LE MANAGEMENT STRATEGIQUE DES CONNAISSANCES
LE MANAGEMENT DES CONNAISSANCES : ETAT DES LIEUX
La connaissance est le plus important concept du management รฉmergรฉ dรจs les trente derniรจres annรฉes. Elle est considรฉrรฉe comme un actif primordial de lโorganisation car aujourdโhui la ressource la plus importante pour lโorganisation nโest plus la terre, ni le travail ni le capital, cโest la connaissance. Beaucoup de chercheurs la considรฉrรฉe comme la seule source de lโavantage compรฉtitif. Par consรฉquent, la pรฉrennitรฉ de lโorganisation dans un environnement complexe et versatile dรฉpend de sa facultรฉ ร gรฉrer de maniรจre efficace son capital de connaissances. Le management des connaissances considรจre la connaissance comme un patrimoine de lโorganisation et quโร ce titre elle doit รชtre gรฉrรฉe parce que les organisations ont besoins de ยซ savent ce quโils savent ยป. Il est dรฉfini comme le processus de crรฉation, de stockage, de partage, dโutilisation et dโรฉvaluation des connaissances dans le but dโamรฉliorer la performance de lโorganisation. Dans ce chapitre, nous avons consacrรฉ la premiรจre section aux grandes thรฉories managรฉriales et รฉconomiques qui ont traitรฉ directement ou indirectement la notion de la connaissance. Et pour la deuxiรจme section, nous avons dรฉfini la connaissance et les notions qui ont une relation avec elle, ainsi nous avons dรฉcrit ses types et ses caractรฉristiques. Et enfin, dans la troisiรจme section, nous avons traitรฉ le concept du management des connaissances, ses dรฉfinitions, ses principes, ses approches, ses stratรฉgies et ses processus.
La thรฉorie รฉvolutionniste : La thรฉorie รฉvolutionniste est dรฉveloppรฉe par Richard N. Nelson et Sidney. G. Winter dans leur ouvrage ยซ An evolutionary Theory of economic change ยป en 1982. Ce courant de recherche sโinspire des travaux de C. Darwin sur la thรฉorie de lโรฉvolution des espรจces (Marรฉchal, 1999, p 197), et dโun cotรฉ รฉconomique il sโinspire des travaux de Joseph Schumpeter et sa thรฉorie de lโรฉvolution รฉconomique (1926) et Herbert. A. Simon. Lโรฉcole รฉvolutionniste part dโun principe que le moteur de lโentreprise nโest pas constituรฉ par le profit mais sa volontรฉ de survie (comportement de satisfacing et non maxmising) (Plane, 2003, p 153).
D. J. Teece considรจre lโentreprise comme ยซ un ensemble de compรฉtences technologiques diffรฉrenciรฉes, dโactifs complรฉmentaires et des routines qui constituent la base des capacitรฉs concurrentielles dโune entreprise dans une activitรฉ particuliรจre ยป. Ce sont les compรฉtences fonciรจres, celle-ci acquises par lโentreprise sont fondรฉes sur des routines, des apprentissages qui rรฉsultent plus de savoirs organisationnels. Ces routines sont tacites et donc non transfรฉrables (Filleau et Marques-Ripoull, 1999, p 144). Elles conduiront les entreprises ร des performances diffรฉrentes. Elles sont le fruit dโun processus dโapprentissage. Cet apprentissage est dรฉfini comme ยซ un processus par lequel la rรฉpรฉtition et lโexpรฉrimentation font que des tรขches sont mieux et plus vite et que de nouvelles opportunitรฉs de production sont identifiรฉes ยป. Il est cumulatif ; ce qui appris dans une pรฉriode sโappuis sur ce qui a รฉtรฉ appris au cours des pรฉriodes antรฉrieures, et global ; nรฉcessite des compรฉtences organisationnelles plus quโindividuelles. Les connaissances engendrรฉes par lโapprentissage sโincarnent dans des routines organisationnelles dรฉfinies comme ยซ des modรจles dโinteractions qui constituent des solutions efficaces ร des problรจmes particuliers ยป.
