Le rendement scolaire des élèves du secondaire

Le rendement scolaire des élèves du secondaire

Profil des participants
Dans cette section, nous faisons le portrait des différents types de participants de notre recherche en vue de mieux situer ces acteurs.

Les élèves

Parmi les 10 élèves, il y a quatre garçons et six filles. Le niveau d’âge moyen de ces élèves est de 16 ans pour cinq d’entre eux et de 17 ans pour trois d’entre eux. Par ailleurs, nous en avons un de 15 ans et un autre de 19 ans. Au moment des entrevues, six élèves étaient en secondaire W et le reste en secondaire V. Du point de vue du lieu de naissance, cinq sont nés au Québec et cinq sont nés en Haïti. Ces dernières données sont en lien direct avec la langue maternelle et la langue la plus souvent parlée à la maison déclarées par les participants. En effet, ceux qui sont nés en Haïti déclarent le créole comme langue maternelle et comme la langue la plus souvent parlée à la maison tandis que ceux qui sont nés au Québec déclarent le français comme langue maternelle et comme la langue la plus souvent parlée à la maison.Sur le plan familial, six participants vivent en famille monoparentale dont quatre sont de type matriarcal où le participant n’a aucun contact avec son père. Les deux autres familles sont de type patriarcal. Cette situation rejoint le constat sur la prédominance des familles monoparentales d’origine haïtienne par rapport à la société québécoise telle que décrite par Uwumuremyi (1998) et par la Ville de Montréal (2004). Pour les autres, deux participants vivent en famille nucléaire et deux autres en famille reconstituée dont une avec le père et l’autre avec la mère. Nous remarquons que les familles monoparentales se répartissent également entre les é1èves nés en Haïti et les élèves nés au Québec. En ce qui a trait au niveau socioéconomique de leurs parents, quatre participants affirment que l’un des parents ou les deux parents ont complété le niveau secondaire, le niveau universitaire pour quatre participants, le niveau primaire pour un participant, et un élève affirme ne pas connaître le niveau scolaire complété par ses parents. Quant à l’emploi occupé par un parent ou les deux parents, cinq seraient dans le secteur des services (infirmière, intervenant, enseignant), quatre dans le secteur ouvrier (manufacture) et un serait au chômage.

Les parents

Alors que nous pensions que seulement le père ou la mère serait choisi, il s’avère qu’un frère aîné ainsi qu’une benjamine, tous deux majeurs, ont été sélectionnés par deux participants comme membre de la famille pour parler d’eux. Nous les avons acceptés car plusieurs recherches sur les familles immigrantes font état de la structure élargie de ces familles (Vatz Laaroussi et al., 2005). Ainsi sept personnes ont accepté de participer aux entrevues individuelles, soit quatre pères, une mère, un frère aîné et une soeur aînée. Nous avons eu deux désistements pour non disponibilité et un refus. Du nombre total des participants, six sont nés en Haïti dont quatre sont arrivés au Québec entre 1970 et 1984, alors que les deux autres sont d’immigration récente soit en 1993 et en 1997. En ce qui a trait à la langue maternelle déclarée, tous ceux qui sont nés en Haïti indiquent le créole alors qu’ils déclarent comme langues parlées le français, l’anglais et l’espagnol. Quand on regarde la composition de la famille au Québec, tous les participants ont une vision élargie de la famille si on considère que, généralement dans les moeurs québécoises, la famille se compose de la mère, du père et des enfants. En effet, à une question générale qui porte sur la composition de leur famille au Québec, les participants indiquent père, mère, conjoint, conjointe, enfants, frères, soeurs, cousins, oncles et tantes.Enfin, quant au statut socioéconomique, c’est le même portrait qu’en ont fait les élèves en entrevue individuelle. Par ailleurs, parmi les participants qui viennent d’Haïti, trois d’entre eux n’étaient pas en âge de travailler avant de venir au Québec alors que les nautres y occupaient des fonctions telles que directeur d’école, enseignante, technicien en électronique. Deux des parents qui occupaient ce type d’emploi ont vu d’ailleurs, sur le plan professionnel, leur statut social chuter au Québec. En ce qui concerne le frère et la soeur aînés, l’un est né au Québec et l’autre était trop jeune pour travailler en Haïti avant de venir ici. Le premier qui a complété deux baccalauréats, est en recherche d’emploi et habite encore avec sa mère et ses trois frères. Le second qui a complété un diplôme d’études collégiales comme technicienne médicale, travaille dans son domaine et elle habite avec ses deux enfants et son mari. Ces données complètent ainsi les informations générales sur les parents. Nous poursuivrons dans la prochaine section avec un profil général des autres protagonistes.

