LE GENRE ; UNE NOTION RESULTANTE DE LA CONSTRUCTION SOCIALE DES RAPPORTS HOMMES/FEMMES

Le concept dโ€™ยซ empowerment ยป, un pilier pour le renforcement des capacitรฉs รฉconomique des femmes

ย  ย Ce terme anglais renvoyant au ยซ pouvoir ยป ou ร  la ยซ capacitรฉ de pouvoir sโ€™รฉmanciperยป, est issu dโ€™analyse et de pratiques menรฉes par des mouvements sociaux en Inde et en Amรฉrique Latine faisant rรฉfรฉrence aux renforcements du pouvoir, de la participation, des capacitรฉs et de lโ€™autonomie des femmes. Il traduit une certaine croissance du pouvoir dโ€™action des femmes. Il renvoie ร  une certaine autonomisation voire une รฉmancipation des femmes. Selon (Y.LEBOSSE, 1996)lโ€™ยซ empowerment ยป doit se comprendre comme un processus dynamique qui permet aux individus organisรฉs en groupes ou en communautรฉs de dรฉvelopper leur force et leur puissance pour aboutir ร  lโ€™inquisition dโ€™une capacitรฉ dโ€™influence ou de contrรดle sur les รฉlรฉments qui concernent leur vie. Autrement dit, lโ€™ ยซ empowerment ยป correspond au pouvoir quโ€™une personne ou un groupe possรจde pour se dรฉbarrasser des รฉlรฉments opprimants de sa vie afin dโ€™en amรฉliorer la qualitรฉ. Il apparait ainsi que les paramรจtres qui ressortent dans cette dรฉfinition font appel ร  dโ€™autres caractรฉristiques psychologiques, lโ€™ensemble constituant un cycle. Ainsi le concept dโ€™ยซ empowerment ยป est utilisรฉ pour modifier les rapports de genre en vue dโ€™une autonomisation des femmes tout en voulant favoriser lโ€™action et la participation communautaire (hommes et femmes).

LES Rร‰ALITร‰S DES RAPPORTS GENRES EN MILIEU RURAL/PASTORAL

ย  ย Ces rapports inรฉgaux de genre sont trรจs souvent notรฉs dans les zones pastorales en rapport avec la gestion des ressources de lโ€™รฉlevage. La gente fรฉminine, quel que soit son effort dans les activitรฉs de revenus familiaux, celle-ci nโ€™est pas rรฉcompensรฉe convenablement, son statut et son rรดle ; bien quโ€™รฉtant essentiels, sont nรฉgligรฉs par le genre masculin. (M.KANOUN, 2012) relate ainsi ce phรฉnomรจne en avanรงant que : Pourtant les femmes interviennent dans les moindres dรฉtails de la vie quotidienne et leurs rรดles sont incontestables dans la transmission des savoir-faire locaux notamment dans lโ€™รฉlevage, la transformation et le stockage des aliments. Selon Ouled SALAH et al (2003), les femmes constituent de par leur potentiel humain, la principale force de production, elles jouent un rรดle moteur dans les stratรฉgies de survie des familles et de gestion des ressources pastorales et naturelles. Dans les zones pastorales, les ressources de lโ€™รฉlevage comme le ยซ lait ยป connaissent des disparitรฉs dans la gestion de ses revenus. Lร  รฉgalement, la femme ne se sent pas autonome ou dรฉtentrice des retombรฉs de son savoir-faire mรชme si cโ€™est une activitรฉ totalement fรฉminine ร  la base (traite, collecte, transformation et vente). Car la gestion du lait a, depuis longtemps, รฉtรฉ un rรดle attribuรฉ aux femmes de par la rรฉpartition des rรดles et des tรขches รฉtablies par la sociรฉtรฉ peulh. Partant de lร , Laurence (BOUTINOT, 2000) affirme que : Les femmes sont prรฉsentes ร  tous les maillons de la filiรจre รฉconomique du lait (โ€ฆ). Productrices ou commerรงantes, elles y occupent une position doublement lรฉgitime, comme dรฉtentrices dโ€™un savoir technique (transformation du lait) et comme hรฉritiรจres dโ€™un statut รฉconomique et social. Cela est plus observรฉ chez les peulhs dont lโ€™une des activitรฉs principale porte sur lโ€™รฉlevage notamment la production laitiรจre, dans une sociรฉtรฉ trรจs complexe et conservatrice et fortement islamisรฉe. Alors quโ€™une certaine interprรฉtation des prรฉceptes de lโ€™islam peut amener ร  adopter une certaine rรฉticence quant au travail de la femme et son autonomie รฉconomique. Le prophรจte de lโ€™islam (PSL) a dit ยซ la femme est une bergรจre ร  propos du domicile conjugal et des enfants, et sera questionnรฉe ร  ce sujet ยป (rapportรฉ par al-Bokhari, nยฐ2416, et Muslim, nยฐ1829). Toutefois les principes de lโ€™islam acceptent que la femme musulmane travaille ร  condition quโ€™elle remplisse ses obligations dans son foyer cโ€™est-ร -dire quโ€™elle se souvienne quโ€™il est hors de question quโ€™elle pratique son travail dโ€™une faรงon ou cela se fait au dรฉpens de ce qui constitue la prioritรฉ pour elle cโ€™est-ร -dire la gestion du foyer (Anas, 2008).