Les routines, les compรฉtences et lโapprentissage permettent dโรฉlucider la formulation de Winter ยซ les processus par lesquels la connaissance est prรฉservรฉe dans une organisation alors que les individus viennent et partent ยป (Marรฉchal, 1999, p 200-201). La thรฉorie รฉvolutionniste de la firme traite lโincertitude structurelle, elle intรจgre les phรฉnomรจnes dโapprentissage, de nouveautรฉ et dโinnovation. Lโapprentissage nรฉcessite lโanalyse de : 1- Les structures internes de la firme (objectifs et variรฉtรฉs des comportements) : dans un environnement sรฉlectif et incertain, la capacitรฉ dโune organisation ร sโadapter dรฉpend de ses structures internes. 2- La dimension stratรฉgique de la firme : lโinnovation technologique est lโรฉlรฉment moteur de la compรฉtition de lโentreprise (Defeuilley et Vahabi, 1999, p 333-334).
Histoire du management des connaissances :
Le management des connaissances nโest pas une nouveautรฉ (Hansen et al, 2003, p 119), son histoire remonte aux anciennes civilisations (Ives et al, 1998, p 269), bien que le problรจme existe depuis que lโhomme ait crรฉe des connaissances ร transmettre depuis plusieurs annรฉes (Colonna, 2002, p 01). Cependant, dans les entreprises familiales, les patrons transmettent leurs sciences commerciales ร leurs enfants, que les artisans forment assidรปment leurs apprentis au mรฉtier et que les ouvriers รฉchangent des idรฉes et des connaissances dans lโatelier (Hansen et al, 2003, p 119). Dans Fifth Generation Management, Charles Savage dรฉfinit trois รขges de dรฉveloppement socioรฉconomique de lโhumanitรฉ. La premiรจre vague a รฉtรฉ lโรขge agricole, oรน la richesse se mesurait par la possession des terres. Dans la deuxiรจme vague, lโรขge industriel, la richesse รฉtait fondรฉe sur la possession de capital (soit, dโusines). Dans lโรขge du savoir, la richesse est basรฉe sur la possession de connaissances et la capacitรฉ de les utiliser pour crรฉer ou amรฉliorer des produits et services (Dubois et Wilkerson, 2008, p 14).
Le management en tant que discipline rรฉelle a รฉmergรฉ en 1989 dans des journaux type ยซ Harvard Business Review ยป (Les tablettes dโOurouk, 1999, p 02). Dans une รฉtude (1989), plusieurs managers des entreprises ont convenu que la connaissance est un facteur fondamental du succรจs dโune entreprise et toutes ses activitรฉs (wiig, 1997, p 06). La connaissance est devenue le nouvel impรฉratif stratรฉgique des organisations. La plus part des grandes entreprises amรฉricaines (comme : IBM, Xerox, Hewlett-Packard et Chevron) ont entrepris une forme quelconque dโinitiative du management des connaissances, des chefs du savoir sont nommรฉs partout ยป (Dubois et Wilkerson, 2008, p 14-15). Le tableau nยฐ 1.8 prรฉsente le dรฉveloppement du management des connaissances dans les deux derniรจres dรฉcennies (wiig, 1997, p 10-11).
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Table des matiรจres
Invocation
Remerciements
Dรฉdicace
INTRODUCTION GENERALE
CHAPITRE I : LE MANAGEMENT DES CONNAISSANCES : ETAT DES LIEUX
Introduction
SECTION 01 : La connaissance dans les thรฉories managรฉriales et รฉconomiques
1.Les thรฉories managรฉriales
1.1. Lโรฉcole classique Fayol et lโadministration industrielle
1.2. Lโรฉcole des relations humaines
1.2.1. Concepts communs aux auteurs de lโรฉcole des relations humaines
1.2.1.1. La productivitรฉ dรฉpend des facteurs psychologiques
1.2.1.2. La structure informelle
1.2.1.3. Lโart de commander
1.2.2. Les apports de lโรฉcole des relations humaines
1.2.3. Les actions recommandรฉes par lโรฉcole des relations humaines
2.Les thรฉories รฉconomiques
2.1. La thรฉorie รฉvolutionniste
2.2. La thรฉorie des ressources
2.2.1. Les fondements thรฉoriques
