LE PROGRAMME NATIONAL DE LUTTE CONTRE LE PALUDISME

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Cycle biologique des Plasmodies (annexe 1) (11)

Lโ€™agent pathogรจne du paludisme est un hรฉmatozoaire du genre Plasmodium, appartenant ร  lโ€™embranchement des Sporozoa et ร  lโ€™ordre des Haemosporidae. Cent vingt trois espรจces du genre Plasmodium ont รฉtรฉ rรฉpertoriรฉes et possรจdent des cycles biologiques similaires. Ce sont des parasites intracellulaires obligatoires des vertรฉbrรฉs transmis par des moustiques femelles. Afin que le cycle complet puisse sโ€™accomplir, il doit y avoir adรฉquation entre le parasite et son hรดte vertรฉbrรฉs, ainsi quโ€™entre le parasite et le moustique vecteur. Le cycle de Plasmodium est un cycle complexe qui comprend un hรดte intermรฉdiaire (lโ€™homme pour ce qui nous concerne), oรน il se trouve sous une forme haploide et se multiplie de maniรจre asexuรฉe, et un hรดte dรฉfinitif, lโ€™anophรจle femelle, oรน a lieu la reproduction sexuรฉe.

Cycle chez lโ€™homme (hรดte intermรฉdiaire) ou phase asexuรฉe : Ce cycle se dรฉroule en deux phases :

Phase hรฉpatique ou prรฉ-รฉrythrocytaire ou exo-รฉrythrocytaire ou phase schizogonie La durรฉe de ce cycle est variable selon les espรจces : processus immรฉdiat pour Plasmodium falciparum et Plasmodium malariae, retardรฉ plusieurs semaines pour Plasmodium vivax et Plasmodium ovale. Certaines formes intra-hรฉpatiques ne se divisent pas immรฉdiatement et restent inactives pendant des mois. Ces formes endormies ou hypnozoรฏtes seraient responsable des rechutes (12, 13). Le cycle parasitaire chez lโ€™homme commence lorsquโ€™un anophรจle femelle infectieux pique un individu. En mรชme temps quโ€™elle se gorge de sang, elle injecte les sporozoรฏtes prรฉsents dans sa salive. Dans le sang, ces sporozoรฏtes ne restent pas plus de 30 minutes et gagnent rapidement le foie et parasitent les hรฉpatocytes. Dans la cellule hรฉpatique, le sporozoรฏtes se transforme en trophozoรฏte hรฉpatocytaire. Apres 5 ร  6 jours, pour Plasmodium falciparum; 15 jours pour Plasmodium malariae, lโ€™hรฉpatocyte est envahit par une masse multinucleaire appelรฉ schizonte hรฉpatocytaire et chaque noyau sโ€™individualise pour former de mรฉrozoรฏte. Les hรฉpatocytes parasitรฉs vont sโ€™รฉclater et libรฉrer des mรฉrozoรฏtes dans le sang. Cโ€™est le dรฉbut de la phase รฉrythrocytaire responsable de la maladie.