Lโ€™ร‰levage

ย  ย Lโ€™รฉlevage reprรฉsente lโ€™ensemble des opรฉrations qui permettent la reproduction et la vie des animaux pour les besoins de lโ€™homme. Fournir un gite, administrer des soins, rรฉpondre aux besoins alimentaires sont autant dโ€™obligations pour les รฉleveurs vis-ร -vis de leurs animaux. Il existe un รฉlevage intensif et un รฉlevage extensif. L’รฉlevage extensif ou pรขturage extensif est une mรฉthode d’รฉlevage de bovins, ovins, rennes, etc. caractรฉrisรฉe par une faible densitรฉ de chargement d’effectifs d’animaux ร  l’hectare. Hormis le sel et le fourrage en cas de sรจcheresse, aucun apport supplรฉmentaire de nourriture n’est requis, ce qui oppose ce mode d’รฉlevage ร  l’รฉlevage intensif qui un est peu plus moderne par le fait de recourir ร  une alimentation de bรฉtail pour nourrir les bรชtes mis en ferme ou en embouche. Au Sรฉnรฉgal l’รฉlevage revรชt une importance รฉconomique, sociale et culturelle. Le cheptel y est trรจs important et variรฉ. Pays sahรฉlien, le climat du Sรฉnรฉgal est propice ร  lโ€™รฉlevage. On distingue plusieurs types dโ€™รฉlevage : bovin, ovin, caprins etc. Il y a aussi un type dโ€™รฉlevage dit traditionnel et un autre dit moderne. Lโ€™รฉlevage traditionnel : les nomades se dรฉplacent avec leur cheptel ร  la recherche de pรขturage. Ils se sรฉdentarisent dans les zones oรน il y a la verdure. Et lโ€™รฉlevage moderne : des enclos sont construits pour le bรฉtail. Les animaux sont nourris et engraissรฉs. Ils subissent des traitements vรฉtรฉrinaires. Le systรจme agro-pastoral : Il est caractรฉrisรฉ par une intรฉgration de l’agriculture, de l’รฉlevage et de la disponibilitรฉ des sous-produits agricoles et agro-industriels. Il est pratiquรฉ dans la vallรฉe du fleuve Sรฉnรฉgal, dans le bassin arachidier et dans le sud du pays. Ce systรจme montre des faiblesses ร  savoir la forte pression agricole et humaine rรฉduisant l’espace pastoral et la forte pratique du brulis qui dรฉtruit les derniers fourrages disponibles pour le bรฉtail en saison sรจche. L’รฉlevage pastoral : il est menacรฉ au Sรฉnรฉgal car les dynamiques รฉcologiques, les dรฉfrichements et les politiques publiques compromettent l’accรจs aux ressources sur lequel repose sa mobilitรฉ essentielle. Loin des clichรฉs qui le prรฉsentent comme une activitรฉ homogรจne et archaรฏque, l’รฉlevage connait pourtant des mutations importantes. Sous des formes variรฉes, il se diversifie et se connecte aux marchรฉs urbains nationaux du lait et de la viande, valorisant des marchรฉs de niche. Les dynamiques observรฉes dans le plus urbanisรฉ des ร‰tats du Sahel prรฉfigurent ainsi celles qui s’amorcent ailleurs.

