Le pousse-pousse comme source économique de la commune urbaine d’Antsirabe 

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Le déplacement humain

L’homme comme étant un acteur de développement doit être en perpétuel mouvement pour répondre à ses besoins fondamentaux et aussi à ceux de son entourage. La mobilité est une caractéristique essentielle et importante pour l’activité humaine ; elle est importante et omniprésente parce qu’elle conditionne l’accès d’un individu aux ressources et aux opportunités qui lui sont offertes dans le temps etdans l’espace.
La réalisation de cette mobilité pour la plupart ud temps se fera par la disponibilité et la bonne qualité des réseaux et des services des ransports. En effet les infrastructures des transports sont primordiales pour le développement . Les sociétés ou les individus jouissant d’une grande mobilité ont généralement plus de chance de se développer que ceux n’ayant qu’une faible mobilité.
La mobilité est donc un indice de développement des sociétés et des individus. Une mobilité réduite est un frein au développement, tandis qu’une grande mobilité s’avère un catalyseur du développement.

Le transport, reflet et facteur de l’activité économique

L’évolution du transport a toujours été liée au veloppementdé de l’activité économique. Le transport a plusieurs fonctions dansce domaine.

Spécialisation géographique

Chaque pays, Etat ou ville produit des biens et services pour lesquels les capitaux, la main d’œuvre et les matières premières sont les plu s appropriés. Une zone se spécialisant dans la production d’un bien ou d’un service qu’elle pos sède peut en tirer les meilleurs avantages comparativement à une autre zone. C’est le secteur du transport qui en est le facteur principal de cette situation. En outre, l’exportation ou l’im portation des biens et services effectués par une localité déterminée dépend de l’efficacité de secteur de transport.

Production à grande échelle

Un bien et un service produits dans un lieu déterminé peut être demandé dans d’autres régions ou dans d’autres pays à grandes distances. En effet, l’efficacité des modes de transport, pour assurer le transport de ces produits dans ces milieux, est requise dans ce cas. La sécurité, tant au niveau du coût, du temps de ransport qu’au niveau de la fiabilité des équipements, est aussi essentielle. La production de masse ou en série par une région déterminée, implique la spécialisation des tâches de cette dernière (cas dela vanille et de la du girofle de Madagascar).
Ainsi, le transport et la distribution de ces produits doivent s’effectuer par des modes de transport à grande échelle

Augmentation de la compétition

L’efficacité des transports entraîne l’augmentation des produits et des services sur le marché. Il y a donc ouverture des marchés aux compétiteurs en offrant aux consommateurs d’un territoire une gamme plus vaste de produits et services (ce qui est bénéfique).

Le transport un facteur de localisation

Depuis toujours, les transports ont joué un rôle dans la localisation des activités. Le contraire est aussi vrai, là où il y a une activité ou un intérêt, on a développé le transport pour rendre ce lieu accessible. Certains transports ont favorisé la dispersion des hommes et des activités, d’autres leur concentration. Tous les systèmes sont porteurs de spécialisation et de configuration spatiale.

Le transport, création d’emploi

Il est indéniable que le secteur du transport génère plusieurs types d’emplois et diverses activités qui en découlent. Ainsi, nous allons les classer par catégories :

Les hauts emplois

Nous pouvons parler ici des spécialistes de la navigation aérienne, maritime et quelquefois ferroviaire. On doit s’acquérir d’une connaissance approfondie et sophistiquée donc des études poussées. La responsabilité est aussi primordiale concernant la sécurité.

Les emplois moyens

Malgré le même sens de responsabilité requis, nous pouvons dire que cette catégorie est à la portée de tout un chacun du moment qu’on respecte la probité. C’est le cas des camionneurs, et des chauffeurs.

Les emplois intermédiaires

Sont classés dans cette catégorie tous les exécutants de l’infrastructure, des promoteurs jusqu’à la main d’œuvre. Les préposés aux agences d e voyage ou les simples guichetiers et pourquoi pas les « mpanera » font partie aussi de cette catégorie.

Les emplois subalternes

Enfin, il est difficile de parler d’emplois subalternes sans susciter l’amour-propre de ceux qui sont concernés, s’agissant des tireurs des pousse-pousse ou des charrettes à mains ou encore des dockers et autres porteurs, l’on convient que c’est le plus dur des métiers engendrés par l’exigence du transport.
C’est à travers le transport que la mobilité humaine peut s’effectuer. Quelque soit la distance à parcourir, les modes de transport sont v ariés et ils sont disponibles à tout moment. Par ailleurs, ce secteur joue un rôle majeur sur le plan économique d’un pays ou même d’une région car il facilite les découvertes des zones enclavées et fait reconnaître leurs spécificités. Sur le plan social, il réduit le taux de chômage car il crée des emplois pour diverses couches sociales. Qu’est ce que nous pouvons dire sur le transport à Madagascar ?

