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ANALYSE ET DIAGNOSTIQUE DE LA STRUCTURE ECONOMIQUE DES PAYS PAUVRES
Le débat sur le contexte de sous-développement est devenu ces derniers temps une préoccupation majeurs pour plusieurs économistes dans les organisations internationales et des dirigeants politiques. En fait, l’étude sur l’origine de leurs états de pauvreté est très complexe car cela revient à considérer leurs situations économiques du passé, leurs historiques et des autres facteurs qui pèse sur leurs économies.
Les caractéristiques communes des pays sous-développés
En général, presque tous les pays sous-développés du monde possèdent des caractères communs surtout au niveau du structure économique interne et des relations de dépendances vis-à-vis de l’extérieur.
Le dualisme comme un aspect interne du sous-développement
Le dualisme est un aspect économique, caractérisé par la coexistence du secteur traditionnelle à faible gains de productivité qui s’impose sur le secteur moderne, un source d’accumulation et de gains de productivité.4
Un faible dynamisme du secteur agricole
Dans la plupart des pays pauvres, le secteur traditionnel composé par l’agriculture regroupe au moins 70% de la population active avec une faible productivité et d’une concentration très forte des travailleurs sur une superficie limitée. En effet, l’offre des biens et service sur le marché interne reste toujours insuffisant par rapport à la demande car c’est la capacité productive lui-même qui ne permet pas d’augmenter la production. Par conséquent, le pays est obligé d’importer afin de combler cette gap entre l’offre domestique et la demande domestique et de stabiliser les prix. Cette faiblesse de la productivité peut se traduire par le manque de capital investi dans l’agriculture car la plupart des agriculteurs n’emploient pas assez de capital donc leurs activités sont seulement réduites à leurs subsistances.
Une place mineure de l’industrie
Le secteur moderne, capitaliste qui est la source d’accumulation et de gain de productivité est celui des activités urbaines et englobe tout l’infrastructure industrielle et commerciale où prédomine le capital étranger. Chez les pays sous-développés, l’industrie n’occupe pas une place importante dans l’économie5. Les quelques industries qui existe, exercent des activités d’extraction de matières premières ou bien de transformation légère qui utilisent de main d’oeuvre.6Malgré donc l’abondance des ressources en matières premières et de la main d’oeuvre, le manque de dynamisme de l’investissement constitue le principal blocage pour la promotion des activités industrielles.
La dépendance comme aspects externe du sous-développement
La division internationale du travail est un phénomène qui explique les relations commerciales moderne. Elle est la principale origine de la polarisation des pays, qui les organisent en centre (les pays riches) et en périphérique (les pays pauvres).7
La dépendance économique :
Le principal problème des pays sous-développés est due en particulier par l’insuffisance de l’industrie surtout des industries lourdes capable d’exercer un « effets d’entrainement » sur l’ensemble de l’économie8. Le pays n’a donc d’autre choix que de favoriser l’installation des industries étrangères dans le pays afin de résoudre le problème du chômage sur le marché de travail, d’augmenter la production domestique et d’encourager la création de richesse qui va augmenter le PIB du pays. Les pays pauvres sont donc obligés de dépendre économiquement aux pays riches, propriétaires des industries installées sur leur territoire car ces industries permettent de stimuler les activités dans les autres secteurs par « l’effet d’entrainement ». C’est grâce à l’existence de ces industries que les pays pauvres bénéficient du transfert de technologie et des capital techniques.
La dépendance financière :
Le flux financier entre le centre et la périphérie est devenu un logique interne du system économique international étant donné que les industries et les capitaux circulant au sein de ces pays appartiennent aux agents du reste du monde donc les profits dégager par leurs activités vont être rapatrié vers leur pays d’origine. En plus aussi, à cause du faible développement du secteur financier, le pays recourt toujours au financement extérieur via les organismes financiers internationaux qui interviennent dans le financement des activités économiques du pays.9 Mais le problème avec ce recours est que ces organismes exercent des influences politiques et économiques.