Les autres protagonistes

Parmi les sept autres protagonistes qui ont accepté de participer à notre recherche, nous avons quatre enseignants, une intervenante scolaire, une amie de la famille et un professeur de karaté. Par ailleurs, parmi les enseignants, il s’avère que l’un d’entre eux a été choisi par trois élèves pour parler de leur réussite scolaire. Étant donné que c’était au préalable une condition établie avec les élèves que de leur laisser la liberté de choisir deux adultes dont un membre de la famille et l’autre externe à elle pour parler de leur réussite, nous avons seulement refusé le choix du troisième élève ayant choisi cet enseignant. Cet enseignant compte donc pour deux participants dans la catégorie autres protagonistes dans notre recherche puisqu’il a fait l’entrevue à deux reprises pour deux élèves distincts. Nous croyons aussi que cette situation démontre comment un enseignant peut se démarquer de ses collègues en étant particulièrement signifiant pour ses élèves.
Les participants du milieu scolaire ont tous au moins cinq ans d’expérience dans leur fonction au moment de l’entrevue. De plus, ils ont en moyenne trois ans d’expérience ou plus à l’école que fréquente l’élève qui les a choisis. Pour ce qui est de la discipline enseignée par les quatre enseignants il s’agit du français, des mathématiques, de l’informatique et de l’anglais.

Résultats et analyse des entrevues de groupe

Dans cette section, nous présentons les données issues des entrevues de groupe. Comme nous l’avons déjà mentionné dans la méthodologie, nous n’avons pas pu nous servir de ces informations pour peaufiner les grilles des entrevues individuelles. Par ailleurs, cela n’a pas de réel impact sur notre recherche, car il s’avère que les propos tenus par les élèves lors des entrevues individuelles sont conformes en grande partie avec ceux des entrevues de groupe. Pour compléter cette section, nous donnerons les résultats qui découlent des sous thèmes suivants t comparaison entre le système scolaire haïtien et le système scolaire québécois, les stratégies de réussite, le portrait d’un élève d’origine haïtienne en situation de réussite, le rôle des parents, le rôle de l’école, le rôle des autres protagonistes et la stigmatisation.

Comparaison entre le système scolaire haïtien et le système scolaire québécois

Au cours des entrevues de groupe, la majorité des participants ont révélé que les difficultés scolaires d’un élève en provenance d’Haïti seraient tributaires de la langue, de la discipline et des valeurs sociales sur lesquelles s’appuient ces deux systèmes. En effet, au niveau de la langue, ils ont affirmé que ce n’est pas le français qui pose problème puisque les élèves en Haïti lisent et écrivent très bien dans cette langue. D’ailleurs, ils maîtriseraient beaucoup mieux les règles de grammaire que leurs pairs du Québec. Le problème serait dans l’expression orale, c’est-à-dire qu’au Québec, les enseignants et les élèves parlent un français et utilisent certaines expressions culturellement marquées que les élèves originaires d’Haïti ne peuvent pas saisir au départ:
«Les profs parlent un langage familier je pourrais dire, un élève qui arrive ici va pas comprendre parce qu’il connaît le français comme écrit dans les livres.»

Les stratégies de réussite

Les participants ont identifié des stratégies qui favorisent la réussite scolaire.«Il faut que tu te tiens avec des gens qui sont là depuis plus longtemps que toi qui savent comment ça marche et ils vont pouvoir t’aider.» (Entrevue de groupe # 1)«S’il veut arriver quelque part, il doit s’adapter dans la société qu’il vit et mettre toutes les chances de son côté.» (Entrevue de groupe # 2)
« Tu dois te concentrer, te montrer intéressé et pas se laisser abattre.» (Entrevue de groupe # 3)
Ces stratégies se basent sur des ressources qui doivent être mobilisées. En fait, les élèves soulignent la nécessité de connaître des personnes ou d’avoir des amis qui sont bien au fait du fonctionnement du système scolaire québécois, mais aussi de la société dans laquelle ce système évolue. De plus, après avoir mentionné un facteur externe à l’élève, ils en identifient un, tout aussi important, qui est intrinsèque à l’élève. Il s’agit de sa volonté, de son désir, de son engouement pour son projet scolaire. Les participants ont insisté sur cet aspect et la citation qui suit résume bien les propos à ce sujet
«Il faut que tu aies la volonté, c’est comme si tu veux vraiment réussir et bien tu vas y arriver. Si on te donne tout et que tu ne veux pas ça change rien.». (Entrevue de groupe # 3)

Le portrait typique d’un élève d’origine haïtienne en situation de réussite scolaire