Cycle รฉrythrocytaire : schizogonie รฉrythrocytaire

Les mรฉrozoรฏtes libรฉrรฉes pรฉnรจtrent dans les hรฉmaties par endocytose et vont se transformer en trophozoรฏte. Ce trophozoรฏte augmente de taille, son cytoplasme sโ€™รฉpaissit, se divise par mitoses pour donner des schizontes matures (corps de rosace). La durรฉe de ce cycle et le nombre de mรฉrozoรฏtes (forme infectieux) obtenus seront caractรฉristiques de chaque espรจce qui dรฉtermine eux aussi lโ€™accรจs fรฉbrile.
A lโ€™issue de chaque cycle, les hรฉmaties parasitรฉes รฉclatent de faรงon gรฉnรฉralement synchrone et les mรฉrozoรฏtes libรฉrรฉs envahissent des hรฉmaties saines ainsi plusieurs cycles se succรจdent. Aprรจs environ une semaine, certains mรฉrozoรฏtes vont se distinguer en commenรงant le cycle sexuรฉ du parasite ; les uns vont devenir des gamรฉtocytes mรขles, les autres vont devenir des gamรฉtocytes femelles. Les gamรฉtocytes restent en attente dans leurs hรฉmaties ; la durรฉe de vie des gamรฉtocytes est de quelques jours mais de nouveaux gamรฉtocytes sont produits ร  la fin de chaque schizogonie รฉrythrocytaire.
Le paludisme sรฉvรจre ร  P. falciparum survient aprรจs la prolifรฉration des parasites dans les รฉrythrocytes et lโ€™adhรฉrence des globules rouges infectรฉs ร  lโ€™endothรฉlium vasculaire (cytoadhรฉrence) et ร  des globules rouges non infectรฉs (phรฉnomรจne de ยซ rosetting ยป). Cette adhรฉrence aboutit ร  la sรฉquestration de cellules parasitรฉes dans des capillaires et des veinules dโ€™organes vitaux (cerveau, poumons et foie) et du placenta, interfรฉrant avec le flux microcirculatoire et avec le mรฉtabolisme des tissus de lโ€™hรดte (13).

Cycle chez lโ€™anophรจle (4) (14)

Au cours de la piqรปre, l’anophรจle ingรจre des hรฉmaties parasitรฉes, seuls les gamรฉtocytes รฉvolueront. Dรจs l’arrivรฉe dans l’estomac de l’anophรจle, les gamรฉtocytes mรขles et femelle subissent l’exflagellation et donnent des gamรจtes mรขles et femelles. La fรฉcondation de chaque gamรจte femelle par un gamรจte mรขle donne autant de zygotes appelรฉs ookinรจtes. Les ookinรจtes se fixent aux cellules de la paroi stomacale de lโ€™anophรจle. Si l’espรจce d’anophรจle convient au parasite, les ookinรจtes s’insinuent entre les cellules de la paroi stomacale du moustique et vont se localiser ร  la face externe de l’estomac, ils deviennent alors des oocystes. La durรฉe totale entre le repas contaminant du moustique et la sortie des ookinรจtes est de l’ordre de 24 heures. A l’intรฉrieur de l’oocyste vont se former des sporocystes qui donneront plusieurs centaines de sporozoรฏtes.
La maturation de l’oocyste (ou sporogonie) dure de 4 ร  21 jours suivant les conditions climatiques pour P. falciparum. La tempรฉrature optimale qui permet le dรฉveloppement le plus rapide est de 30ยฐC, et la tempรฉrature minimale qui permet le dรฉveloppement le plus lent est de 18ยฐC. A la maturation, les oocystes รฉclatent et les sporozoรฏtes sont libรฉrรฉs dans l’hรฉmolymphe, en 24 heures environ, la majoritรฉ d’entre eux va se concentrer dans les glandes salivaires. La survie des sporozoรฏtes dรฉpend de lโ€™adaptation : anophรจle par plasmodium. Lors de la piqรปre d’un humain, l’anophรจle injectera de plusieurs dizaines ร  plusieurs centaines de sporozoรฏtes L’anophรจle sera infectieuse, en fonction des conditions climatiques, 8 jours au minimum, 21 jours au maximum, aprรจs le repas sanguin contaminant et le restera au maximum 2 mois.