La dépendance commerciale :
La structure productive interne des pays du Sud est composée en générale par la domination du secteur agricole, à faible valeur ajoutée. L’industrie, supposé moteur du développement n’a pas encore occupé sa juste place dans l’économie. Durant quelques décennies, plusieurs gouvernements des pays en développement ont encouragé l’implantation des industries de substitution à l’importation qui vise à réduire leurs dépenses en produits manufacturé et des biens d’équipements. Cette stratégie a fait profiter les pays industrialisé capitalistes à installer leur industrie pour un investissement industriel vers la « périphérie » compte tenu du coût faible de main d’oeuvre locale et des protections douanières dont elle bénéficie à cet effet.10
La dépendance technique et culturelle :
La dépendance technique et culturelle est aussi un des aspects important du sous-développement. La dépendance technique se traduit par l’importation de technologie et le recours à des travailleurs expatriés qualifié. La dépendance culturelle se manifeste surtout au niveau des attitudes de consommation : le mimétisme culturel est un facteur important du déficit de la balance commerciale par le poids excessif des importations.11
Une économie déséquilibrée
Le déséquilibre macroéconomique est un trait commun caractérisant les pays sous-développés. Cette déséquilibre s’opère surtout sur les marchés intérieurs, au niveau de l’offre et de la demande en biens et service mais aussi sur les rapport commerciaux et financiers avec le reste du monde.
Un déséquilibre sur les marchés intérieurs
Le déséquilibre est un phénomène qui reflète des effets déstabilisateurs au sein d’une économie. Chez les pays sous-développés, cette déséquilibre s’opère le plus fréquent au niveau du marché de biens et service à cause de l’insuffisance de l’offre globale par rapport à la demande globale. C’est pourtant évident car la productivité des producteurs agricoles est relativement bas et le potentiel de production des industries ne permet pas de réaliser une économie d’échelle faute de l’insuffisance des moyens de production et la rareté du main d’oeuvre qualifié. Au niveau du marché de travail, le monopole de mains d’oeuvre engendré par le dualisme entre le secteur traditionnel et le secteur moderne freine les activités industrielles du secteur capitaliste, qui se concentre aux alentours des villes. Sur le marché de capitaux, l’insuffisance de l’épargne constitue un blocage à l’accumulation de l’investissement car le revenu des ménages est relativement bas et ne les permettent pas de consacrer une part à l’épargne.
Un déséquilibre sur les rapports avec l’extérieur
Au niveau macroéconomique, le déséquilibre apparait le plus souvent au niveau de la balance des paiements et sur le marché des changes. Presque les résultats annuels du solde de la balance des paiements des pays pauvres sont toujours déficitaires. Cette déséquilibre peut se traduire par l’insuffisance développement du secteur financier pour financer les programmes d’investissement de l’Etat ou bien de la faible valeur ajoutée de leurs exportations alors que ces pays importent des produits industriels couteux via les industries étrangères installé sur le pays. A cet effet, l’épargne nationale ne permet pas à l’Etat de financer les investissements nécessaires dans l’accomplissement de ces programmes. Ce qui pousse les gouvernements à recourir à des emprunts auprès des institutions financières extérieurs privée ou publique.
Normalement, l’Etat doit accomplir ses responsabilités, en faveur du pays, dans la résorption de ces déséquilibres et d’assurer la stabilité interne afin de réduire les effets défavorables émis dans le reste de l’économie. Ainsi, il doit se mobiliser dans les différents secteurs et en particulier le secteur monétaire à travers la banque centrale. Il doit aussi intervenir dans le secteur de la production en augmentant la capacité de production du pays par l’utilisation de façon optimale des ressources dont dispose le pays (main d’oeuvre, terrain, capital, financier, …) qui va augmenter le niveau de la production nationale.
LE MODELE DE DEVELOPPEMENT DES PAYS DE L’ASIE DE L’EST ET DU SUD-EST
Le miracle économique des pays d’Asie de l’Est et du Sud-Est reste un évènement ancré dans l’histoire économique mondiale, surtout pour ses pays voisins. Même les pays développés qui ont assisté à cette croissance spectaculaire asiatique posent encore des questions à propos de la tournure imprévu de leurs histoires et la rapidité de leurs croissances.
