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Production locale et la demande nationale en produits laitiers au Sénégal
La production de lait a connu une hausse de 9,1%, passant de 202 003 milliers de litres à 220 421 milliers de litres entre 2012 et 2013 (SENEGAL/DIREL, 2011). Cette performance est due à l’augmentation simultanée de la production de lait dans les systèmes semi-intensifs et intensifs (24,0 %) d’une part et extensifs (4,1%) d’autre part. La production laitière bien qu’en croissance n’arrive pas encore à satisfaire la demande de la population sénégalaise, qui est estimée à plus de 431 millions de litres par an (SENEGAL/DIREL, 2011). De ce fait, environ 70 % du lait consommé au Sénégal est importé des états de l’Union Européenne et d’Amérique latine, sous forme de poudre de lait (DIA, 2015). Ces importations bien qu’encore élevées sont néanmoins en repli grâce à l’augmentation de la production locale et à la hausse des prix des produits laitiers sur le marché international. En effet, les importations des produits laitiers ont été de 43,9 milliards de FCFA en 2013 contre 49,4 milliards de FCFA en 2012, soit un repli de 11,2% après un fléchissement de 14,0% en 2012. En volume, les importations des produits laitiers ont connu un recul de 15,5% en 2013 suite à la hausse des prix de 5,2% entrainant la chute des achats à l’extérieur de ce produit en provenance de la Nouvelle Zélande (-57,9%), du Brésil (-22,2%) et des Pays-Bas (-40,1%). (ANSD, 2016)
Aviculture moderne et production des œufs de consommation au Sénégal
Présentation de l’aviculture moderne au Sénégal
Définition de l’aviculture moderne
La principale caractéristique de l’aviculture moderne, c’est le fait que la vie de l’oiseau soit réglée dans ses moindres détails par l’aviculteur. Celui-ci utilise des races améliorées qui reçoivent un aliment complet en quantité et en qualité, bénéficient d’une protection sanitaire et médicale, et sont logées dans des conditions régulièrement contrôlées. (HABYARIMANA, 1994)
Elle rassemble donc les particularités suivantes :
– les volailles sont élevées en claustration;
– le matériel d’élevage est perfectionné (chaîne d’alimentation, abreuvoirs automatiques, évacuation de déjections …);
– les volailles reçoivent un aliment complet produit par une industrie spécialisée et adaptée à l’âge des animaux et à la production recherchée ;
– l’état sanitaire du cheptel est très contrôlé ;
– les souches des volailles utilisées sont sélectionnées en vue d’une production spécialisée de chair ou de ponte (IEMVT, 1991).
Secteurs de l’aviculture moderne au Sénégal
L’élevage moderne est un secteur en expansion qui se développe autour des centres urbains comme Dakar en raison de l’existence d’un marché. En fonction des objectifs, des motivations et des ressources des promoteurs, on distingue trois types de spéculations :
– la spéculation « chair » où le promoteur n’élève que les poulets de chair;
– la spéculation « ponte » où les élevages n’élèvent que des poules pondeuses;
– la spéculation « mixte », c’est-à-dire l’association des deux spéculations précédentes (HABYARIMANA, 1998).
Dans la région du Cap Vert, KEBE (1983) a rapporté que 40 % d’unités étaient spécialisées dans l’élevage du poulet de chair, 33 % dans la production d’œufs et 27 % étaient mixtes.
Importance de l’aviculture moderne au Sénégal
Importance nutritionnelle
Les protéines d’origine animale, de par leur richesse et leur teneur en acides aminés essentiels augmentent considérablement la valeur nutritionnelle du régime même lorsqu’elles sont apportées en faible quantité. Ces protéines sont de ce fait un élément capital de l’équilibre alimentaire surtout chez les groupes les plus vulnérables (les jeunes enfants et les femmes enceintes.) (FEDIDA, 1996).
Le régime alimentaire des populations de la zone inter tropicale est pour la plus part déficitaire en protéines tant sur le plan quantitatif que qualitatif. La plupart de ces pays comptent alors sur l’aviculture pour relever ce défi. En effet, l’aviculture tient une place de choix dans les plans de développement de nombreux pays, car la viande des volailles dont le rendement moyen et la composition moyenne en protéine, n’ont rien à envier à ceux des autres animaux de boucherie est plus facile à produire et plus accessible en terme de cout.