Le transport par le chemin de fer

Depuis la mise en service de chemin de fer, on voyait peu de convoyeurs sur la route de l’Est, les charrettes circulaient sur la route de l’Ouest, sur celle de Miarinarivo et surtout sur la route du Sud. Le nombre de véhicules qui était de 122 en 1903 s’est augmenté de 9.600 en 1906 et depuis, il n’a fait qu’augmenter.
Ces véhicules, à la descente, transportaient presque exclusivement du riz et des cuirs ; à la montée, des denrées alimentaires, des boissons, des tissus, des chaussures, des faïences et des articles de quincaillerie.
Le prix de tonne par kilomètre était de 1Franc audébut, baissa petit à petit au 1er janvier 1909, date d’ouverture à l’exploitation de toute la ligne de chemin de fer et tombé à 0,40Francs12.

Les automobiles

Quand aux voitures automobiles, les premiers essais de transport dataient de 1900 et effectuaient sur la route de l’Est entre Tananarivo et Mahatsara. Le 20 mai 1903, un arrêté créa le service de transport par automobile sur laroute de l’Est. Les pirogues ou les lakana de leur part, avaient servi aux indigènes pour tous les transports qu’ils ont à faire dans les régions desservies par les routes. Ces pirogues sont réservées aux marchandises .

L’évolution du transport à Madagascar

Le transport est la source de développement économique d’un pays. Les impacts des NTIC et l’ouverture de la Grande île vers l’extérieur ont fait proliférer la rénovation et la multiplication des moyens et des modes de transport. Nous pouvons distinguer deux types de moyen de transport à Madagascar : le transport à gr ande échelle et le moyen intermédiaire de transport.

Les moyens de transports à grande échelle14

Les moyens de transports à grande échelle sont généralement conçus pour transporter des cargaisons volumineuses sur de longues distances. Les technologies utilisées sur ces moyens sont compliquées et très couteuses à cause des longueurs des distances à parcourir et les chargements complets.
Malgré l’effort considérable et couteux de l’Etatmalagasy appuyé par les bailleurs des fonds et les partenaires sur le rétablissement des infrastructures de transport dans la Grande île, ces moyens de transport à grande échelle ne peuvent couvrir qu’une partie seulement du pays. Tout cela a été causé par l’immensité du payset l’insuffisance des infrastructures adéquates à ces nouveaux matériels.

Les transports routiers à grande échelle15

Les transports routiers à grande échelle existant à Madagascar concernent surtout les engins motorisés.

Le transport des marchandises16

Madagascar, une île de promesse au large de l’Afri que est un pays arrosé, où nous pouvons découvrir de nombreuses cultures vivrières,des milliers d’animaux de diverses espèces et où foisonnent richesses minières et forestières. Pourtant, malgré l’abondance de ces richesses, la grande île dépend encore des importations, et l’insécurité au niveau du transport de ces ressources reste un problème majeur pour le pays car la Grande île ne dispose que 10.000km de routes et pistes praticables permanentes.
Ainsi, le transport des marchandises sur les routes de Madagascar ne concerne en grande partie que les réseaux import /export. En efet en amont, les produits locaux à exporter sont saisonniers et dépendent des demandes et des besoins de l’extérieur. Le transport de ces produits est aussi saisonnier et effectué par des camions à destination seulement des grandes villes portuaires, surtout Tamatave. En aval, l’importation des produits
à Madagascar s’avère être un trafic plus intense car la Grande île importe beaucoup plus. Les produits importés sont surtout à destination des grandes villes car ils sont plus sophistiqués et plus coûteux pour les ruraux. Ainsi, le transport routier de ces marchandises se focalise dans les grandes villes où les routes doivent rester en permanence praticables.
En outre, à part les produits importés, les grandes villes de Madagascar dépendent pour la plupart du temps, des produits de subsistance en provenance des milieux ruraux. Pourtant, la grande partie de ces milieux ruraux se trouvent enclavées malgré les mauvais états des routes et l’insuffisance des moyens de transport y adéquats. Il se peut alors que pour évacuer ces produits vers le marché, et inversement, pour transporter les produits de première nécessité indispensables aux villages, les villageois doivent se recourir au portage à pied sur des distances vraiment impressionnantes. Une fois arrivés sur le marché, les produits sont chargés dans les camions pour être transportés dansles villes.

