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La théorie de la demande de monnaie
La stabilité de la demande de monnaie
Friedman a montré que la demande de monnaie est une fonction stable. Elle est une demande d’actif qui rentre dans le patrimoine et dépend d’un nombre limité de variables. La stabilité de la vitesse de circulation est en effet équivaut à la stabilité de la demande de monnaie. Mais, cette stabilité est surtout semblable à la stabilité du rapport des encaisses réelles au revenu qui est égal à l’inverse de la vitesse de circulation de la monnaie.
L’analyse de la demande de monnaie
Selon Friedman, la demande de monnaie est déterminée par plusieurs facteurs. C’est ainsi que la demande de monnaie est expliquée par trois variables : le revenu permanent4, le rendement des actifs financiers et le niveau général des prix.
Le lien entre le réel et le monétaire
Friedman tente de réunifier les variables expliquant la fonction de demande de monnaie, mais pas comme dans celle de KEYNES5. Pour cela, il a montré le lien qui existe entre la demande de moyen de paiements en biens réels et la thésaurisation, et la spéculation. C’est alors que le monétarisme est connu comme une pensée originale qui intègre le réel et le monétaire.
Les propositions du Monétarisme
L’exposé de la théorie monétariste de l’inflation
La définition de l’inflation
L’inflation est toujours d’origine monétaire et une création monétaire excessive se transforme toujours en inflation. L’inflation est confondue avec l’accroissement monétaire qui circule. D’après cette théorie, l’inflation monétaire est la cause de l’inflation des prix.
La source de l’inflation
Le financement par création monétaire d’une partie des dépenses de l’Etat est interprété par les économistes monétaristes comme un moyen de dévaloriser la dette publique. Selon eux, ce financement est supposé engendrer de l’inflation nécessairement. A noter que dans cette théorie, l’origine de la création monétaire n’est pas évoquée dans la présentation de base. Tout de même, ce qui est supposé inflationniste est la création monétaire qui finance les dépenses publiques et surtout la dette publique.
L’analyse dynamique de l’inflation
A court terme, il existe une relation entre la variation de la masse monétaire et la variation de l’activité économique : c’est l’ « illusion monétaire ». Cette illusion permet un arbitrage à court terme entre inflation et chômage. Plus précisément dans le court terme, si l’économie est déjà en situation de plein-emploi, toute augmentation supplémentaire de la masse monétaire induit une inflation. Mais, cette hausse de l’offre de monnaie est bénéfique dans une économie en récession c’est-à-dire dans une économie où il y a progression du chômage. C’est ainsi que l’on a nommé cette vision : illusion monétariste6. Dans le long terme, tout accroissement de la masse monétaire non justifié par une hausse de la production se traduit par une augmentation du niveau général des prix ou une inflation : c’est la neutralité de la monnaie dans une période de long terme. Autrement dit, une création monétaire anticipée se traduit par une hausse du niveau général des prix et non par une stimulation de la production. Pour Friedman, cette hausse de prix se constate à long terme en raison des anticipations rationnelles des agents économiques. Or, en anticipant l’inflation, ces agents l’engendrent. Ces anticipations deviennent alors auto réalisatrices : c’est sa « théorie des anticipations auto réalisatrices ».
La politique économique monétariste
La masse monétaire doit croître à un taux constant. Plus précisément, la politique monétaire doit être indépendante de la conjoncture économique. Une politique de lutte contre l’inflation consiste alors à réagir à une expansion monétaire trop rapide. Il faut donc freiner l’expansion monétaire pour diminuer l’augmentation du prix.
La politique monétariste des taux d’intérêt
Les Monétaristes préconisent une augmentation des taux d’intérêt pour limiter la création monétaire et pour limiter ainsi l’inflation.
Les revers de la politique monétariste
Il est clair que la lutte contre l’inflation par la restriction monétaire conduit à une baisse du revenu
Y Or, celle-ci provoque une récession économique ou a minima une baisse de la croissance complètement injustifiée. Cette récession est due au fait que pour restreindre M , il faut élever les taux d’intérêt. Or, cette stratégie pénalise les investisseurs et fait augmenter le chômage par la suite.
