LE CRIQUET PÈLERIN ET SON ENVIRONNEMENT

LE CRIQUET PÈLERIN ET SON ENVIRONNEMENT

Le Criquet pèlerin

Le présent chapitre fait un rappel exhaustif de l’état des lieux des travaux de recherche, d’études et de prospections effectuées en Mauritanie sur le Criquet pèlerin et en fait la synthèse, entres autres celles relatives aux résultats des prospections faites en Mauritanie durant la période 1939-1986. Il traite également des données acridiennes anciennement disponibles et de l’analyse qui en est faite. Il s’agit de la partie des données acridiennes du CNLA (ex-CLA) couvrant la période de 1988-1999 soit 18 429 enregistrements et 253 descripteurs (Ould Babah 2003) ainsi que son complément pour la période 1999-2006. Il réactualise la mise à jour, l’exploitation et l’analyse des données du Criquet pèlerin en Mauritanie pour la période 19882007, auxquelles s’ajoutent des données partiellement saisies de 1965-1968 (période OCLALAV), soit un total de 51 014 enregistrements et 400 variables pour cette dernière période. Ce travail a pour finalité de ressortir les tendances de la distribution spatio-temporelles de ce fléau sur une base fréquentielle selon des pas de temps décadaires, mensuels, trimestriels ou annuels et selon une maille géographique d’un quart de degré géographique carré.

Bibliographie et études disponibles sur le Criquet pèlerin en Mauritanie

Selon Ould Babah (1998), plus d’une quarantaine de missions d’étude et de recherche, ont été effectuées en Mauritanie pour étudier le fléau, du Criquet pèlerin depuis le début des années 30 et au total 169 références sur la recherche acridienne en Mauritanie ont été listées. À commencer par les missions de recherche spécifiques sur le Criquet pèlerin de Zolotarevsky (1937, 1934, 1938b) et Murat (1939) suivies de celle de Bruneau de Miré (1952). Chopard (1952) a étudié le peuplement général des Orthoptères en Mauritanie. Roy (1971) en a observé une partie à Rosso (au Sud-Ouest du pays). Ensuite, la FAO a mené, plusieurs programmes de recherches en Mauritanie à travers des projets, financés sur le fond spécial des Nations Unies sur le Criquet pèlerin pour la période allant des années 50 aux années 70. Ces recherches ont couvert plusieurs thèmes (l’écologie, la climatologie, la prospection, la lutte chimique. La majorité des études écologiques et biologiques ont été réalisées par Popov, Roy, Rossetti et Besnault (Besnault et al. 1962) pour la période 1951-1963. Ces recherches ont couvert également des observations sur la végétation, la distribution des pontes et des pullulations de Schistocerca gregaria signalées entre 1950 et 1961 en Afrique occidentale.
L’Organisation Commune de Lutte Anti-acridienne (OCLA) a mené des missions de prospection en 1961 dans les zones situées dans les parties frontalières entre la Mauritanie et le Mali. Elle a fait une analyse sur la distribution des occurrences et des signalisations acridiennes qu’elle avait trouvées incomplète en Mauritanie. Elle a montré que les bandes larvaires qui dévoraient les cultures de la région de Nioro, Balle, Nara, viennent souvent du territoire mauritanien.
L’OCLALAV a également effectué des recherches à travers son unité de recherche à la base d’Aïoun EL Atrouss de 1965 à 1976. Cette unité de recherche était dirigée par Ould Mohamed Sidiya qui a effectué de multiples et précieuses contributions dans le domaine de l’écologie et de l’acridologie de terrain (Ould Mohamed Sidya 1973a), en particulier lors de la prospection exploratoire en Mauritanie méridionale, orientale et aux confins maliens (octobre 1971) et la prospection dans le Nord-Ouest de la Mauritanie et au Sahara espagnol en (février et mars-avril 1971). D’autres études évènementielles ont été faites par Skaf (1978, 1973) dans le cadre de l’OCLALAV et de la FAO ; en particulier, l’étude sur les cas de grégarisation du Criquet pèlerin en 1974 dans le Sud-Ouest mauritanien et au Tamesna malien.
Le professeur Pasquier a également dirigé des prospections conjointes algéromauritaniennes et mauritano-maliennes en 1970 (Anonyme (OCLALAV) 1970b, Anonyme (OCLALAV) 1970a). Pasquier a fait d’intéressantes suggestions quant aux prospections de la Mauritanie au Sud du 18ème parallèle et à l’organisation du travail des équipes sur le terrain et à leur équipement scientifique.

