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Le secteur « culture d’exportation » au sein de la BNI-CLM
L’importance des activités de cultures d’exportation dans l’activité de la BNI-CLM peut s’apprécier au travers les engagements pris avec les clients mais aussi sur la base des PNB obtenus par rapport à ce domaine. Ces deux critères sont indépendants. En effet, les intérêts et / ou les commissions obtenus sur un client donné sont fonction du plafond autorisé et de l’utilisation des lignes de crédit octroyées.
Les principaux produits de règnes végétales
Sur la base des données de l’Institut National de la Statistique (INSTAT), nous distinguons les principaux produits du règne végétal ci-après :
• Paddy
• Café marchand
• Maïs grain sec
• Poivre noir sec,
• Haricot grain
• Girofle clou
• Pois du cap
• Vanille verte
• Manioc frais
• Sisal fibre
• Patate douce
• Cacao en fève,
• Pomme de terre
• Tabac
• Arachide
• Coton graine
• Canne a sucre
• Thé sec.
Zones de cultures et évolution des productions
Zone de cultures et productions
Le tableau 2 montre les superficies et productions de quelques cultures d’exportation (vanille, café, girofle et poivre). Pour l’année 2001, la région Nord représentait environ 83% des superficies de vanille soit 25 750 ha. Les cartes ci-après récapitulent les données relatives à la filière étudiée pour l’année 2001. Les indications sur le tonnage produit par région portent sur la vanille verte.
Problèmes liés à la production
Le financement des planteurs
Les trois principaux acteurs de la filière vanille sont : les planteurs, les collecteurs et les exportateurs. Les planteurs sont souvent des petits paysans qui n’ont pas toujours les ressources nécessaires pour financer leur production.
La plupart des exportateurs sont contraints d’avancer des fonds à ses planteurs habituels. Le remboursement de ces acomptes se font la plupart du temps par compensation lors du règlement des paysans.
L’environnement naturel
Outre les superficies cultivées, plusieurs facteurs peuvent influencer la production de vanille. Parmi ces facteurs, les conditions climatiques sont les plus fréquemment évoquées.
A titre d’exemple, une production de seulement 500 tonnes soit -57% par rapport la campagne précédente, était prévue pour 2003/2004 concernant la filière vanille. Cette baisse importante de la performance est surtout due aux temps pluvieux dans le Nord du pays en janvier, période où la vanille a besoin de climat sec.
Les aléas climatiques n’affectent pas seulement les quantités produites mais aussi la qualité. Ce second point est très important car cette qualité répond à des normes précises. Un arrêté ministériel portant le numéro 4911/9-MCC du 12 mai 1999 met en place une nouvelle classification (ANNEXE II : Les différentes catégories de vanille) des gousses de vanille préparée. Cette norme ne s’applique pas aux extraits de vanille.
Rendement par ha
Le rendement optimal pour une plantation bien conduite, se situe entre 600 et 800 gr de vanille verte par tuteur soit 1 000 à 1 400 Kg/ha. Sur les 60 000 planteurs, le rendement moyen est encore très faible car in n’atteint que 200 à 300 Kg/ha.
Activité collecte
L’organisation des collectes
Pour la collecte de la vanille dans les zones de production, les opérateurs procèdent généralement de deux manière différentes : soit ils effectuent eux-mêmes la collecte de leurs produits avec leurs propres moyens ; soit ils confient, intégralement ou en partie, la collecte à d’autres transporteurs.
Chaque procédé présente des points forts et des aspects négatifs.
L’exportateur effectue lui-même la collecte de ses produits.
Si la société possède des moyens adéquats notamment des matériels pour le transport, elle pourra facilement planifier son approvisionnement. Cependant, ce procédé risque d’augmenter les frais généraux ou les charges externes,
Selon que l’entretien des matériels de transport soit assuré par l’opérateur lui-même ou qu’il soit confié à tiers (exemple : à un garagiste mécanicien).
L’opérateur confie ou une partie des collectes à d’autres transporteurs
Ce second cas est aussi fréquent. Les exportateurs travaillent avec des transporteurs déjà expérimentés dans le domaine. Les deux parties sont souvent liées par des contrats annuels renouvelables. Dans l’activité collecte, la concurrence est très accentuée compte tenu du nombre des prestataires sur le marché, cela permet aux exportateurs d’exercer une pression à la baisse des tarifs.
