Le Génie physicochimique de traitement de l’eau : La production d’eau potable

Télécharger le fichier pdf d’un mémoire de fin d’études

Présentation du Moringa Oleifera

Le Moringa Oleifera est un arbuste ou petit arbre caducifolié à semi-sempervirent dont la taille peut atteindre quand même une dizaine de mètres. Cette plante a des vertus multiples entre autres, la propriété floculante dont possède l’extrait de ses fruits et elle se rencontre presque dans toutes les régions de Madagascar aussi bien l’état naturel que dans les jardins et cours de certains domaines. Voyons alors comment et quand cet arbre a été introduit dans la Grande Ile.

Historique et origine du Moringa oleifera

L’utilisation de l’huile de Moringa remonterait à l’Antiquité où les civilisations grecques, égyptiennes et romaines lui accordaient un intérêt proche du culte. On la retrouve dans des tombeaux de l’Egypte ancienne, dont celui d’Aménophis III (1370 av. J-C). Des traces écrites y font référence dès le début du 1er siècle av. J-C en Inde, dans le « shushruta sannita », récit de Sinouhé. [34]
En effet, le Moringa oleifera est originaire des piémonts himalayens d’Agra et d’Oudh, dans l’Uttar Pradesh, au nord-ouest de l’Inde. Pour ses premières vertus : ses feuilles comestibles et ses graines oléagineuses, la plante se rependait vite et ses fruits et ses graines enviés. Les racines charnues chez les jeunes sujets, peuvent servir de condiment et lui valent son surnom « d’arbre à raifort (Armoracia rusticana Gaertn.)». [10] [25] [30] [35]
C’est au début du 20è siècle que la plante arrive en Afrique de l’Est, par le Kenya, introduite par les travailleurs asiatiques dans la construction des lignes de chemin fer et depuis, cette plante a sa place dans les foyers africains : alimentation, médecine traditionnelle, cosmétique, purification de l’eau pour la cuisson des aliments dans les localités qui n’ont pas accès à l’eau potable courante…[16] [19]
Aujourd’hui, « l’arbre à baguettes » [16], une appellation due à la forme de ses fruits en gousses, se rencontre dans une cinquantaine de pays tropicaux et subtropicaux notamment en Arabie, en Asie du sud-est, dans les Îles du pacifique, en Amérique latine, en Afrique orientale et à Madagascar. [13] [16] [25].
A Madagascar, durant l’époque coloniale, seuls les hauts dignitaires de l’état avaient le privilège de les faire planter dans leur arrière-cour d’où ses noms vernaculaires Ananambo » qui se traduit littéralement « légumes des hauts dignitaires de l’Etat » ou encore « felinimirongo » apparemment, une déformation phonétique de « feuilles de murungai ». [19] [25]
A ce jour, des arbres prolifiques fructifient encore dans le jardin du logement des officiers de l’Armée à Antsiranana (Diégo-Suarez) ou dans la cour du domaine du Service Régional de la Santé, à Mahabibo, Mahajanga.
Actuellement, l’Ananambo est très répandue à l’état naturel dans les littoraux de la Grande Ile et on commence à trouver les feuilles vendues en tas sur les marchés de la capitale car, servi en crudité ou en potage (le ro-mazava), de tels mets sont très appréciés par les connaisseurs.
Mais nous concernant, c’est plutôt cette propriété coagulante-floculante de la poudre de ses graines qui suscite particulièrement notre curiosité. Venons-en maintenant aux renseignements botaniques et biologiques de la plante.