Les espรจces plasmodiales prรฉsentes

Les quatre espรจces plasmodiales pouvant infecter lโ€™Homme (P falciparum, P. vivax, P. ovale, P. malariae) sont prรฉsentes sur la grande รฎle, mรชme si P. falciparum reste impliquรฉ dans plus de 90% de cas. Il est probable que les souches malgaches de P. falciparum proviennent dโ€™Afrique orientale. P. vivax, rare ou absent dans la race noire africaine (absence de lโ€™antigรจne รฉrythrocytaire Duffy), mais sรปrement frรฉquent chez les Arabes des comptoirs de Zanzibar et chez les marins indonรฉsiens connaรฎt probablement ร  Madagascar une double origine : asiatique et africaine. Pour P. malariae et P. ovale, peu frรฉquents en Asie du Sud Est, leur origine africaine paraรฎt devoir รชtre retenue (22), P. vivax semble avoir รฉtรฉ pendant longtemps lโ€™espรจce prรฉdominante sur les Hautes Terres Centrales, P. falciparum nโ€™ayant fait son apparition quโ€™en fin du XIXรจme siรจcle. Aprรจs une cล“xistence, P. vivax aurait connu un net recul suite aux nombreuses campagnes dโ€™รฉradication du paludisme aprรจs 1950. Dรจs 1962, P. falciparum reprรฉsentait plus de 90% des cas observรฉs, ce qui reste le cas aujourdโ€™hui. Les 2 autres espรจces (P. ovale et P malariae) dรฉcrites depuis longtemps restent marginales dans le nombre dโ€™infections observรฉes (1 ร  3%) (23).

Les Faciรจs รฉpidรฉmiologiques

Diffรฉrents faciรจs รฉpidรฉmiologiques de transmission du paludisme sont dรฉcrits ร  Madagascar, rรฉsultant de la situation gรฉographique et de la variรฉtรฉ des climats observรฉs au sein du pays.
La rรฉpartition du paludisme ร  Madagascar est caractรฉrisรฉe par son hรฉtรฉrogรฉnรฉitรฉ, consรฉquence des variations rรฉgionales en termes de pluviomรฉtrie, tempรฉrature et altitude.
Madagascar prรฉsente deux grands types de transmission :
๏‚ง Rรฉgion de paludisme stable (rรฉgions cรดtiรจres).
๏‚ง Rรฉgion ร  risque รฉpidรฉmique (HTC et sud).
Quatre faciรจs รฉpidรฉmiologiques sont clairement dรฉfinis en fonction de la durรฉe et de lโ€™intensitรฉ de la transmission (24).

Le faciรจs รฉquatorial (la cรดte Est)

Il se caractรฉrise par une transmission forte et pรฉrenne entraรฎnant le dรฉveloppement dโ€™une forte prรฉmunition. Les principaux vecteurs sont An gambiae ss et An funestus. Les manifestations cliniques apparaissent surtout chez les enfants de moins de 10 ans et le paludisme grave touche ceux de moins de 5 ans. La faible morbiditรฉ des adultes tรฉmoigne de lโ€™acquisition dโ€™une prรฉmunition รฉgalement indiquรฉe par la diminution de la densitรฉ parasitaire et de lโ€™indice plasmodique avec lโ€™รขge. Le niveau dโ€™endรฉmie varie de lโ€™hyperendรฉmie ร  lโ€™holoendemie.

Le faciรจs tropical (la cรดte ouest)

Il est caractรฉrisรฉ par une transmission saisonniรจre longue, pendant la saison des pluies, de plus de 6 mois par an ร  lโ€™origine dโ€™un paludisme stable. La prรฉmunition est plus tardive par rapport ร  la cรดte-est. Trois espรจces de vecteurs sont prรฉsentes : An gambiae ss, An aranbiensis et An funestus.

Le faciรจs ยซ du sud ยป

La transmission est รฉpisodique et courte (en moins de 4 mois) dans lโ€™extrรชme sud. La transmission coรฏncide avec la saison des pluies. An arabiensis est le seul vecteur prรฉsent. Le paludisme instable prend des allures รฉpidรฉmiques certaines annรฉes, touchant sรฉvรจrement toutes les classes dโ€™รขge. Les habitants sont sensibles aux accรจs cliniques durant toute leur vie.

