MODELE DE CHANGEMENT DE COMPORTEMENT
C’est le fondement théorique de toute intervention. Il se trouve, dans le modèle PERForM, au niveau « résultats » et explique pourquoi une intervention donnée résulte en tel ou tel changement souhaité de comportement.Le modèle du changement de comportement synthétise les facilitateurs et inhibiteurs du changement de comportement, qui sont les « déterminants de comportement » (Les « Bulles » dans le jargon de PSI)ils se jouent en trois catégories.
1- Opportunité : Ce sont les facteurs institutionnels ou structurels qui influencent la probabilité d’un individu à adopter un comportement promu. Ces facteurs sont hors du contrôle d’un individu et peuvent être mesuré de manière objective et subjective. Ces « bulles » sont :
‐ La disponibilité : présence du produit ou du service promu dans un endroit prédéfini
‐ Les normes sociales : standard perçu de comportement accepté comme pratique usuelle au sein d’une communauté.
‐ L’attrait de la marque :mesure dans laquelle la marque (nom, design, slogan) se détache de ses concurrents.
‐ Les attributs de la marque : mesure avec laquelle les composants physiques d’une marque sont faciles à utiliser.
‐ La qualité du soin : mesure selon laquelle le service promu est perçu de haute qualité.
2- Capacité : Ce sont les compétences ou les capacités dont un individu a besoin pour pratiquer un comportement encouragé. Elles sont contrôlables par l’individu, se démontrent de manière tangible par l’action et sont observables de l’extérieur.
‐ Les connaissances : informations accumulées à travers l’apprentissage.
‐ L’auto-efficacité : perception qu’un individu a de sa capacité à réaliser efficacement un comportement promu, comme celle de négocier des rapports sexuels mieux protégés.
‐ Le soutien social :assistance qu’un individu donne ou reçoit. Il peut se diviser en trois types :
• Émotionnel : soutien par lequel un individu se sent aimé et soutenu
• Matériel :soutien donné ou reçu à travers une aide tangible
• Informatif : soutien donné ou reçu à travers de l’information
3- Motivation : C’est le désir d’un individu d’adopter un comportement promu, désir qui est entièrement sous son contrôle. Il n’est pas démontrable et ne peut être mesuré que de manière subjective. La motivation se traduit par :
‐ L’origine du point de contrôle : origine du contrôle de la vie d’un individu. Cette origine du contrôle peut être externe ou interne.
‐ Les attitudes : évaluation ou appréciation d’un comportement promu.
‐ Les croyances : perception, vraie ou fausse, du comportement promu [27]
‐ Les intentions :disposition d’un individu à réaliser un comportement promu dans le futur.
‐ Les résultats attendus :croyance qu’un produit, un service ou un comportement est efficace s’il atteint son objectif.
‐ Les normes subjectives : pression perçue pour satisfaire ce qu’un individu croit que d’autres membres du groupe social croient à propos du comportement promu.
‐ La menace : perception de la sévérité d’un problème pouvant porter atteinte à un individu (comprend le degré des méfaits physiques, psychologiques ou économiques). La menace comprend deux aspects :
• Gravité : gravité perçue d’un problème de santé publique
• Vulnérabilité : degré perçu de vulnérabilité à un problème de santé publique par un individu
‐ La volonté de payer : théoriquement estimé en argent qu’un individu serait prêt à payer pour un service ou un produit promu.
Mariage traditionnel
Pour les malgaches, il y a mariage à partir du moment où les rites traditionnels sont accomplis :
‐ Présentation de la femme à la famille de l’homme. Lors de cette présentation, on devrait énumérer les noms et provenances des ancêtres des deux familles.
‐ Un long discours s’ensuit à propos des devoirs et obligations des époux ; l’une et des deux familles avec les divers conseils sur le mariage même.
‐ Pour aboutir au « Vodiondry » donné par la famille du jeune homme (ou à la donation de zébu dans d’autres régions de l’île).
