« Je ne le comprenais pas encore à l’époque, mais avoir été viré d’Apple a été le meilleur chose qui pouvait m’arriver. Cela m’a libéré et m’a permis d’entrer dans une des périodes les plus créative de ma vie » . Tels sont les propos de Steve Jobs lorsqu’il crée son propre entreprise NEXT, après avoir quitté Apple. Créateur d’Apple en 1977, le fondateur d’Apple est un manager obsédé par la perfection et ultra-exigeant. Il a rendu l’ordinateur convivial, accessible à tous grâce à la souris, facile à employer avec son bureau, ses dossiers et sa Corbeil. Bien que Jobs soit un chef charismatique et persuasif, certains salariés d’Apple le décrivent comme erratique et capricieux. Steve jobs avait l’art d’imposer aux autres ses conceptions, quelles qu’elles soient. Un grand Homme de l’humanité qui n’a jamais renoncé à ses rêves et qui à toujours innover jusqu’à ce qu’il s’éteint. En 2005, Steve Jobs déclare « Si je n’avais pas suivi ce cours de calligraphie, le Mac n’aurait jamais eu autant de polices d’écriture et de polices à espacement proportionnel. Et puisque Windows a simplement copié le Mac, il est vraisemblable qu’aucun ordinateur n’en aurait eu » . Son ami Bill Gates lui prend donc des idées alors que les deux hommes rêvaient de la même chose, ce que chaque foyer bénéficierait d’un ordinateur chez eux. A l’heure actuelle, leurs rêves sont réalisés même si leurs produits ne cessent de s’innover de jour en jour. Bill Gates, studieux et qui préférait les livres qu’aux gens, est le fondateur de Microsoft. Son entreprise repose sur la vente de système d’exploitation Windows et ses dérivés. « Bill Gates est célèbre pour ses violents colère, et il n’appelle jamais à l’aide, signe de faiblesse à ses yeux. En revanche, il sait reconnaitre ces erreurs. Ce qui lui permet de réagir vite. Il parait avoir contrôle de ses émotions. Bourreau de travail, alignant des semaines de 80 heures, dormant peu et prenant très rarement de vacances, il se consacre en permanence à sa société. C’est d’ailleurs là qu’il rencontré son épouse » . En voilà, deux individus, ayant chacun leur personnalité, leur conviction et leurs compétences, qui changeaient le monde. Leurs inventions et leurs rêves étaient plus grands et tellement encrées en eux qu’ils ont bien réussi à entrainer non seulement un pays mais le monde entier avec eux. Ce sont des entrepreneurs et des meneurs d’hommes. Le meneur d’hommes sait prendre du recul pour avoir une vision d’ensemble et prévoir les évolutions à long terme. Steve Jobs avant d’arriver au sommet, si l’on permet de le dire, prenait souvent de recul pour décider de quoi faire et de quoi exploiter. Les deux hommes même s’ils étaient rival sur un le marché, leur entreprise trouvait sa place dominante sur le marché de l’électronique grand public, et ils se donnaient du respect l’un envers l’autre.
Présentation de l’entreprise STAR
Les brasseries STAR Madagascar (Société d’Article Réfrigéré) est une entreprise de fabrication et de distribution des produits : bières, boissons gazeuses et d’eau source naturelle. A quatre milliards deux cent quatre-vingt-dix millions d’Ariary ou 4 290000Ar de Capital, son siège social se trouve au Rue Dr Joseph Raseta Route de Majunga Antananarivo Madagascar. L’entreprise présent 05 filiales comme suit :
– SEMA EAU VIVE : capital 72 375 000, activité : exploitation des sources minérales, début en 24 Mars 1970
– NBM : Nouvelle Brasserie de Madagascar, Société Anonyme dont capital est de 27 300 000 000Ar, activité : fabrication et distribution de bières, début 19 Novembre 2010
– MALTO : Société Anonyme à capital de 3 867 440 000Ar, activité : malterie, début le 27 Septembre 1976
– Ny VIFOTSY : Société Anonyme à capital de 72 000 000Ar, activité : fabrication et vente d’emballages métalliques, début le 29 Juillet 1974
– MELVINO : Société Anonyme à capital social de 78 000 000Ar, activité : location de fonds de commerce, début le 01 Janvier 195.
La Brasserie STAR compte actuellement 6 usines dont la répartition et la spécificité est la suivante : L’usine de Diego : Production de Bière en bouteille de verre comme THB, QUEEN’S. L’usine d’Andraharo : Production de boissons gazeuses sucrés en bouteille plastique et en verre.L’usine d’Ambatolampy : production de Bières en Format 50cl. L’usine d’Antsirabe : Production de bières en Format 65CL, comme THB, Fresh, Gold mais aussi des bières en canette. La malterie, MALTO sa : Fournisseurs en matières premières, Orges, Malte.
Mais également d’un réseau de distribution performant avec 18 agences commerciales et 6 plateformes logistiques réparties dans tout Madagascar. (cf., annexe 2) Les produits STAR sont omniprésents dans la vie des Malagasys. Sa large gamme de produit est constituée de cinq (5) segments de Produits : les bières ; les boissons gazeuses ; les eaux ; les jus plats ; le rhum et les boissons énergisantes. Ces produits constituent une vive histoire qui a forgé l’entreprise.