Occurrence des larves solitaires

La délimitation des zones de haute fréquence des larves solaires est primordiale pour ala lutte préventive, car elle permet de cerner les zones de reproduction des populations solitaires. Les larves solitaires sont, en majorité regroupées dans l’Ouest et le Nord-Ouest du pays au dessus du 17°N et à l’Ouest du 11ème
méridien, exception faite de 2 quarts de degré carré aux environs de Rosso (rive droite du fleuve Sénégal). Des occurrences
à moindre fréquence sont localisées à l’est de cette zone (au Sud-Est).
Les zones de haute fréquence pour les larves solitaires se trouvent : – au centre du pays dans les mêmes zones de haute fréquence déjà identifiées sur le croisement des frontières administratives des wilayas de Brakna-Tagant-Adrar avec une extension sur les deux côtés est et Ouest ; – dans les limites quasi-circulaires de la zone du Sud de l’Adrar de l’est de l’Inchiri (Aguilale Faye, inclus) et de la zone Nord du Brakna et de l’Ouest du Tagant ; – enfin un quart de degré carré à l’est de Tidjikja. Tout autour de ces zones, les concentrations continuent mais en moyenne fréquences. La zone de Zouerate fonctionne, aussi en haute fréquence sur un triangle de 3 quarts de degré carré.

Occurrence des larves transiens

Les occurrences des larves transiens les plus fortes se concentrent à l’Ouest et l’extrême  Nord-Ouest du pays sur quatre zones principales : – sur la zone de haute fréquence déjà identifiée au Nord-Ouest du Tagant, sur les deux quarts de degré carré situés sur le 18ème parallèle et entre 12°30’W et 13°30’W. – dans la zone d’Aguilal Faye et d’Amlil,localisée entre 14°00’W et 15°30’W
et une partie de la zone située entre 18°N et le 19°N. – sur deux quarts de degré carré au Sud-Ouest de l’Adrar. – sur la zone de Zouerate, sous forme d’un triangle de trois quarts de degré carré qui entoure Zouerate, à l’est. Les zones de moyenne fréquence se situent entre ces différentes zones mais aussi aux extremités notamment, au Centre est Adrar, aux environs de Ouadane et dans le Sud est (dans l’Awker au Nord d’Aïoun) Ainsi qu’à l’extrême Nord-Ouest du côté de Bir Moghrein.

Occurrence des larves grégaires

Les occurrence de larves grégaires se dispersent sur l’ensemble du territoire, sauf dans certaines parties des angles frontaliers Sud et est du pays (Hodh Echarghui et Dakhlett Nouadhibou) . Les occurrences les plus élevées se concentrent dans le Centre-Sud et Sud-Ouest à partir de l’Ouest de 7°30’W. Le Sud-Ouest du Trarza, la zone du littoral au Sud de Nouakchott, le Gorgol, le Sud de l’Assaba, le Nord-Est d’Aïoun. Au centre et à côté, de la zone de haute fréquence, dans les parties Ouest et est de l’Adrar, dans la zone de Zouerate, de Bir Moghrein et au Nord d’El Hank qui se trouve jusqu’au niveau de la frontière (24°00’N- 06°30’W). La distribution des fortes occurrences exclue, un léger espace au centre du pays entre l’Adrar et le Brakna et un autre espace sous forme de lignes obliques discontinues au centre du pays qui s’étale entre le littoral, l’Adrar et le Tiris au niveau d’El Hank.