LE MONETARISME EN ECONOMIE OUVERTE : SYNTHESE ENTRE MONETARISME ET KEYNESIANISME AU SEIN DU FMI
Le Monétarisme joue un rôle majeur au FMI. Il théorise et pratique le monétarisme en économie ouverte. Cet Organisme est d’inspiration néo-keynésienne car il reconnaît le rôle de l’Etat dans l’économie mais il reste fidèle au principe de l’économie du marché. Ce qui lui conduit à faire une synthèse entre le monétarisme et le keynésianisme. Cette approche joue un rôle pratiquement important à la mesure du pouvoir du FMI7 particulièrement sur les économies des PED. Effectivement, cette théorie est appliquée à une petite économie ouverte avec comme moyen d’ajustement le taux de change.
Les caractéristiques essentielles du monétarisme en économie ouverte
Le concept fondamental de l’approche monétariste du FMI
Cette approche monétariste du FMI est centrée sur l’approche par l’Absorption d’ALEXANDER en 19528. Cette approche correspond à une économie en situation de plein-emploi. L’équilibre sur le marché des biens et services est comme suit : Y+Z=C+G+I+X (3) avec Y est la valeur du PIB, Z est l’importation des marchandises, C est la consommation privée, I est l’investissement privé, G est la dépense gouvernementale, X est l’exportation des marchandises.
X −Z=Y −(C+I+G)
SC=Y−A (4)
où SC est le solde commercial de la balance des paiements, et A est l’Absorption. SC est aussi appelé le solde financier qui traduit le déficit ou l’excédent du compte courant :
X −Z =SC=(Y −C)−(I +G)
X−Z=SC=S−I=Y−A (5)
Or, le solde financier correspond aux réserves en devises du système bancaire notées R moins l’endettement extérieur des résidents noté F :
SC = ΔR−ΔF (6)
Par l’équilibre du bilan de la banque centrale :
ΔM =ΔR+ΔC (7) où M est la masse monétaire et C est le crédit domestique.
Avec les équations (6) et (7), on a : SC+ΔF=ΔM −ΔC (8)
Cette équation (8) traduit le solde de la balance des paiements.
Y −A+ΔF=ΔM −ΔC (9)
Cette approche présente alors le déséquilibre extérieur comme le simple reflet du déséquilibre intérieur caractérisé par un excès de l’absorption par rapport au PIB. Cela se traduit par un niveau de Z trop élevé par rapport à X qui induit une hausse du crédit domestique comparé à la masse monétaire M .
Le lieu d’équilibre et les moyens d’ajustement utilisés
La balance des paiements est alors le lieu de déséquilibre entre offre et demande de monnaie : il s’agit principalement du monétarisme en économie ouverte. Dans ce cadre théorique, la balance des paiements est considérée comme un phénomène essentiellement monétaire et les moyens d’ajustement utilisés sont en principe les taux de changes.
Le déroulement de la synthèse entre monétarisme et keynésianisme
Il est important de rappeler l’équilibre monétaire : ΔM o = ΔM d . En principe, si ΔM o et ΔM d ne correspondent pas, alors : ΔR = ΔM d − ΔC (10)
S’il y a excédent extérieur, il y aurait entrée des devises. Celle-ci induit une hausse de la demande interne de monnaie par rapport aux sources de la création monétaire. Ce qui veut dire que l’offre de monnaie est insuffisante et est compensée par une entrée nette des capitaux extérieurs. Au cas où il y a déficit extérieur, il y aura effet inverse.
Or, SC + ΔF = ΔM − ΔC ,
Y − A + ΔF = ΔM o − ΔC (11)
L’approche monétariste du FMI, dans sa synthèse, indique alors qu’à un excédent de l’Absorption sur Y correspond une hausse du crédit domestique sur l’offre de monnaie. Les théoriciens du FMI
accordent une valeur centrale à ΔC par avoir l’équilibre.