« Le manager au quotidien : les dix rôles du cadres » selon Henry MINTZBERG
La notion du travail des cadres ne saurait pas être un sujet d’études si d’autres personnes au pare avant n’ont pu remarquer les difficultés à préciser exactement ce que cela exige. Des grandes écoles de pensée ont donné leur conception à ce sujet. Conceptions contemporaines sur le travail du cadre Avant tous, l’auteur expose certaines conceptions contemporaines sur le travail du cadre. En gros, les idéologies des grandes écoles. A savoir l’école classique qui par son père Henry Fayol, en 1916 désigne les cinq fonctions de base de l’encadrement comme : planifier, organiser, coordonner, commander et contrôler. Ceci fut repris par Luther Gulick qui donna aux cadres un acronyme : POPDCORB (Planification, Organisation, Personnel, Coordination, Rapport, Budget) pour définir les différents éléments fonctionnels du travail du directeur générales. De son côté, l’école du « grand homme » divise en deux partie l’aspect du cadre : celle au sein du groupe comme au sein de leur famille, leur éducation, leur affiliation, leur personnalité ; et celle qui est centré sur les études individuelles concernant les habitudes et les comportements du cadre. Bref, cette littérature sur les « grands hommes », bien qu’elle soit intéressante de façon générale, ne révèle presque rien du travail du cadre. Elle est riche en anecdotes mais pauvre en théorie générale. L’école de la théorie de la décision nous dévoile la théorie de la prise de décision. C’est Herbert Simon qui et à l’origine de cette école de pensée. La prise de décision est considérée comme la définition du problème, ainsi que les choix prise par les cadres sont fait de façon à satisfaire les contraintes les contraintes et non pas de façon à maximiser le profit comme celle de l’école de l’entrepreneur. En effet, ce dernier rassemble les écrits des économistes. De leur point de vu, en microéconomie traditionnelle, le cadre n’a pas de l’attitude de décision ; lorsqu’il doit en prendre, il agit « rationnellement » c’est-à-dire qu’il faut simplement qu’il maximise le profit. En gros, le cadre a peu d’importance pour l’économiste. C’est l’entrepreneur fondateur qui retenu son attention car c’est lui qui a une latitude de décision alors pour celle de la théorie de décision, il se focalise sur le cadre sur ses décisions prises lors d’un problème.
L’école du commandement efficace ; l’école du pouvoir du leader ; l’école du comportement du leader ; l’école de l’activité du leader ; ces quatre dernières écoles nous conduit vers la théorie de l’efficacité, vers du comportement interpersonnel, plus précisément celle des relations entre les leaders et les suiveurs. La mise en évidence des facteurs d’efficacité via les styles de direction qu’à chaque cadre influence le bon déroulement de la vie de l’entreprise. Un certain manque de compréhension des comportements des leaders a ralenti les progrès de cette approche d’après l’auteur.
Le travail d’un cadre est peu structuré car il n’a pas d’horaire précise comme celle des autres employés, le cadre est tenu de fournir une grande quantité à un rythme soutenu. La première caractéristique est alors la qualité et rythme du travail du cadre. Mais cela peu varié selon la nature du poste du cadre. Les activités des cadres sont caractérisées par la brièveté, la variété et la fragmentation alors que la plus grande part du travail, dans la société, implique spécialisation et concentration. Certaines de ces activités ne durent que peu de temps, de l’ordre de seconde pour le cadre subalterne, de la minute pour les directeurs généraux. La variété des activités est grande et l’absence de structure entre las activités consécutive exige du cadre qu’il change d’approche et d’état d’esprit rapidement et souvent. En générale, le travail du cadre est fragmenté et les interruptions sont fréquentes.
L’importance de la communication verbale : les contacts verbaux et écrits sont l’instrument de travail du cadre. Celui-ci dispose de cinq moyens de communication principaux à savoir : le courrier, le téléphone, la réunion non programmée, la réunion programmée et la tournée. Le cadre préfère clairement les trois moyens oraux de communication et passe le plus clair de son temps en contact verbal. A différence d’autres salariés, le cadre ne quitte pas le téléphone ou la réunion pour retourner au travail, pour lui ses contacts sont l’essence même de son travail. Le travail habituel de l’organisation est rarement réalisé par ses cadres. La production du cadre peut être mesurée essentiellement en termes d’information transmise verbalement. La préférence pour l’action: les cadres ont le désir de disposer de l’information actuelle. Le cadre a tendance à peu utiliser les nombreux rapports de routine que son organisation fournit parce qu’il veut son information rapidement afin d’interagir avec son organisation et prendre facilement de décision adéquate d’où il développe une préférence marquée pour l’action.
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Table des matières
INTRODUCTION GENERALE
CHAPITRE 1 : Matériels et Méthodes
Section1 : Matériels
Section 2 : méthodologie d’approche
CHAPITRE II : Résultats
Section 1 : Typologies des journées des cadres opérationnels
Section 2 : analyse Lean manager : Le Lean SIX SIGMA
Section 3 : interprétation des résultats
CHAPITRE III : DISCUSSIONS
Section 1 : Ente théorie et pratique
Section 2 : La culture d’entreprise forge un manager
Section 3 : Vérification des résultats
Section 4 : Perspective d’avenir
CONCLUSION GENERALE