Le faciรจs ยซ des hauts plateaux ยป

La transmission du paludisme y est assurรฉe par An. arabiensis et An funestus, la premiรจre espรจce รฉtant plus largement distribuรฉe que la seconde. Il nโ€™y a pas de transmission pendant la saison froide (du mois de juin au mois dโ€™aoรปt). Le paludisme saisonnier est instable, avec risque dโ€™รฉpidรฉmies meurtriรจres du fait de lโ€™absence de prรฉmunition de la population, mais il peut acquรฉrir une certaine stabilitรฉ dans des cuvettes au climat plus clรฉment comme la rรฉgion du lac ou dโ€™Ankazobe. Au dessus de 1500 m, la transmission est exceptionnelle.
Sur les Hauts Terres, le paludisme est presque exclusivement une retombรฉe de la riziculture irriguรฉe qui fournit plรฉthore de gรฎtes aux deux vecteurs An arabiensis et An funestus. Cette rรฉgion occupe une place ร  part dans lโ€™รฉpidรฉmie du paludisme ร  Madagascar et nโ€™est comparable ni aux rรฉgions cรดtiรจres ร  forte endรฉmie stable, ni au sud oรน la quasi-absence de riziรจre limite le nombre de gรฎtes larvaires des vecteurs. Ainsi, la transmission est intermittente ou stable mais limitรฉe ร  la saison des pluies. Elle peut augmenter brutalement, selon les circonstances รฉcologiques et รฉpidรฉmiologiques.

Cas particuliers

Les grandes villes constituent une zone รฉcologique particuliรจre. La transmission peut exister au niveau des zones pรฉriurbaines alors quโ€™au centre, elle est trรจs faible du fait des conditions particuliรจres des larvaires. Un risque de transmission subsiste avec possibilitรฉ dโ€™endรฉmie.
Les zones de haute altitude, supรฉrieure ร  1500 mรจtres, sont caractรฉrisรฉes par une situation รฉpidรฉmiologique ร  transmission minimale ou mรชme nulle. On se trouve ici en zone de paludisme importรฉ surtout des rรฉgions cรดtiรจres, mais le risque รฉpidรฉmique nโ€™est pas nul si les conditions de transmission sont rรฉunies au cours de la saison chaude et pluvieuse.

Historique de la chimiorรฉsistance

Les antimรฉtabolites (proguanil, pyrimรฉthamine) gรฉnรจrent les premiers cas de rรฉsistance en 1 ร  4 ans tandis que pour les amino-4-quinolรฉines et les amino-alcools, ce dรฉlai varie de 10 ร  15 ans. Pour la quinine, la rรฉsistance est plus difficile ร  connaรฎtre.

La rรฉsistance aux amino-4-quinolรฉines

Cโ€™est vers la fin des annรฉes 50 que la chloroquine-rรฉsistance a รฉtรฉ confirmรฉe en Colombie. Des foyers ont รฉtรฉ signalรฉs ensuite dans les pays dโ€™Amรฉrique du sud et dโ€™Amรฉrique centrale : Brรฉsil, Bolivie, Equateur, etc. En Asie, cette rรฉsistance a รฉtรฉ observรฉe en Birmanie, en Inde et en Indonรฉsie. Le 1er cas bien documentรฉ en Afrique a รฉtรฉ signalรฉ en 1979 chez un touriste qui avait contractรฉ lโ€™infection au Kenya. Vers fin 1983, on avait signalรฉ des cas de rรฉsistance aux Comores, au Gabon, au Kenya et au Malawi. Vers les annรฉes 1986 ร  1988 le sud du Bรฉnin, le Togo, la Cote dโ€™Ivoire et le Burkina Faso a รฉtรฉ successivement concernรฉs (32).