Viande de volaille
La viande blanche (tout comme l’œuf de poule) comparée aux autres productions animales, offre les meilleurs rendements de conversion des matières végétales en calories animales et de transformation des protéines. En plus de ce rendement, la viande de volaille possède des qualités nutritionnelles et diététiques remarquables entre autres, une faible teneur en graisse et une concentration assez élevée en acides animés essentiels. (FEDIDA, 1996).
Œuf et ses dérivés
On entend par ‘œuf’’ le produit de ponte d’un oiseau femelle. Le terme œuf sans qualification correspond à l’œuf de poule ou espèce Gallus domesticus. Par ailleurs, ce terme concerne les œufs propres à la consommation humaine donc commercialisables et garantissant la totale innocuité quel que soit le mode de cuisson.
Sur le plan nutritionnel, la principale caractéristique de l’œuf est sa richesse en protéines d’excellente valeur biologique. Celles-ci renferment en effet tous les acides aminés essentiels en quantité équilibrée (SAUVEUR, 1987). Ces protéines sont pour l’essentiel contenues dans l’albumen et profitent à l’organisme du consommateur, car l’utilisation protéique nette de l’œuf est de 100%, de loin supérieure à celle des autres protéines.
Comparés aux autres denrées alimentaires d’origine animale, deux œufs sont équivalents à 100 g de viande (partie comestible) ou 100 g de poisson pour l’apport protéique (TBAPON et al., 1994).
Importance sanitaire
Les produits avicoles (œuf et viande) peuvent être source de toxi-infections alimentaires. Le risque le plus sérieux est engendré par les salmonelles, mais les risques liés à quelques autres bactéries notamment les staphylocoques et les listeria sont également à prendre en considération (TBAPON et al., 1994).
Enfin, le risque lié à la présence de résidu est à signalé surtout lorsque les délais d’attente après usage des médicaments ne sont pas respectés.
Ces risques peuvent être évités grâce à un respect rigoureux des mesures d’hygiène dans les élevages, au respect des délais d’attente, et une application stricte des règles de préparation et de conservation des produits avicoles.
Importance économique
L’aviculture moderne est une véritable activité commerciale. Elle constitue une source de revenus pour l’éleveur et si elle est bien menée, elle peut contribuer à l’amélioration de l’économie nationale par le biais des exportations des produits avicoles. Par ailleurs, c’est une activité créatrice d’emplois surtout pour les jeunes qui sont employés aussi bien dans les exploitations avicoles que dans les unités de fabrique d’aliments pour volaille. L’aviculture semi-industrielle représente actuellement un chiffre d’affaires de 110 milliards. Sur le plan socio-économique, l’aviculture moderne sénégalaise générait plus de 10.000 emplois directs et indirects (FAFA, 2002). L’aviculture sénégalaise a un poids économique important dans l’agriculture : 9% pour le poulet et 3,1% pour les œufs de consommation (SENEGAL, 2008).
Filière avicole moderne et la production d’œufs de consommation
Organisation de la filière avicole moderne
L’aviculture moderne est un secteur organisé dans lequel interviennent divers acteurs:
– les sélectionneurs ;
– les accouveurs et les éleveurs des reproducteurs ;
– les producteurs ;
– les provendiers ;
– les encadreurs.
Ils assurent la sélection des souches performantes vendues aux éleveurs de reproducteurs. A ce jour, il n’existe pas au Sénégal des sélectionneurs. Les souches améliorées proviennent des pays où l’aviculture est très développée notamment les pays européens (France, Belgique, Hollande.) et les Etats Unis d’Amérique (HABYARIMANA, 1998).
Accouveurs et les éleveurs des reproducteurs
Les éleveurs de reproducteurs font l’élevage des souches sélectionnées dans le but de produire des œufs fécondés dont l’incubation donnera des poussins d’un jour destinés aux producteurs d’œufs de consommation ou de poulets de chair.
Quant aux accouveurs, leur rôle se limite à l’incubation artificielle d’œufs fécondés achetés auprès des éleveurs de reproducteurs afin de fournir des poussins d’un jour aux producteurs (HABYARIMANA, 1998).
Producteurs
Ils achètent des poussins d’un jour et assurent leur élevage pour produire les œufs de consommation ou les poulets de chair selon la spéculation choisie.
Dans la région de Dakar, il existe deux catégories d’aviculteurs: les aviculteurs qui ont pour activité principale l’aviculture (45 % des producteurs) et les aviculteurs occasionnels (55 % des producteurs). Ces derniers sont en général des fonctionnaires et des retraités (HABYARIMANA, 1998).