Activitรฉs intra-foyer

ย  ย Les corvรฉes mรฉnagรจres ou activitรฉs intra-foyer notamment dรฉnommรฉ en peulh golle galle sont sous la charge des femmes sans distinction de zone ou de concession. Les femmes peulhs rewษ“e ont la responsabilitรฉ de la prรฉparation du petit dรฉjeuner, du dรฉjeuner et du diner. Elles se chargent aussi de la question de lโ€™eau (plus difficile dans le jeri que dans le walo), du ramassage du bois mort pour la cuisine, du linge, de la vaisselle, de la prรฉparation du thรฉ entre les repas ou aprรจs les repas et du jaamnugol. De mรชme, les femmes dans ces lieux sont รฉgalement en charge du care qui englobe tout ce qui tourne au tour de la prise en charge du foyer, en sโ€™occupant des enfants et des personnes รขgรฉes. Chaque femme, devenue รขgรฉe, est ramenรฉe chez une de ses filles qui va en prendre soin jusquโ€™au dรฉcรจs de cette premiรจre. Avec le systรจme de la primautรฉ, dans les foyers ou concessions polygames, ce sont les premiรจres รฉpouses qui sโ€™occupent des invitรฉs, qui les logent et prennent soin dโ€™eux. Dans la concession, ce sont elles qui supervisent les activitรฉs du mรฉnage, elles sont les ainรฉes, elles sโ€™occupent des belles filles et des รฉpouses des fils cadets qui ร  leurs tours se chargent de faire les corvรฉes mรฉnagรจres et la prรฉparation des repas ร  tour de rรดle. Les premiรจres รฉpouses sโ€™occupent de la dรฉpense quotidienne, de lโ€™approvisionnement en nourriture, de lโ€™habillement des enfants et petits-enfants, du soin des membres de la famille. Dans dโ€™autres cas, la concurrence et le manque dโ€™entente, les disputes entre les femmes font que chacune sโ€™occupe de ses affaires ร  part, et elles ne se regroupent quโ€™au tour du repas. Chaque belle-mรจre se range de son cรดtรฉ, ainsi, se forme deux concessions cรดte-ร -cรดte, et chacune veille sur ses belles filles et ses petits-enfants. Cependant, la tรขche la plus difficile reste la recherche de lโ€™eau. En effet, les difficultรฉs dโ€™accรจs ร  lโ€™eau dans la zone du jeri posent problรจme et rendent plus difficile les corvรฉes mรฉnagรจres. On note certes la prรฉsence de chรขteaux dโ€™eaux (Bellel Boghal et Beli Namari) mais, implantรฉs ร  des kilomรจtres prรชts, font que les femmes parcourent de longues distances pour y arriver et pouvoir retourner en mi-journรฉe chez elles pour passer aux autres corvรฉes. Dans la zone du walo par contre, les canaux dโ€™irrigations, la prรฉsence de riviรจres ainsi que de chรขteaux dโ€™eaux rend avantageux ses habitants. Cependant, dans chaque zone aussi, il yโ€™a des disparitรฉs. A Soutouboulbรฉ (walo) par exemple, lโ€™eau du canal dโ€™irrigation est utilisรฉe pour les toilettes, le linge, la