Les MIT à technologie de cycle

Le volet MIT à technologie de cycle englobe tous l es appareils de locomotion à roues (bicyclette, vélomoteur, tricycle). Ces types de technologies sont généralement plus rapides mais avec une faible capacité de charge.
Les bicyclettes ont l’avantage d’être relativementrapide. Elles s’apprêtent donc pour des distances plus ou moins longues (50km) et permettent de diminuer le temps de déplacement. Elles ont également l’avantage de circuler sur des petites pistes.
Les tricycles ont une capacité de charge plus important, mais exige des infrastructures adaptées. Les cycles à moteurs sont plus confortables, plus r apides mais plus coûteux et engendrent des coûts récurrents plus importants, non appropriés pour les paysans.

Les MIT maritimes et fluvial

Ce sont les MIT naviguant sur les eaux. Les différents types de pirogues, les boutres, etc. …, font partie de cette catégorie de MIT. Ces MIT permettent de mettre en valeur les opportunités de navigation aussi bien sur les fleuves que sur la mer. Ce volet comprend également la mise au point ou introduction des technologies respectueuses de l’environnement, accessibles à tous, en matière de moteur et de fabrication de pirogue.

Les MIT à traction animale

Cette catégorie de MIT comprend les moyens de déplacement et de transport tractés ou effectués par des animaux. Les MIT à traction animale concernent les charrettes à bœufs ou les charrettes tirées par des ânes, les diligences tirées par des chevaux ou d’autres animaux. Ils comprennent également les transports à dos d’animaux. L’avantage de ce moyen de transport se repose sur sa capacité de charge.
Les MIT à traction animale peuvent également effectuer des distances plus importantes. Il importe de procéder entre autre, à des études pour l’amélioration des roues, du système de freinage et du caisson (qualité et capacité de charge).
Le secteur de transport à Madagascar n’a pas beauc oup évolué ces derniers temps. Il reste toujours rudimentaire et insuffisant. Les modes de transport à grande échelle n’assurent pas le désenclavement de certaines zones et coûtentchers pour la plupart des malgaches. On doit alors faire recours aux MIT pour le déplacement ou pour le transport des marchandises. Ces MIT sont assez lents et ne peuvent transporter qu’une petite quantité de marchandises. Ces situations peuvent en effet engendrer le retard de Madagascar au niveau de son développement.
D’après ce constat, nous avons vu précédemment quele pousse-pousse fait partie du MIT. Il nous paraît alors opportun de viser un peu la place du pousse-pousse au niveau mondial et local puisque notre thème s’oriente sur ce sujet.

L’utilisation des pousse-pousse dans la grande î le

Les pousse-pousse peuvent servir pour des utilisations très diverses dans la vie quotidienne. D’abord, ils sont utilisés pour le transport des passagers qui se déplacent en ville en effectuant leur va-et-vient quotidien, c’est à dire ils sont de grande utilité pour les travailleurs et aussi pour les écoliers.
Les pousse-pousse sont également prêts à servirtous les autres clients qui souhaitent transporter des marchandises avoisinant de 1,5 tonne29.
Toutefois, les touristes étrangers se servent dece moyen de transport pour se déplacer en ville, pour faire une petite ballade, aussi bien dans la journée que la nuit et enfin, pour goûter au plaisir d’être sur cette voiture authentique.

Caractéristiques des pousse- pousse à Madagascar

A Madagascar, la plupart des pousse-pousse, quelque soit la ville, ont des traits très caractéristiques. Ces traits sont constitués par des couleurs très vives telles que l’orange guilleret qui est toujours présent. A ce dernier vient s’ajouter le rouge intense ; et à ces deux principales couleurs viennent se joindre, soit le bleu, soit le jaune.
En général, les pousse-pousse sont de fabrication locale. Ils sont faits de bois, de fer et d’une toile imperméable et sont portés avant tou par deux roues métalliques de diamètre inférieur ou égal à un mètre environ. Ces roues peuvent être des roues de vélo ou faites d’un cercle de métal recouvert légèrement de caoutchoucElles. soutiennent une caisse plus ou moins spacieuse destinée à recevoir au maximum deux personnes. Enfin, deux brancards sont placés en parallèle par rapport à l’ensemble de la carrosserie.
Par rapport à cette forme classique de pousse-pou sse, ces dernières années nous assistons à l’apparition d’un nouveau genre de pous se-pousse à savoir des cyclo-pousses. Ces derniers commencent à inonder un grand nombre de vi lles malgaches. Par exemple, leur nombre dépasse actuellement la moitié du nombre total du pousse-pousse classique à Tamatave. Les cyclo-pousses sont différents des pousse-pousse classiques ; Au lieu d’être tirés par des hommes à pied, ils sont tractés par des cyclistes.