Les difficultés liés à l’activité collecte
Difficultés liées à la sécurité des points de collecte
Les actes de banditisme et le vol de vanille sont très fréquents dans les régions de la SAVA (voir divers articles de journaux, ANNEXE XVII). Le paiement des paysans au comptant, favorise le développement des actes de malfaiteurs car cela oblige les collecteurs à emporter une importante somme d’argents sur eux.
L’identification des acteurs de la filière vanille par la distribution de cartes de planteurs (ANNEXE III : Prototype carte planteur) pourrait faciliter le contrôle des forces de l’ordre et améliorer progressivement la sécurité dans les zones de collecte. Mais pour l’instant, il est encore très difficile d’établir une liste complète de ces principaux acteurs.
Sur les quelques 60 000 planteurs recensés au 31/03/03, seulement 42% d’entre eux, possèdent une carte. La distribution de ces cartes devrait constituer une priorité afin de permettre aux responsables concernés de mieux exécuter leurs tâches.
Cette action est encore limitée à la SAVA, et il n’existe pas pour l’instant des cartes préparateurs. En ce qui concerne les cartes de planteur déjà distribuées, la généralisation du modèle fixé par Le décret 2001/234 et par l’arrêté 6472 du 12/06/01 permettant d’éviter les falsifications constitue encore un autre problème.
Depuis 2000, on constate aussi que le vol de gousses de vanille sur pied s’est nettement développé. L’absence de marquage généralisé des gousses de vanilles bloque les actions de contrôle permettant les propriétaires réels en cas de vol. L’utilité de cette pratique devrait être reconnue par l’ensemble des professionnels du secteur.
Il faut mentionner aussi que la dispersion des zones de production, sans cartographies précises, limite considérablement les actions des forces de l’ordre.
L’état des routes dans la région SAVA :
L’évacuation des produits dans les zones de production est très pénible à cause de l’état actuel des routes. La plupart des régions sont relativement désenclavées. Toutefois, les opérateurs estiment que l’actuel programme routier (la réhabilitation de la RN5 A, reliant Sambava et Antalaha, financement : 3 millions d’euros de l’Union Européenne ; durée : 2 ans et demi) permettra de résorber ce problème.
Activité commercialisation
Le marché de la vanille
Théoriquement, on peut distinguer deux types de débouchés pour la filière vanille malgache : Le marché local et le marché international.
Le marché local :
Actuellement, la totalité de la production nationale est destinée à l’exportation. Les clients potentiels sur le marché local utilisent surtout des vanilles de synthèse importées. Ces cibles potentielles sont dans la plupart des cas, des opérateurs dans la parfumerie. Notons toutefois que le marché pourrait devenir intéressant quand le pays aura enfin ses usines d’extraction de vanilline, d’autant plus qu’à Madagascar, il existe déjà quelques entreprises malgaches comme EXPAM , HOMEOPHARMA, qui sont spécialisées dans la plantation et l’agriculture bio (épices, huiles essentielles, extraits divers, plantes médicinales)ou encore PHAEL et FLOR dans les produits aromatiques.
Le marché à l’export :
Madagascar est le premier producteur de vanille mondial. La majorité des importations mondiales, soit plus de 50%, proviennent de la grande île.
Les débouchés américains et les débouchés européens sont à distinguer. Les USA demeurent les plus grands consommateurs (ANNEXE VII : Statistiques d’importation de vanille 2001-2002) de vanille mondiaux. Ensuite viennent les pays européens, notamment, le France et l’Allemagne.
La place de la vanille dans les secteurs des boissons et des glaces.
Madagascar exporte uniquement, jusqu’à ce jour, de la vanille naturelle. Cette matière première est, dans la majorité des cas, traitée pour obtenir de la vanilline.
La vanilline entre dans la composition de parfum et de boisson. Le marché mondial est plus particulièrement sous-tendu par deux (2) marchés principaux : celui des boissons (en particulier les colas) et celui des glaces.
Le lancement de la vanille coke par COCA-COLA est un succès sur l’ensemble des marchés visés et c’est l’ensemble du secteur des colas qui se lance dans les produits à base de vanille.