La liaison entre l’Absorption et les variables monétaires
L’équation (11) précédente souligne le lien entre l’Absorption (le réel) et les variables monétaires. Donc, le lien entre les facteurs réel et monétaire de la théorie de Friedman est toujours conservé dans l’approche du FMI. Cette approche monétariste au FMI relie, par le biais de l’Absorption, le comportement budgétaire de l’Etat au déséquilibre monétaire. C’est la synthèse du FMI entre le Monétarisme et le Keynésianisme. L’analyse désigne alors comme cause principale du déséquilibre extérieur le financement monétaire du déficit budgétaire qu’il convient de réduire : c’est la prédiction du FMI pour l’AMBP.
LE MODELE DE BASE DE LA PROGRAMMATION FINANCIERE DU FMI : MODELE DE POLAK
L’analyse des déséquilibres de la balance des paiements est toujours un souci majeur des différents théoriciens. Ces derniers sont toujours confrontés aux problèmes de compréhension et d’analyse de ces déséquilibres. En fait, Jean Jacques POLAK en 19579 est reconnu comme l’économiste théoricien qui avait modélisé ce concept dans une période de stabilité du SMI. Son œuvre va influencer et guider la politique générale du FMI pendant toute son existence. L’AMBP est le résultat de ce travail fondateur et constitue la base du modèle du FMI.
LES HYPOTHESES FONDAMENTALES DU MODELE
Polak a établi comme hypothèse fondamentale : la considération d’une petite économie ouverte avec un régime de change fixe. Ce modèle est destiné essentiellement aux PED10.
L’explication des hypothèses
Une petite économie ouverte
Une petite économie ouverte signifie, un pays très pauvre et faiblement monétarisé effectuant des échanges avec l’extérieur. Ce pays est un preneur de prix. Plus précisément, le niveau relatif des prix intérieurs notés P est déterminé par des prix extérieurs P* à travers la Parité des Pouvoirs d’Achat (PPA) de la monnaie une fois faite la conversion de la monnaie nationale, par le biais des taux de change e , en monnaie étrangère. Cette relation s’écrit :
P = eP* (12)
De même, le taux d’intérêt national i est le même que celui utilisé dans le pays étranger noté i* c’est-à-dire qu’il y a parfaite mobilité des capitaux. D’où, la relation est donnée par :
i = i* (13)
Le régime de change fixe
Cette théorie a été élaborée dans la période de règne du régime de Bretton Woods où il y avait encore stabilité du SMI. C’est cette raison qui a amené Polak à considérer ce régime de change. Dans ce régime, l’autorité monétaire fixe et défend le taux de change. Cela veut dire que le taux de change n’est pas déterminé par l’offre et la demande de devise mais par l’intervention de cette autorité sur le marché des changes et la politique monétaire est dépendante.
Les conséquences des hypothèses
La loi du prix unique et la parfaite mobilité des capitaux
La PPA est fondée sur ce qu’on appelle la « loi du prix unique ». Cela veut dire que les prix des biens dans les deux pays en échange sont équivalents une fois convertis en monnaie commune. En toute rigueur, le principe de PPA ne peut être valable que si certains nombres d’hypothèses qui suivent sont vérifiés, que sont l’absence des coûts de transport, l’information disponible sur les prix pratiqués dans chaque pays est à coût nul, l’absence des obstacles à l’échange et l’homogénéité des biens à défaut de laquelle les écarts éventuels des prix pourraient être liés à des différences de qualité.
L’économie considérée est aussi à mobilité parfaite des capitaux. Effectivement, il y a égalisation des taux d’intérêt national et étranger. Cette égalité entre taux d’intérêt de ces deux pays traduit la « loi des taux intérêt uniques », cela veut dire que les conditions de rentabilité, de sécurité et de rapidité des capitaux sont supposées respectées entre les deux pays en échange.
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Table des matières
INTRODUCTION GENERALE
CHAPITRE I : LES MODELES DE PROGRAMMATION FINANCIERE DU F.M.I.