 Cartes de fréquence mensuelle

Les cartes mensuelles sur la période 1988-99 ont été produites et analysées par Ould Babah (2003) couvrant toutes les trois états phasaires (solitaires, transiens , grégaires) et les deux stades phénologiques (larves et ailés), soit 72 cartes. Ce travail a permis de déceler les principales tendances de la dynamique spatiotemporelle des différents stades phénologiques selon un pas de temps mensuel. Les zones de haute fréquence dont on parle ici et qui feront l’objet d’études détaillées ont ainsi clairement été identifiées.
Ce qui laisse, aujourd’hui, la place, à l’utilisation d’un autre pas temporel, en l’occurrence, trimestriel ajoutant une couche saisonnière voire générationnelle additionnelle qui permet de mieux comprendre la dynamique spatio-temporelle du Criquet pèlerin.
Un regroupement des périodes 1988-99 avec 2000-2002 sera effectué, étant donné que cette dernière période n’a pas connu une très grande activité acridienne et par conséquent pas une forte pression d’échantillonnage. Ensuite cette période sera comparée avec la période 20032006. Cette dernière période a connu une explosion de la pression d’échantillonnage soit 30 000 enregistrements sur un total de plus de 51 000.

Cartes trimestrielles comparées des périodes 1988-2002 et 2003-2006

Pour faciliter la présentation des résultats de ce paragraphe certaines conventions ont été adoptées. Les cartes saisonnières suivantes sont expliquées en fonction du nombre d’occurrences acridiennes observées en fonction de leur phénologie : larves, ailés et de leur phase : solitaires, transiens , grégaires, synthétisé dans le terme phéno-phases.
Les occurrences des larves et des ailés transiens sont variables dans le temps et dans l’espace et elles sont plus ou moins nombreuses ou fréquentes. Elles peuvent varier pour les occurrences trimestrielles de 1 à 250 alors que pour les occurrences totales peuvent atteindre jusqu’à plus de
1100. L’unité géographique utilisée est le quart de degré géographique carré (30 mn x 30 mn, soit environ 50 km x 50 km), appelé le quart de degré carré. Dans le texte on qualifiera la fréquence de : faible : 1 à 50 occurrences par degré carré, moyenne : 51 à 150 occurrences par degré carré, forte : 150 à 250 occurrences par degré carré, très forte : 251 à 1100 occurrences par degré carré.  Ci-après, nous appellerons la période 1988-2002, période I. Au cours de cette période a lieu la recrudescende majeure de 1995. La période suivante 2003-2006 est appelée période II, elle couvre la dernière invasion de 2003-2005. Nous avons vu que la séparation en ces deux périodes était plus logique pour respecter des préssions d’échantillonages différentesx. Mais elles permetent aussi de comparer les dernières recrusdescences majeures qu’a connu la Mauritanie.