‐ À la fin, il y aura le « Tso-drano » de l’aïeul de chaque famille (du jeune homme et de la femme)
A partir de ce moment-là, la femme est désormais intégrée dans la famille de son mari. La venue d’un enfant renforce cette intégration, surtout si le premier enfant est un garçon. Dans le temps, si elle n’avait pas d’enfant au bout d’un certain temps, elle était renvoyée chez ses parents. Dans la société Sakalava, à 12ans, on construit une case pour les filles dans laquelle elle fait entrer son partenaire, pour vérifier si la fille est capable d’avoir des enfants. Tandis que la société Antemoro, c’est le cas contraire, la jeune fille devrait arrivervierge au mariage. Dans les sociétés Tsimihety et Sakalava, le mariage n’est pas un contrat définitif. On peut se remarier, avoir d’autres enfants, la famille s’élargit. Tout ceci donc pour dire que le mariage traditionnel est légitime pour la société traditionnelle malgache, et pour la famille en général, à partir du moment où le « vodiondry » ou la donation de zébus est accompli, avec consentement des parents.(RAVAOMALALA,A.H, 2011).
3- Mariage civil : Actuellement surtout dans les milieux urbains, la société et la famille sont plutôt réticentes à la cohabitation d’un couple marié selon les traditions. La famille arrive toujours à persuader directement ou indirectement le couple (par la suite) à contracter un mariage civil. Le mariage civil est donc le mariage légitime de la société moderne. La cérémonie se passe à la mairie devant le maire, l’officier d’état civil, en présence de tous les parents et amis… Le secrétaire du maire lit les copies d’état civil appartenant aux deux jeunes gens ; déclare qu’ils se sont choisis librement pour mari et femme avec le consentement des parents ; déclare quel est le régime des biens communs, séparation des biens ou le « kitayteloandalana »… convenu d’avance ; demande si quelqu’un dans la salle ne trouve aucune objection au mariage… [33] Le maire donne ensuite quelques conseils sur le mariage, sur la famille qu’ils vont fonder, sur l’importance de cette famille pour la nation. Les deux jeunes gens passent à la signature du registre d’état civil si aucune objection n’intervient. Deux témoins venant des deux mariées signent également. Le maire donne le « livret de famille » où seront inscrits tous les renseignements sur l’état civil de leurs futurs enfants. Les deux jeunes gens sont appelés désormais « mari et femme ». Ils sont mariés légitimement et officiellement.
Naissance du premier enfant, motivation et choix de la taille de la famille
Pour les jeunes, la procréation est comme un jeu. Or, la maternité et la paternité ne le sont pas. Les enfants ne sont pas non plus des objets d’obligation même si leur naissance est très émouvante et apporte beaucoup de joie et de fierté. En tant qu’individu, ces enfants ont droits à des soins, à des supports pour leur épanouissement complet. Ce qui exige d’ailleurs la pleine responsabilité des parents. Cependant, ces jeunes grandissent et vivent souvent avec de fausses idées, de préjugés et de superstitions en ce qui concerne la maternité et la paternité :
‐ Croire que les enfants constituent une assurance vieillesse (valim-babena).
‐ Penser que les enfants constituent des bras pour les travaux domestiques et les travaux de champs
‐ Croire que les enfants sont sources de richesses, de fierté, de prestige.
‐ Estimer que la vie sans enfants (stérilité) n’a pas de sens et est considéré comme un châtiment ou comportement antisocial.
En fait, les enfants ont besoin de soins, d’appui, de développement de la part des parents qui doivent leur consacrer du temps. Bref, ils ont besoin de parents responsables pour assurer leur autonomie progressive et leur avenir. Avoir des enfants n’est pas seulement un « droit » qui va de soi, c’est également une lourde responsabilité. Avoir des enfants est une « obligation sociale » qui exige une obligation majeure de prendre soin de ceux à qui on donne la vie. Le fait de négliger les enfants devient un problème préoccupant dans de nombreux pays et aussi à Madagascar.