C’est dans ce même ordre d’idées qu’après avoir abordé le rôle des stratégies dans leur réussite que les participants ont tracé le portrait d’un élève d’origine haïtienne en situation de réussite. Il s’agit d’un élève qui avance malgré tout c’est-à-dire malgré les difficultés du milieu, c’est-à-dire des échos qu’il entend concernant la communauté haïtienne comme l’illustre cet extrait de verbatim
«Ben quelqu’un qui garde qui garde la tête droite, qui a des objectifs clairs sur le travail qu’il veut faire plus tard sans s’occuper de ce qui se passe aux alentours comme les affaires de gangs pis les trucs dans le quartier.». (Entrevue de groupe # 1)C’est aussi un élève qui a des objectifs bien définis et qui travaille dur pour les atteindre, ce qui rejoint le troisième élément mentionné par les participants : c’est un apprenant capable de se démarquer: « C’est quelqu’un à ses affaires, qui persévère. Il se démarque des autres en classe puis aussi en dehors de la classe pour montrer qu’il est capable de réussir.» (Entrevue de groupe # 2) C’est aussi un élève qui travaille d’arrache-pied afin que ses efforts soient reconnus et que sa réussite ne soit pas remise en question.

Le rôle des parents

Du point de vue du rôle des parents, lors des entrevues de groupe, les participants ont surtout décelé des éléments qui, selon eux, n’aident pas à l’intégration ni à la réussite scolaire des enfants. En effet, ils reprochent aux parents d’être encore trop traditionnels
«Les parents doivent oublier leur mentalité haïtienne et s’adapter à la réalité et à la société québécoise.» (Entrevue de groupe # 2)
Selon les participants des entrevues de groupe, les parents transfèrent au Québec le mode de fonctionnement qui prévalait dans l’encadrement parental en Haïti. Ils leur reprochent plus précisément leur manque de souplesse et d’ajustement quant aux valeurs québécoises où les enfants ont plus de liberté d’expression, de décision et d’action.
« Il y a des parents qui sont très sévères pis ici c’est un peu libre. Ton ami Québécois va sortir quand il veut pis rentrer tard ben toi tu ne peux pas.». (Entrevue de groupe # 3)

Le rôle de l’école

De son côté, l’école a pour mandat, selon les participants, d’accueillir les élèves tels qu’ils sont en faisant preuve d’ouverture d’esprit et en créant des activités en fonction de leurs intérêts. De manière plus précise, elle se doit d’engager non seulement des enseignants compétents, mais aussi ces derniers doivent être disponibles pour répondre aux différents besoins des élèves sur le plan personnel.«Quand j’avais un problème, mon prof m’a donné un conseil pis ça a marché.». (Entrevue de groupe # 2).Sur le plan scolaire il s’agit surtout de faciliter la compréhension de la matière et de donner des récupérations à ceux qui ont davantage de difficultés. En outre, les élèves répondants mettent le doigt sur la nécessité pour les enseignants de mettre tous les élèves sur un même pied d’égalité sans égard leur origine culturelle, leur couleur ou leur statut socioéconomique.
«Ici, les élèves sont tous égaux, on n’a pas de problème de couleur pis des trucs comme ça.». (Entrevue de groupe # 1)

 Le rôle des autres protagonistes

Dans la grille d’entrevue de groupe, les élèves ont été peu loquaces sur le rôle des autres protagonistes. Par contre, ils ont relevé certains éléments qui valent la peine d’être considérés. Il s’agit en fait de reproches qu’ils adressent à la communauté haïtienne qui n’encourage pas assez les jeunes à réussir en restant dans l’ombre. Selon eux, les gens de leur communauté:
<devraient organiser des activités pour encourager les jeunes à réussir l’école.» (Entrevue de groupe # 2)
Les participants déplorent aussi l’absence de modèles de réussite auxquels ils pourraient s’identifier pour se projeter dans l’avenir:
«On sait pas qui réussit dans notre communauté, ils viennent pas nous voir. Tout ce qu’on voit c’est ceux qui sont dans les nouvelles pour les mauvaises choses.». (Entrevue de groupe # 3)

La stigmatisation

Au plan de la stigmatisation, cela se ferait surtout à trois niveaux, les médias, le marché du travail et le logement. «Dans les nouvelles, chaque fois qu’on montre un Noir ou un Haïtien, c’est pour quelque chose de négatif comme les gangs de rue.» (Entrevue de groupe # 2)
« Si tu cherches un travail, le Blanc passe avant toi-même si t’as les mêmes compétences.» (Entrevue de groupe # 1)
« Pour trouver un logement c’est dur pour les parents parce que les proprio veulent pas louer à des Noirs.» (Entrevue de groupe # 3)
Nous avons terminé les entrevues de groupe par une question ouverte qui permet de recueillir des suggestions en vue de faciliter la réussite scolaire des élèves d’origine haïtienne. Il s’avère qu’elles portent sur des modifications à apporter au plan des médias, du logement et du marché du travail pour contrer les situations identifiées précédemment