Biologie de la plante

Pouvant atteindre une taille de 15 mètres dans les conditions écologiques optimales (pluviosité : 700 à 900 mm/an – température : 22 à 25°C – altitude 100 à 700 m), son port est élancé ou buissonnant.
Appareils végétatifs
Les appareils végétatifs d’une plante sont : sa racine, son tronc, ses feuilles et éventuellement ses fleurs et fruits.
Racine
La racine est vomitive et pivotante pouvant s’enfoncer verticalement dans la terre jusqu’à plus de 1 m. Elle est pourvue de radicelles qui forment une sorte de chevelure.
Tronc et son embranchement
Le diamètre de son tronc peut atteindre les 45 cm. Ce dernier est enveloppé d’une écorce brunâtre (ou blanchâtre ou grise ou encore chamois pâle), lisse ou rarement rugueuse, liégeuse et couverte de lenticelles.
La tige est lignifiée (Groupe 3 : espèce ligneuse) et les ramifications ne commencent généralement qu’à 1m à 2m du pied. [12]
Les branches pendantes et entrelacées au feuillage lâche rappellent les saules pleureurs. (Cf. Figure 19)
Feuilles
Les feuilles de Moringa oleifera sont bipennées à la base et tripennées au sommet. Le rachis long de 10 à 20 cm porte des pétioles chargés de 2 ou 3 paires de pennes.
Chaque penne est composée de deux paires de folioles latérales opposées plus une autre terminale. La foliole de taille parfois minuscule (de l’ordre de 6 mm) est entière et ovale. (Cf. Herbier) 1.3.2.1.4. Fleurs
L’inflorescence se développe en panicule auxiliaire ou terminale. Les grappes de fleurs blanches sont aussi crémeuses qu’odorantes.
La plante est hermaphrodite : les fleurs sont bisexuées et zygomorphes : 5 pétales ovales entourent 4 à 5 étamines qui à leur tour encerclent le style à ovaire uniloculaire caractéristique des dialypétales. (Cf. Herbier)
Fruits
Quant à ses fruits, ils sont en forme de gousse appelée « silique ». Pointues à l’apex et à section triangulaire (formée de 3 valves), ces siliques sont de couleur vert tendant au brun à surmaturité. Plutôt étirée que large, une silique est de quelques dizaines de centimètre (10 – 40 cm) de longueur. (Cf. Figure 23)
Les siliques renferment des graines sphériques qui seront libérées à surmaturité par déhiscence. Une silique renferme en moyenne 10 à 30 graines. (Cf. Figure 23)
Les graines globuleuses, de 1–1,5 cm de diamètre, sont entourées d’un péricarpe fin formant ainsi des ailes hyalines (Cf. Figure 24). Leur tégument séminal ou coque de couleur brun enveloppe une amande feutrée de couleur blanche à « trois cotylédons » (Cf. Figure 26). [25] [50] [30]
Après broyage, les amandes sont réduites en poudre blanche laquelle est le principal matériau pour cette recherche dans la mesure où elle présente les propriétés physicochimiques centres d’intérêt de ce travail.
Physiologie de la plante
Parlons maintenant du fonctionnement et des propriétés de cette espèce : ses modes de multiplication, le développement et la croissance d’un pied.
Modes de multiplication
Le Moringa oleifera se multiplie aussi bien par semis des graines que par bouturage.
Une profondeur de semis de 2 cm donne un taux de germination égal à 95% alors qu’une bouture possédant 4 nœuds donne le meilleur taux. Naturellement, la saison de pluie est la plus favorable à la multiplication.
Une étude comparative des développements des plants issus de ces deux modes de multiplication a montré que les plants issus des boutures sont frêles et vulnérables à l’humidité des sols en effet, leur racine est beaucoup plus courte.
Un essai de plantation de jeunes plantes a été entrepris par nos soins dans notre propre jardin et sa croissance et son développement a été suivi.
Croissance et développement
Les principales étapes de la croissance et de développement d’une plante sont :
La germination