‐ Avoir un enfant signifie devoir assumer un engagement très sérieux ;
‐ Un couple qui décide d’avoir un enfant devrait avoir un âge et des conditions matérielles et émotionnelles suffisants ;
‐ Plus le couple est disposé à établir un dialogue et à prendre des décisions ensemble, plus il favorise un climat de bonne entente de sa famille ;
‐ Le couple peut et devrait décider ensemble combien d’enfants il veut avoir.
Aussi, le concept taille de famille varie avec le temps, les valeurs inculquées pendant l’enfance et la situation dans laquelle se trouve le couple au moment où il prend la décision de procréer. La taille de la famille peut être présentée comme nécessitant aussi une décision et un choix qu’il faudra prendre en considération des besoins matériels et affectifs dont a besoin chaque membre de la famille. Bref, les comportements procréateurs responsables demandent des comportements et attitudes de respect, de conscience et de responsabilité que les parents doivent acquérir.
SANTE DE LA MERE
1- Soins prénatals : Le suivi des femmes enceintes au cours des consultations prénatales permet de prévenir les risques et les complications lors de l’accouchement. Pour être efficace, les soins prénatals doivent être effectués à un stade précoce de la grossesse et surtout, ils doivent se poursuivre avec une certaine régularité jusqu’à l’accouchement. L’organisation Mondiale de la Santé (OMS) recommande, au moins, quatre visites prénatales, à intervalles réguliers tout au long de la grossesse. (OMS,2004).
2- Vaccination anti tétanique : La vaccination antitétanique pendant la grossesse fait partie des interventions essentielles, recommandées par les programmes de santé maternelle et infantile, afin d’améliorer les chances de survie des femmes et de leurs nouveau-nés. Le tétanos néonatal est une cause importante de décès des nouveau-nés dans la plupart des pays en développement. Ses facteurs de risques sont connus : il s’agit entre autres, de l’accouchement à domicile dans un environnement insalubre et de l’utilisation d’instruments non appropriés et/ou non désinfectés pour couper le cordon ombilical. Le tétanos néonatal survient généralement dans la première ou deuxième semaine après la naissance et il est fatal dans 70 à 90 % des cas. C’est cependant une maladie évitable. On considère qu’un enfant est complètement protégé si la mère a reçu deux injections de vaccin antitétanique au cours de la grossesse de sa dernière naissance ou au moins deux injections, la dernière ayant été effectuée au cours des trois années ayant précédé la dernière naissance, ou, au moins, trois injections, la dernière ayant été effectuée au cours des cinq années ayant précédé la dernière naissance, ou, au moins, quatre injections, la dernière ayant été effectuée au cours des dix années ayant précédé la dernière naissance, ou, au moins, cinq injections avant la dernière naissance. [53]
3- Soins postnatals : Une proportion importante de décès maternels et de décès de nouveau-nés qui surviennent dans la période néonatale se produisent dans les 48 heures qui suivent l’accouchement. Pour cette raison, il est recommandé que toutes les femmes effectuent une visite postnatale dans les deux jours qui suivent l’accouchement.
