LE MECANISME DE L’INNOVATION

LE MECANISME DE L’INNOVATION

Management

Introduction

La gestion est une fonction essentielle de toute coopération organisée.
De tous les secteurs d’activités humaines, c’est l’un des plus importants, si ce n’est le plus important. En effet, ce sont les managers ou gestionnaires qui depuis quelques années, occupent plus que jamais le premier plan de l’actualité. Dans tout genre d’entreprises, ils ont la tâche fondamentale de créer un environnement dans lequel des individus qui travaillent ensemble peuvent accomplir des missions et réaliser les objectifs visés. Ils sont considérés comme responsables aussi bien des résultats de leurs entreprises que du climat de la vie économique.
Mais avant de chercher à définir ce qu’est un bon dirigeant, il faut se soucier des connaissances générales qui lui sont utiles et que seule la pratique du management permet d’acquérir.
En effet, la réussite de la gestion dépend en grande partie des qualités de leadership de ceux qui occupent les postes de direction.
C’est pourquoi, nous avons envisagé de faire le ‘’tour’’ dans ce chapitre, des concepts de management et de leadership qui s’avèrent être intéressants à plus d’un point, car toutes les décisions prises par les dirigeants ont des répercussions sur la vie de l’entreprise et celle de son entourage.

La nature du management

Dans le passé, l’entreprise était axée sur la production. De nos jours et face à un environnement en perpétuel changement, elle se présente comme un système socioéconomique assez complexe et intégrant divers aspects. Cette transformation a engendré la nécessité d’une évaluation précise de la situation de la firme, non seulement vis-à-vis des composantes classiques de l’entreprise telles que le produit, le marché, le prix de revient; mais aussi vis-à-vis des composantes d’environnement
externe et interne plus contraignant avec des perspectives plus larges que par le passé.
Désormais, aucune action n’est entreprise dans la firme sans qu’un diagnostic préalable ne soit établi et ce afin de prendre des décisions prospectives. En dépit de ça, la difficulté des choix se pose et il faudra recourir à la formulation de stratégies, à des procédés de contrôle, à des prévisions, à la définition d’objectifs qui maximiseront le rendement de l’organisation.
Cependant, pour mettre en oeuvre ce développement et ce progrès, l’entreprise a besoin de certains outils de gestion et d’hommes dotés de certaines qualités et aptitudes qui auront à gérer ce changement. Elle a besoin en somme, d’une créativité managériale ou d’un certain management de l’entreprise.
Avant d’aller plus loin, une mise au point terminologique s’impose.
Les termes direction, management, gestion, administration sont utilisés par certains comme synonymes alors que pour d’autres, ils recouvrent des réalités bien distinctes.
Il est évident que donner aux mots leur sens exact est une nécessité et ce afin de sortir de la confusion dans laquelle nous nous trouvons à cause d’un manque de définitions précises. L’introduction d’expressions anglo-saxonnes avec un sens souvent différent de celui qu’il a dans la langue d’origine, ajoute à la difficulté de la question.
« La gestion est souvent définie comme la conduite courante d’une organisation pour atteindre des objectifs préalablement fixés ». Elle est aussi perçue comme le moyen de rentabiliser les capitaux engagés et les destiner à produire mieux, davantage et nouveau, ou comme la science de la résolution de problèmes et de la prise de décision; ou encore comme le moyen de superviser toutes les activités de l’organisation afin de permettre le maintien entre elles de l’équilibre nécessaire qui évitera les distorsions sources de graves insuffisances.
Quant à la direction, elle est définie comme la conduite d’une organisation au niveau le plus élevé. Elle s’occupe des options stratégiques à long terme et de la coordination des différents services de l’entreprise.
Pour ce qui est de l’administration ou l’acte d’administrer, nous pouvons avancer que sa signification la plus large implique diriger et gérer.
Diriger c’est:
· fixer des objectifs et prévoir les problèmes;
· tracer les chemins pour aller vers les objectifs avec efficience, c’est-à-dire organiser;
· veiller à ce que ces chemins tracés soient bien suivis et respectés, c’est-à-dire contrôler.
En revanche, gérer c’est:
· rechercher les équilibres multiples entre les différentes ressources (humaines et matérielles) et les activités (production, expansion…) de l’entreprise aussi bien dans le présent que dans l’avenir.
Autrement, c’est coordonner l’action des moyens humains et matériels pour atteindre les buts de l’entreprise.
Diriger est désormais une profession qui a ses méthodes et ses techniques. Sa pratique nécessite une sérieuse préparation et un perfectionnement permanent pour permettre l’adaptation aux évolutions rapides de l’environnement et au progrès humain. Et la gestion touche tous les niveaux. Ce qui fait que dans la pratique, la distinction entre direction et gestion est assez floue et imprécise.
Cette mise au point établie, revenons au terme ou mot « management ». Bien qu’ayant acquis droit de cité dans le langage courant des dirigeants, il n’a pas reçu de définition précise. Même s’il a la racine française «manège» et évoque l’action de faire tourner, c’est un concept américain et correspond à des notions différentes selon celui qui l’emploie.
En effet, il y en a qui emploient les termes d’administration des entreprises ou d’organisation du travail dans le même sens. D’autres utiliseront les termes de direction ou de gestion comme synonymes.
En ce qui concerne le contenu sémantique du mot « management », nous constatons la racine latine «manus» qui veut dire main, et manager, c’est en quelque sorte prendre en main.
Quant au management, c’est l’action de manager et le manageur, c’est celui qui manage. Notons que le terme « manager » fait tomber les barrières implicites que dressent les mots « dirigeant », « cadre », « gestionnaire », etc.
En anglais, ce terme correspond à l’homme qui est chargé du management et s’étend ainsi sur une multitude de nuances qui va du manager de motel ou du boxeur professionnel aux dirigeants d’entreprise.
En effet, si on se reporte à l’anglais courant, on trouve que le verbe « to manage » est employé quotidiennement avec le sens qui est donné en français au verbe « se débrouiller».
Ainsi donc, la définition de « manager » n’est pas exactement « administrer », c’est-à dire diriger et gérer et encore moins exécuter.
Manager comporte une partie essentiellement technique qui couvre les trois fonctions: prévision, organisation et contrôle. Et une autre plus dynamique, basée sur le facteur humain et qui consiste en la motivation, la communication et la décision.

