LE SYSTEME VENTRICULAIRE
Les pionniers
Lโhistoire de lโendoscopie neurochirurgicale est intimement liรฉe ร celle du traitement de lโhydrocรฉphalie. La premiรจre tentative dโablation des plexus choroรฏdes fut rรฉalisรฉe non pas par un neurochirurgien mais par un urologue audacieux de Chicago, plus connu pour ses travaux sur la transplantation testiculaire : Victor Darwin LESPINASSE, qui, en 1910, coagula les plexus choroรฏdes de deux enfants en utilisant un cystoscope pรฉdiatrique ; lโun dรฉcรฉda en postopรฉratoire, lโautre survรฉcut pendant 5 ans. En 1918, DANDY dรฉclara que lโhydrocรฉphalie pouvait รชtre traitรฉe par la destruction des plexus choroรฏdes. Cโest ainsi quโil rรฉalisa quatre plexectomies ยซ ouvertes ยป, mais trois malades dรฉcรฉdรจrent dans les trois semaines post-opรฉratoires. Il utilisa dans un premier temps un spรฉculum nasal รฉclairรฉ par une lumiรจre de CLAR puis un cystoscope de KELLY. Il avait vidรฉ les ventricules du liquide cรฉphalo-spinal (LCS) et procรฉdรฉ ensuite ร lโablation des plexus choroรฏdes.
Cโest ร cette occasion que DANDY crรฉa pour la premiรจre fois le terme de ventriculoscopie, quโil utilisa en 1922 pour coaguler les plexus choroรฏdes, mais cet essai fut gรชnรฉ par un La place de lโendoscopie en neurochirurgie saignement per-opรฉratoire qui lโobligea ร finir lโintervention ร ยซ ciel ouvert ยป. Nรฉanmoins, avec le ventriculoscope, lโinspection รฉtait satisfaisante puisquโil put explorer la presque totalitรฉ du ventricule latรฉral et visualiser le canal interventriculaire, la septum pellucidum et la totalitรฉ des plexus choroรฏdes y compris le glomus. Les vaisseaux รฉtaient bien visibles aussi. Malgrรฉ ceci, DANDY abandonna la mรฉthode, dรฉclarant que les investigations indirectes des ventricules notamment la ventriculographie, donnaient suffisamment de renseignements et que lโendoscopie ne pouvait รชtre utilisรฉe quโoccasionnellement. En 1923, MIXTER, sรฉduit par lโidรฉe de DANDY dโouvrir le plancher du troisiรจme ventricule, le faisant ainsi communiquer avec la citerne inter-pรฉdonculaire comme traitement de lโhydrocรฉphalie, utilisa un urรฉthroscope chez un nourrisson hydrocรฉphale de neuf mois. Il venait de rรฉaliser la premiรจre ventriculocisternostomie endoscopique avec succรจs. En Novembre 1922, FAY et GRANT (64) utilisรจrent un cystoscope chez un nourrisson de dix mois. Aprรจs une premiรจre tentative ร droite qui leur permit une bonne exploration ventriculaire, ils recommencรจrent deux semaines plus tard ร travers le lobe pariรฉto-occipital gauche. Ils rรฉussirent ร prendre six photographies noir et blanc, les premiรจres de la structure ventriculaire interne dans lโhydrocรฉphalie. En 1935, SCARFF (184) utilisa son endoscope pour la coagulation des plexus choroรฏdes dans lโhydrocรฉphalie communicante. Il publia ses rรฉsultats chez cinq enfants. A chaque fois, il y avait une diminution du pรฉrimรจtre crรขnien. Deux enfants dรฉcรฉdรจrent (infection, choc transfusionnel) et les trois autres eurent de bonnes suites ร 14, 6 et 2 mois.