Suggestions pour l’appellation de la contraception d’urgence en malgache
‐ « Avotr’Aizana » : ce nom évoque le recours à la pilule pour prévenir la GND
‐ « Fiaromalaky » : ce nom exprime que la pilule est une méthode rapide pour prévenir la GND
‐ « Izaymaikatsymanahy » : cette expression signifie que le fait de se précipiter à faire le rapport sexuel peut être protégé par l’utilisation de la pilule d’urgence pour prévenir la GND
‐ « Fanabeazanaaizanavonjymaika » : la contraception d’urgence est un planning familial d’urgence
‐ « Vonjytaitra » : la signification est d’urgence
‐ « Fintandremana tsy ho bevohoka » : cette expression signifie que le produit est destiné à protéger contre la GND
‐ « Manalasarotra » : Ce nom signifie que la prise de pilule d’urgence empêche les difficultés
‐ « Fanadiovanatsyhipetraka » : l’expression exprime l’idée de curetage de l’utérus contre la GND
‐ « Fanalazaza » : cette expression évoque l’idée d’avortement
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Table des matières
PREMIERE PARTIE : MONOGRAPHIE DE TERRAIN ET APPROCHE THEORIQUE
INTRODUCTION GENERALE
CHAPITRE I : GENERALITE SUR PSI
SECTION 1: DEFINITIONS ET OBJECTIFS
I- CE QUE PSI REPRESENTE
1- Approche
2- Missions
2.1- Les idéaux de PSI
II- PSI MADAGASCAR PLAN STRATEGIQUE 2010-2014
1- Vision
2- Valeurs
2.1- Excellence
2.2- Intégrité
2.3- Engagement à long terme
2.4- Partenariat
2.5- Épanouissement
3- Stratégiques pour les 5ans avenir
3.1- Accroitre l’impact sur la santé de la population malagasy
a- Objectif 1 : Extension de la couverture des interventions
b- Objectif 2 : Renforcement de l’intégration des interventions
c- Objectif 3 : Diversification des interventions sur la base des besoins clés du pays
3.2- Améliorer la visibilité financière
a- Objectif 1 : Mobilisation des bailleurs de fonds pour accroitre et diversifier les financements
b- Objectif 2 : Amélioration du système de gestion financière
c- Objectif 3 : Maintien des efforts en vue d’améliorer le ratio coût/efficacité des interventions
3.3- Renforcement de la capacité organisationnelle
a- Object Objectif 1 : Amélioration des systèmes de gestion administrative
b- Objectif 2 : Renforcement des capacités internes et des partenaires
c- Objectif 3 : Maintien d’un environnement de travail motivant
III- OBJECTIF COMMUN
IV- UNE AMBASSADRICE DE PSI
V- SIEGE SOCIAL
CHAPITRE II : APPROCHE DE LA COMMUNICATION
SECTION 1 : FONCTIONNEMENT DE LA COMMUNICATION
I- COMMUNICATION INSTITUTIONNELLE
II- DEFINITION
III- TISSER DES LIENS DE PROXIMITE AVEC LE CITOYEN
1- Salons et foires
2- Commentaires rédactionnels complaisants
3- Partenariat d’organismes publics ou privés
1- Relations publiques évènementielles
2- Incarner les marques dans les lieux publics
3- Magazines de consommateurs
4- Parrainage
IV- ELABORATION D’UNE STRATEGIE DE COMMUNICATION
1- Les composantes d’un plan de communication
2- Les différentes étapes de la stratégie de communication
SECTION 2 : EXEMPLE DE COMMUNICATIONS APPLICABLES
I- INFORMATION, EDUCATION, COMMUNICATION (IEC)
1- Définition
2- Objectifs
3- Public
4- Résultats attendus
II- METHODE DE CONCEPTION D’UNE STRATEGIE
III- COMMUNICATION POUR LE CHANGEMENT DE COMPORTEMENT (CCC)
1- Catégories d’éléments du changement de comportement
2- Étapes de changement de comportement
3- Déroulement de la communication