Provendiers
Les provendes utilisées en aviculture sénégalaise sont fournies par des fabriques locales spécialisées en alimentation des volailles comme la SEDIMA, l’AVISEN, NMA. Les sociétés spécialisées en alimentation du bétail fabriquent aussi l’aliment pour volaille. Il s’agit du Moulin SENTENAC et la SONACOS (CNA, 2010).
Encadreurs
Il s’agit des agents publics d’encadrement ainsi que les vétérinaires privés (HABYARIMANA, 1998). Ces derniers ont pour rôle l’encadrement des éleveurs en matière de productions avicoles. De ce fait, ils jouent un rôle important dans le développement de l’aviculture moderne dans la région de Dakar.
Production des œufs de consommation au Sénégal
La production nationale d’œufs est estimée d’une part à partir des poussins « ponte » mis en élevage, et d’autre part, en tenant compte des paramètres zootechniques qui sont:
– le taux de mortalité à l’entrée en ponte,
– le taux de mortalité pendant la période de ponte,
– la durée de ponte,
– la durée d’élevage avant l’entrée en ponte,
– nombre d’œufs pondus par poule et par an (250 œufs).
La production d’œuf de consommation au Sénégal est en pleine croissance depuis 2009 (figure1). Le nombre d’unités d’œufs a été évalué à 568,38 millions en 2013 après 547,68 millions en 2012, soit une hausse de 3,8%. La dernière statistique de l’année 2015 estime la production à 571 millions d’unités. (SENEGAL/DIREL, 2015).
Moyens de lutte contre les pathologies aviaires
Prophylaxie
La prophylaxie se définit comme étant l’ensemble des mesures prises pour prévenir l’apparition et le développement de la maladie ou encore la partie de la thérapeutique qui a pour objectif de prévenir le développement des maladies (LEGRANIER, 1992).
Les mesures de prophylaxie sont de deux ordres :
– la prophylaxie sanitaire ;
– la prophylaxie médicale.
Prophylaxie sanitaire
Les mesures de prophylaxie sanitaire sont des méthodes sûres et peu coûteuses destinées à améliorer les rendements de production en élevage avicole. Elles consistent à limiter l’action des différents vecteurs de germes pathogènes ou parasites dans l’élevage. La prophylaxie sanitaire se base selon HABYARIMANA (1998) sur trois notions essentielles : le nettoyage, la désinfection et le vide sanitaire.
Prophylaxie médicale
La lutte préventive contre les infestations parasitaires ou infectieuses fait recourt à deux méthodes qui se complètent: la vaccination et la chimio-prévention. Ces interventions sont effectuées systématiquement à des périodes déterminées de la vie de l’animal (IEMVT, 1991).
Pour les maladies bactériennes, on effectue des traitements antibiotiques dans toutes les circonstances qui peuvent affaiblir la résistance de l’animal. On utilise alors des antibiotiques à spectre très large pendant au moins quatre jours de suite, soit dans l’eau de boisson, soit dans l’aliment. Pour les maladies virales, le seul moyen de lutte est la prévention réalisée au moyen de vaccins (IEMVT, 1991). Les différentes voies de vaccination sont: l’eau de boisson, des gouttes dans les yeux et les narines, la nébulisation, l’injection.
En résumé, l’aviculture moderne est un secteur en plein expansion dans la zone périurbaine de Dakar et de nombreux progrès ont été faits pour une amélioration de la productivité de ce secteur avicole. Cependant, malgré ces progrès, le développement de la filière reste entravé par des pathologies.
La maîtrise de ces pathologies implique entre autre une bonne pratique d’hygiène dans les élevages mais aussi une bonne utilisation des médicaments vétérinaires notamment les antibiotiques.
Antibiothérapie aviaire
L’utilisation des antibiotiques est aujourd’hui incontournable dans les productions animales. Ils sont utilisés chez les pondeuses:
– Pour guérir les poules victimes de maladies bactériennes telles que le Choléra aviaire, typhose ou la pullorose.
– Pour renforcer le système immunitaire des poules et les rendre moins vulnérables à des maladies virales telles que la pseudo-peste aviaire ou des infestations des parasites tels que les poux, les tiques ou les vers qui infestent leur tube digestif. (BEN AZZEDDINE, 2009).
Le tableau II présente quelques anti-infectieux utilisés dans les fermes avicoles de Dakar.