vaisselle et aussi pour la boisson. Dans ce cas, les femmes sont obligรฉes dโ€™abord de dรฉcanter lโ€™eau, puis la filtrer avec un linge et en fin si possible la javelliser (pour celles qui en dispose). Mais en saison des pluies, selon D.S ยซ lโ€™eau devient en hivernage rouge, puante et les poissons morts flottent ร  la surface ยป. Ainsi, les femmes au bord dโ€™une charrette, sont obligรฉes dโ€™aller chercher de lโ€™eau au chรขteau dโ€™eau de Mboundoum ร  6 km. Outre ces charges domestiques, il est aussi important de noter quโ€™aprรจs le mariage, chaque femme a en charge la construction de sa chambre ยซ suudu ยป, de sa cuisine ยซ suudu defirษ—u ยป et de son abri ombragรฉ ยซ mbaar ยป. Lโ€™observation et les entretiens ont ainsi rรฉvรฉlรฉ que tout ce qui tourne au tour des activitรฉs intra-foyers reste le domaine des femmes. Les horloges dโ€™activitรฉs rรฉvรจlent pour la plus part des heures de rรฉveil entre 06h et 07h et des heures de couche entre 21h et 22h. Au petit matin, les femmes, surtout celles gouvernantes de chaque mรฉnage veillent ร  la prรฉparation du premier repas de la journรฉe en allumant un petit feu au tour duquel se prendra le petit dรฉjeuner. Avant dโ€™aller au lit, elle veille ร  ce que tout le Genre, gestion et commercialisation du lait chez les peulhs de Dagana monde soit bien installรฉ, les ustensiles bien rangรฉs, les enclos bien fermรฉs et les entrรฉs de maison bien barrรฉes. Ce qui fait quโ€™elles se couchent gรฉnรฉralement en dernier. Il est donc clair que lโ€™horloge dโ€™activitรฉ des femmes est essentiellement chargรฉe. En fait, du matin au soir ces femmes restent actives. Cependant, mรชme si elles trouvent les corvรฉes mรฉnagรจres fatigantes, elles considรจrent que cโ€™est leur devoir de femme. Ainsi ร  travers les interactions sโ€™est construite une rรฉalitรฉ sociale, qui devient habitus chez ces femmes : cโ€™est un devoir. Le genre selon Fatou SARR SOW est diffรฉremment perรงu selon les pays, la religion, la culture, lโ€™ethnie, le statut, le groupe socioรฉconomique, les castes (surtout en Afrique). Dans tous les cas, la rรฉpartition des rรดles, a รฉtรฉ le plus souvent dรฉfavorable aux femmes, ce qui a conduit ร  des inรฉgalitรฉs entre hommes-femmes. La construction sociale du genre reste pesante et prรฉsente au quotidien Plus jโ€™รฉtais traitรฉe comme une femme, plus je devenais femme. Je mโ€™adaptais bon grรฉ mal grรฉ. Si jโ€™รฉtais censรฉe รชtre incapable de faire des marches arriรจre ou dโ€™ouvrir des bouteilles, je sentais, รฉtrangement, que je devenais incompรฉtente. Si lโ€™on pensait quโ€™une valise รฉtait trop lourde pour moi, inexplicablement, je la jugeais comme telle, moi aussi ยป (P.BOURDIER, 1998)