2.2.2. Les caractรฉristiques des ressources
SECTION 02 : La connaissance : dรฉfinitions, types et caractรฉristiques
1.Dรฉfinitions
1.1. Donnรฉe
1.2. Information
1.3. Connaissance
1.4. Sagesse
2.La hiรฉrarchie de la connaissance
3.La distinction entre information et connaissance
4.Les caractรฉristiques de la connaissance
5.Les sources de connaissance
6.Classification de la connaissance
6.1. La connaissance tacite et la connaissance explicite
6.1.1. La connaissance tacite
6.1.2. La connaissance explicite
6.2. La connaissance individuelle et la connaissance collective
6.2.1. La connaissance individuelle
6.2.2. La connaissance collective
SECTION 03 : Le management des connaissances
1.Dรฉfinition du management des connaissances
2.Les dimensions du management des connaissances
2.1. La dimension stratรฉgique
2.2. La dimension managรฉriale
2.3. La dimension opรฉrationnelle
3.Histoire du management des connaissances
4.Les principes du management des connaissances
5.Pourquoi le management des connaissances
6.La diffรฉrence entre le management de lโinformation et le management des connaissances
7.Les approches du management des connaissances
7.1. Lโapproche managรฉriale
7.2. Lโapproche technologique
8.Les stratรฉgies du management des connaissances
8.1. La stratรฉgie de personnalisation
8.2. La stratรฉgie de codification
9.Les processus du management des connaissances
9.1. La crรฉation des connaissances
9.2. Le stockage des connaissances
9.3. Le partage des connaissances
9.4. Lโapplication des connaissances
9.5. Lโรฉvaluation des connaissances
Conclusion
CHAPITRE II : LE MANAGEMENT STRATEGIQUE DES CONNAISSANCES
Introduction
SECTION 01 : Les processus de crรฉation et dโacquisition des connaissances
1.Les processus de crรฉation des connaissances : le modรจle SECI (la spirale de connaissances)
1.1. Les processus de SECI : quatre modes de conversion de la connaissance
1.1.1. La socialisation
1.1.2. Lโexternalisation
1.1.3. La combinaison
1.1.4. Lโinternalisation
1.2. La crรฉation des connaissances organisationnelles
2.Les processus dโacquisition des connaissances
2.1. Lโapprentissage organisationnel
2.1.1. Dรฉfinition de lโapprentissage
2.1.2. Le cycle dโapprentissage
2.1.3. Les niveaux dโapprentissage
2.1.3.1. Lโapprentissage individuel
2.1.3.2. Lโapprentissage collectif
2.1.3.3. Lโapprentissage organisationnel
2.1.4. La nรฉcessitรฉ de lโapprentissage organisationnel
2.1.5. Dรฉfinition de lโapprentissage organisationnel
2.1.6. Les caractรฉristiques de lโapprentissage organisationnel
2.1.6.1. Un phรฉnomรจne collectif
2.1.6.2. Divers modes dโacquisition des connaissances collectives
2.1.6.3. Un processus dynamique
2.1.7. Les types dโapprentissage organisationnel
2.1.7.1. Lโapprentissage cognitif et comportemental
Lโapprentissage cognitif
Lโapprentissage comportemental
2.1.7.2. Lโapprentissage par la pratique et lโapprentissage par lโutilisation des technologies dโinformation et de communication
Lโapprentissage par la pratique (en faisant) : Learning by doing
Lโapprentissage par lโutilisation des TIC (Learning by using)
2.1.7.3. Lโapprentissage traditionnel et lโapprentissage expรฉrientiel
Lโapprentissage traditionnel
Lโapprentissage expรฉrientiel
2.7.1.4. Lโapprentissage adaptatif et lโapprentissage gรฉnรฉratif
Lโapprentissage adaptatif
Lโapprentissage gรฉnรฉratif
2.1.7.5. Lโapprentissage ร simple boucle et lโapprentissage ร double boucle
Lโapprentissage ร simple boucle
Lโapprentissage ร double boucle
Lโapprentissage ร triple boucle
2.1.8. La double approche de lโapprentissage
2.2. Lโorganisation apprenante
2.2.1. Lโรฉmergence de lโorganisation apprenante
2.2.2. Dรฉfinition de lโorganisation apprenante