La part de l’humain dans le management

Il arrive que des dirigeants croient que leurs décisions ne dépendent que des facteurs rationnels et négligent ainsi dans leur prise de décision le facteur humain qui est d’une grande importance dans toute organisation.
Ils créent alors l’effet de prisme dû à cette négligence et aux problèmes de communication.
Manager, c’est donc prendre en compte l’humain pour éviter que les subalternes, même si c’est de bonne foi, exécutent A’, quand le dirigeant vise A.

Définitions du management

Définition globale

Dans sa définition la plus globale, manager ce n’est plus faire, mais « faire faire »; c’est le moyen de réaliser par l’intermédiaire d’autrui. C’est donc admettre que plus de la moitié des problèmes du chef, sont d’ordre humain. Selon Mc NAMARA, le management est l’art des arts: celui de diriger des talents.

Définition analytique

D’un point de vue analytique, manager c’est:
· canaliser des ressources humaines et matérielles,
· dans des unités organisées et dynamiques,
· en vue d’atteindre les objectifs de la société,
· en visant la meilleure satisfaction des utilisateurs,
· et en assurant le développement et l’épanouissement des travailleurs.

Définition générale

Le concept de management englober tout ce qui a trait à la conduite de l’entreprise et s’enrichit à mesure que ses composantes se développent.
Bien que substitué à l’expression: « administration des entreprises »,.c’est un concept américain. En parcourant le dictionnaire, on peut lui trouver une variété de définitions qui correspondent aux termes suivants; à savoir: administrer, ordonner, conduire, entraîner, contrôler, diriger, gouverner, guider, influencer, intégrer, faire connaître, enseigner, dire et perfectionner.
La définition généralement adoptée signifie le moyen de réaliser par l’intermédiaire d’autrui.
Ce qui constitue le management, c’est l’application de connaissances à des situations réelles, de façon à atteindre les résultats désirés.
Une équipe du British Institute of Management, animée par E.F.L BRENCH, a mis au point un glossaire où on retrouve les définitions des chercheurs les plus compétents en matière de management. La définition du management est ainsi rédigée:
1- L’art et la science de conduire et d’administrer le travail d’autrui dans le but d’atteindre des objectifs précis.
2- L’art et la science de la prise des décisions.
3- L’intégration par la coordination des facteurs, travail, matière et capital pour obtenir un maximum d’efficience.
4- L’acceptation des responsabilités sociales, d’une préparation économique et d’une régulation de différentes fonctions remplies dans l’entreprise pour l’exécution d’une tâche déterminée. Ceci implique la détermination de plans, l’utilisation efficiente des moyens, puis le contrôle des progrès vers les objectifs et de la conduite des dirigeants et exécutants dans l’exécution de ces opérations.
Cette définition multiforme est en réalité beaucoup plus une liste des buts fondamentaux que se propose le management.
L’Académie Française des Sciences Commerciales a défini le management comme un «art de mettre en oeuvre l’ensemble des techniques de direction, d’organisation et de gestion de l’entreprise ».
Ce mot, ajoute-t-elle, « sous-entend dans son acceptation habituelle un état d’esprit dynamique orienté vers le progrès ».
Le « Larousse », le définit comme une technique de direction et de gestion de l’entreprise.
Le management de l’entreprise n’est plus la simple administration des hommes, n’est plus seulement ‘’la gestion’’ mais l’ensemble des actions et des dispositifs qui ont un rôle de dynamisation.
De toutes ces définitions, émerge le dilemme qui existe entre le management: est-il un art ou une science? Sachant qu’un art nécessite du talent; une technique uniquement du travail et un apprentissage.
On dit que pratiquer le management est comme l’exercice de toute autre profession.
En quelque sorte, diriger consiste à atteindre des objectifs visés en utilisant le travail ou la collaboration d’autres personnes. Cela nécessite certaines qualités humaines et morales et des talents de meneur d’hommes qui n’ont rien à voir avec l’intelligence: autorité naturelle, charisme, capacité de jugement, courage, générosité, tolérance, etc.
En ce sens, le management est un art.
Ces aptitudes à commander sont nécessaires; elles sont toutefois bien insuffisantes à elles seules pour diriger une organisation ou une entreprise.
Diriger, c’est aussi faire appel aux techniques de gestion et aux connaissances qui sont à sa base et qui constituent donc une science.
Un dirigeant qui tenterait de gérer sans faire appel à la science se verrait obligé de s’en remettre soit à la chance, à l’intuition ou à son expérience passée s’il en possède. S’il veut donc éviter d’apprendre par tâtonnements, il devra recourir aux connaissances organisées de la science.
Ceci ne signifie pas non plus que le dirigeant doive devenir l’esclave de la science et ses théories. Toutes les techniques et théories sont non profitables à la firme si le manager ne possède pas un minimum des talents préconisés.
Ainsi, le management comme profession est un art, mais les connaissances sur lesquelles il s’appuie sont d’ordre scientifique. Art et science ne sont donc pas mutuellement exclusifs: ils se complètent.

Le processus managérial

Bien que le management concerne le fonctionnement des organisations; son champ d’application, sa matière première et sa préoccupation permanente, ce sont les comportements humains.
Comme il a été dit, le management n’est pas seulement d’ordre technique, mais aussi d’ordre sociotechnique; c’est-à-dire qu’il fait intervenir l’humain avec tout ce qu’il implique de comportement, de styles, de façon de voir les choses.
Le fond technique englobe les trois fonctions: prévoir, organiser et contrôler.
Une bonne prévision détermine l’organisation et permet de contrôler à priori si on est sur le bon chemin. Les contrôles à posteriori, eux, mesurent l’écart entre la prévision et la réalisation et permettent de rectifier le tir soit en changeant les prévisions, soit en changeant l’organisation.
Quant à la dynamique de l’humain, elle comporte les fonctions de: décider, motiver, communiquer. Ces éléments sont placés dans le schéma, en « satellites » car ils interviennent à tous les niveaux du fond technique.