Le segment du marché des boissons autres que le cola est en expansion. Ainsi, la vanille a doublé sa part de marché depuis un an, soit aux USA ( en % de consommateurs utilisant la boisson mentionnée avec le parfum vanille) :
• 55% des consommateurs de jus de fruit,
• 80% des consommateurs de produits « organiques »,
• 80% des consommateurs de thé et café parfumés,
• 55% des consommateurs de bières parfumées,
• 61% des consommateurs de boissons énergétiques
• 79 % des consommateurs de boissons à base produits laitiers.
La vanille reste de loin le parfum préféré des consommateurs de glaces, et représente 40% du marché mondial :
• 50% du marché des glaces en grande Bretagne
• 46% des préférences en Allemagne
• 40% sur l’ensemble de l’Europe
• 25,8% du marché aux USA.
La vanille est positionnée en troisième position, derrière le chocolat et la fraise, dans les produits laitiers parfumés, et , parfois même ( USA ), en deuxième position.
Les grands consommateurs de vanille affichent leur préférence pour la vanille naturelle à commencer par les géants américains COCA-COLA et PEPSI COLA. Aux USA, la vanilla coke, même vendus plus chers, est un succès et PEPSI COLA projette aussi de sortir un produit semblable pour l’été.
La plupart du temps, la vanille synthétique, moins onéreuse, est plus utilisée par les géants de l’agroalimentaire pour parfumer les yaourts, glaces ou biscuits. L’avenir de la vanille malgache pourrait elle donc passer par le COLA dans la mesure où COCA-COLA figure parmi les plus grands consommateurs dans le monde. A titre d’exemple, en 2002, les importations de COCA-COLA représentaient plus des 10% de la consommation mondiale. Pour mieux saisir cette opportunité, nous devrions favoriser l’implantation des usines prévue dans le plan d’action du GES. Le marché des produits destinés à la parfumerie constitue également une niche assez intéressante. A ce sujet, Madagascar dispose d’importants atouts car le pays est naturellement biologique et possède un potentiel énorme avec ses milliers d’espèces végétales ( 12 000 espèces ) à partir desquelles l’industrie de la parfumerie trouvera de nouvelles essences et où la vanilline occupera certainement une place non négligeable.
Elle fait des entées remarquées dans certains segments tels que la vodka et le rhum, mais également dans le développement de l’aromathérapie, les bougies, etc….
ACTIVITE DES ETABLISSEMENTS FINANCIERS
Avant d’aborder l’analyse des concours bancaires par rapport aux besoins des clients exportateurs de vanille, une brève description de l’activité des établissements financiers en général et de celle des banques en particulière, s’impose.
A Madagascar, les établissements de crédit sont régis par la loi n° 95030 du 22/02/96.Cette loi détermine les différents catégories existantes, les « opérations » autorisées ainsi que le ou les organes chargées d’effectuer le contrôle des activités.
Les principaux acteurs :
Nous pouvons distinguer les acteurs principaux ci après :
Les banques primaires, dont la BNI-CLM
Les banques primaires ou banques de dépôt ou encore banques commerciales sont des établissements financiers dont l’activité principale consiste à effectuer des opération de crédit et à recevoir des dépôts de fonds du public.
Cette catégorie de banque ne peut détenir de participation dépassant 20% du capital des Entreprises autres que les établissements financiers.
En outre, le montant total des prises de participations, y compris les souscriptions ferme à des émissions de parts ou d’actions, ne peuvent excéder 100% de leurs ressources propres. Toute utilisation de dépôt à vue ou à terme inférieure à 2 ans sous la forme de participation ou d’investissement- immobilier est également interdite.
A Madagascar, il existe six (6) banques primaires :
? BNI-CL
? BTM-BOA
? BFV-SG
? SBM
? UCB
? CMB
Les Institutions Financières Mutualistes(IFM)
Par oppositions aux banques primaires qui peuvent faire des transactions avec un public très large, le IFM sont autorisées à effectuer les opérations incluses dans leur habilitation, uniquement pour ses adhérents. Au niveau des IFM, Il existe encore des ramifications selon les spécialisations retenues. A titre d’exemple, nous pouvons citer les institutions dont les dépôts des adhérents sont obligatoirement inférieurs à un (1) an.