2.2.3. Les caractรฉristiques de lโorganisation apprenante
2.2.4. Les disciplines de lโorganisation apprenante
2.2.5. Les obstacles de lโapprentissage
2.2.6. Les principes de lโapprentissage efficace
a.1. Comprรฉhension : modรจles ou paradigmes mentaux
a.2. Comprรฉhension : pensรฉe systรฉmique โ variation
b.3. Qualifications : Capacitรฉ de contester les prรฉtentions
b.4. Qualifications : Ecouter pour comprendre
c.5. Processus : Le cycle dโapprentissage
c.6. Enseigner dโautres
SECTION 02 : Les processus de stockage, de partage et dโutilisation des connaissances
1.La mรฉmoire organisationnelle
1.1. Dรฉfinition de la mรฉmoire
1.2. Dรฉfinition de la mรฉmoire organisationnelle
1.3. Les approches de la mรฉmoire organisationnelle
1.3.1. Lโapproche ยซ Contenu ยป
1.3.2. Lโapproche ยซ Processus ยป
1.4. Les processus de la mรฉmoire organisationnelle
1.4.1. Lโacquisition
1.4.2. Le stockage
1.4.2.1. Les schรฉmas
1.4.2.2. Les manuscrits
1.4.2.3. Le systรจme
1.4.3. Lโactualisation
1.4.4. La rรฉcupรฉration
1.5. Les diffรฉrents types de la mรฉmoire organisationnelle
1.5.1. La mรฉmoire dรฉclarative et la mรฉmoire procรฉdurale
1.5.1.1. La mรฉmoire dรฉclarative
1.5.1.2. La mรฉmoire procรฉdurale
1.5.2. La mรฉmoire ร court terme et la mรฉmoire ร long terme
1.5.2.1. La mรฉmoire ร court terme
1.5.2.2. La mรฉmoire ร long terme
1.5.3. La mรฉmoire interne et la mรฉmoire externe
1.5.3.1. La mรฉmoire organisationnelle interne
1.5.3.2. La mรฉmoire organisationnelle externe
1.6. Les niveaux de traitement de la mรฉmoire organisationnelle
1.6.1. Le niveau individuel
1.6.2. Le niveau collectif
1.6.3. Le niveau organisationnel
2.La routine organisationnelle
2.1. Dรฉfinition de la routine organisationnelle
2.2. Les quatre notions de routine dans la littรฉrature
2.3. Les caractรฉristiques de la routine organisationnelle
2.3.1. Lโaptitude
2.3.2. Le contexte
2.3.3. Lโapprentissage
2.3.4. La sรฉlection
3.Le concept du ยซ BA ยป
3.1. Dรฉfinition du ยซ BA ยป
3.2. La crรฉation des connaissances et les caractรฉristiques des quatre types de ยซ Ba ยป
3.2.1. Lโoriginating Ba
3.2.2. Lโinteracting Ba
3.2.3. Le Cyber Ba
3.2.4. lโexercising Ba
4.La communautรฉ de pratique
4.1. La dรฉfinition de la communautรฉ de pratique
4.2. Les caractรฉristiques dโune communautรฉ de pratique
4.2.1. Lโentreprise commune
4.2.2. Lโengagement mutuel des membres
4.2.3. Rรฉpertoire partagรฉ
4.3. La diffรฉrence entre la communautรฉ de pratique et les autres formes dโorganisation
4.4. Les diffรฉrents niveaux de participation
4.4.1. Le noyau dur
4.4.2. Les membres actifs
4.4.3. La pรฉriphรฉrie
4.5. Les phases de dรฉveloppement dโune communautรฉ de pratique
4.5.1. Le stade de potentiel
4.5.2. Le stade de lโunification
4.5.3. Le stade de la maturitรฉ
4.5.4. Le stade de momentum
4.5.5. Le stade de transformation
4.6. Les bรฉnรฉfices dโune communautรฉ de pratique
4.7. Le rรดle du management
4.8. Les sept principes pour cultiver les communautรฉs de pratique
4.8.1. Conception pour lโรฉvolution
4.8.2. Ouvrir un dialogue entre les perspectives intรฉrieures et extรฉrieures
4.8.3. Inviter les diffรฉrents niveaux de participation
4.8.4. Dรฉvelopper les espaces publics et privรฉs de la communautรฉ de pratique
4.8.5. Focaliser sur la valeur
4.8.6. Combiner la familiaritรฉ et lโenthousiasme
4.8.7. Crรฉer un rythme pour la communautรฉ de pratique
SECTION 03 : Le cadre (lโinfrastructure) du management des connaissances
1.Les facteurs personnels (Le rรดle des individus)
1.1. Lโambition
1.2. Le comportement
1.3. Le leadership
2.Les facteurs organisationnels
2.1. Mission, vision et stratรฉgie
2.2. La culture organisationnelle
2.2.1. Dรฉfinition de la culture organisationnelle
2.2.2. Les caractรฉristiques de la culture organisationnelle