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Table des matières

ABSTRACT
LISTE DES TABLEAUX
REMERCIEMENTS
INTRODUCTION
CHAPITRE 1: PROBLÉMATIQUE
1.1 Les communautés culturelles au Canada et au Québec
1.1.1 La catégorisation ethnoculturelle
1.1.2 Immigration au Canada
1.1.3 Immigration au Québec
1.2 Les communautés noires au Québec
1.3 La communauté haïtienne au Québec
1.3.1 Profil socioéconomique
1.3.2 Statut minoritaire
1.4. Le milieu scolaîre montréalais
1.4.1 Les commissions scolaire publiques
1.4.2 Le cheminement scolaire
1.4.3 Les types de diplâmes
1.4.4 Le portrait socioculturel des élèves des écoles montréalaises
1.5 Le rendement scolaire des élèves du secondaire au Québec
1.5.1 Le rendement au secondaire des élèves des communautés culturelles au Québec
1.5.2 Le rendement scolaire des communautés noires
1.5.3 Le rendement scolaire des élèves de la communauté haïtienne
1.6. Pertinence de la recherche
1.7 Question de recherche
CHAPITRE 2: CADRE CONCEPTUEL
2.1 Adolescents d’origine haïtienne
2.2 À propos de trajectoire scolaire
2.2.1 Une définition générale de trajectoire scolaire
2.2.2 Les trajectoires scolaires formalisées par le MELS
2.3 La réussite scolaire
2.3.1 Définition
2.3.2 Les facteurs de réussite scolaire
2.3.2 Typologie de réussite
2.4 L’axe «langue maternelle ou du pays d’origine/langue du pays d’accueil»
2.5 L’axe «système scolaire du pays d’origine/système scolaire du pays d’accueil»
2.5.1 Enseignement et apprentissage
2.5.2 Relation école-famille
2.6 Objectifs de recherche
CHAPITRE 3: MÉTHODOLOGIE
3.1 Type de recherche
3.2 Instruments de recherche
3.3 Mode de recrutement des participants
3.4 Échantillon prévu et réel
3.5 Déroulement de la collecte de données
3.6 Traitement et analyse des données
CHAPITRE 4: PRÉSENTATION DES RÉSULTATS
4.1 Profil des participants
4.1.1 Les élèves
4.1.2 Les parents
4.1.3 Les autres protagonistes
4.2 Résultats et analyse des entrevues de groupe
4.2.1 Comparaison entre le système scolaire haïtien et le système scolaire québécois
4.2.2 Les stratégies de réussite
4.2.3 Le portrait typique d’un élève d’origine haïtienne en situation de réussite scolaire
4.2.4 Le rôle des parents
4.2.5 Le rôle de l’école
4.2.6 Le rôle des autres protagonistes
4.2.7 La stigmatisation
4.3 Point de vue des élèves
4.3.1 Comparaison entre le système scolaire haïtien et le système scolaire québécois
4.3.2 Mobilisation de l’élève dans sa scolarité
4.3.3 Encadrement familial
4.3.4 Apport de l’école
4.3.5 Appartenance à une minorité ethnique\identité assignée
4.3.6 Suggestions pour la réussite scolaire des élèves d’origine haïtienne
4.4 Point de vue des parents
4.4.1 Comparaison entre le système scolaire haïtien et le système scolaire québécois
4.4.2 Mobilisation de l’élève dans sa scolarité
4.4.3 Implication familiale
4.4.4 Apport de l’école
4.4.5 Appartenance à une minorité ethnique
4.4.6 Suggestions pour favoriser la réussite scolaire des élèves d’origine haïtienne
4.5 Point de vue des autres protagonistes
4.5.1 Profil des autres protagonistes
4.5.2 Mobilisation scolaire de l’élève dans sa scolarité
4.5.3 Relation membre enseignant-intervenant\élève
4.5.4 Collaboration école\famille
4.5.5 Apport de l’école
4.5.6 Appartenance à une minorité ethnique/identité assignée
4.5.7 Suggestions pour favoriser la réussite scolaire des jeunes d’origine haïtienne
CHAPITRE 5: ANALYSE ET INTERPRÉTATION DES RÉSULTATS
5.1 Regards croisés des protagonistes
5.1.1 Comparaison entre le système scolaire haïtien et le système scolaire québécois
5.1.2 Mobilisation de l’élève
5.1.3 Mobilisation familiale
5.1.4 Apport de l’école
5.1.5 Collaboration école/famille
5.1.6 Appartenance ethnique
5.1.7 Suggestions
5.2 Présentation de deux profils de réussite
5.2.1 Réussite comme continuité familiale: cas de l’élève # 3
5.2.2 Réussite comme promotion sociale : cas de l’élève
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE

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