LES STRATEGIES DE DEVELOPPEMENT AU NIVEAU MACROECONOMIQUE
Depuis le début de la seconde moitié du XXème siècle, beaucoup de pays en développement ont tenté de procéder au développement économique à travers l’externalisation de l’économie. En fait, les gouvernements de ces pays ont été fortement influencé par la croyance que la clé du développement économique est la création d’un fort secteur manufacturier et la promotion des industries naissantes. Ils ont mené des politiques industrielles et commerciales dans le but de stimuler le développement des industries exportatrices, de protéger les industries naissantes du commerce international et enfin d’accélérer leurs développement en limitant les importations de biens manufacturé13.
Les expériences de quelques pays émergeants (en particulier les « 4 dragons d’Asie14 ») et du Japon durant leur phase de croissance économique témoignent que l’ouverture économique et commerciale avec les pays étrangers a constitué un facteur clé dans leur succès du développement économique. Ils ont atteint une croissance économique impressionnante à travers l’industrialisation et l’exportation des produits manufacturés15.
La nécessité de l’orientation des politiques économiques
L’intervention de l’Etat dans l’orientation des différentes politiques économiques constitue un élément majeur dans la réussite du développement d’un pays. Surtout dans les relations commerciales avec l’extérieure, l’intermédiation de l’Etat permet de maintenir l’équilibre au niveau des différents marchés et de maximiser le résultat de ses politiques.
L’expérience du Corée du Sud a montré que l’intervention de l’Etat dans l’orientation des politiques économiques a fortement influencé sur son développement, grâce à ses appuis dans les secteurs les plus performants, le contrôle du system bancaire et la planification visant à favoriser les industries exportatrices. 16
La libéralisation comme facteur de succès des NPI
Les NPI ou Nouveaux pays industrialisés désignent des pays dont l’industrialisation rapide repose sur le développement des exportations de produits manufacturés et qui affichent une croissance soutenue du PIB per capita17.
Plusieurs expériences ont déjà affirmé l’existence d’un lien positive entre la croissance économique et l’ouverture extérieure18. Des études ont aussi souligné que l’origine des fortes croissances et forts gains de productivité des pays du sud-est asiatiques est la libéralisation de leur commerce extérieur19. Ces pays ont profité des opportunités engendrées par la politique de libéralisation grâce aux intérêts attendus de la participation étrangère à l’activité nationale et au développement économiques20. Leurs expériences attestent que la libéralisation accompagnée par l’orientation des politiques commerciale vers la promotion des industries exportatrices (en particuliers les industries naissantes) leur ont permis d’accélérer la croissance économique. Cette stratégie est très efficace pour eux grâce aux mesures qu’ils ont conçue visant à protéger ces industries face à la concurrence étrangère. Ils ont donc conduit la libéralisation avec d’autres politiques complémentaires, ce qui a amélioré le résultat.
D’autre cas, dans les années 80 et 90 ont été marqué par une période de croissance et de libéralisation rapide pour l’économie Vietnamienne et chinoise. Pour la Chine, elle a d’abord opté pour une politique de dépréciation rapide de sa monnaie. C’est depuis 1985 que la libéralisation du prix et du commerce extérieur a fortement promu sa croissance économique. De même pour Viêtnam avec l’instauration du double système de prix en 1981 accompagné du system unique de flottement afin de faciliter la stabilisation du cours de sa monnaie vis à vis du dollar. Ces deux politiques avaient été mené dans un contexte de libéralisation des opérations de change visant à promouvoir le commerce extérieur, maitriser les prix intérieurs et donc la croissance en question. Le développement économique était évident pour ces deux pays car les politiques en vigueur étaient favorables pour leur économie21.