La Commission de Supervision Bancaire et Financière
La Commission de Supervision Bancaire et Financière est une organisation chargée :
D’octroyer les agréments pour les établissements financiers de Madagascar,
? de définir les opérations autorisées,
? de fixer les conditions d’exploitation, dont les ratios à respecter,
? de contrôler le respect de ces conditions.
La Commission de Supervision Bancaire et Financière est habilitée à émettre des sanctions à l’égard des établissements qui ont failli au respect des réglementations en vigueur.
Outre les sanctions pécuniaires, les sanctions applicables sont :
? La limitation des opérations autorisées,
? La supervision des dirigeants par un Administrateur provisoire,
? Le retrait de l’agrément
Il est important de souligner ici qu’en aucun cas, le secret professionnel n’est opposable aux enquêtes de la Commission de Supervision Bancaire et Financière.
La Banque Centrale de Madagascar
Elle assure la fonction de la tutelle des établissements financiers à Madagascar. Les principales missions de la BCRM sont :
? Emission de billets et /ou pièces banque.
? Protection de la monnaie nationale
? Contrôle des banques à travers des mesures directives ou incitatives.
Les différents lignes de financement d’exploitation :
Globalement, on peut distinguer deux types de financement :
? Les types d’engagement à caractère spécifique.
? Les types d’engagement à caractère répétitive ou revolving.
Les types d’engagement à caractère spécifique
Cette catégorie de lignes de financement concerne les crédits bancaires qui sont accordés par rapport à des besoins spécifiques et qui normalement ne sont pas répétitifs. Elle se rapporte aux financements du haut bilan, en particulier les financements d’investissements. Ce sont les crédits à moyen terme (2 à 5 ans) ou à long terme (plus de 5 ans). Le cadre de notre étude se limite aux financements d’exploitation de la filière vanille qui est inclus dans les types d’engagements à caractère revolving.
Les types d’engagements à caractère revolving
Cette catégorie concerne essentiellement le financement de bas de bilan ou le financement d’exploitation. Ce sont les crédits à court terme, c’est-à-dire, les crédits dont la validité est à moins d’un an, mais qui sont renouvelables chaque année. On peut distinguer les différents types de crédits de fonctionnement ci-après :
Les crédits par caisse
Crédits dont la réalisation se traduit par une avance en compte courant. Concrètement, les clients bénéficiant des lignes de crédit par caisse peuvent faire fonctionner leur compte sur des bases débitrices à l’intérieur d’un plafond préalablement défini.
Il existe différentes sortes de crédit par caisse, à savoir : Facilité de caisse, découverte, crédit – relais, crédit amortissable, préfinancement.
Les Crédits de mobilisation
L’objectif est de rendre « liquide » une créance.
La BNI-CLM propose à ses clients trois formes des crédits de mobilisation : Les avances sur titre, les mobilisations de créances sur l’Administration, et les mobilisations de créances commerciales ;
Les engagements par signature ou les actes de cautionnement :
On entend par cautionnement bancaire, un prêt de signature de la part de la banque qui équivaut à une promesse de payer à la place de son client soit à une certaine échéance, soit dans certaines circonstances bien précises dans le contrat. C’est donc un engagement pris par la banque d’exécuter une obligation en cas de défaillance du débiteur principal.