La floraison
La fécondation
La maturation
La germination
Les graines germent en moyenne 8 jours après leur semis. La germination est conditionnée par : L’intensité de l’éclairement : le taux de germination est de 92 – 94% en demi-ombre contre 40 – 52% en pleine lumière.
La profondeur de semis : les graines semées à 2 cm de profondeur donnent le taux de germination le plus élevé (80 – 90%).
L’humidité du sol qui est le facteur limitant pour la germination.
La croissance végétale
Elle est extrêmement rapide pour le Moringa oleifera, 5 à 12 m de haut dès la première année si les conditions sont favorables.
La mortalité des jeunes plants résulte principalement du manque en eau, un apport mensuel de 20.000 m3 d’eau à l’hectare est nécessaire au bon développement des plants.
Floraison et fructification
La plante peut donner des fruits quinze années durant, mais la production maximale apparaît à l’âge de 4 à 5 ans. La fructification commence à la mi-juillet et la maturation et surmaturation des siliques interviennent en septembre-octobre. Un pied produit en moyenne 3 à 5 kilos de graines par an.
Maturation des siliques
La maturation des siliques se traduit par leur dessèchement, un phénomène favorisé par la chaleur. La formation des graines est fonction du nombre des jours d’ensoleillement : elle dure 4 semaines dans les régions sèches et arides alors que dans les zones humides, elle peut durer jusqu’à 8 semaines.
Rendement d’une plante
Les composantes du rendement d’une la plante sont :
le nombre de pied au m²
le nombre de siliques par pied
le nombre de graines par silique
le poids moyen d’une graine
Tous ces données écologiques affirment que le Moringa est « multi-milieu » et supporte un climat similaire au notre d’où son intérêt à la multiplication voire à une culture intensive dans différentes régions à Madagascar. [19] [20] [22] [30]
Les différentes utilités du Moringa oleifera
L’intérêt du Moringa oleifera est multiple à savoir son intérêt alimentaire, son utilité en agroforesterie et en agriculture, dans l’industrie fine, son utilisation dans le traitement des eaux.
En agroforesterie
En agroforesterie, ses branches servent d’abri naturel pour les cultures maraîchères, le jus extrait de ses feuilles est utilisé comme engrais foliaire. [25]
Alimentation et nutrition humaine
L’arbre constitue une ressource alimentaire dans la mesure où toutes les parties de la plante sont comestibles. Cet intérêt nutritif se justifie par son apport en protéines, en vitamines et en calcium. [41]
La consommation des feuilles est courante, elles sont riches en provitamine A, en vitamine B et C, en protéine, en acides aminés et en minéraux (Fe, Ca). En outre, d’après les nutritionnistes, la composition des acides aminés des protéines contenues dans ses feuilles serait équilibrée pour l’alimentation humaine.
Les graines grillées se mangent en amuse-gueule.
La gomme de l’écorce du Moringa est utilisée comme condiment. [30]
En Inde et au Royaume Uni, les jeunes siliques et les graines font l’objet de transformation et de conditionnement pour l’exportation.
L’huile extraite de ses graines est alimentaire, elle est aussi employée en assaisonnement qu’en huile de friture. Sa composition chimique est comparable à celle de l’huile d’olive. [33] [34]
Cosmétique
Le secteur du cosmétique utilise aussi l’huile du Moringa oleifera qui renferme de l’acide béhénique possédant des propriétés régénératrices pour l’épiderme, d’où son nom « huile de Béhen ». [33] [39]
Quant au « polyélectrolyte cationique », il régule le pH cutané. [34]
Herboristerie
En outre, la plante est utilisée en herboristerie comme diurétique et dans le traitement de certaines maladies de l’appareil génito-urinaire. [34]