4- Conditions du fonctionnement de la communication
4.1- Caractéristiques des éléments contribuant à la réussite du processus de communication
4.2- Obstacles à la communication
a- Transmettre de message
b- Message
c- Moyen
d- Destinataire
IV- COMMUNICATION INTERPERSONNELLE
1- Émetteur
2- Message
3- Récepteur
4- Émetteur et récepteur
V- PUBLICITE
1- Communication média
1.1- Avantages
1.2- Inconvénients
2- Objectifs publicitaires
3- Objectifs commerciaux
4- Missions
5- Cibles
6- Moyens et supports utilisés
6.1- Individuel
6.2- En groupe
6.3- Par les médias
DEUXIEME PARTIE : RESULTAT ET ANALYSE
CHAPITRE III : FONCTIONNEMENT DU MARKETING SOCIAL AU SEIN DE PSI MADAGASCAR
SECTION 1 : MARKETING SOCIAL
I- DEFINITION
II- CARACTERISTIQUES
III- ELABORATION D’UN PLAN MARKETING
1- Création du plan projet
2- Procéder à une première analyse de segmentation
3- Concevoir un plan marketing
4- Mettre en œuvre et suivre le plan marketing
5- Évaluer la mise en œuvre du plan marketing
IV- STRATEGIES MARKETING
1- Produits
2- Place
3- Prix
4- Promotion
V- PARTIE D’UN PLAN MARKETING
SECTION 2 : METHODE POUR LE MARKETING SOCIAL
I- LES PRATICIENS DU MARKETING
II- LES TYPOLOGIES DE CONSEIL STRATEGIQUE
1- Les gros cabinets internationaux de conseil en stratégie
2- Les boutiques, cabinets très spécialisés dans la stratégie dite pure
3- Les généralistes, grandes sociétés de conseil ou audit
4- Les challengers, cabinets dont les activités stratégiques ne sont pas encore assez reconnues
III- FONCTIONS D’UN PLAN MARKETING
IV- LOGIQUE DES PLANS MARKETING
1- Niveau but
2- Niveau objectif
3- Niveau résultats
4- Niveau activités
V- MODELE DE CHANGEMENT DE COMPORTEMENT
1- Opportunité
2- Capacité
3- Motivation
CHAPITRE V : DOMAINE D’ACTIVITE DE PSI MADAGASCAR
SECTION 1 : STRATEGIE DE MARKETING SOCIAL EN SANTE DE LA REPRODUCTION SELON PSI à MADAGASCAR
I- SANTE DE LA REPRODUCTION
1- Définition
2- Cible
3- Domaine d’application
4- Importance de la santé
5- Problèmes de la santé de la reproduction
II- PRINCIPALES ACTIVITES EN SANTE DE LA REPRODUCTION (SR)
1- Fonction préventive
2- Fonction curative
3- Fonction de formation
4- Fonction de promotion
5- Fonction de gestion
SECTION 2 : SATISFACTION DES BESOINS ESSENTIELS
I- CAUSES ET CONSEQUENCES DU MARIAGE PRECOCE
1- Age idéal pour le mariage
II- BASES MATERIELLES ET AFFECTIVES POUR CONSTRUIRE UNE FAMILLE
1- Définition
2- Mariage traditionnel
3- Mariage civil
III- COMPORTEMENTS PROCRATURES RESPONSABLES
1- Naissance du premier enfant, motivation et choix de la taille de la famille
2- Rôles et fonctions de la famille
2.1- Fonction de reproduction
2.2- Fonction économique
2.3- Fonction de protection et de sécurité
2.4- Fonction de socialisation
IV- RELATIONS ENTRE LES MEMBRES DE LA FAMILLE
1- Définition de la famille
2- Types de famille
2.1- Relations de type horizontal
2.1- Relations de type vertical
3- Conditions pour des relations familiales harmonieuses
SECTION 3 : PLANNING FAMILIAL
I- PRESENTATION GLOBALE
1- Définition de la planification familiale
2- Définition de la contraception
3- Méthodes contraceptives
3.1- Méthodes modernes
3.1- Méthodes Traditionnelles
4- Avantages de la planification
4.1- But
4.1- Avantages
4.1- Opportunités d’information sur la planification
II- MARKETING SOCIAL EN MATIERE DE PLANNING FAMILIAL (PF)
1- Produits distribués dans les officines par PSI en matière de PF