LEADERSHIP

L’aptitude et l’habilité à diriger de manière efficace constituent les attributs les plus importants chez un bon gestionnaire.
Afin de réaliser les objectifs escomptés, les managers doivent combiner les ressources humaines et les ressources matérielles.
En accomplissant leurs tâches ordinaires à savoir: planifier, coordonner, contrôler, doter en personnel; les managers obtiendront certains résultats. Toutefois, ces résultats seraient en deçà de ce qu’ils pourraient être si les managers y ajoutaient un plus qui n’est autre qu’un leadership efficace.
Depuis toujours le leadership a bénéficié d’une place spéciale chez les chercheurs.
Le leadership est synonyme d’influence; ROBBINS23 le définit comme la ‘’capacité d’influence sur un groupe pour atteindre des objectifs’’. C’est l’art ou le processus qui consiste à influencer les personnes de sorte à ce qu’elles collaborent avec enthousiasme et volontairement à la réalisation des buts collectifs.
Leadership consiste à comprendre et à élaborer des moyens d’éveiller la motivation humaine.
Les directeurs efficaces sont bien souvent des leaders.

DEFINITIONS DU LEADERSHIP

Dwight D. EISENHOWER a dit ‘’le leadership est la capacité d’amener un homme à faire ce que vous voulez qu’il fasse, quand vous voulez qu’il le fasse, parce qu’il veut le faire‘’.
Le leadership est perçu comme l’art d’influencer les personnes de sorte à ce qu’elles consacrent, volontairement, tous leurs efforts à la réalisation d’un objectif commun en utilisant le maximum de leurs capacités.
Plusieurs conceptions ont conçu le leadership comme :
– HEMPHIL conçoit le leadership comme étant: «des activités et des efficiences d’où découleraient des types coordonnés par l’interférence du groupe vers la résolution de problèmes divers»
– STOGDILL le conçoit comme le processus qui influence les activités d’un groupe structuré afin de lui permettre de réaliser les objectifs escomptés ou un but collectif.
RICHARD & AL. le conçoivent comme le processus d’influence et d’efficacité des attributs personnels du meneur sur subalternes, selon les événements qu’ils croisent.
Quant à HITT & AL.; ils conçoivent le leadership comme le processus consistant à influencer le comportement des autres, personnes seules ou groupe d’individus, en vue de la réalisation des buts visés.