Le rapport de stage ou le pfe est un document d’analyse, de synthèse et d’évaluation de votre apprentissage, c’est pour cela rapport-gratuit.com propose le téléchargement des modèles complet de projet de fin d’étude, rapport de stage, mémoire, pfe, thèse, pour connaître la méthodologie à avoir et savoir comment construire les parties d’un projet de fin d’étude.

Table des matières

Avant propos
INTRODUCTION GENERALE
1. Contexte de cette recherche,
Généralités sur la famille des Moringaceae,
LE MORINGA OLEIFERA,
LE MORINGA DROUHARDII.
1.1. Contexte de cette recherche
1.2. Généralité sur la famille des Moringaceae
1.2.1. Liste et répartition mondiale des 13 espèces de Moringa
1.2.2. Répartition des espèces de Moringa
1.3. Présentation du Moringa Oleifera
1.3.1. Historique et origine du Moringa oleifera
1.3.1. Caractéristiques botaniques
1.3.2. Biologie de la plante
1.3.2.1. Appareils végétatifs
1.3.2.1.1. Racine
1.3.2.1.2. Tronc et son embranchement
1.3.2.1.3. Feuilles
1.3.2.1.4. Fleurs
1.3.2.1.5. Fruits
1.3.3. Ecologie
1.3.3.1. Climat
1.3.3.2. Pluviosité
1.3.3.3. Relief et sol
1.3.3.4. Altitude
1.3.4. Physiologie de la plante
1.3.4.1. Modes de multiplication
1.3.4.2. Croissance et développement
1.3.4.3. La germination
1.3.4.4. La croissance végétale
1.3.4.5. Floraison et fructification
1.3.4.6. Maturation des siliques
1.3.5. Rendement d’une plante
1.3.6. Les différentes utilités du Moringa oleifera
1.3.6.1. En agroforesterie
1.3.6.2. Alimentation et nutrition humaine
1.3.6.3. Cosmétique
1.3.6.4. Herboristerie
1.3.6.5. Traitement des eaux
1.4. Présentation du Moringa drouhardii
1.4.1. Historique et origine du Moringa drouhardii
1.4.2. Caractéristiques botaniques
1.4.3. Biologie de la plante
1.4.4. Appareils végétatifs
1.4.4.1. Tronc et son embranchement
1.4.4.2. Feuilles
1.4.4.3. Fleurs
1.4.4.4. Fruits
1.4.5. Ecologie
1.4.5.1. Relief et sol
1.4.6. Physiologie de la plante
1.4.6.1. Modes de multiplication
1.4.6.2. Croissance et développement
1.4.6.3. Floraison et fructification
1.4.7. Les différentes utilités du Moringa drouhardii
1.4.7.1. Ornementation et décoration d’extérieur de luxe
1.4.7.2. Rôle dans l’écosystème forestier
1.4.7.3. Sa place dans la tribu Mahafaly
1.4.7.4. Traitement des eaux
1.5. Comparaison de la composition en protéine des amandes de ces deux espèces de Moringa.
1.6. Conclusion partielle 1
2. Le Génie physicochimique de traitement de l’eau : La production d’eau potable
2.1. Les eaux de consommation
2.1.1. Généralité
2.1.2. Nécessité du traitement des eaux
2.1.3. La pollution des ressources naturelles en eau
2.1.4. Les différentes étapes de la filière conventionnelle de traitement des eaux de surface
2.1.4.1. Le prétraitement
2.1.4.1.1. Le captage
2.1.4.1.2. Le dégrillage
2.1.4.1.3. La pré-chloration ou première chloration
2.1.4.2. La clarification
2.1.4.3. La désinfection
2.1.4.4. La neutralisation
2.1.4.5. L’élimination des Matières Organiques MO
2.1.4.6. L’élimination des nitrates
2.1.5. Les processus élémentaires du génie physicochimique de clarification de l’eau brute