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Table des matières
PARTIE I : SECTEUR CULTURE D’EXPLOIATION ET LA FILIERE VANILLE A MADAGASCAR
CHAPITRE I. Le Secteur « cultures d’exportation » à Madagascar
SECTION I. Le secteur « cultures d’exportation » au sein de la BNI-CLM
§ 1. Les principaux produits de règnes végétales
SECTION II. Le secteur cultures d’exportation à Madagascar
§ 1. Superficie et production des principales cultures d’exportation
A. Programme annuel de collecte
B. Taux de croissance annuel par produit, groupes de produits et production totale
CHAPITRE II. LA FILIERE VANILLE
SECTION I. Informations générales
§ 1. La production de vanille
A. Zones de cultures et évolution des productions
a Zone de cultures et productions
B. Calendrier de campagne
C. Problèmes liés à la production
a Le financement des planteurs
b L’environnement naturel
c Rendement par ha
SECTION II. Activité collecte
§ 1. L’organisation des collectes
A. L’exportateur effectue lui-même la collecte de ses produits
B. L’opérateur confie ou une partie des collectes à d’autres transporteurs
C. Les difficultés liés à l’activité collecte
a Difficultés liées à la sécurité des points de collecte
b L’état des routes dans la région SAVA
SECTION III. Activité commercialisation
§ 1. Le marché de la vanille
A. Le marché local
B. Le marché à l’export
a La place de la vanille dans les secteurs des boissons et des glaces
b Les évolutions récentes sur le marché international
c La concurrence sur le marché mondial
d Facteurs de compétitivité
PARTIE II : RECOURS AUX FINANCEMENTS BANCAIRES
CHAPITRE I. ACTIVITE DES ETABLISSEMENTS FINANCIERS
SECTION I. Les principaux acteurs :
§ 1. Les banques primaires, dont la BNI-CLM
§ 2. Les Institution Financière Mutualiste(IFM)
§ 3. La Commission de Supérvision Bancaire Et Financière
§ 4. La Banque Centrale de Madagascar
SECTION II. Les différents lignes de financement d’exploitation :
§ 1. Les types d’engagement à caractère spécifique
§ 2. Les types d’engagements à caractère revolving
A. Les crédits par caisse
B. Les Crédits de mobilisation
C. Les engagements par signature ou les actes de cautionnement :
CHAPITRE II. LE RECOURS AUX FINANCEMENTS BANCAIRES POUR LA FILIERE VANILLE
SECTION I. Processus de décision pour l’octroi d’un crédit au sein de la BNI-CLM.39
§ 1. Contenus d’un dossier de crédit
§ 2. Contenu d’une demande de crédit : (voir aussi ANNEXE IX :
§ 3. Organigramme de la Directions Des Engagements/Analyse(DDE/A)
SECTION II. Les lignes de financements adaptées aux besoins des exportateurs
§ 1. Durant la phase de production
§ 2. La facilité de caisse :
§ 3. Le découvert
§ 4. Durant la période de collecte
§ 5. Après la collecte :
A. Préfinancement et Avance Sur Produit
§ 6. Pendant la phase de commercialisation
SECTION III. Analyse du risque
§ 1. Les risques de l’activité bancaire
A. Les risques de marché
a Le risque de taux d’intérêt
b Le risque de change
c Le risque de prix (de bourse)
d Le risque de l’illiquidité
B. Les risques généraux (ou risques d’établissement)
a Le risque de solvabilité
b Le risque de transformation
c Le risque de liquidité
C. Les risques spécifiques
a Le risque de contrepartie
b Le risque administratif
c Le risque technique
SECTION IV. Notion de garantie et de couverture de crédit
§ 1. Les Garanties
§ 2. Crédits couverts » et « crédits non-couverts »
§ 3. Appréciation des risques : les éléments essentiels
A. La connaissance des renseignements généraux concernant l’emprunteur
B. L’historique de l’emprunteur :
C. Forme juridique de l’entreprise :
a L’entreprise individuelle
b La Société A Responsabilité Limitéé (SARL)
c La société Anonyme(SA)
d Les moyens à la disposition de l’entreprise cliente :
e Les relations bancaires
§ 4. La connaissance des événements économiques ayant des impacts sur l’évolution de l’activité de la relation
A. Le marché
B. Couple marché/produit
C. L’étude du secteur
D. Le diagnostic financier
a Le Bilan
b Le compte de résultat
c Les prévisions
d Le plan de financement
CHAPITRE III. SUGGESTION D’AMELIORATION DE LA FILIERE VANILLE
SECTION I. Partenariat entre banques- organismes- producteurs – Etat
§ 1. Encadrement des producteurs
A. Professionnalisation de la filière
B. Mise en place d’un organe de lutte contre les vols de vanilles
a Au niveau des exportateurs
b Sur les procédures de coordination du marché
SECTION II. Création d’industrie de transformation
§ 1. Autres infrastructures
§ 2. Les infrastructures routières
A. Le réseau de routes nationales
B. Le réseau de routes provinciales
C. Routes communales
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