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Table des matiรจres

P REMIER PARTIE : REVUE DE LA LITTERATURE
I . GENERALITES SUR LE PALUDISME
I .1. Dรฉfinition
I .2. Rappel historique
I .3. Rappel รฉpidรฉmiologique
I .3.1. Agents pathogรจnes
I .3.2. Cycle biologique des Plasmodies
I .3.3. Cycle chez lโ€™homme ( hรดte intermรฉdiaire) ou phase asexuรฉe :
I .3.4. Cycle chez lโ€™anophรจle
I .3.5. Vecteurs
I .3.6. Modalitรฉs de transmission
I .4. Physiopathologie et symptomatologie
I .4.1. Lโ€™anรฉmie
I .4.2. Les cytokines
I .4.3. Les endotoxines
I .4.4. La prรฉmunition
I .4.5. La cytoadhรฉrence
I .4.6. Symptomatologie commune d u paludisme
I .4.7. Paludisme ร  Plasmodium falciparum
a . Accรจs simple
b . Accรจs pernicieux et neuropaludisme
c . Fiรจvre hรฉmoglobinurique
I .4.8. Paludisme chez lโ€™enfant
I .5. Les traitements antipaludiques
I .5.1. Les antipaludiques
a . Les schizonticides
b . Les gamรฉtocytocides
I I. LE PALUDISME A MADAGASCAR
I I.1. Distribution du paludisme ร  Madagascar
I I.1.1. Les espรจces plasmodiales prรฉsentes
I I.1.2. Les Faciรจs รฉpidรฉmiologiques
a . Le faciรจs รฉquatorial (la cรดte Est)
b . Le faciรจs tropical (la cote ouest)
c . Le faciรจs ยซ d u sud ยป
d . Le faciรจs ยซ d es hauts plateaux ยป
e . Cas particuliers
I I.1.3. Le Poids du paludisme
I II. LA CHIMIORESISTANCE
I II.1. Gรฉnรฉralitรฉs
I II.2. Historique de la chimiorรฉsistance
I II.3. La rรฉsistance aux amino-4-quinolรฉines
I II.4. Les autres rรฉsistances
I II.5. Gรฉnรฉralitรฉs sur la pharmaco-rรฉsistance
I II.5.1. Dรฉfinition de la pharmaco-rรฉsistance
I II.5.2. Mรฉcanisme dโ€™action de la chloroquine
I II.5.3. Mรฉcanisme de rรฉsistance ร  la chloroquine
I II.5.4. Mรฉcanisme dโ€™action des antifoliniques
I II.5.5. Mรฉcanisme de rรฉsistance aux antifoliniques
IV. LE PROGRAMME NATIONAL DE LUTTE CONTRE LE PALUDISME A M ADAGASCAR (54)
I V.1. Stratรฉgies de lutte contre le paludisme
D EUXIEME PARTIE : ETUDE PROPREMENT DITE
I . HYPOTHESES ET OBJECTIFS DE Lโ€™ETUDE
I I. PRESENTATION DU SITE Dโ€™ETUDE
I II. POPULATION ET METHODES Dโ€™ETUDE
I II.1. Population dโ€™รฉtude
I II.2. Mรฉthodes
I II.2.1. Critรจres de recrutement
I II.2.2. Choix du traitement
I II.2.3.les caractรฉristiques de chaque antipaludique utilisรฉ
a . chloroquine
b . amodiaquine
c . association sulfadoxine – pyrimethamine
d . combinaison artesunate et amodiaquine (arsucamยฉ)
e . traitement concomitante : Paracรฉtamol
f. traitement de secours
III.2.4. Taille de lโ€™รฉchantillon
III.2.5.. Les jours de suivi
III.2.5. Critรจres de retrait
III.2.6. Mesure de lโ€™efficacitรฉ
III.2.7. Critรจres dโ€™efficacitรฉ
III.2.8. Classification des rรฉponses aux traitements
III.2.9. Interprรฉtation statistique
IV. RESULTATS
IV.1. Rรฉsultats des recrutements
IV.2. Caractรฉristiques des patients
IV.3. Rรฉponses aux traitements
IV.4. Rรฉsultats dโ€™รฉvaluation clinique
IV.4.1 Proportion des sujets ayant une Tยฐโ‰ฅ37.5ยฐ C
IV.4.2 Clearance thermique
IV.5. Rรฉsultats de lโ€™รฉvaluation parasitaire
IV.5.1 Proportion des sujets porteurs de parasite
IV.5.2 Clearance parasitaire
TROISIEME PARTIE : COMMENTAIRES- DISCUSSIONS- SUGGESTIONS.
I. COMMENTAIRES- DISCUSSIONS
II. SUGGESTIONS
CONCLUSION
ANNEXES
BIBLIOGRAPHIE

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