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Table des matières
INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : SYNTHESE BIBLIOGRAPHIQUE
CHAPITRE I : PRODUCTION DU LAIT ET DES ŒUFS DE CONSOMMATION AU SENEGAL
I. Elevage des ruminants et production laitière au Sénégal
I.1. Effectifs du cheptel ruminant au Sénégal
I.2. Systèmes de production des ruminants et production laitière au Sénégal
I.2.1. Système pastoral
I.2.2. Système agropastoral
I.2.3. Système périurbain
I.3. Production locale et la demande nationale en produits laitiers au Sénégal
II. Aviculture moderne et production des œufs de consommation au Sénégal
II.1. Présentation de l’aviculture moderne au Sénégal
II.1.1. Définition de l’aviculture moderne
II.1.2. Secteurs de l’aviculture moderne au Sénégal
II.2. Importance de l’aviculture moderne au Sénégal
II.2.1. Importance nutritionnelle
II.2.1.1. Viande de volaille
II.2.1.2. Œuf et ses dérivés
II.2.2. Importance sanitaire
II.2.3. Importance économique
II.3. Filière avicole moderne et la production d’œufs de consommation
II.3.1. Organisation de la filière avicole moderne
II.3.2. Production des œufs de consommation au Sénégal
II.4. Pathologies et moyens de lutte contre les pathologies en aviculture moderne
II.4.1. Présentation des pathologies aviaires
II.4.2. Moyens de lutte contre les pathologies aviaires
II.4.2.1. Prophylaxie
II.4.2.1.1. Prophylaxie sanitaire
II.4.2.1.2. Prophylaxie médicale
II.4.2.2. Antibiothérapie aviaire
CHAPITRE II : LE MEDICAMENT VETERINAIRE ET LES RISQUES LIES AUX RESIDUS D’ANTIBIOTIQUE DANS LES DAOA
I. Généralités sur le médicament vétérinaire
I.1. Définition du médicament vétérinaire et classification des antiinfectieux
I.1.1. Définition du médicament vétérinaire
I.1.2. Classification des antibiotiques
I.2. Marché du médicament vétérinaire dans le monde
I.2.1. Evolution du marché mondiale des médicaments vétérinaire
I.2.2. Répartition du marché par classe thérapeutique
II. Marché du médicament vétérinaire au Sénégal
II.1. Taille globale du marché et dépenses annuelles des grossistes
II.2. Segmentation du marché par famille de médicament
II.3. Marché illicite du médicament vétérinaire au Sénégal
II.4. Etat de la réglementation pharmaceutique vétérinaire au Sénégal
III. Risques liés aux résidus d’antibiotiques dans les DAOA
III.1. Généralités sur les résidus
III.1.1. Définition des résidus
III.1.2. Définition des résidus de médicaments vétérinaire
III.2. Formation des résidus et délais d’attente des médicaments vétérinaires
III.2.1. Formation des résidus
III.2.2. Délai d’attente et LMR
III.3. Risques associés aux résidus d’antibiotiques dans les DAOA
III.3.1. Effets sur l’organisme humain
III.3.1.1. Risque cancérigène ou mutagène
III.3.1.2. Risque allergique
III.3.1.3. Fœtotoxicité
III.3.2. Autres effets liés aux résidus d’antibiotiques
III.3.2.1. Risques pour l’industrie agro-alimentaire
III.3.2.2. Modification de la flore intestinale humaine
III.3.2.3. Acquisition de la résistance aux antibiotiques
III.4. Réglementation sur les résidus des médicaments vétérinaires
CHAPITRE III : APERCU SUR LES METHODES DE DETECTION DES RESIDUS DU MEDICAMENT VETERINAIRE DANS LES DENREES ALIMENTAIRES D’ORIGINE ANIMALE
I. Méthodes de dépistage
I.1. Méthodes microbiologiques
I.1.1. Screening Test for Antibiotic Residues˝ (STAR)
I.1.2. Premi® Test
I.1.3. Test des 4 boîtes
I.2. Méthodes immunologiques : ELISA (˝Enzyme-Linked Immunosorbent Assay˝), RIA (˝Radio-Immuno-Assays˝)
II. Méthodes de confirmation et de quantification
II.1. Méthode de chromatographie en phase gazeuse (CPG)
II.2. Méthode de Chromatographie sur couche mince (CCM)
II.3. Méthode de chromatographie liquide haute performance (HPLC)
DEUXIEME PARTIE : ETUDE EXPERIMENTALE
CHAPITRE I : MATERIEL ET METHODES
I. Zone et période de l’étude
I.1. Zone d’étude
