’expédition militaire en Syrie et les murailles de Babylone.

Tourisme et développement territorial

Nous avons déjà vu que la mondialisation a engendré beaucoup d’effets sur les territoires en mettant en contact le global et le local. Parmi ces effets, nous pouvons citer les modes de consommation, les technologies, les transports et les flux de mobilité, l’uniformisation des valeurs, etc. La mondialisation a abouti à la démocratisation du voyage, à la croissance de la demande et par la suite à l’explosion du marché touristique. Ainsi, le tourisme, « à la fois symptôme et catalyseur de la mondialisation » (Gravari-Barbas & Jacquot, 2018), est devenu l’un des plus importants secteurs économiques et le plus dynamique au monde.
La croissance du tourisme se traduit par une diversification des espaces et une redistribution des flux touristiques. En effet, la mondialisation du tourisme signifie l’apparition d’une nouvelle clientèle et de nouvelles destinations. Désormais, le tourisme concerne tous les continents et les régions du monde. Le tourisme international contemporain est marqué par l’émergence de nouvelles destinations telles que la Chine, la Turquie, la Malaisie et laThaïlande. D’ailleurs, ces destinations deviennent aussi de nouveaux pays émetteurs. En effet, les économies avancées d’Europe, des Amériques et d’Asie-Pacifique ont été les principaux marchés émetteurs de tourisme international. Pourtant, et avec l’augmentation des revenus disponibles, la part des pays émergents d’Asie, d’Europe centrale et orientale, du MoyenOrient, d’Afrique et d’Amérique latine en tant que sources de tourisme émetteur a connu une forte croissance (OMT, 2018). Ainsi, le tourisme s’éloigne de plus en plus du modèle périphérie-centre (Gravari-Barbas & Jacquot, 2018).
Le tourisme est devenu l’un des principaux facteurs du progrès socioéconomique et un moteur clé pour le développement, la prospérité et le bien-être socio-économique d’un territoire. La contribution du tourisme au développement de l’économie locale est une réalité.
Il est une source importante de revenus et d’emplois pour les pays et a joué un rôle clé dans la réduction de la pauvreté dans les communautés marginalisées.

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Table des matières
Remerciements
Introduction générale 
Première partie : Tourisme, patrimoine et développement territorial 
Introduction de la première partie
Chapitre 1. Le système touristique : tourisme, touriste et destination
1.1 Le tourisme : un domaine de recherche
1.2 Le monde du tourisme et du voyage
1.2.1 Tourisme : essai de définition
1.3 Le touriste
1.3.1 Comportements et motivations des touristes
1.3.2 Le processus de la prise de décision
1.4 Qu’est-ce qu’une destination ?
1.4.1 Les attractions
Chapitre 2. Le patrimoine : outil de développement territorial 
2.1 Le territoire et ses ressources
2.1.1 Le territoire : un simple espace géographique ?
2.1.2 Les ressources territoriales
2.1.3 Définition et évolution de la notion du patrimoine
2.1.4 Approcher le patrimoine par ses objets
2.1.4.1 Le patrimoine naturel
2.1.4.2 Le patrimoine culturel
2.1.4.3 Le patrimoine mixte
2.1.5 Le territoire de Baalbeck-Hermel et son patrimoine culturel
2.1.5.1 Les temples de Baalbeck
2.1.5.2 La pierre de la Femme Enceinte (Hajar Al Hibla)
2.1.5.3 La pyramide de Hermel
2.1.5.4 Les deux inscriptions de Nabuchodonosor
2.1.5.5 L’église byzantine de Brissa
2.1.5.6 Deir Mar Maroun
2.1.5.7 Le canal de Zénobie
2.1.5.8 La Dabkeh
2.2 Le développement territorial
2.2.1 Vers une approche territoriale du développement
2.2.2 Le développement territorial : une démarche alternative ?
2.2.3 Tourisme et développement territorial
2.2.4 La valorisation des ressources culturelles
2.2.5 Les effets négatifs du tourisme
2.2.5.1 La capacité de charge
2.2.5.2 La marchandisation de la culture
Chapitre 3. Patrimoine culturel et tourisme : enjeux de valorisation
3.1 Les approches de la catégorisation du tourisme
3.2 Le tourisme culturel
3.2.1 L’offre touristique culturelle et ses composantes
3.2.2 Le profil du touriste « culturel »
3.3 Tourisme, mondialisation et authenticité
3.3.1 Les trois théories de l’authenticité
3.3.1.1 L’approche objective (moderniste/réaliste) de l’authenticité .
3.3.1.2 L’approche constructive (l’authenticité liée au symbole)
3.3.1.3 L’authenticité existentielle (liée à l’activité)
3.3.2 Les enjeux de l’authenticité
Conclusion de la première partie
Deuxième partie : La politique touristique au Liban et le développement du tourisme du savoir-faire 
Introduction de la deuxième partie
Chapitre 4. Le tourisme culturel au Liban : entre passivité de l’Etat et une société civile active
4.1 Le tourisme au Liban.
4.1.1 Une brève histoire du tourisme au Liban
4.1.2 Les enjeux du tourisme libanais
4.2 L’analyse des discours au filtre du logiciel Alceste
4.3 Corpus et méthode d’analyse
4.4 Réalité du terrain et jeu des acteurs
4.4.1 La dimension culinaire
4.4.1.1 Le savoir-faire culinaire
4.4.1.2 Le commerce local
4.4.2 L’activité touristique
4.4.2.1 Les points faibles du secteur touristique
4.4.2.2 Le secteur touristique libanais
4.4.2.3 Le tissu associatif
4.4.2.4 Le mode de fonctionnement du tissu associatif
Chapitre 5. Le tourisme et le patrimoine culturel : enjeux et développement dans la région de Baalbeck-Hermel 
5.1 Le contexte social et les indicateurs de développement à Baalbeck-Hermel
5.2 Baalbeck-Hermel : un territoire marginalisé ?
5.2.1 La structuration sociale de Baalbeck-Hermel
5.2.2 Une population jeune et pauvre
5.2.3 Une infrastructure déficiente
5.3 Le tourisme à Baalbeck-Hermel : une activité émergente ?
5.3.1 Al Jourd Eco-lodge
5.3.2 Al Kwakh éco-lodge
5.3.3 L’association des femmes de Deir El Ahmar, WADA
5.4 Les enjeux de développement du tourisme à Baalbeck-Hermel
5.5 Les artisans : acteurs de développement ?
5.5.1 Traitement des résultats
5.5.2 L’analyse des données
Chapitre 6. Vers la mise en tourisme du patrimoine culturel immatériel de BaalbeckHermel : un tourisme de savoir-faire ?
6.1 Une nouvelle clientèle : une nouvelle demande ?
6.2 Le tourisme de savoir-faire : concept et définition .
6.3 Les enjeux du tourisme de savoir-faire
6.4 Un tourisme de savoir-faire à Baalbeck-Hermel ?
6.5 Une Route de savoir-faire à Baalbeck-Hermel : parcours, avantages et enjeux
Conclusion de la deuxième partie
Conclusion générale 
Annexes
Bibliographie 
Table des figures 

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