2.2.3. Les รฉlรฉments de la culture organisationnelle
2.2.3.1. La participation commune
2.2.3.2. La confiance
2.2.3.3. Les incitatifs
2.3. La structure organisationnelle
2.4. Les technologies de lโinformation et de communication
2.4.1. Les outils de stockage des connaissances
2.4.1.1. Le systรจme de gestion des bases de donnรฉes (SGBD)
2.4.1.2. Gestion รฉlectronique de documents (GED) ou gestion รฉlectronique dโinformations et de documents existants (GEIDE)
2.4.1.3. Les ERP (Enterprise resource planning) ou progiciels de gestion intรฉgrรฉs
2.4.2. Les outils de partage et dโutilisation des connaissances
2.4.2.1. Lโinternet
2.4.2.2. Lโintranet
2.4.2.3. Le groupe ware ou le collecticiel
2.4.2.4. Workflow
Conclusion
CHAPITRE III : CAS DE LA DIRECTION TERRITORIALE DโALGERIE TELECOM DE TLEMCEN
Introduction
SECTION 01 : Algรฉrie Tรฉlรฉcom : la direction territoriale des tรฉlรฉcommunications de Tlemcen
1.Gรฉnรฉralitรฉs
1.1. Prรฉsentation dโAlgรฉrie tรฉlรฉcom
1.2. cadre juridique
1.3. Missions et objectifs
1.4. Lโorganisation d’Algรฉrie Tรฉlรฉcom
1.5. Quelques chiffres
1.6. Autres chiffres
2.La Direction Territoriale Des Tรฉlรฉcommunications De Tlemcen (DTT Tlemcen)
2.1. Prรฉsentation de DTT Tlemcen
2.2. Personnel de la rรฉgion de Tlemcen par catรฉgorie socioprofessionnelle
2.3. Contrat de performance entre lโรฉtat et Algรฉrie Tรฉlรฉcom
SECTION 02 : Le management des connaissances dans DTT Tlemcen
Le champ de lโรฉtude
Les รฉlรฉments du questionnaire
Lโobjectif de lโรฉtude
Prรฉsentation des rรฉsultats
Le taux de rรฉponse
Lโรขge
Le niveau dโinstruction
Lโanciennetรฉ
La catรฉgorie socioprofessionnelle
Besoins du management des connaissances
La satisfaction du management des connaissances
Le stockage des connaissances (explicite)
Les interactions sociales
Les rรฉunions
La connaissance tacite
La crรฉation et lโacquisition des connaissances
Lโutilisation des connaissances
La vision de lโentreprise
Le partage des connaissances
Lโรฉchange des informations et des connaissances
Le contact direct
Lโรฉvaluation et le transfert des connaissances
La participation des dirigeants
Lโapprentissage ร travers les expรฉriences
Lโapprentissage ร travers les erreurs
La culture dโentreprise
Lโappartenance aux groupes de travail
La crรฉation des groupes de travail
La participation dans la recherche des solutions
La confiance
Lโappartenance ร lโorganisation
La structure organisationnelle
Lโharmonisation entre les niveaux hiรฉrarchiques
La communication bidirectionnelle
Le leadershipLa routine
La mรฉmoire organisationnelle : la disponibilitรฉ des connaissances
La mรฉmoire organisationnelle : lโaccรจs aux informations
Le rรดle des TIC dans lโentreprise les attentes des employรฉs concernant lโapplication du management des connaissances
Comment lโorganisation peut รชtre motivรฉ ร introduire des pratiques du management des connaissances
SECTION 03 : La fiabilitรฉ de la mesure (Cronbachโs alpha)
Axe 01 : La satisfaction du management des connaissances et lโorientation tacite et explicite
Axe 02 : La crรฉation et le partage des connaissances
Axe 03 : Lโapprentissage organisationnel
Axe 04 : La culture et la communautรฉ de pratique et le leadership
Axe 05 : La confiance
Axe 06 : La structure organisationnelle
Axe 07 : La mรฉmoire organisationnelle
Axe 08 : Les technologies de lโinformation et de la communication
Conclusion
CONCLUSION GENERALE
Bibliographie
Table des matiรจres
Liste des figures
Liste des tableaux
Liste des annexes
Liste des abrรฉviations
Annexes
Annexe 1 : Le questionnaire
Annexe 2 : Organigramme de la Direction Territoriale des
Tรฉlรฉcommunications de TLEMCEN
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