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Table des matières

INTRODUCTION GENERALE
PREMIERE PARTIE: PME
I- DEFINITIONS ET DIVERGENCES
1-LES APPROCHES QUANTITATIVES
2-LES APPROCHES QUALITATIVES
3- DIVERSITE DES DEFINITIONS
4-APPROCHE GLOBALE
II-UTILITE DES PME ET LEURS CARACTERISTIQUES
1- AVANTAGES ET FAIBLESSES DES PME
a)- Avantages de la P.M.E.
b) Limites et insuffisances des P.M.E
2- DES ENTREPRISES CREATRICES D’EMPLOIS
a) P.M.E. et insertion des publics en difficulté
b) P.M.E. et croissance de l’emploi
3- DES ENTREPRISES FLEXIBLES ET INTERACTIVES
III- PROGRAMME ALGERIEN EN FAVEUR DES PME
1-QUELQUES REPERES HISTORIQUES DE LA PME EN ALGERIE
2-ACTIONS EN FAVEUR DE LA PME EN ALGERIE
a- les principaux axes d’interventions dans le tissu de la PME pour sa
sauvegarde et le relance de son développement
b- actions liées à l’amélioration des conditions d’approvisionnement et de
fonctionnement des PME
c- la relance de l’investissement
3-LES CARACTERISTIQUES GENERALES DE LA PME ALGERIENNE
4-LE DEVELOPPEMENT DE LA PME EN ALGERIE: LES ACTIONS EN COURS
4-1 programme euro-développement pme (EDPME)
DEUXIEME PARTIE
CHAPITRE I Le Management
I-MANAGEMENT
1- La nature du management
2- La part de l’humain dans le Management
3- Définitions du Management
4- le processus managérial
II- LEADERSHIP
1- Definitions du leadership
2- Les éléments de leadership
3- Leadership: théorie et recherche
4- Les styles de leadership
CHAPITRE II:Le Manager entrepreneur
Section I: LE MANAGER, L’ENTREPRENEUR
1- L’ENTREPRENEUR DANS LA PENSEE ECONOMIQUE
1-1 L’entrepreneur chez SAY et CANTILLON
1-2 L’entrepreneur chez les néoclassiques
2-LES THEORIES ECONOMIQUES DE L’ENTREPRENEUR
3- QU’EST CE QUE C’EST QUE D’ETRE UN DIRIGEANT?
4- LES FONCTIONS GENERALES D’UN DIRIGEANT
1- le travail du cadre à travers huits écoles de pensées
2- les rôles professionnels du cadre
section II: LES DIFFERENTS TYPES D’ENTREPRENEURS
I- TYPES D’ENTREPRENEURS SELON LES CONDITIONS DE LA CREATION DE
L’ENTREPRISE
II- TYPOLOGIE SELON LE PROFIL DU DIRIGEANT
III- TYPOLOGIE SELON LES CONDITIONS DE L’INNOVATION
IV- TYPOLOGIE SELON LA LOGIQUE D’ACTION
V- LA TYPOLOGIE CROISSANCE- AUTONOMIE
VI- AUTRES TYPOLOGIES D’ENTREPRENEURS
VII- TYPOLOGIE SELON LES MOTIVATIONS DE L’ENTREPRENEUR
a- typologie de LAUFER
b- typologie de ETTINGER
CHAPITRE III:TRAITS DE PERSONNALITE 
I- L’INFLUENCE DE LA PERSONNALITE DES DIRIGEANTS SUR LEUR ENTREPRISE