1.1- Pilplan
a- Présentation du produit
b- Mode d’emploi
c- Indication
d- Avantages
e- Effets non souhaités
f- Contre-indications
g- Suivi
h- Interactions médicamenteuses
i- Précautions d’emploi
1.2- Confiance
a- Présentation du produit
b- Mode d’emploi
c- Indication
d- Avantages
e- Contre-indications
f- Effets non souhaités
g- Suivi
1.3- Dispositif Intra-utérin (DIU)
a- Présentation du produit
b- Indication
c- Insertion
d- Mode d’utilisation
e- Mécanique d’action
f- Efficacité
g- Effets secondaires
h- Complications rares
i- Mises en garde
j- Vérification de l’emplacement
k- Précautions
l- Contre-indications
1.4- ROJO
a- Présentation du produit
b- Composition
c- Indication
d- Mode d’emploi
2- Place
3- Prix
4- Promotion
SECTION 4 : MATERNITE SANS RISQUE POUR LES JEUNES MERES
I- GROSSESSE
1- Risque de grossesse
2- Grossesses précoces
3- Avortement
II- SANTE DE LA MERE
1- Soins prénatals
2- Vaccination anti tétanique
3- Soins postnatals
III- SANTE DE L’ENFANT
1- Enfants complètements vaccinés
2- Maladies des enfants
SECTION 5 : VIH/SIDA
1- Produits
1.1- Protector plus
a‐ Présentation du produit
b‐ Mode d’emploi
1.2- Feeling
a- Présentation du produit
b- Mode d’emploi
1.3- Lubrifiant
2- Prix
3- Place
4- Promotion
SECTION 6 : PREVENTION ET TRAITEMENT DU VIH
I- TRAITEMENT DES INFECTIONS SEXUELLEMENT TRANSMISSIBLE (IST)
1- Connaissance des signes et symptômes d’IST
II- SERVICE DU VIH
1- Counseling et dépistage du VIH
2- PF/VIH Intégration
3- Prévention de la transmission Mère à l’enfant
4- Lutte contre le SIDA
5- Connaissance des moyens de prévention du VIH
6- Stigmatisation envers les personnes vivant avec le VIH
7- 0pinions sur la prévention des IST/SIDA
7.1- Négociation de rapports sexuels protégés avec le conjoint
7.2- Enseignement de l’utilisation du préservatif aux jeunes de 12 à 14ans
SECTION 7: CONSEILS
1- Des symptômes à ne pas négliger
2- Attention aux partenaires
CHAPITRE V : ESSAI D’ANALYSES
SECTION 1 : ESSAI D’ANALYSE SUR LA SANTE DE LA REPRODUCTION
I- INFORMATIONS RELATIVES AUX MÉTHODES CONTRACEPTIVES
1- Raisons de non utilisation de la contraception
2- Femme ayant déjà utilisée la méthode contraceptive
II- LIEUX D’ACCOUCHEMENTS
1- Accouchement
1.1- Lieux d’accouchements
1.2- Assistance à l’accouchements
III- CONNAISSANCE DES SIGNES ET SYMPTOMES D’IST
TROISIEME PARTIE : APPROCHES PROSPECTIVES
CHAPITRE VI : PROJET DE PSI MADAGASCAR
I- ETUDE FORMATIVE SUR LA CONTRACEPTION D’URGENCE
1- Justification de l’étude
2- But de la recherche
3- Objectif généraux
4- Objectifs spécifiques
4.1- Auprès des cibles
4.2- Auprès des prestataires
4.3- Auprès des pharmacies
5- Groupe cible de l’étude
II- SUGGESTIONS
1- Suggestions pour l’appellation de la contraception d’urgence en malgache
2- Recommandations des chercheurs
3- Recommandations du stagiaire
CHAPITRE VII : REFLEXIONS PROSPECTIVES
I- PROPOSTION DE SUGGESTIONS
1- Suggestions en marketing social
1.1- Produit
1.2- Prix
1.3- Place
1.4- Promotion
2- Collaboration avec les partenaires
2.1- Cibles
2.2- ONG, civile et Etat
2.3- Financement
2.4- Formations
2.5- Etablissement médical
II- ACQUISITIONS PROFESSIONNELLES
1- Développement personnel
2- Habitudes pour réussir une action
3- Comportement face aux autres collègues
CONCLUSION GENERALE
BIBLIOGRAPHIE
ANNEXES
RESUME
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