2.1.5.1. La coagulation-floculation
2.1.5.1.1. Définitions
2.1.5.1.1.1. Définition de la coagulation
2.1.5.1.1.2. Définition de la floculation
2.1.5.1.1.3. Définition de la coagulation-floculation
2.1.5.2. Les précipitations chimiques
 Inhibition de la précipitation
2.1.5.3. La décantation
2.1.5.4. La flottation
2.1.5.5. La filtration
2.2. La Coagulation-floculation
2.2.1. Généralité
2.2.2. Les MES
2.2.3. Les particules colloïdales
 Stabilité des suspensions colloïdales
2.2.4. Les coagulants minéraux et leurs inconvénients
2.2.4.1. Les coagulants minéraux
2.2.4.2. Inconvénients des coagulants minéraux
2.2.5. Théorie de la double couche
 Le potentiel Zêta
2.2.6. Les étapes de l’agrégation
 La floculation péricinétique
2.2.7. Les floculants
2.2.8. La théorie chimique
2.3. Les Normes de potabilité de l’eau sur le territoire malagasy
2.4. Conclusion partielle 2
3. Matériels et Méthodes utilisés
3.1. Flow sheet ou organigramme de cette recherche
3.2. Essai de culture de jeunes plantes de M.oleifera
3.2.1. La pépinière d’Andranomahery, Anosiala 105 :
3.2.2. Technique culturale utilisée
3.3. Prospection à Mahajanga et à Antsiranana
3.4. Collecte des siliques de Moringa oleifera à Antsiranana
3.5. Acquisition des graines de M.drouhardii au SNGF
3.6. Processus de préparation du coagulant à base de M.oleifera ou de M.drouhardii.
3.6.1. Manipulation des graines
3.6.1.1. Stockage
3.6.1.2. Séchage
3.6.1.3. Décorticage
3.6.2. Elaboration des poudres
3.6.2.1. Broyage des amandes
3.6.2.2. Tamisage de la poudre
3.6.3. Déshuilage de la poudre
3.6.3.1. Procédé d’extraction par solvant à froid
3.6.3.1.1. Principe
3.6.3.1.2. Solvant utilisé
3.6.3.1.3. Matériels utilisés
3.6.3.1.4. Mode opératoire
3.6.3.1.5. Expression des résultats
3.7. Analyses physiques comparatives des graines, amandes et poudres issues de ces deux espèces
3.7.1. Masse moyenne d’une graine
3.7.1.1. Matériel utilisé :
3.7.1.2. Mode opératoire :
3.7.1.3. Expression du résultat
3.7.2. Pourcentage en masse en amande d’une graine
3.7.2.1. Matériel utilisé :
3.7.2.2. Mode opératoire :
3.7.2.3. Expression du résultat
3.7.3. Densité de l’amande
3.7.3.1. Matériels utilisés
3.7.3.2. Mode opératoire :
3.7.3.3. Expression du résultat :
3.7.4. Densité apparente des poudres
3.7.4.1. Matériels utilisés :
3.7.4.2. Mode opératoire :
3.7.4.3. Expression des résultats :
3.8. Mesure préliminaire du pH (potentiel Hydrogène) de la solution aqueuse de poudre d’amande de Moringa déshuilée
3.8.1. Définition du pH
3.8.2. Matériels utilisés :
3.8.3. Mode opératoire :
3.9. Essais de clarification avec de la poudre d’amande de Moringa oleifera et de Moringa drouhardii en vue d’améliorer leur performance
3.9.1. Objectif des essais
3.9.2. Principe
3.9.3. Méthode
3.10. Le principe actif du coagulant-floculant extrait de la poudre d’amande de M.oleifera et de M.drouhardii
3.10.1. Les protéines
3.10.1.1. Les aminoacides
3.10.1.2. Formule semi-développée des protéines
3.10.1.3. Propriétés physicochimiques des acides aminés, des peptides et des protéines