A une reprise, cet auteur rรฉalisa une ventriculocisternostomie endoscopique. Les suites immรฉdiates furent simples et ร six semaines, le pรฉrimรจtre crรขnien รฉtait redevenu nettement infรฉrieur. Quelque temps plus tard, lโhydrocรฉphalie reprit et lโenfant dรฉcรฉda. Lโautopsie rรฉvรฉla une fermeture cicatricielle de la stomie dรฉmontrant ainsi la nรฉcessitรฉ dโune ouverture plus large. En 1942, SCARFF publia ses rรฉsultats de coagulation endoscopique des plexus choroรฏdes sur sept ans : 48 interventions, 20 patients. La mortalitรฉ avait รฉtรฉ rapportรฉe ร moins de 15% grรขce ร son systรจme dโirrigation รฉvitant le collapsus ventriculaire qui est une complication peropรฉratoire redoutable. Au cours des annรฉes suivantes, SCARFF continua ร amรฉliorer sa technique La place de lโendoscopie en neurochirurgie et avec une meilleure sรฉlection, il rรฉussit ร ramener la mortalitรฉ opรฉratoire ร moins de 5 % avec 80 % de rรฉsultats favorables (182).
En 1970, trente cinq ans aprรจs ses premiers essais, SCARFF concluait que lโintรฉrรชt de la coagulation des plexus choroรฏdes par voie endoscopique ne rรฉsidait pas seulement dans le faible taux de mortalitรฉ opรฉratoire et le taux รฉlevรฉ de guรฉrison, mais surtout dans le faible taux de complications et le taux รฉlevรฉ de survie ร long terme. PUTNAM, contemporain de SCARFF, avait son propre endoscope et sโรฉtait aussi intรฉressรฉ au traitement de lโhydrocรฉphalie par coagulation des plexus choroรฏdes. Dรจs 1934, il avait publiรฉ une sรฉrie de 7 patients traitรฉs endoscopiquement et chez qui un rรฉsultat encourageant sur la pression intracrรขnienne lโa incitรฉ ร poursuivre cette technique avec en 1935, la publication des rรฉsultats de 43 endoscopies chez 22 patients. En 1943, il avait dรฉclarรฉ que la coagulation des plexus choroรฏdes rรฉduisait rรฉguliรจrement la pression intracrรขnienne et que le soulagement รฉtait suffisant pour prรฉvenir la mort dans la plupart des cas. Il conclut que cette technique devait รชtre essayรฉe chez les enfants ร niveau intellectuel encore satisfaisant car leurs chances รฉtaient plus grandes.
Dรจs 1935, FELD (65) avait pratiquรฉ la coagulation des plexus choroรฏdes en utilisant le ventriculoscope de SCARFF auquel il avait ajoutรฉ certaines modifications lui permettant de faรงon plus sรปre dโรฉviter le collapsus ventriculaire. Il dรฉclara en 1956 : ยซ La visibilitรฉ intra-ventriculaire est excellente et en tant que mรฉthode endoscopique cรฉrรฉbrale, la ventriculoscopie peut avoir de nombreuses applications en neurochirurgie ยป.En 1957, il avait publiรฉ une sรฉrie de 18 interventions endoscopiques dont cinq chez des prรฉmaturรฉs. Alors que SCARFF coagulait les deux plexus choroรฏdes dans le mรชme temps opรฉratoire, FELD (65) comme INGRAHAM et MATSON (99) prรฉfรฉraient attendre huit jours pour coaguler le cรดtรฉ opposรฉ. Pour sรฉlectionner les patients, FELD se basait sur le coefficient cortico-ventriculaire pour proposer ou rรฉcuser lโintervention. Malgrรฉ ceci, les rรฉsultats immรฉdiats ร savoir la fixation de lโhydrocรฉphalie ne correspondaient pas toujours ร un rรฉsultat favorable ร long terme. La place de lโendoscopie en neurochirurgie
Les endoscopes
Depuis les annรฉes 20, la ventriculoscopie nโa รฉtรฉ pratiquรฉe que par un petit nombre dโauteurs et pour une mรชme indication : le traitement de lโhydrocรฉphalie. Dans ce but, plusieurs instruments ont รฉtรฉ dรฉcrits par VOLKMANN, PUTNAM, SCARFF et FELD en France. Lโรฉclairement intracrรขnien รฉtait fourni par une petite lampe ร incandescence situรฉe ร lโextrรฉmitรฉ distale des endoscopes. A partir des annรฉes 50, la ventriculoscopie a commencรฉ ร dรฉcliner ร cause de ses taux รฉlevรฉs de morbi-mortalitรฉ, de la dรฉcouverte dโautres sites de production du LCS, de lโamรฉlioration de lโimagerie neuroradiologique rendant son cรดtรฉ explorateur caduque et surtout ร cause du dรฉveloppement en 1951par NULSEN et SPITZ des dรฉrivations ร valve qui ont bouleversรฉ le pronostic de lโhydrocรฉphalie. Les travaux de FOURESTIER et VULMIERE ร lโInstitut dโOptique de Paris en 1954 (44), sur les sources de lumiรจre ont permis dโamรฉliorer le matรฉriel endoscopique en augmentant lโillumination tout en diminuant la taille des endoscopes. Le principe adoptรฉ fut de placer la source lumineuse non plus ร lโ extrรฉmitรฉ distale du tube endoscopique comme elle lโรฉtait auparavant mais ร lโextรฉrieur de celui-ci, dans un carter oรน son intensitรฉ, beaucoup plus importante, pouvait รชtre modifiรฉe ร volontรฉ.