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Table des matiรจres

INTRODUCTION Gร‰Nร‰RALE
PREMIรˆRE PARTIE : CADRE THร‰ORIQUE
1. REVUE THร‰MATIQUE DE LITTร‰RATURE
1.1 LE GENRE ; UNE NOTION RESULTANTE DE LA CONSTRUCTION SOCIALE DES RAPPORTS HOMMES/FEMMES
1.1.1 Le concept dโ€™ยซ empowerment ยป, un pilier pour le renforcement des capacitรฉs รฉconomique des femmes
1.2 GENRE ET Dร‰VELOPPEMENT
1.3 GENRE ET PASTORALISME
2. PROBLร‰MATIQUE
2.1 LES POLITIQUES PUBLIQUES SUR LE GENRE AU SENEGAL
2.2 LES Rร‰ALITร‰S DES RAPPORTS GENRES EN MILIEU RURAL/PASTORAL
2.3 LE LAIT ET SON ESSOR PARADOXAL
2.4 JUSTIFICATION DE Lโ€™ร‰TUDE
3. HYPOTHรˆSES DE RECHERCHE
3.1 HYPOTHESE PRINCIPALE
3.2 HYPOTHESES SPECIFIQUES
3.3 Dร‰FINITION ET OPร‰RATIONALISATION DES CONCEPTS
4. OBJECTIFS DE RECHERCHE
4.1 OBJECTIF GENERAL
4.2 OBJECTIFS SPECIFIQUES
5. Dร‰FINITION DES CONCEPTS CLร‰S DE Lโ€™ร‰TUDE
5.1 Lโ€™ร‰LEVAGE
5.2 LA PRODUCTION LAITIERE
5.3 Lโ€™ECONOMIE PASTORALE
6. MODรˆLE THร‰ORIQUE DE Rร‰Fร‰RENCE
7. MODรˆLE Dโ€™ANALYSE
DEUXIรˆME PARTIE :ย CADRE Mร‰THODOLOGIQUE
8. CADRE Dโ€™ร‰TUDE
9. Dร‰LIMITION DU CHAMP Dโ€™ร‰TUDE
Titre : carte de la zone dโ€™intervention du projet LDB
Titre : zones et villages cibles de lโ€™รฉtude
10. Mร‰THODES ET TECHNIQUES DE RECHERCHE
10.1 Mร‰THODE DE RECHERCHE
Tableau 1 : รฉchantillonnage
Tableau 2 : acteurs et partenaire du projet
10.2 TECHNIQUES DE COLLECTE
TROISIรˆME PARTIE: CADRE ANALYTIQUE
11. PRร‰SENTATION DU TERRAIN Dโ€™ร‰TUDE ET ANALYSE DES DONNร‰ES
CHAPITRE 1 : PRร‰SENTATION DU PROJET
CHAPITRE 2 : ANALYSE ET INTERPRETATION DES DONNร‰ES
11.1 ORGANISATION SOCIALE ET SCHรˆMES SOCIOCULTURELS
11.1.1 DEVOIRS ET Tร‚CHES DANS LA CONCESSION PEULH
11.1.2 LE CHEPTEL : UN BIEN COMMUN
11.2 HISTOIRE DU RAPPORT LAIT/FEMME
11.3 APPROPRIATION : Rร‰SULTAT Dโ€™UN CONTEXTE ET Dโ€™UNE DYNAMIQUE DES RAPPORTS LAIT FEMME/HOMME
11.3.1 Appropriation : rรฉsultat dโ€™une nouvelle perception des hommes sur le lait
11.3.2 Le lait dรฉsormais ressource qui attire les hommes : appropriation pratique
11.4 SPHรˆRES DE Dร‰CISIONS ET POUVOIR Dร‰CISIONNEL
11.4.1 Dรฉcisions sociรฉtales
11.5 PERCEPTION DES Rร”LES ET STATUTS : Rร‰SILIENCE ET/OU Rร‰SISTANCE DES FEMMES
11.5.1 RAPPORTS HOMME/FEMME
11.5.2 DYNAMIQUE DES RAPPORTS SOCIOCULTURELS
15.5.2.1 Lโ€™รฉcole pour tous comme moyen dโ€™รฉvolution des perceptions
15.5.2.2 Pouvoir inaffichรฉ de la femme sur le lait
15.5.2.3 ร‰mergence dโ€™une prise de conscience ร  travers une solidaritรฉ communautaire
15.5 PROJET LDB : APPROCHE ET PROBLร‰MATIQUE Dโ€™INSERTION DE GENRE
15.5.2 APPROCHE ET Dร‰MARCHE DU PROJET
15.5.3 PROBLร‰MATIQUE Dโ€™INSERTION DU GENRE DANS LE PROJET
CONCLUSION Gร‰Nร‰RALE

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