La politique de dépréciation comme facteur d’appui au commerce international : Expérience des NPI et du Japon
Savoir adopter et choisir son régime de change est primordiale pour les autorités de chaque pays. En fait, cela revient à considérer les caractéristiques individuelles de chaque pays, ses objectifs économiques, ses stratégies à mettre en oeuvre, les moyens qui permettent d’atteindre les objectifs, les facteurs à mobiliser et la situation économique du pays.
La dévaluation de la monnaie locale est une stratégie adoptée par un pays dans le but de stimuler l’activité nationale, de créer de l’emploi et de promouvoir le commerce extérieur. Ce processus s’agit de stimuler les exportations nationales, de réduire le chômage et donc de freiner les importations qui constituent de la sortie de devise.
Effet de la dépréciation sur l’économie japonaise
Les expériences vécus par Japon et les nouveaux pays industrialisé ont prouvé l’efficacité de la politique de dépréciation dans une économie externalisée. La part croissante des exportations industrielles japonais lui a permis d’avoir une autonomie de croissance économique en limitant l’importation et d’encourager l’exportation. Ainsi, avec un régime de change flexible, le Japon a bénéficié d’une stabilité de parité car le system qu’il a adopté coïncide avec ses objectifs économiques. Suivi de la baisse du prix des matières premières, la stratégie de dépréciation a permis au Japon de tirer profit et de maitriser le niveau des prix intérieur.22
Effet de la dépréciation sur l’économie coréenne
L’expérience Coréenne dans son incroyable succès et du développement de l’industrie manufacturière en 1985 a montré que la stratégie de dévaluation a permis une progression des exportations bien supérieur à celle de l’importation, ce qui lui a permis de dégager un excèdent commercial.23
Instaurer un system financier solide : Un avantage pour Japon
Plusieurs auteurs ont affirmé l’existence d’un lien positive entre le développement de la sphère financier et la croissance économique. En 1985, Guillaumont a découvert que cette relation est positive pour les pays en développement et négative pour les pays développés. En 1993, King et Levine ont dans ses travaux soulignés que c’est le développement de la sphère financier qui agit sur la croissance économique. Ils expliquent que le développement de la sphère financier favorise d’abord l’accumulation du capital et en même temps l’efficacité de son utilisation dans les économies et finalement contribue à la promotion de la croissance. 24
D’autres études ont justifié que les économies de l’Asie de l’Est se développent parce que les gouvernements utilisent des politiques d’investissement plus élevé qu’ailleurs dans les ressources humaines et d’accumulation du capital physique25. L’expérience du Japon dans le dynamisme de l’investissement et de l’abondance de l’épargne permet de justifier cette importance des institutions financières et de son influence sur la croissance économique.
La politique générale de l’épargne
L’épargne est un composant présentant des aspects important dans la réalisation de l’équilibre, destinée à financer l’équipement nécessaire à l’expansion de la production du pays.
Pour le Japon, l’abondance de l’épargne des ménages est un atout qui lui permet de maintenir le taux d’intérêt à un niveau bas et de stimuler l’investissement. Ce qui fait le prêt bancaire un canal de financement rentable pour les activités. L’existence d’un marché financier actif et bien organisé permet aux autorités japonaises de maitriser le niveau du prix interne et de maintenir ce niveau d’épargne pour ne pas ruiner la consommation des ménages26.
La politique générale de l’investissement
L’investissement constitue un élément essentiel pour le développement économique d’un pays puisqu’il exerce une influence positive sur la croissance économique. Il permet de déterminer le niveau d’activité et donc le niveau de développement qu’un pays peut atteindre.