La lumiรจre รฉtait ensuite conduite dans lโendoscope par une tige en silice de petit calibre qui permettait de garder 88 % de lโintensitรฉ initiale. Le flux lumineux traverse un filtre ร infrarouge, qui lui retire ses effets caloriques. Vers 1960, Harold HOPKINS, professeur dโoptique appliquรฉe ร lโUniversitรฉ de Reading en Grande Bretagne, a remplacรฉ lโancien systรจme de NITZE qui utilisait des lentilles de verre dans lโair par des lentilles dโair dans le verre . Celui-ci permet une transmission de lumiรจre dix fois meilleure par rapport ร lโancienne et la rรฉalisation de documents photographiques et cinรฉmatographiques. HOPKINS a alors confectionnรฉ un tรฉlรฉscope de 2,6 mm de diamรจtre externe qui constitue la base de lโendoneurochirurgie actuelle. Cette technique fut mise ร profit par GUIOT qui entreprend dโexploiter les possibilitรฉs dโun endoscope ยซ moderne ยป en neurochirurgie. Dรจs 1963, il rapportait son expรฉrience de lโendoscopie pour la ventriculocisternostomie, la ponction des kystes colloรฏdes et le contrรดle endoscopique de la La place de lโendoscopie en neurochirurgie chirurgie des adรฉnomes de lโhypophyse par voie rhinoseptale. Il รฉtudia รฉgalement lโapport et lโintรฉrรชt de lโabord endoscopique biportal. A ce titre, Gรฉrard GUIOT peut รชtre considรฉrรฉ comme un pionnier de lโendoscope neurochirurgical dans sa forme actuelle. Peu aprรจs, la Machida Optical Company of Japan construit un guide lumiรจre fait de 10000 fibres optiques (chaque fibre faisant 18 um de diamรจtre) qui permet de mettre au point un petit endoscope de 3,1mmde diamรจtre avec un diamรจtre externe de 3,6mm. Celui-ci a รฉtรฉ utilisรฉ expรฉrimentalement en 1964 par OGATA (147) sur des chiens dรฉmontrant son innocuitรฉ lors de la traversรฉe du parenchyme cรฉrรฉbral et ses possibilitรฉs thรฉrapeutiques sur des hรฉmatomes expรฉrimentaux.