SECTION I : LES EXPLICATIONS THEORIQUES DES DESEQUILIBRES DE LA BALANCE DES PAIEMENTS
PARAGRAPHE I : LA THEORIE ET LE MODELE DE BASE DE LA PROGRAMMATION
FINANCIERE DU FMI
A-LA THEORIE DE BASE DU MODELE DE PROGRAMMATION FINANCIERE DU FMI : THEORIE MONETARISTE EN ECONOMIE OUVERTE
I- LE MONETARISME EN ECONOMIE FERMEE
I-1- Le cadre général du monétarisme
1)L’hypothèse fondamentale du monétarisme
2)La conception de la monnaie par les Monétaristes
3)La théorie de l’offre de monnaie
4)La théorie de la demande de monnaie
a)La stabilité de la demande de monnaie
b)L’analyse de la demande de monnaie
c)Le lien entre le réel et le monétaire
I-2- Les propositions du Monétarisme
1) L’exposé de la théorie monétariste de l’inflation
a)La définition de l’inflation
b)La source de l’inflation
c)L’analyse dynamique de l’inflation
2)La politique économique monétariste
3)La politique monétariste des taux d’intérêt
I-3 Les revers de la politique monétariste
II- LE MONETARISME EN ECONOMIE OUVERTE : SYNTHESE ENTRE MONETARISME ET
KEYNESIANISME AU SEIN DU FMI
II-1- Les caractéristiques essentielles du monétarisme en économie ouverte
1)Le concept fondamental de l’approche monétariste du FMI
2)Le lieu d’équilibre et les moyens d’ajustement utilisés
II-2- Le déroulement de la synthèse entre monétarisme et keynésianisme
II-3- La liaison entre l’Absorption et les variables monétaires
B- LE MODELE DE BASE DE LA PROGRAMMATION FINANCIERE DU FMI : MODELE DE
POLAK
I- LES HYPOTHESES FONDAMENTALES DU MODELE
I-1 L’explication des hypothèses
1)Une petite économie ouverte
2)Le régime de change fixe
I-2- Les conséquences des hypothèses
1)La loi du prix unique et la parfaite mobilité des capitaux
2)La dépendance de la politique monétaire
II- LES EQUATIONS FONDAMENTALES DU MODELE
II-1- Les équations de base du modèle
II-2 Les équilibres fondamentaux
1) L’équilibre interne
2) L’équilibre externe
III- L’EXPLICATION DES DESEQUILIBRES DE LA BALANCE DES PAIEMENTS
III-1 L’analyse des relations entre les variables macro-économiques
1)Définition des variables macro-économiques
2)La relation entre les variables
a)Dans les équations d’équilibre interne :
b)Dans les équations d’équilibre externe
3)L’analyse des déséquilibres extérieurs
III-2 Le coefficient de Polak et le but du modèle
1)Le coefficient de Polak
2)Le but du modèle
III-3 La politique économique suivant le modèle de Polak
PARAGRAPHE II : L’ADAPTATION DE L’APPROCHE FONDAMENTALE DEVELOPPEE PAR POLAK
A-LES LIMITES ET LES CRITIQUES DU MODELE DE POLAK
I. LES LIMITES DU MODELE DE POLAK
II- LES CRITIQUES DU MODELE DE POLAK
II-1 Les critiques des hypothèses
1)Les critiques du régime de change fixe
2)Les critiques de la Parité des Pouvoirs d’Achat (PPA) : « la loi du prix unique »
3)Les critiques de l’hypothèse de la parfaite mobilité des capitaux.