Un des facteurs de réussite économique du Japon et des pays asiatiques est aussi l’adoption de politique macroéconomique saine et stable (c’est-à-dire non-inflationniste et sans volatilité du taux d’intérêt), source d’un meilleur climat d’investissement27. Durant sa phase de décollage industriel, le Japon a commencé par un fort investissement en infrastructure dans les secteurs industries de transformation et militaire. C’est ce qui a constitué l’élément le plus dynamique dans sa croissance et dans son développement économique. La croissance spectaculaire de l’économie japonaise entre 1952 à 1970 résulte de l’importance clé de l’investissement en matière de productivité, de capacité et de la modernisation des appareils reproductifs. Le dynamisme de la croissance économique japonaise repose en effet dans l’effort d’investissement qui autorise des progrès important du pouvoir d’achat des salariés et stimule l’essor de la demande de consommation interne. En même temps, il y a développement de la production de masse avec la consommation de masse d’où gain de productivité et gain de pouvoir d’achat et économie d’échelle28. Ce qui permet d’éviter les effets négatifs exercés par l’épargne sur le pouvoir d’achat et la consommation des ménages.
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Table des matières
Introduction
PARTIE I- LE BENCHMARKING ET LES PAYS PAUVRES
I. I. QU’EST-CE QUE LE « BENCHMARKING » ?
I. I. 1. Définitions et concepts
I. I. 1. 1. Définition
I. I. 1. 2. CONCEPT
I. I. 2. Avantages et limites
I. I. 2. 1. Avantages
I. I. 2. 2. Limites
I. II. ANALYSE ET DIAGNOSTIQUE DE LA STRUCTURE ECONOMIQUE DES PAYS PAUVRES
I. II. 1. Les caractéristiques communes des pays sous-développés
I. II. 1. 1. Le dualisme comme un aspect interne du sous-développement
I. II. 1. 1. 1. Un faible dynamisme du secteur agricole
I. II. 1. 1. 2. Une place mineure de l’industrie
I. II. 1. 2. La dépendance comme aspects externe du sous-développement
I. II. 1. 2. 1. La dépendance économique :
I. II. 1. 2. 2. La dépendance financière :
I. II. 1. 2. 3. La dépendance commerciale :
I. II. 1. 2. 4. La dépendance technique et culturelle :
I. II. 2. Une économie déséquilibrée
I. II. 2. 1. Un déséquilibre sur les marchés intérieurs
I. II. 2. 2. Un déséquilibre sur les rapports avec l’extérieur
PARTIE II- LE MODELE DE DEVELOPPEMENT DES PAYS DE L’ASIE DE L’EST ET DU SUD-EST
II. I- LES STRATEGIES DE DEVELOPPEMENT AU NIVEAU MACROECONOMIQUE
II. I. 1. La nécessité de l’orientation des politiques économiques
II. I. 1. 1. La libéralisation comme facteur de succès des NPI
II. I. 1. 2. La politique de dépréciation comme facteur d’appui au commerce international :
II. I. 1. 2. 1. Effet de la dépréciation sur l’économie japonaise
II. I. 1. 2. 2. Effet de la dépréciation sur l’économie coréenne
II. I. 2. Instaurer un system financier solide : Un avantage pour Japon
II. I. 2. 1. La politique générale de l’épargne
II. I. 2. 2. La politique générale de l’investissement
II. II- LES STRATEGIES DE DEVELOPPEMENT AU NIVEAU SECTORIEL
II. II. 1. L’industrialisation comme plateforme du développement : Expériences du Japon et des pays émergents d’Asie
II. II. 1. 1. Privilégier l’expansion de l’industrie : Expérience du Japon
II. II. 1. 1. 1. La dotation en facteurs de production comme source de l’expansion
II. II. 1. 1. 2. Une structure socio-économique favorable
II. II. 1. 2. La stratégie d’industrialisation chez les NPI :
II. II. 1. 2. 1. Les économies de haute performance d’Asie
II. II. 1. 2. 2. Deux NPI : Corée du Sud et Taïwan
II. II. 1. 2. 1. 1. Stratégie d’industrialisation coréenne
II. II. 1. 2. 1. 2. Stratégie d’industrialisation Taïwanaise
II. II. 2. L’ouverture extérieure comme une opportunité pour les NPI
II. II. 2. 1. La réforme agraire : Une activité de faible rendement mais fondement de la croissance
II. II. 2. 2. Le processus de remontée de filière : Cas des NPI
Conclusion
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