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Table des matières

LES PROBLEMES RENCONTRES SUR LE TERRAIN ANNONCE DU PLAN
PARTIE I : CONSIDERATIONS GENERALES DU TRANSPORT
Chapitre I : Les nécessités du transport sur le plan mondial
Section I : Le transport, facteur important à plusieurs niveaux
1- La mobilité humaine
1.1- Déplacement quotidien
1.2- Déplacement hebdomadaire
1.3- Déplacement saisonnier
1.4- Déplacement exceptionnel
2- La véhiculisation des biens
3- Transport d’argent
4- Transport des informations
Section II : Le transport, un facteur de développement
1- Le déplacement humain
2- Le transport, reflet et facteur de l’activité économique
2.1- Spécialisation géographique
2.2- Production à grande échelle
2.3- Augmentation de la compétition
2.4- Le transport un facteur de localisation
Section III : Le transport, création d’emploi
1- Les hauts emplois
2- Les emplois moyens
3- Les emplois intermédiaires
4- Les emplois subalternes
Chapitre B : Généralités sur le transport à Madagascar
Section I : Aperçu des transports à Madagascar
1- Le filanjana, mode de transport en usage à l’époque royale
1.1 Le transport humain
1.2- Le transport des marchandises
2- Les moyens de transport en usage à l’époque coloniale
2.1- Le Transport humain
2.1.1- Le transport à traction animale
2.1.2- Le pousse-pousse
2.1.3- Le portage
2.2- Le transport des marchandises
2.2.1- La traction animale
2.2.2- La traction à bras
2.2.3- Le transport par le chemin de fer
2.2.4- Les automobiles
Section II : L’évolution du transport à Madagascar
1- Les moyens de transports à grande échelle
1.1- Les transports routiers à grande échelle
1.2- Le transport des marchandises
1.3- Le transport des personnes
1.3.1- Les taxi-be
1.3.2- Les taxis-ville
1.3.3- Les taxis-brousse
1.3.4- Les automobiles personnelles
1.4- Les transports ferroviaires
1.5- Les transports maritimes
1.6- Les transports aériens
2- Les moyens de transport intermédiaire
2.1- Les MIT à énergie humaine
2.2- Les MIT à technologie de cycle
2.3- Les MIT maritimes et fluvial
2.4- Les MIT à traction animale
Chapitre C : Le pousse-pousse au niveau mondial et local
Section I : Le pousse-pousse dans le monde
1- Historique du pousse-pousse
2- L’utilisation de pousse-pousse dans le reste du monde
Section II : Le pousse-pousse à Madagascar
1- Le pousse-pousse, un moyen de locomotion typique de Madagascar
2- L’utilisation des pousse-pousse dans la grande île
3- Caractéristiques des pousse- pousse à Madagascar
Conclusion partielle
PARTIE II : INVESTIGATIONS SUR LE POUSSE-POUSSE DANS LA VILLE D’ANTSIRABE
Introduction partielle
Chapitre A: Présentation du lieu d’enquête
Section I : Antsirabe dans toute sa réalité
1- Aperçu de l’histoire de la ville d’Antsirabe
1.1- Bref historique
1.2- Antsirabe actuellement
2- Les potentialités de la région d’Antsirabe
2.1- Les infrastructures et les services administratifs et économiques
2.2- Les infrastructures touristiques
2.3- Les infrastructures de transport
2.3.1- Le transport routier
2.3.2- Le transport aérien
2.3.3- Le transport ferroviaire
Section II : Description des pousse-pousse d’Antsirabe
1- Définition et origine du pousse-pousse
1.1- Définition
1.2-Origine des pousse-pousse
2- Le pousse-pousse d’Antsirabe
2.1- Le pousse-pousse dans tous ses états
2.1.1- Les tireurs de pousse-pousse
2.1.2- Les propriétaires des pousse-pousse
2.1.3- Les fabricants des pousse-pousse
2.1.4- Les autorités
2.1.5- Les clients
2.2- Les particularités des pousse-pousse d’Antsirabe
2.3- Les prix des courses en pousse-pousse
2.4- L’endroit où on peut trouver les pousse-pousse
Section III : Les particularités des pousse-pousse à Antananarivo
1- L’utilité des pousses-pousses à Antananarivo
2-Le pousse-pousse comme secteur informel dans le centre ville d’Antananarivo
Chapitre B : Résultats des enquêtes et interprétations
Section I : Le pousse-pousse et la commune urbaine d’Antsirabe
1- Les responsabilités de la commune urbaine vis-à-vis du métier de tireur de pousse-pousse