MYELOSCOPIE
Le premier ร avoir tentรฉ lโendoscopie intra-rachidienne fut BURMAN en 1931(27) ร lโaide dโun arthroscope sur 11 rachis frais de cadavres humains. En pรฉnรฉtrant entre D12 et L1, il put observer la face dorsale de la moelle avec ses vaisseaux. A ce niveau, il ne put voir le cรดne mรฉdullaire quโune fois. Avec une pรฉnรฉtration lombaire basse, il put observer la queue de cheval mais de faรงon moins nette. Lโarthroscope รฉtait trop gros pour รชtre utilisรฉ chez un รชtre vivant, il le proposa alors comme aide diagnostique en post-mortem lorsque le rachis ne pouvait pas รชtre prรฉlevรฉ. En 1936, STERN (195), un anatomiste, ร lโaide dโun endoscope quโil nomma spinoscope et quโil utilisa aussi pour lโexploration intra-rachidienne lombaire sur des cadavres humains, rรฉalisa sous rachianesthรฉsie lโexploration du canal lombaire bas. Mais, la premiรจre endoscopie intra-rachidienne in vivo fut rรฉalisรฉe par POOL (160), dโabord ร lโaide dโun otoscope rattachรฉ ร une canule introduite dans le canal rachidien, puis, sโinspirant de lโinstrument de STERN quโil avait modifiรฉ, il rรฉalisa un endoscope quโil appela ยซ myรฉloscope ยป. De 1938 ร 1942, il pratiqua prรจs de 400 myรฉloscopies. Il put ainsi dรฉcrire les structures normales : la moelle lombaire, la queue de cheval, le cรดne mรฉdullaire, les racines postรฉrieures, la dure-mรจre, lโarachnoรฏde et les racines extra-durales.
Il remarqua la direction opposรฉe des flux sanguins artรฉriel et veineux dโune racine, leur arrรชt ou leur inversion lors de lโeffort, il visualisa aussi les structures pathologiques : arachnoidite, nรฉvrite, hernie discale, varicositรฉs, granulomes et tumeurs. Grรขce ร son myรฉloscope, il pouvait รฉviter une laminectomie exploratrice en diffรฉrenciant les lรฉsions opรฉrables de celles non opรฉrables. Lโexploration endoscopique du canal rachidien visait ร รฉviter les dรฉsagrรฉments des radiographies avec opacification par des produits de contraste. Mais, quand le pantopaqueยฎremplaรงa le lipiodolยฎ, la myรฉloscopie fut abandonnรฉe. En 1974, OLINGER et OHLHADER (152) dรฉcrivent un endoscope aiguille (fiber optic needle endoscop) quโils utilisent chez cinquante chiens et six cadavres humains. Cet endoscope รฉtait La place de lโendoscopie en neurochirurgie assez petit pour passer dans une aiguille ร ponction lombaire de 17gauge. Il contenait un systรจme de transmission de lumiรจre, un systรจme optique et un petit canal opรฉrationnel. Ils dรฉcrivirent les diffรฉrentes structures traversรฉes et purent prendre des photographies et des enregistrements vidรฉo. Ils donnรจrent les applications potentielles de ce systรจme dans le traitement des douleurs chroniques, rรฉalisant des myรฉlotomies et des cordotomies endoscopiques, dans le traitement et lโexploration des vessies neurologiques par lโimplantation endoscopique dโรฉlectrodes ou de prothรจses รฉlectroniques de stimulation du cรดne mรฉdullaire, dans le traitement de la spasticitรฉ par destruction endoscopique des affรฉrences sensitives et dans le domaine de la recherche en traumatologie mรฉdullaire.