4)Les critiques sur la stabilité de la vitesse de circulation de la monnaie
II-2 Les critiques sur la politique économique
II-3 Les autres critiques du modèle de Polak
1)Le non prise en compte de la notion des anticipations rationnelles
2)La non-identification des causes de l’excès de crédit intérieur
3)La non séparation des effets prix et effets quantités
B- L’EXPLICATION THEORIQUE DES DESEQUILIBRES DE LA BALANCE DES PAIEMENTS À PARTIR DU MODELE DE POLAK ADAPTE AU REGIME DE CHANGE FLEXIBLE
I. LES PLAIDOYERS EN FAVEUR DU REGIME DE CHANGE FLEXIBLE
I.1. La définition du régime de change flexible
I-2 L’autonomie de la politique monétaire
I-3 Les opportunités du régime de change flexible
I-4 L’inconvénient du régime de change flexible
II- L’EXTENSION DU MODELE DE POLAK PAR DORNBUSCH : ILLUSTRATION DU MODELE DE SUR-REACTION DES TAUX DE CHANGE
II-1 Les hypothèses fondamentales du Modèle
II-2 Le mécanisme de la sur-réaction des taux des changes
II-3 L’interprétation économique de la sur – réaction
II-4 Les limites du Modèle de sur-réaction
SECTION 2 : L’ELABORATION DE LA PROGRAMMATION FINANCIERE DU FMI
PARAGRAPHE I : L’ELABORATION PRATIQUE DE LA PROGRAMMATION FINANCIERE
A- LES DIFFERENTS PROCESSUS DES CADRAGES MACROECONOMIQUES
I- LA DESCRIPTION DE L’ECONOMIE : L’EVALUATION DES PROBLEMES MACROECONOMIQUES DANS CHAQUE SECTEUR
I-1 La situation monétaire (secteur monétaire)
1)La masse monétaire et ses contreparties
2)L’élaboration de la situation monétaire
I-2 Le Tableau des Opérations Financière de l’Etat (TOFE : secteur gouvernemental)
1)Définition du TOFE
2)Les éléments du TOFE
a)Les ressources de l’Etat
b)Les dépenses de l’Etat
3)Le principe de l’équilibre du TOFE
4)Les financements des opérations de l’Etat
a)Le financement intérieur
b)Le financement extérieur
5)L’interprétation du déficit public
a)Les avantages et inconvénients du déficit public
b)Le déficit public dans les PED
I-3 La balance des paiements (secteur extérieur)
1)Définition de la balance des paiements
2)Les règles et méthodes de construction de la Balance des paiements
3)L’équilibre de la balance des paiements
4)Les principaux soldes de la balance des paiements
5)Les liaisons entre le TOFE et la balance des paiements
I-4 L’équilibre ressources emplois en biens et services
1)La signification de cet équilibre
2)Les différentes rubriques de cet équilibre
II- LA DETERMINATION DES OBJECTIFS ET LES PROJECTIONS DANS CHAQUE SECTEUR
II.1 La détermination des objectifs
1)L’objectif de croissance
2)L’objectif d’inflation
3)L’objectif des AEN
II-2 Les projections sectorielles
1)Le préalable : la détermination des taux de change
2)La projection de la situation monétaire
3)La projection du TOFE
a)Sur la fiscalité
b)Sur les dépenses publiques
c)Le bouclage du TOFE
4)La projection de la balance des paiements
a)Les déterminants des financements extérieurs privés
b)Les déterminants des exportations
c)La détermination des importations
5)La projection de l’équilibre ressources emplois
a)Les déterminants des investissements privés
b)Le bouclage de l’équilibre ressources- emplois
B- LA DEMONSTRATION DE LA POSSIBILITE D’UN RETOUR AUX GRANDS EQUILIBRES MACROECONOMIQUES
I. L’ANALYSE DE LA COHERENCE D’ENSEMBLE
I.1. Le test de cohérence
I-2 Le déroulement des négociations du programme
I-3 L’appropriation des politiques par le gouvernement
II- L’ELABORATION D’UN PROGRAMME D’ACTION ET LE SUIVI DE L’UTILISATION DES RESSOURCES DU FMI
II-1 L’élaboration d’un programme d’action
II-2 Le suivi de l’utilisation des ressources du FMI