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Table des matières

INTRODUCTION
1. LE CRIQUET PÈLERIN ET SON ENVIRONNEMENT
1.1. Le Criquet pèlerin
1.1.1. Bibliographie et études disponibles sur le Criquet pèlerin en Mauritanie
1.1.2. Données acridiennes anciennement disponibles
1.1.3. Données acridiennes récentes du CNLA (1988-2007)
1.1.3.1. Origine et méthode de collecte des données acridiennes (1988-2007)
1.1.3.2. Caractéristiques, structure et reconditionnement des données
1.1.3.2.1. La base RAMSES originelle
1.1.3.2.2. La table complémentaire : descripteurs synthétiques
1.1.3.2.3. Caractéristiques générales des données
1.1.3.3. Analyse des données
1.1.3.4. Cartes d’occurrence
1.1.3.4.1. Cartes d’occurrence des états phasaires et phénologiques
1.1.3.4.2. Cartes de fréquence mensuelle
1.1.3.5. Analyses comparatives
1.1.3.5.1. Cartes trimestrielles comparées des périodes 1988-2002 et 2003-2006
1.1.3.5.1.1. Larves solitaires
1.1.3.5.1.2. Larves transiens
1.1.3.5.1.3. Larves grégaires
1.1.3.5.1.4. Ailés solitaires
1.1.3.5.1.5. Ailés transiens
1.1.3.5.1.6. Ailés grégaires
1.1.3.5.2. Comparaison en fonction de la situation acridienne
1.1.3.5.2.1. Occurrence des larves
1.1.3.5.2.2. Occurrences des ailés
1.1.3.6.3. Carte globale des solitarotransiens
1.1.3.6.5. Synthèse nationale : les acrido-régions
1.1.3.6.5.1. L’aire de reproduction estivale des solitaires
1.1.3.6.5.2. Aire mixte de reproduction des solitaires d’été-automne
1.1.3.6.5.3. Aire de reproduction automnale des solitaires
1.1.3.6.5.4. Aire mixte de reproduction des solitaires d’automne-hiver
1.1.3.6.5.5. Aire de reproduction hivernale des solitaires
1.1.3.6.5.6. Aire de reproduction et/ou de dispersion des grégaires
1.1.3.6.5.7. La Majabât Al Koubra
1.1.4. Conclusion partielle
1.2. L’environnement du Criquet pèlerin en Mauritanie
1.2.1. Contexte géomorphologique
1.2.1.1. Les grands ensembles géologiques
1.2.1.1.1. Le socle pédiplané
1.2.1.1.2. L’ensemble sédimentaire paléozoïque
1.2.1.1.3. Le bassin sénégalo-mauritanien
1.2.1.1.4. Le Quaternaire
1.2.1.2. Les grands ensembles géomorphologiques
1.2.1.2.1. Les pénéplaines à eglab
1.2.1.2.2. Les plateaux et les dhar
1.2.1.2.3. Les ergs
1.2.1.2.4. Les sebkhas
1.2.1.2.5. Les zones d’épandage (grara, graïr)
1.2.1.2.6. Les vallées d’oueds
1.2.1.2.7. Le lac de Rkiz (Sud du Trarza)
1.2.1.2.8. Conclusion
1.2.2. La biogéographie
1.2.2.1. Les divisions biogéographiques
1.2.2.2. La zone saharienne
1.2.2.3. La zone saharo-sahélienne
1.2.2.4. La zone sahélienne
1.2.2.5. Conclusion
1.2.3. Les climats
1.2.3.1. La circulation générale de l’atmosphère sur l’Afrique intertropicale
1.2.3.2. Données stationnelles
1.2.3.2.1. Sélection des données
1.2.3.2.2. Les données disponibles
1.2.3.2.2.1. La pluviométrie
1.2.3.2.2.2. Les températures
1.2.3.2.2.3. Les diagrammes ombrothermiques
1.2.3.2.2.4. Analyses fréquentielles
1.2.3.2.2.5. Conclusion
1.2.4. Référentiel biogéographique
1.2.4.1. Les paramètres
1.2.4.2. Les UTEH
1.2.4.1. Domaine Nord
1.2.4.1.1. Macro-région Tiris Zemmour
1.2.4.1.2. Macro-région Khatt El Hank
1.2.4.2. Domaine Centre-Ouest
1.2.4.2.1. Macro-région du Nord-Ouest (Essahel)
1.2.4.2.2. Macro-région de L=Adrar
1.2.4.3. Domaine Sud
1.2.4.3.1. Macro-région Aftout
1.2.4.3.2. Macro-région Sud-Ouest
1.2.4.3.3. Macro-région Khatt
1.2.4.3.4. Macro-région Aftout Lakhdar
1.2.4.3.5. Macro-région des reliefs
1.2.4.3.6. Macro-région Sud-Est
1.2.4.3.7. Macro-région Rguiba-Hodhein
1.2.4.3.8. Macro-région Aoukar Aïoun
1.2.4.3.9. Macro-région Aouana
1.2.4.4. Domaine désertique (Majabat-al Koubra)
1.2.4.4.1. Macro-région Majabatt Alkoubra
1.2.4.4.2. Macro-région Tassaret-Adafer
1.2.4.5. Domaine du Chemama
1.2.4.6. Domaine Littoral
1.2.4.6.1. Macro-région Essahel
1.2.4.6.2. Macro-région de l=Aftout-es-Saheli
1.2.5. Conclusion partielle
2. LES ZONES PILOTES D’ÉTUDE
2.1. Le choix des zones de haute et basse fréquences de reproduction
2.1.1. Justification du choix
2.1.2. Le criquet dans les zones de haute et basse fréquences
2.1.3. Description des zones
2.1.4. Les itinéraires
2.1.4.1. Accès aux stations
2.1.4.2. Collecte des données
2.1.5. Les contraintes
2.1.5.1. Absence de données sur la zone
2.1.5.2. Absence de données météorologiques
2.1.5.3. Accessibilité
2.1.5.4. Difficultés d’installation et de maintien du dispositif exploratoire
2.1.5.5. La recrudescence 2003-2005
2.2. Méthodes et moyens d’investigation
2.2.1. Itinéraire méthodologique
2.2.2. Les méthodes spatiales
2.2.2.1. Le choix des satellites
2.2.2.2. Le choix des images satellites
2.2.3. Relevés de terrain : éléments structurels des biotopes acridiens
2.2.3.1. Description des unités spatiales géomorphologiques
2.2.3.2. Mise en évidence et description des unités de végétation (annuelle et pérenne)
2.2.3.3. Les relevés floristiques, le tableau phytosociologique
2.2.4. Relevés de terrain : composante dynamique de l’environnement acridien
2.2.4.1. Protocole de calibrage du réseau des stations
2.2.4.2. Protocole d’installation du réseau des stations
2.2.4.3. Problèmes de collecte des données
2.3. Structure des biotopes des zones de haute et basse fréquences
2.3.1. Les unités géomorphologiques
2.3.1.1. Description des unités spatiales géomorphologiques
2.3.1.2. Caractérisation géomorphologique de la zone de haute fréquence
2.3.1.3. Caractérisation géomorphologique de la zone de basse fréquence
2.3.1.4. Conclusion partielle
2.3.2. Le tapis végétal
2.3.2.1. Analyse structurale de la strate herbeuse
2.3.2.2. Les groupements floristiques
2.3.2.2.1. Particularités
2.3.2.2.1.1. Nombre d’espèces par relevé
2.3.2.2.1.2. Nombre d’espèces par famille/zones
2.3.2.2.1.3. Abondance relative des types biogéographiques
2.3.2.2.1.4 Abondance relative des types biomorphologiques de Raunkier
2.3.2.2.1.5. Abondance relative des types morphologiques
2.3.2.2.2. Tableau phytosociologique
2.3.2.2.2.1. Présence des 157 espèces dans les 138 relevés
2.3.2.2.2.2 Nombre d’espèces par relevé et par classe floristique
2.3.2.2.2.3. Structure générale du tableau phytosociologique
2.3.2.2.3. Conclusion partielle
2.3.3. Les signalisations acridiennes
2.3.4. Les biotopes acridiens
2.3.5. Discussion et Conclusion
2.3.6. Conclusion partielle
2.4. Données météorologiques relatives aux zones de haute et de basse fréquences
2.4.1. Introduction
2.4.2. Structure des données
2.4.3. Précipitations
2.4.4. Évaluation des pluies dans les deux zones
2.4.5. Les données pluviométries déductibles de l’imagerie METEOSAT
2.4.6. Humidité du sol
2.4.7. Températures
2.4.8. Conditions anémométriques
2.4.9. Météorologie comparée avec les stations de la Météorologie nationale
2.4.10. Météorologie du réseau comparé avec METEOSAT
2.4.11. Conclusions partielles
2.5. Conclusion
2.5.1. Sur le plan géomorphologique et cartographique
2.5.2. Sur le plan floristique
2.5.3. Sur le plan météorologique
2.5.4. Sur le plan acridien
2.5.5. Synthèse des relations entre les divers paramètres (acridien, climat, flore et géomorphologie)
3. DISCUSSION
3.1. La gestion des données dans le cadre de la surveillance et de la lutte préventive
3.1.1. Climat, météorologie, Criquet pèlerin en Mauritanie
3.1.2. Limites spatiales et temporelles des biotopes acridiens
3.2. Le Criquet pèlerin en Mauritanie
3.2.1. Statut acridien de la Mauritanie
3.2.1.1. Statut acridien de la Mauritanie à l’échelle régionale
3.2.1.2. Implications et perspectives institutionnelles et organisationnelles
CONCLUSION GÉNÉRALE
ANNEXE I : Fiche de prospection RAMSES standardisée
ANNEXE II : Données climatiques des stations météorologiques de référence de Mauritanie.189
ANNEXE III : Tableau phytosociologique
BIBLIOGRAPHIE

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