II- CARACTERISTIQUES ET TRAITS PERSONNELS DES DIRIGEANTS
III- TRAITS DE PERSONNALITE DOMINANTS
a- le narcissique
b- le paranoïaque
c- la personnalité obsessionnelle
d- la personnalité hystérique
e- la personnalité solitaire
f- autres personnalités -les types A et B
IV-LES TEMPERAMENTS
CHAPITREIV:LA FORMATION
I-FORMATION ET PERFECTIONNEMENT DES CADRES
1-Le perfectionnement des cadres
2-Méthodes et techniques de formation et de perfectionnement des cadres dirigeants
a-Plan de carrière
b-Alternance et rotation des affectations
c-Postes d’adjoint
d-Promotions temporaires
e-Le «coaching»
f-Le parrainage
3-quelques types de programmes de formation
a- les conférences
b- les formations des universités
c- les formations à la carte
4- les bases de réussite de la formation
II-LES APPROCHES BEHAVIORISTES DE FORMATION DES CADRES
1- les groupes de formation
2- le développement organisationnel
3- la modification du comportement organisationnel
III-QUELLE FORMATION CHOISIR
CHAPITRE V:LA MOTIVATION
1-Définition la motivation
2-Motivation et satisfaction
3-Les facteurs de motivation
4-Les théories de la motivation
4-1- La théorie de la carotte et du bâton
4-2- Les théories « X » et « Y » de Mc GREGOR
4-3- La théorie « Z »
4-4- La hiéarchie des besoins
4-5- La théorie des deux facteurs
4-6- La théorie du résultats éscomptés
4-7-la théorie du besoin d’accomplissement
5- La motivation des dirigeants
CHAPITRE VI:L’INNOVATION
I- DEFINITIONS
II- LES DIFFERENTS TYPES D’INNOVATIONS
1- L’innovation relative
2- L’innovation maximum
3- L’inovation selon le genre
4- L’innovation selon le rythme
III- LE MECANISME DE L’INNOVATION
IV- COMPETENCES REQUISES POUR INNOVER
V- LE PROFIL TYPE DE L’INNOVATEUR
1- un tempérament entrepreneur
2- Les compétences techniques
3-ouverture sur l’extérieur et largeur d’esprit
4- esprit « divergent » et originalité
CHAPITRE VII:LA PRISE DE RISQUE
I-INCERTITUDE ET RISQUE
II- LES DIFFERENTS RISQUES
1- Les risques stratégiques
2- Les risques opérationnels
III- L’ATTITUDE A L’EGARD DU RISQUE
1- L’analyse de la préférence individuelle
2- La propension à prendre des risques
3- La version au risque
TROISIEME PARTIE
LE MANAGER PUBLIC ALGERIEN
I-APERCU METHODOLOGIQUE
II-RESULTATS ET IMPLICATIONS DU QUESTIONNAIRE
III- TRAITEMENT ET ANALYSE DES RESULTATS DU QUESTIONNAIRE
IV- COMPARAISON ENTRE LE DIRIGEANT DE L’ENTREPRISE PUBLIQUE ET PRIVEE
CONCLUSION GENERALE
ANNEXE

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