1.1- La formation des tireurs
1.2- Les examens
1.3- La visite médicale
1.4- La délivrance des permis, des vignettes et des cartes grises
1.4.1- Les permis
1.4.2- Les cartes grises
1.4.3- Les vignettes
1.5- La visite technique
Section II : Les tireurs de pousse-pousse
1- Les caractéristiques des tireurs de pousse-pousse
1.1- L’âge des tireurs
1.2- Leur lieu d’origine
1.3- Leur niveau de scolarisation
1.4- Leur situation matrimoniale
1.5- Les motifs du choix du métier
2- Les conditions de vie des tireurs dans la ville d’Antsirabe
2.1- Le logement
2.2- Le travail
2.2.1- L’activité socio-économique
2.2.2- Les salaires
2.2.3- L’utilisation des revenus
2.2.4- L’épargne
2.2.5- Autour des tireurs
3- Les relations avec le village
Section III : La complémentarité et /ou la concurrence des pousse-pousse avec les autres moyens de transports humains dans la ville d’Antsirabe
1- Le cyclo-pousse
2- Le « Kinga » ou le « Bajaj »
3- Le Taxi-Be
Conclusion partielle
PARTIE III : ANALYSES ET PROSPECTIVES
Introduction partielle
Chapitre A: Approche analytique du document
Section I : L’insécurité du transport à Madagascar
1- Les faiblesses du transport au niveau de la logistique
1.1- Les obstacles sur les infrastructures de transport
1.2- L’insuffisance des services de transport
1.2.1- La distance
1.2.2- Le type de milieu
1.2.3- La libre concurrence
2- Les obstacles du transport sur la société humaine
2.1- Le transport et le revenu
2.2- L’inégalité provoquée par le transport
2.3- Le transport, source de la pollution
Section II : Les contributions et les contrastes engendrées par le pousse-pousse dans la vile d’Antsirabe
1- Les contributions
1.1-Le social et le pousse-pousse
1.1.1- Le pousse-pousse, un facteur de l’ascension sociale
1.1.2- Le pousse-pousse, une facilité de transport
1.2- L’approche économique du pousse-pousse
1.2.1- Le pousse-pousse, une assurance de survie de plusieurs familles
1.2.2- Le pousse-pousse comme source économique de la commune urbaine d’Antsirabe
1.3- Le pousse-pousse dans son optique culturelle
1.3.1- Le pousse-pousse comme échange d’information
1.3.2- Le pousse-pousse, échange de culture
2- Le pousse-pousse et ses contrastes
2.1- L’approche genre
2.2- Le pousse-pousse comme source des inégalités sociales
2.3- Le pousse-pousse comme source de compétition sociale
2.3.1- L’exode rural
2.3.2- La fuite des forces productives dans le monde rural
2.4- Le pousse-pousse comme choc de culture
Section III : Les théories reflets de nos investigations
1- Le fonctionnalisme
1.1- Explication de la théorie
1.2- La mise en pratique de la théorie
2- L’interactionnisme symbolique
2.1- Explication de la théorie
2.2- L’utilité de la théorie selon notre objet d’étude
3- Autre théorie correspondant à la recherche
3.1- Le matérialisme de Karl Marx
3.2- Application de la théorie
Chapitre B: Prospectives
Section I : Les solutions proposées par l’Etat malgache sur l’amélioration du transport à Madagascar
1- Les infrastructures de transport
1.1- Les routes
1.2- Les réseaux ferroviaires
1.3- Les ports et les aéroports
2- Les services de transport
Section II : Les mesures prises par la commune urbaine d’Antsirabe sur la circulation du pousse-pousse
1- La réduction du nombre des pousse-pousse
2- Le lancement du cyclo-pousse
Section III : Réflexions critiques
1- Pour la sécurité du transport à Madagascar
2- Le pousse-pousse d’Antsirabe
2.1- Responsabilités de l’Etat concernant l’activité
2.1.1- Formalisation de l’activité
2.2- Les actions à entreprendre concernant l’activité
2.2.1- Cumul d’activités
2.2.2- Exploitation au maximum de l’activité
2.3- Nos perspectives concernant l’amélioration de la vie des tireurs en milieu rural
2.3.1- Formation agricole
2.3.2- Mise en valeur des terres
2.3.3- Mécanisation
2.3.4- Autres politiques de rétention de la population en milieu rural
Conclusion partielle
CONCLUSION GENERALE
BIBLIOGRAPHIE

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