3.11. Essais de coagulation-floculation au laboratoire : Le Jar-test
3.11.1. But
3.11.2. Utilisation d’un coagulant ou d’un floculant de substitution ou de remplacement à un réactif minéral
3.11.3. Les coagulants organiques cationiques et leurs avantages
3.11.4. Equipement de Jar-test
3.11.5. Méthode adoptée lors du Jar-test
3.11.5.1. Utilisation de deux Eaux brutes de turbidités différentes
3.11.5.2. Essais préliminaires avec le coagulant minéral Sulfate d’Alumine (SA) et de la Chaux
3.11.5.2.1. Réactifs utilisés :
3.11.5.2.2. Mode opératoire :
3.11.6. Mode opératoire lors d’un Jar-test:
3.11.7. Expression des résultats
3.12. Amélioration de la performance de ces coagulant-floculants : Activation des poudres
3.12.1. Technique d’activation du coagulant-floculant à base de poudre d’amande de Moringa oleifera et de Moringa drouhardii
3.12.1.1. But
3.12.1.2. Principe :
3.12.2. Essais de clarification avec de la poudre d’amandes de M.oleifera déshuilée et activée :
3.12.2.1. Mode opératoire :
3.12.2.1. Remarque
3.13. Filtration de l’eau traitée :
3.13.1. Technique
3.13.2. Matériel et méthode
3.14. Analyses bactériologiques de l’eau clarifiée
3.14.1. Protocoles d’analyses
3.14.2. Expression et évaluation des résultats
4. Résultats des expériences et discussions
4.1. Suivi de la croissance et du développement de l’essai de culture des plants de Moringa oleifera
4.1.1. Le plant et la pépinière
4.1.1.1. Résultat :
4.1.1.2. Discussion :
4.1.2. Développement et croissance du plant
4.1.2.1. Physionomie de la plante :
4.1.2.2. Discussion
4.1.3. Feuilles et fleurs
4.1.4. Fruits de M.oleifera cueillis :
4.1.4.1. Résultats
4.1.4.1. Discussion
4.2. Analyse physique des siliques surmâtures de M.oleifera récoltées de l’essai de culture
4.2.1. Résultats
4.2.2. Discussion :
4.3. Prospection à Mahajanga et à Antsiranana
4.3.1. Résultat
4.3.1. Discussion
4.4. Collecte des échantillons de M.oleifera à Antsiranana
4.4.1. Les siliques surmâtures en déhiscence
4.4.2. Analyse physique préliminaire des siliques surmâtures de M.oleifera
4.4.2.1. Résultat
4.4.2.2. Discussion
4.5. Echantillons de graines de M. drouhardii acquis auprès du SNGF
4.5.1. Analyses physiques préliminaires des graines de Moringa drouhardii.
4.5.1.1. Résultats
4.6. Analyses physiques comparatives des graines, amandes, poudres des deux espèces
4.6.1. Masse moyenne d’une graine
4.6.1.1. Résultat :
4.6.1.2. Discussion :
4.6.2. Pourcentage en masse en amande d’une graine
4.6.2.1. Résultat:
4.6.2.2. Discussion :
4.6.3. Densité de l’amande
4.6.3.1. Résultat :
4.6.3.2. Discussion:
4.6.4. Densité apparente des poudres
4.6.4.1. Résultat :
4.6.4.2. Discussion
4.6.5. Granulométrie des particules
4.6.5.1. Résultat
4.6.6. Extraction par solvant à froid de l’huile
4.6.6.1. Résultat de l’extraction
4.6.6.2. Discussion
4.7. Mesure préliminaire du pH (potentiel Hydrogène) de la solution aqueuse de poudre d’amande de Moringa déshuilée
4.7.1. Résultats :
4.7.2. Discussion
4.8. Remarque :
4.9. Essais de coagulation-floculation avec le coagulant-floculant extrait de la poudre d’amande non activée de M.oleifera et de M.drouhardii