I.2. Périodes et sites de collecte des échantillons
I.2.1. Période et sites de prélèvement du lait
I.2.2. Période et sites de prélèvement des œufs
I.3. Période et site d’analyse des échantillons
II. Matériel
II.1. Matériel de prélèvement des échantillons
II.2. Matériel biologique
II.2.1. Lait
II.2.2. Œufs
II.3. Fiche d’enquête
II.4. Matériel pour la détection des résidus
II.4.1. Matériel de laboratoire
II.4.2. Matériel du CHARM TEST
II.4.3. Réactifs
III. Méthodes
III.1. Méthode d’échantillonnage
III.1.1. Détermination de la taille des échantillons
III.1.2. Choix des sites de prélèvement des échantillons
III.1.3. Méthode d’enquête
III.2. Méthode de recherche des résidus par CHARM TEST II
III.2.1. Principe général du test
III.2.2. Méthodes de recherche des résidus d’antibiotiques dans le lait
III.2.2.1. Recherche des tétracyclines dans le lait
III.2.2.2. Recherche des streptomycines dans le lait
III.2.2.3. Recherche des betalactamines dans le lait
III.2.3. Procédures de recherche des antibiotiques dans les œufs
III.2.3.1. Préparation de l’échantillon pour l’analyse
III.2.3.2. Recherche des tétracyclines dans les œufs
III.2.3.3. Recherche des streptomycines dans les œufs
III.2.3.4. Recherche des betalactamines dans les œufs
III.3. Gestion et analyse des résultats
CHAPITRE II : RESULTATS
I. Résultats obtenus dans les élevages et sur les échantillons de lait récoltés
I.1. Résultats de l’enquête dans les fermes laitières
I.1.1. Caractérisation des élevages intensifs et semi-intensifs
I.1.2. Caractérisation des élevages extensifs
I.2. Résultats de la recherche des résidus d’antibiotiques dans le lait
I.2.1. Prévalence globale
I.2.2. Prévalences générales en fonction du type d’exploitation
I.2.2.1. Prévalence générale dans les élevages intensifs et semiintensifs
I.2.2.2. Prévalence générale dans les élevages extensifs
I.2.2.3. Comparaison des prévalences en fonction du type d’exploitation
I.3. Résultats obtenus dans la région de Dakar
I.3.1. Prévalence globale à Dakar
I.3.2. Prévalence dans les élevages intensifs et semi-intensifs de Dakar
I.3.3. Prévalence dans les élevages extensifs de Dakar
I.4. Résultats obtenus dans la région de Thiès
I.4.1. Prévalence globale dans la région de Thiès
I.4.2. Prévalence dans les élevages intensifs et semi-intensifs de la région de Thiès
I.4.3. Prévalence dans les élevages extensifs de la région de Thiès
I.5. Comparaison des prévalences entre les régions de Dakar et de Thiès
I.5.1. Comparaison des prévalences globales
I.5.2. Comparaison des prévalences entre les élevages extensifs de Dakar et ceux de Thiès
I.5.3. Comparaison des prévalences entre les élevages intensifs de Dakar et ceux de Thiès
I.5.4. Comparaison des prévalences entre les élevages suivis et les élevages non suivis
II. Résultats obtenus dans les élevages de production d’œufs et sur les échantillons d’œufs récoltés
II.1. Résultats de l’enquête dans les élevages de production d’œufs de consommation
II.2. Résultats de la recherche des résidus d’antibiotiques dans les œufs de consommation
II.2.1. Prévalence générale
II.2.2. Prévalence en fonction du site de prélèvement
CHAPITRE III : DISCUSSIONS ET RECOMMANDATIONS
I. Discussions
I.1. Limites de l’échantillonnage et de la méthode d’analyse des échantillons
I.1.1. Limites de l’échantillonnage et difficultés rencontrées
I.1.2. Limites de la méthode d’analyse des échantillons
I.2. Discussion des résultats de l’enquête
I.2.1. Caractéristiques des fermes laitières
I.2.2. Caractéristiques des élevages de production d’œufs
I.3. Discussion des résultats d’analyse des échantillons
I.3.1. Discussion des prévalences des résidus dans le lait
I.3.2. Discussion des prévalences des résidus dans les œufs
II. Recommandations
CONCLUSION GENERALE
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
WEBOGRAPHIE
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