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Table des matiรจres
INTRODUCTION
I. HISTORIQUE
1. VENTRICULOSCOPIE
1.1. Les prรฉmices
1.2. Les pionniers
1.3. Les endoscopes
2. MYELOSCOPIE
II. ANATOMIE ENDOSCOPIQUE
1. LE SYSTEME VENTRICULAIRE
1.1. Les ventricules latรฉraux
a. La corne frontale
b. Le corps ventriculaire
c. Le carrefour et la corne occipitale
d. La corne temporale
1.2. Le foramen de Monro ou canal inter-ventriculaire
1.3. Le troisiรจme ventricule
a. Le toit
b. Le plancher
c. La paroi antรฉrieure du 3รจme ventricule
d. La paroi postรฉrieure du 3รจme ventricule
e. La paroi latรฉrale
f. Les rapports du 3รจme ventricule
1.4. Le quatriรจme ventricule
1.5. Lโaqueduc de Sylvius
2. LES PLEXUS CHOROรDES
3. LES CITERNES CEREBRALES
3.1. La citerne chiasmatique
3.2. La citerne de la lame terminale
3.3. La citerne carotidienne
3.4. La citerne inter-pรฉdonculaire
3.5. La citerne pontique
3.6. La citerne magna ou grande citerne
4. LA MEMBRANE DE LILIEQUIST
5. ANATOMIE RACHIDIENNE
III. LA PHYSIOPATHOLOGIE DU LCS
IV. LE MATERIEL ENDOSCOPIQUE
1. Prรฉsentation dโun endoscope
1.1. Une optique de qualitรฉ
1.2. Un diamรจtre externe minimum
1.3. Une longueur adaptรฉe
1.4. Un poids et un encombrement minimum
1.5. Un endoscope modulable
1.6. Plusieurs entrรฉes pour les instruments et lโirrigation
1.7. Un bras articulรฉ adaptรฉ
2. Prรฉsentation des instruments
2.1. Les sondes coagulantes
2.2. Les pinces ร biopsie
2.3. Les pinces ร prรฉhension
2.4. Les microciseaux
2.5. Les sondes de ponction et canules dโaspiration
2.6. Les tubes optiques
3. Stรฉrilisation dโun endoscope
4. Adjuvants
4.1. Stรฉrรฉotaxie
4.2. Neuronavigation
4.3. Echographie
4.4. Laser
4.5. IRM de flux
V. DESCRIPTION DE LA TECHNIQUE OPERATOIRE
1. Installation
2. Crรขniotomie
3. Mise en place du neuroendoscope
4. Fermeture
VI. INDICATIONS DE LโENDOSCOPIE EN NEUROCHIRURGIE
1. Hydrocรฉphalie
1.1. Ventriculocisternostomie
a. Gรฉnรฉralitรฉs
b. Technique
c. Rรฉsultats (Expรฉrience du service de Neurochirurgie au CHU Med VI de Marrakech)
1.2. Coagulation endoscopique des plexus choroรฏdes
a. Technique
1.3. Placement โablation de cathรฉters ventriculaires par voie endoscopique
a. Gรฉnรฉralitรฉs
b. Repรฉrage du site idรฉal pour le placement du cathรฉter
c. Rรฉsultats
1.4. Hydrocรฉphalie multiloculaire
b. Traitement
2. Kystes colloรฏdes intracrรขniens
2.1. Gรฉnรฉralitรฉs
2.2. Traitement endoscopique
a. Technique
3-Kystes arachnoรฏdiens intra-crรขniens
3.1-Gรฉnรฉralitรฉs
3.2-Traitements chirurgical et endoscopique
4-Hรฉmatomes intra-crรขniens
4.1-Gรฉnรฉralitรฉs
4.2-Traitement endoscopique
5-Endoscopie et pathologie tumorale
6-Pathologie de l’angle ponto-cรฉrรฉbelleux
7-Pathologie hypophysaire
7.1-Historique
7.3-Technique
7.4-Neuroradiologie et hypophyse
8-Diagnostic endoscopique et chirurgie des sinus paranasaux et de la base du crรขne
9-Autres indications
9.1-La syringomyรฉlie
9.2-La rรฉsection des malformations artรฉrio-veineuses et la cure d’anรฉvrysmes
10-Chirurgie endoscopique du rachis
10.1-Gรฉnรฉralitรฉs
10.2-L’abord thoracoscopique du rachis dorsal
10.3-La discectomie lombaire endoscopique
(Rรฉsultats de l’expรฉrience du service de neurochirurgie du CHU Med VI)
10.4-La nuclรฉoscopie
10.5-L’abord rรฉtropรฉritonรฉal endoscopique du rachis ( lomboscopie)
10.6-La spondylodรจse du rachis dorsal et lombaire
10.7-L’abord transpรฉritonรฉal laparoscopique du rachis lombaire
DISCUSSION
I-La neuroendoscopie ร visรฉe diagnostique
II- La neuroendoscopie ร visรฉe thรฉrapeutique
CONCLUSION
RESUMES
BIBLIOGRAPHIE
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