4.9.1. Jar-tests sur eaux brutes de turbidité faible (turbidité initiale de 11 – 16 NTU) captées au Lac de Mandroseza
4.9.1.1. Caractéristiques de l’eau brute
4.9.1.1.1. Résultats
4.9.1.1.2. Discussion
4.9.1.2. Analyses physicochimiques de l’EB
4.9.1.2.1. Résultats
4.9.1.3. Essai préliminaire avec du SA et de la chaux
4.9.1.3.1. Jar-Test
4.9.1.3.1.1. Résultat
4.9.1.3.1.2. Discussion
4.9.1.3.2. Analyses physicochimiques de l’eau traitée
4.9.1.3.2.1. Résultat
4.9.1.3.2.2. Discussion
4.9.1.4. Essai de clarification avec de la poudre d’amande de M.oleifera déshuilée mais non-activée
4.9.1.4.1. Jar-test
4.9.1.4.1.1. Résultat du Jar-test
4.9.1.4.1.2. Discussion
4.9.1.4.2. Analyse physicochimique comparative de l’EB et de l’ET
4.9.1.4.2.1. Résultat
4.9.1.4.2.2. Interprétation dés résultats :
4.9.1.5. Essai de clarification avec la poudre d’amande de M.drouhardii déshuilée mais non-activée
4.9.1.5.1. Jar-test
4.9.1.5.1.1. Résultat
4.9.1.5.1.2. Discussion
4.9.1.5.2. Analyse physicochimique comparative de l’EB et de l’ET
4.9.1.5.2.1. Résultat
4.9.1.5.2.2. Discussion
4.9.2. Jar-tests sur eau brute de turbidité forte : Eau captée à Andranomahery, Anosiala
4.9.2.1. Caractéristiques de l’eau brute
4.9.2.1.1. Résultats
4.9.2.1.2. Discussion
4.9.2.2. Essai préliminaire avec du SA et chaux
4.9.2.2.1. Jar-test
4.9.2.2.1.1. Résultat
4.9.2.2.1.2. Discussion
4.9.2.3. Essai avec poudre de M.oleifera déshuilée non activée
4.9.2.3.1. Jar-test
4.9.2.3.1.1. Résultats
4.9.2.3.1.2. Discussion
4.10. Amélioration de la performance de ces coagulant-floculants : Activation des poudres
4.10.1. Essais sur eau brute de turbidité faible :
4.10.1.1. Essai n°1 : Activation avec du HCl 1N
4.10.1.1.1. Jar-test
4.10.1.1.1.1. Résultat
4.10.1.1.1.2. Discussion
4.10.1.1.2. Comparaison des paramètres de l’ET à ceux de l’EB, Evaluation
4.10.1.1.2.1. Résultats
4.10.1.1.2.2. Discussion
4.10.1.2. Essai n°2: Activation avec du HCl 0,9N
4.10.1.2.1. Jar-Test
4.10.1.2.1.1. Résultat
4.10.1.2.1.2. Discussion
4.10.1.2.2. Comparaison des paramètres de l’ET à ceux de l’EB, Evaluation
4.10.1.2.2.1. Résultat
4.10.1.2.2.2. Discussion
4.10.1.3. Essai n°3 : Activation avec du HCl 0,8N
4.10.1.3.1. Jar-test
4.10.1.3.1.1. Résultat
4.10.1.3.1.2. Discussion
4.10.1.3.2. Comparaison des paramètres de l’ET à ceux de l’EB, Evaluation
4.10.1.3.2.1. Résultat
4.10.1.3.2.2. Discussion
4.10.2. Eau brute de turbidité forte
4.10.2.1. Jar-test
4.10.2.1.1. Résultat
4.10.2.1.2. Discussion
4.10.3. Discussion sur l’activation
4.11. Analyses de l’eau clarifiée (après essai de coagulation-floculation- filtration au laboratoire) avec de la poudre d’amande de Moringa oleifera déshuilée activée
4.11.1. Analyses physicochimiques
4.11.1.1. Résultats et Evaluation
4.11.1.2. Discussion
4.11.2. Analyses bactériologiques de l’eau clarifiée
4.11.2.1. Résultats et Evaluation
4.11.2.2. Discussion
4.12. Conclusion partielle 4
Conclusion générale
Références 

Télécharger le rapport complet

Télécharger aussi :

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *