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L’enseignement
D’après Wikipédia, l’encyclopédie libre : l’enseignement (du latin « insignis », remarquable, marqué d’un signe, distingué) est une pratique d’éducation visant à développer les connaissances d’un élève par le biais de la communication verbale et écrite. Les professeurs, dans les écoles modernes, enseignent activement afin de transmettre un ensemble de savoirs.
Le terme enseignement, de son côté, signifie « marquer d’un signe, distinguer, rendre remarquable ». Il se réfère plutôt à un bien précis, soit celui du développement des connaissances des élèves à l’aide des signes (la transmission des connaissances est en soi impossible, on ne transmet pas de connaissances). « Signes » et « enseignement » dérivent d’ailleurs de cette même racine latine.43 D’après la loi n°004/2004 orientation du système d’éducation, d’enseignement et de formation à Madagascar du 26 juillet 2004 reformulé le 17 juillet 2008 stipule : A la section 1 du titre premier des principes fondamentaux est énoncée le droit à l’éducation et à la formation. Dans son article 4, l’éducation, l’enseignement et la formation malagasy doivent préparer l’individu à une vie active intégrée dans le développement social, économique et culturel du pays. Pour la réalisation de cet objectif, ils doivent notamment :
-promouvoir et libérer l’initiative individuelle et des communautés de base
-favoriser la créativité
-cultiver le goût de l’effort
-développer l’esprit d’entreprise et de compétition, le souci de l’efficacité, le sens de la communication, la recherche de l’excellence dans le résultat, et
-parvenir à produire des citoyens suffisamment instruits et aptes à assurer l’exploitation rationnelle des richesses naturelles, afin de hisser notre pays au rang des Nations les plus développées, tout en conservant sa sagesse légendaire.
L’enseignement à Madagascar est mis en place pour que les enfants aient le sens de l’éducation. Il doit amener tout le monde à être responsable de sa vie active pour qu’il y ait développement du pays grâce à leur capacité.
Selon Marguerite Altet : « L’enseignement couvre donc deux champs de pratiques »
• celui de la gestion de l’information, de la structuration du savoir par l’enseignant et de leur appropriation par l’élève, le domaine de la Didactique
• celui du traitement et de la transformation de l’Information en Savoir par la pratique relationnelle et l’action de l’enseignant en classe, par l’organisation de situations pédagogiques pour l’apprenant, c’est le domaine de la Pédagogie. »13
L’enseignement est l’action pour développer les connaissances d’un élève à l’aide d’un contact verbal ou écrit. Il permet d’avoir plusieurs savoirs et sa pratique est spécialisée. La pratique de l’enseignement qui est la didactique et la pédagogie.
La didactique est la relation entre l’enseignement et le mode pour transmettre les connaissances. Cela necessite donc de la technique pour que l’apprenant comprenne ce que l’enseignant veut enseigner. La pédagogie est l’agilité de l’enseignant pour susciter les apprennants à réfléchir plus pour l’acquisition de connaissance. Elle se refère beaucoup plus à l’élève. Cela nécessite donc de la methode pour que les élèves comprennent vite ce que l’enseignant veut enseigner. Notre étude dans ce travail porte essentiellement sur l’enseignement de l’Education physique et sportive.
L’éducation physique et sportive
D’après wikipédia l’encyclopédie libre : l’éducation physique et sportive (EPS), est le nom donné à l’enseignement sportif et/ou physique dans le cadre scolaire notamment dans le système éducatif. C’est une pratique d’intervention et une discipline d’enseignement. C’est une discipline qui privilégie l’expression du corps.44 Il s’agit toujours d’exercer son corps pour devenir plus habile, d’acquérir maîtrise et confiance en soi, tout en pratiquant des jeux, des sports et d’autres activités physiques. Pourqoui a-t-on parlé d’éducation physique et sportive ?
L’éducation physique
L’éducation physique est selon Parlebas, « la pédagogie de la conduite motrice ».21 La conduite motrice qui organise les conditions d’une mise en œuvre pertinente de cette action. Elle est le cœur de l’éducation physique. C’est un processus pour faire mouvoir tous les corps pour qu’il y ait motricité. La motricité qui est un ensemble des fonctions qui assurent les mouvements et mobilisations de l’être vivant. La conduite motrice permet à chaque apprenant d’adapter son comportement moteur aux diverses situations motrices auxquelles il est confronté. La pédagogie de la conduite motrice est donc un mouvement significatif contrôlé. Cette pédagogie se réalise par l’intermédiaire des activités physiques et le sport. Le sport qui est donc consideré le moyen pour l’éducation physique.
L’histoire de l’EPS
L’éducation physique est une discipline scolaire d’enseignement obligatoire dans le secondaire, sous l’appellation de « gymnastique », depuis le décret du 3 février 1869 signé par Victor Duruy. Peu appliqué, Jules Ferry rappelle par la loi Georges du 27 janvier 1880, que la gymnastique est obligatoire dans tous les établissements d’instruction publique de garçons. La même année, par la circulaire du 20 mai (Camille Sée), l’obligation est étendue à tous les types d’enseignement, primaire et secondaire, pour les garçons et les filles.
La gymnastique de la Troisième République (1870-1940)
• Former des soldats : Les exercices militaires gymniques de la fin du XIXe siècle jusqu’à la Première Guerre mondiale avaient comme ambition de former des individus patriotes, forts du sentiment d’appartenance à une nation avec la volonté de la défendre.
• Former des professionnels : Formation de base pour le travail.
• Acquérir une bonne santé : Lutte contre les maladies, surmenage et dégénérescence de la race. Santé psychique.
• Former des citoyens : Pour la IIIe République, il s’agit pour établir un nouvel ordre social d’instaurer un nouvel ordre mental. Projet éducatif basé sur les valeurs de laïcité, de tolérance et de relativisme.
L’éducation physique (1939-1962)
Dans le cadre de la Révolution nationale, l’éducation physique a connu pendant l’Occupation, une véritable expansion, surtout structurelle ; et est devenue une affaire de l’État dont l’emprise ne se relâchera plus.
Après la libération, l’EP est attachée au ministère de la Jeunesse et des Sports. Elle hésite encore entre une éducation physique généraliste et tente des incursions vers quelques sports.
L’éducation sportive (1962-1981)
A partir des années 1960, sous la pression du ministre Maurice Herzog et bien souvent contre l’avis de certains enseignants et des chercheurs, l’EP s’est institutionnalisée en une éducation physique s’appuyant sur les APS mais gardant un objectif d’éducation. Elle reprend alors à son compte des outils que le sport s’est forgé pour constater les progrès. L’atteinte des objectifs spécifiques est appréciée par la mesure chiffrée des performances accomplies, elles-mêmes possibles par la maîtrise accrue de techniques sportives codifiées et réglementées. Mais très vite cette vision s’avère insatisfaisante dans l’institution scolaire. La notion de « maîtrise de l’exécution » se substituera rapidement à la seule performance qui ne prend pas assez en compte les progrès scolaires de l’élève et fait trop appel au « donné » et insuffisamment à l’acquis.
Très rapidement, en début des années 70, les enseignants EPS pensent que technique, sport de haut niveau et enfant, ne vont pas ensemble, que les méthodes réceptives ne permettent pas à l’élève de découvrir, inventer, créer. Ils veulent une éducation nouvelle et s’intéressent aux pédagogies actives. Au cours des stages de Formation Professionnelle Continue (FPC), dans l’académie de Montpellier, ils créent des outils en s’appuyant sur les travaux de Wallon, de Piaget, de Mérand, de Vygotski, de Paillard, de Meirieu, du Groupe Français d’Éducation Nouvelle,… et analysent, évaluent, passent au peigne fin chaque situation d’apprentissage. Ils ne s’appuient en aucune façon sur les propositions des personnes dont les noms figurent ci-dessous qui sont très loin des avances concrètes tirées des expériences faites sur le terrain par des milliers d’enseignants. Ils vont utiliser, évaluer, comprendre l’apport de ces pédagogies nouvelles, de la créativité, de la non-directivité, des différents rôles de l’enseignant, de la pédagogie par objectifs, de l’évaluation, de la pédagogie du projet, de la didactique, du processus d’apprentissage, de l’approche cybernétique (schéma d’Adam (1970) et Schmidt (1981). Ils conçoivent une nouvelle séance, créent de nouveau programmes. C’est un quasi consensus des enseignants qui acceptent cette évolution de L’EPS. Ce qui n’empêche pas que des secousses plus profondes ressurgissent et perdurent, puis disparaissent : l’individu opposé au groupe, la motricité à la technique, le sport à l’EPS… Des points de vue, voire des idéologies différentes, relancent les querelles sur la guerre Sport-EPS, parfois très violente. Mais les enseignants EPS fatigués de recevoir des leçons des « puristes de l’EPS » les rejettent tous, et propose une EPS éducative et sportive acceptée par tous les élèves.
Au cours de la même période, de nombreux auteurs tels Jean Le Boulch, Pierre Parlebas, Jean-Marie Brohm, contestent la logique sportive imposée par le gouvernement et par certains cadres de l’ENSEP(S/1960) garçons. Ils proposent une éducation motrice ludique et artistique. A part Parlebas, les propositions de ces personnes qui n’acceptaient pas l’entrée des activités sportives dans les programmes furent uniquement virtuelles et n’apportèrent rien aux enseignants ÉPS.
L’éducation physique et sportive (depuis 1981)
A partir de 1981 (sous la présidence de François Mitterrand), la gestion des enseignants d’ÉPS réintègre l’Éducation nationale, et doit donc officiellement se conformer à l’école, lieu de transmission de connaissances par excellence. La multiplication des Activités physiques sportives et artistiques impose également d’enseigner plutôt la compréhension de l’action motrice pour permettre à l’élève de l’adapter à toute situation nouvelle. L’ÉPS continue son évolution en s’appuyant sur des concepts comme celui de neuro-motricité, de processus d’apprentissage et sur la notion de plasticité du cerveau. Avec l’apport de la Didactique de l’EPS et des travaux d’écriture des programmes, la discipline a un nouveau pas à franchir : élaborer et utiliser les fondamentaux de chaque activité sportive comme référents des savoirs à apprendre.
Pour les professeurs l’enjeu est de faire entrer les élèves dans une suite de situations d’apprentissage qui leurs permettront de prendre du plaisir, de progresser, d’être motivés parce qu’ils sentent que les savoirs appris leur permettent d’agir et d’avoir une « maitrise » de l’environnement physique et social car elle accepte l’élève tel qu’il est mais l’incite à changer.
Les différentes méthodes de l’éducation physique et sportive
D’après PARLEBAS Pierre : Il y a trois sortes de méthode de l’éducation physique et sportive. La méthode naturelle, la gymnastique de maintien et la méthode sportive.21
– La méthode naturelle concerne surtout l’adaptation au milieu et dans la pure lignée du Rousseau de l’Emile et non du contrat social, se réfère à l’activité globale libre et spontanée de la primitive non perverti par la civilisation. On éduque la physique en l’adaptant au milieu naturel.
– La gymnastique de maintien met l’action sur la connaissance et la domination de soi, qu’on croirait directement issue du discours de la méthode. Elle se veut la construction rationnelle, analytique du corps humain selon un modèle conçu scientifiquement.
– enfin, la méthode sportive correspond à l’apprentissage de la vie en groupe et part du produit majeur des loisirs : le sport pour forger un homme complet et adapté à ce monde techniciste. La méthode sportive
qui est favorable à l’enseignement d’EPS priorise la vie commune qui est nécessaire à l’éducation de l’homme. A part les méthodes, comment est donc l’histoire de l’EPS ?
D’après notre cours de didactique en deuxième année : l’éducation physique aussi règle le physique c’est-à-dire la manifestation de l’émotivité comme l’angoise, le bouleversement, l’éxcitation même le plaisir grâce à toutes les situations motrices pratiquées. Elle lutte donc contre l’aspiration telle que la timidité, la peur, la crainte et l’hésitation.
L’organisation et les actions de l’ISF 50
L’ISF est une fédération sportive, véritable mouvement associatif et pédagogique, visant à la sensibilisation, à la promotion et à la reconnaissance officielle d’un sport sain et éducatif dans les milieux scolaires.
Par ses actions, l’ISF :
– souhaite permettre aux élèves, garçons et filles, de s’approprier les idées de compréhension mutuelle et de fair-play.
– s’engage à sauvegarder l’éthique du sport et à lutter de pair avec les instances internationales contre les fléaux du sport moderne, notamment dans le cadre de la lutte contre le dopage.
– recherche une collaboration étroite avec les autorités en charge du Sport Scolaire au sein des pays adhérents et avec les organisations internationales ayant des buts semblables, tout en poursuivant ses objectifs indépendamment de toutes considérations politiques, religieuses ou ethniques.
– souhaite favoriser les contacts et les échanges d’expériences en répondant officiellement aux invitations des pays, en encourageant et en parrainant les échanges sportifs et culturels entre les établissements scolaires des pays membres.
– s’engage à faire respecter dans toutes ses organisations les impératifs pédagogiques et les programmes sportifs auxquels doivent s’ajouter obligatoirement des activités culturelles et sociales. Le plaisir, la joie, la confiance en soi seront des valeurs qui devront passer avant la recherche de performance.
– met tout en œuvre pour réduire les difficultés liées aux différences linguistiques et culturelles et pour intégrer les différentes cultures dans les compétitions sportives.
– recherchera la participation maximum de jeunes sur des bases communes. Les jeunes sportifs talentueux, filles et garçons, devront avoir la possibilité de développer leurs talents et leurs capacités dans les meilleures conditions possibles.
Les principes et les valeurs du sport scolaire
Le Sport Scolaire constitue au plan éducatif un ensemble cohérent marqué dans sa mise en œuvre par un partenariat fort avec les autorités gouvernementales, les collectivités, le mouvement sportif et d’autres partenaires.
Les systèmes éducatifs, attachés à une idée du sport respectueuse de ses valeurs fondatrices, peuvent créer des situations favorables à la pratique des activités physiques et sportives.
Le sport, comme facteur de régulation et d’intégration au regard de la cohésion sociale, a un rôle capital à jouer dans la formation des jeunes en leur apprenant la tolérance et en les initiant au respect de la règle et des autres.
Le Sport Scolaire permet de favoriser l’accès des jeunes aux responsabilités sociales par la formation de jeunes arbitres, de jeunes juges.
Les manifestations sportives et leur environnement culturel constituent un lieu de formation à l’éthique sportive et d’épanouissement de solidarités collectives rapprochant adultes et jeunes.50
Le sport scolaire est donc un mouvement sportif éducatif qui a pour but d’éduquer les élèves par excellence pour pouvoir s’intégrer au sein de la société.
La pratique sportive
La pratique du sport necessite un entrainement pour atteindre l’objectif visé qui serait la performance.
L’entraînement sportif
L’entraînement sportif présente quelques caractéristiques.
Selon Matveiev LP, spécialiste de la méthodologie de l’entraînement, donne en 1983 une notion précise de ce qu’est l’entraînement sportif. Il entend par entraînement sportif tout ce qui comprend la préparation physique, technico-tactique, intellectuelle et morale de l’athlète, à l’aide d’exercices physiques.14
D’après Edgard THILL : l’entraînement sportif permettant la préparation et le perfectionnement d’un sportif, amateur ou professionnel. Chez l’amateur pratiquant un sport pour se maintenir en forme, l’entraînement vise l’entretien et l’amélioration de la performance, les objectifs ne sont pas les mêmes chez l’athlète de haut niveau. Dans le cadre du sportif de haut niveau, le but de l’entraînement est d’arriver à un pic de forme et de performance, au bon moment, c’est-à-dire le jour de la compétition. Ce qui explique l’importance de la planification de l’entraînement, basée sur le calendrier du sportif.28
En fonction des capacités physiques des sujets et des exigences de la performance visée, le but de l’entraînement est d’amener le sportif au mieux de son « état de forme » pendant les périodes de compétition les plus importantes. La connaissance des processus physiologiques permet désormais à l’entraîneur une organisation plus rationnelle de son plan de travail de façon à pouvoir, sur toute une « carrière » sur une ou plusieurs saisons, un ou plusieurs cycles, une ou plusieurs séances, et même d’un exercice à l’autre, améliorer le pontentiel énergique ou moteur et les facteurs d’exécution qui sont la force, la puissance, la souplesse et la technique. L’entraînement a donc pour objectif de former et d’entraîner le pratiquant pour que ses performances augmentent.
Pour être bénéfique, l’entraînement doit être réparti sur une succession de séances régulières, progressives et complémentaires les unes des autres. La connaissance de la méthodologie d’entrainement est nécessaire pour l’EPS pour que l’enseignant soit capable d’organiser son cours et pour que l’objectif de l’enseignement soit atteint.
L’organisation de l’entraînement sportif
L’enseignement de l’éducation physique et sportive peut être assimulé à l’entraînement sportif necessite comme dans la pratique sportive une organisation. D’après Wikipédia, l’encyclopédie libre, une organisation est toute structure (ou société, entreprise ou usine) suivant une logique propre pour l’atteinte d’un but spécifique. C’est un ensemble d’éléments en interaction, regroupés au sein d’une structure régulée, ayant un système de communication pour faciliter la circulation de l’information, dans le but de répondre à des besoins et d’atteindre des objectifs déterminés.43
S. P. Robbins définit l’organisation d’une entreprise comme « un ensemble de moyens structurés constituant une unité de coordination ayant des frontières identifiables, fonctionnant en continu en vue d’atteindre un ensemble d’objectifs partagés par l’ensemble de ses membres (salariés, dirigeants, actionnaires, …). »
L’organisation est la composition de principe qui suit un raisonnement pour aboutir à un résultat particulier. Pour organiser, il faut que l’objectif soit clair et bien prècis. C’est aussi l’unité des élèments en interdépendance rassemblés au sein des structures controlées qui a un précepte de communication pour aider la circulation des informations, pour aboutir à des résultats désirés. Si on tourne dans le monde du sport, comment se fait l’organisation ?
Dans le monde du sport et de l’éducation, l’organisation de Thomas Arnold apporte des énormes changements. L’action de Thomas Arnold 1795-1843 qui va révolutionner le système pédagogique anglais : enseignant, homme d’église et sportif convaincu, il applique sa doctrine : ‘’instruire, éduquer et surtout entraîner les corps et les esprits’’. Nommé directeur du collège de Rugby en 1828, il va lancer le mouvement sportif qui sera suivi par les collèges d’Eton, d’Oxford et de Cambridge. L’athlétisme deviendra une véritable institution vers 1840. Il se crée des clubs où ce sont les étudiants qui prennent en charge les organisations ; des règles s’élaborent pour que les rencontres se répandent de collèges en collèges et même en dehors du milieu scolaire ou estudiantin. Dès 1800, se dessine un mouvement pour développer les exercices physiques, en Allemagne, en Suède, en Suisse et en France (avec Amoros), mais qui s’oriente vers des mouvements plus ou moins ‘’construits’’, avec ou sans appareils et qui donneront plus tard naissance à des méthodes d’éducation physique puis à la gymnastique aux agrès.45
Thomas Arnold a donc organisé le sport comme moyen d’éduquer les jeunes. Le sport est dans les collèges et universitaires britaniques la base de l’éducation, l’école de la liberté, la préparation à la vie sociale. Une organisation qui implique les jeunes à se constituer en groupe et dont le rôle doit avoir un impact positif dans leur éducation. Ce groupe joue le rôle d’un club sportif.
Le club sportif
D’après wikipédias, l’encyclopédie libre, un club sportif est une infrastructure encadrant les sportifs. Il est composé de membres et peut être comparé à une mini-société avec son bureau dirigeant. Il est composé d’un encadrement sportif tels que des entraîneurs, des médecins, kinésithérapeutes, préparateurs physiques, psychologues du sport en plus joueurs et athlètes eux-mêmes.43
Le club sportif promeut un sport en particulier tel que le football, le basket-ball…, l’athlétisme, le cyclisme ou encore le club omnisports avec une diversité de disciplines sportives.
D’après le dictionnaire HACHETTE encyclopédique, le club est une association cercle de personnes qui se rassemblent régulièrement en un local déterminé, dans un but fixé.40
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Table des matières
INTRODUCTION
I : CADRE THEORIQUES
1-1 l’éducation
1-1-1 l’éducation en générale
1-1-2 L’enseignement
1-2 L’éducation physique et sportive
1-2-1 L’éducation physique
1-2-1-1 Histoire de l’EPS
1-2-1-2 Les différentes méthodes d’EPS
1-2-2 Le sport
1-2-2-1 l’histoire du sport
1-2-2-2 Les dérives du sport
1-2-2-3 La technologie
1-2-2-4 L’organisation des compétitions
1-2-2-5 L’institutionnalisation du sport
1-2-3 le sport moyen d’éducation physique et sportive
1-2-4 le sport scolaire
1-2-4-1 L’histoire du sport scolaire
1-2-4-2 L’organisation et les actions de l’ISF
1-2-4-3Les principes et les valeurs du sport scolaire
1-3 La pratique sportive
1-3-1 Entrainement sportif
1-3-2 l’organisation de l’entrainement sportif
1-4 Le club sportif
1-4-1 L’organisation d’un club
1-4-2 Objectif d’un club
1-4-3 Fonctionnement d’un club
1-4-5 Les objectifs pour les sessions et réunion
1-5- La notion de groupe
1-5-1 Définition
1-5-2 La structure d’un groupe
1-5-3 Les différentes formes de direction de groupe
1-5-4 La dynamique de groupe
III : METHODOLOGIE
2-1 Objet de la méthodologie
2-2 Outil d’investigation
2-2-1 Enquêtes
2-2-1-1 Enquête auprès des enseignants
2-2-1-2 Enquête auprès des élèves
2-3 Récolte des données
2-3-1 Mode de distribution des questionnaires
2-4 Résultats et interprétation des enquêtes
2-4-1 Point de vue des enseignants
2-4-1-1 Organisation de l’enseignement
2-4-1-2 Sport scolaire
2-4-2 Point de vue des élèves
2-4-2-1 Organisation de l’enseignement
2-4-2-2 Sport scolaire
2-4-3 la relation entre le point de vue des enseignants et des élèves
2-4-3-1 Organisation
2-4-3-2 Sport scolaire
2-5 Conclusion de l’interprétation en général
2-6 Suggestions
2-6-1 les principes pour organiser une classe
2-6-1-1 Savoir partager les tâches
2-6-1-2 Savoir diriger un groupe
2-6-1-3 Savoir conduire une classe.
2-6-1-4 Savoir gérer la classe
2-6-1-5 Savoir ordonner son cours
2-6-2 Proposition de mode d’organisation d’une classe
2-6-2-1 Organisation
2-6-2-2 Objectifs
2-6-2-3 Exemple d’une mode d’organisation de classe
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIES
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