PARAGRAPHE II : L’ELABORATION THEORIQUE DE LA PROGRAMMATION FINANCIERE
A-L’ANALYSE DES IDENTITES MACROECONOMIQUES FONDAMENTALES
I. L’EXPLICATION DES HYPOTHESES FONDAMENTALES DU MODELE DE PROGRAMMATION FINANCIERE DU FMI
II. LES IDENTITES MACROECONOMIQUES FONDAMENTALES DU MODELE
II-1 Le modèle simplifié du programme financier du FMI
1) L’identité fiscale
2)L’identité monétaire
3)L’identité de la balance des paiements
II-2 Les équilibres fondamentaux et la détermination des différentes variables
1)Les équilibres fondamentaux
2)La détermination des différentes variables
B- L’ANALYSE DES DESEQUILIBRES DE LA BALANCE DES PAIEMENTS
I- LES DIFFERENTES PREDICTIONS DU FMI POUR CHAQUE IDENTITE
I-1 La prédiction du FMI pour l’identité fiscale
I-2 La prédiction du FMI pour l’identité monétaire
I-3 La prédiction du FMI pour l’identité de la balance des paiements
II. LES ACTIONS POLITIQUES NECESSAIRES À ENTREPRENDRE POUR SURMONTER LES DESEQUILIBRES
CHAPITREII : L’APPROCHE MONETAIRE DE LA BALANCE DES PAIEMENTS DE MADAGASCAR (1994-2006)
SECTION I : LES ETAPES PRELIMINAIRES POUR L’ANALYSE DE L’A.M.B.P. DE MADAGASCAR
PARAGRAPHE I : LE MODELE ET LA METHODE ADEQUATS A NOTRE SITUATION MACROECONOMIQUE
A- LA DESCRIPTION DE LA SITUATION MACROECONONMIQUE MALGACHE
II-LA DESCRIPTION DE LA SITUATION MONETAIRE DE MADAGASCAR
III- LA DESCRIPTION DE LA BALANCE DES PAIEMENTS DE NOTRE PAYS
B- LA SPECIFICATION DU MODELE ET DES DONNES DE RECHERCHES
C- L’INVESTIGATION METHODOLOGIQUE
I- BREVE PRESENTATION DE EVIEWS 4.1
II- LES TECHNIQUES D’ANALYSE DES SERIES TEMPORELLES
II-1 Tests de stationnarité : Tests de DFA
II-2 Tests des relations entre les variables
PARAGRAPHE II : LES TESTS PRELIMINAIRES A L’ANALYSE DE L’A.M.B.P. DE MADAGASCAR
A- LA JUSTIFIFCATION DES HYPOTHESES DU MODELE DE FMI
I- La justification de l’unicité de l’élasticité des importations
II La justification de la mobilité parfaite des capitaux
III La justification de la théorie de la PPA
IV-La justification de la stabilité de la vitesse de circulation de la masse monétaire notée V
B- LES RESULTATS DES TESTS DE STATIONNARITE DES SERIES
I-Résultats des tests de la série B
II-Résultats des tests de la série F
III- Résultats des tests de la série R
IV- Résultats des tests de la série CI
V- Résultats des tests de la série e
VI- Résultats des tests de la série i
VII- Résultats des tests de la série ie
VIII- Résultats des tests de la série M
IX-Résultats des tests de la série P
X-Résultats des tests de la série Pe
XI- Résultats des tests de la série X
XII- Résultats des tests de la série Y
XIII- Résultats des tests de la série Z
XIV- Résultats des tests de la série Fi
SECTION II : L’ANALYSE DES RELATIONS ENTRE LES VARIABLES ET SIMULATION ECONOMIQUE POUR L’ANNE 2007
PARAGRAPHE I : L’ANALYSE DES RELATIONS ENTRE LES VARIABLES
A. LES TESTS DE COINTEGRATIONS ENTRE LES VARIABLES
I. Les tests de la prédiction du FMI dans l’identité fiscale
II. Les tests de la prédiction du FMI dans l’identité monétaire
III- Les tests de la prédiction du FMI dans l’identité de la balance des paiements
B- L’ESTIMATION DE LA RELATION DYNAMIQUE (RELATION DE COURT TERME) ENTRE LES VARIABLES
PARAGRAPHE II : LA SIMULATION ECONOMIQUE POUR L’ANNEE 2007
A- LA PRESENTATION DES DIFFERENTS CRITERES UTILISES DANS LA SIMULATION
B- LA SIMULATION POUR L’ANNEE 2007
CONCLUSION GENERALE
ANNEXES
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
LISTE DES TABLEAUX
LISTE DES FIGURES
LISTE DES ABBREVIATIONS
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